◊ Age du Personnage : 32 ans ◊ Pouvoirs / Armes : Precognition
Informations » Métier: Enseignante de français à l'université » Statut RP: Ouvert » Particularités:
Sujet: Joyce H. D'Anceny Mar 10 Mai - 22:08
» Informations de Base
"Rien ne devrait recevoir un nom, de peur que ce nom même ne le transforme"
● Nom : D'Anceny. Ce patronyme, à particule de noblesse, est un héritage ancestral de la noblesse française. Les D'Anceny sont probablement l'une de plus anciennes familles aristocratiques de l'hexagone. A travers les siècles et l'Histoire, de la monarchie à l'empire, en passant par les différentes républiques, ils ont frayé avec les familles les plus influentes pour renforcer leur pouvoir. De son nom d'épouse, D'Anceny-Williams, elle a abandonné le nom de son ex-mari lorsque celui-ci a eu la bonne idée de laisser sa femme et son fils derrière lui pour ses projets criminels. ● Prénoms : Joyce. Le prénom a été choisi par sa mère, amoureuse des consonances anglo-saxonnes, depuis qu'elle a épousé le comte D'Anceny, alors qu'ils étaient encore à l'université d'Oxford. Ses autres prénoms sont Hadès et Virginia. Comme quoi, avoir des parents baignant dans le monde de la culture n'est pas forcément une bénédiction. ● Sexe : Féminin, aux dernières nouvelles. ● Âge : 32 printemps, le temps de passer un doctorat, de se faire nommer dans une prépa parisienne, de faire un enfant, de perdre son mari et d'enchaîner les mauvaises nouvelles. ● Origine Génétique : Mutante. ● Origine Géographique : Joyce est originaire de France, tout près d'Alençon, pour être précise. Sa mère avait souhaité mettre son enfant au monde dans le domaine ancestral de son époux. Ils s'étaient définitivement fixés en Normandie, une fois que le père de Joyce ait pris sa retraite d'ambassadeur. La jeune femme a parcouru le monde pendant son adolescence, puis s'est elle-même fixée à Paris. ● Métier : Docteure de littérature comparée en Sorbonne, licenciée de psychologie, agrégée de lettres classiques. Joyce a suivi son cursus au lycée Jeanne D'Arc de Rouen, puis a passé avec succès ses deux années de prépa littéraire à Henri IV. Elle a ensuite intégré l'ENS de la rue d'Ulm, pour y étudier les lettres classiques. Doctorante à 27 ans, elle soutient sa thèse. Elle est agrégée de lettres classiques à 21 ans, et est nommée dans une CPGE normande. A Achaea, elle est enseignante de littérature française à l'université. ● Date de Naissance : 3 août 1993 ● Lieu de Naissance : Alençon ● Orientation : Bisexuelle. Joyce ne le dira probablement jamais, mais la naissance de sa fille est un accident non planifié dans sa carrière. L'instant, le hasard, ont fait que c'est arrivé. La jeune femme avait auparavant l'habitude d'être libre comme l'air, et avait déjà goûté aux plaisirs des deux côtés. Après la trahison de son ancien compagnon, elle s'est un peu détachée du côte affectif des relations, pour se concentrer sur les plaisirs de la chair. Si elle retombe un jour amoureuse, personne ne pourra prédire le genre de sa moitié avec certitude.
» Informations des Groupes
"Il y a quelque chose de plus grand pourtant que d'appartenir au monde, c'est de s'appartenir à soi-même"
● Groupe : Mutants pacifiques ● Raisons : La raison principale pour laquelle Joyce se positionne de cette manière dans le conflit entre les mutants et les humains est tout à fait indépendante de sa volonté. D'une part, son pouvoir, aussi utile soit-il, est loin d'être discret : ses maux de tête, ses réactions incontrôlées, au fur et à mesure que se développe le gène, font peser rapidement des soupçons sur son état de santé. Elle aurait pu rejoindre le groupe des mutants hostiles, refuser l'aliénation, et participer à la révolution musclée. Il n'en est pas ainsi, à cause de sa fille. Si Aliénor ne souffrait pas de ce mal étrange - à propos duquel Joyce ressent une profonde culpabilité, remettant en question son propre code génétique, qu'elle ne reçoit pas comme un cadeau du ciel - elle aurait peut-être tenté autre chose. Mais ce sont les humains qui possèdent la technologie nécessaire pour la soigner. La collaboration est inévitable. Ce compromis ne lui convient pas forcément, et elle se fait discrète sur son statut, collaborant avec l'aile médicale de l'Opération Apocalypto seulement si ces derniers protégeaient son secret dans leurs bases de données. C'est donnant donnant, mais aux yeux de Joyce, c'est la seule manière d'assurer sa propre protection et celle de sa fille, sans subir les représailles de certains mutants qui pourraient la considérer comme une traîtresse. Jusqu'ici, elle n'a pas encore eu de problèmes. ● Pouvoir(s) : Précognition ● Description : "Précognition", lui avait dit le médecin. Comme cela sonne bien. C'est un peu une cerise sur le gâteau : jusqu'ici, c'était cette impression de déjà vu, désagréable, qui prenait souvent Joyce. Une odeur, un goût, le regard de quelqu'un dans la rue. C'était comme une Madeleine de Proust, mais assez régulière, qui la prenait comme cela, sans crier gare. L'impression de Déjà Vu se manifeste en général par un moment d'absence, où l'esprit fournit un effort pour tenter de se souvenir d'où elle avait bien pu avoir déjà vu ce visage, où elle avait pu expérimenter cette sensation... Puis, progressivement, cela s'était précisé. Des images étaient venues, dansant devant ses yeux hébétés, des images sans cohérences, où se mêlaient ses souvenirs d'enfance, d'autres souvenirs, et puis les images. Ces images ne lui appartiennent pas. C'est une rue, des sensations inconnues, des paroles incompréhensibles, des visages d'inconnus, puis l'impression de ne pas être dans son corps, comme si sa subjectivité n'était même plus la sienne... Ces souvenirs ne lui appartenaient pas, l'évidence la frappa alors que les crises se faisaient moins floues. Et ce mal de crâne, de plus en plus pressant, des migraines à assommer un cheval. Des spasmes, des crises qui se rapprochent de l'épilepsie. Quand elle s'est réveillée dans un hôpital, des blouses blanches inconnues devant elle et un type en costard sombre qui la dévisageait, elle comprit que ce n'était pas de simples crises étranges, proches de la folie. C'était cela. La Précognition. Le type en costard l'a testée. Des images. Un enfant qui joue, une abeille, une fleur, deux tours enflammées... A cet instant, elle a pu citer le nom des terroristes qui se trouvaient dans les vols ayant pour terminus le World Trade Center. Un poney, une photo du littoral, un visage... Un violeur multi-récidiviste de l'Arizona.Mais son pouvoir ne se limitait pas à donner des noms. Elle pouvait apercevoir un meurtre, un viol, un complot, un accident de voiture, un braquage... Où, quand, pourquoi, qui? Elle n'en savait rien. Et toujours ce mal de crâne horrible, ces crises immondes, ces spasmes... Voilà à quoi se résumait l'un des fantasmes humains de l'augure : à de la souffrance et à assister à la souffrance, sans pouvoir réellement intervenir. Bien malin celui qui pourrait définir avec précision l'heure, le lieu ou l'adresse. Cela pouvait très bien être dans le passé, le présent ou l'avenir. Dans n'importe quel continent. Ainsi débuta sa carrière auprès des humains. C'était à l'époque où sa fille avait commencé à souffrir de sa maladie. On lui soumettait des signaux sensoriels, pour la stimuler. Souvent des images de crimes à lui faire rendre son petit déjeuner, pour localiser le criminel ou l'identifier. Elle se trompait rarement. Mais elle n'avait pas systématiquement tous les indices nécessaires pour permettre aux flics d'avancer. C'était tellement aléatoire. Et douloureux.
» Informations Descriptives
"La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme"
● Description Mentale : Joyce est quelqu'un de très sociable par nature. Elle est agréable, souriante, amicale. Cette qualité fait d'elle une excellente prof : non seulement est-elle passionnée, mais elle est excellente pédagogue. Elle aime évidemment la littérature, l'étude, sans pour autant rechigner à sortir, à balancer des blagues graveleuses. C'est quelqu'un de patient, d'altruiste, bourrée de bonne volonté, qui se mettrait en quatre pour ceux qu'elle aime, en particulier sa fille. Pour autant, elle est rancunière. La trahison est quelque chose qu'elle ne peut plus supporter. Cela fait déjà quelques années qu'Aaron l'a quittée et la pilule ne passe toujours pas.
● Description Physique : La jeune femme est d'une taille moyenne, à la taille relativement fine. Avec son visage aux traits réguliers, ses cheveux blonds et son regard rêveur, quoique pétillant d'intelligence et de malice, elle a la figure de l'éternelle adolescente. Bien peu oserait avancer qu'elle a dépassé la trentaine. Sa voix éraillée et ce regard envoûtant tiennent en haleine un parterre d'étudiants sans problème pendant deux heures. Elle est vêtue de façon décontractée, ce qui l'éloigne du sérieux avec lequel elle dispense ses cours. Elle est à l'aise à la ville et au travail, investissant l'espace de manière optimale l'espace, selon la méthode apprise à l'IUFM.
● Particularités : Rien de spécial à signaler sur son corps. Elle a un regard semi-vairon, c'est à dire qu'une de ses iris est bicolore. Pas de tatouage, pas de piercing, aucune erreur de jeunesse à regarder. Ses préoccupations sont principalement orientées vers la guérison de sa fille. Après le départ d'Aaron, elle est la seule personne qui lui reste de proche. Ses parents étant décédés (enfin plus ou moins), sa famille la plus immédiate réside en Italie, et se compose simplement de son oncle. Désabusée par la trahison, elle ne croit en rien d'autre que la beauté de la littérature, et elle a transféré tous ses espoirs en sa fille. Il est donc logique que la plus grande peur de la jeune femme est d'être abandonnée, d'être à nouveau blessée par l'existence, au moment même où elle aurait envie d'y croire à nouveau. D'où ses sourires, son humeur joyeuse, qui construisent sa carapace contre ce genre de danger.
» Informations Générales
"Le roman est l'art de créer un homme, la biographie l'art de le ressusciter"
● Histoire : "Après tout qu'est-ce qu'une histoire, une biographie? Encore plus, qu'est-ce qu'une autobiographie? Philippe Lejeune définit le Pacte Autobiographique comme une sorte de complicité entre l'auteur et le lecteur. Un engagement qui implique une sincérité totale. Autrement dit, si j'écris mon autobiographie, je vais vous livrer mes moindres secrets, de ma plus grande gloire au plus infâme de mes défauts, jusqu'à mes petits secrets vicieux. Comme Montaigne dans ses Essais, je vais vous raconter à quel point il est agréable d'avoir un transit intestinal fluide. Comme Rousseau dans ses Confessions, je vais vous dire que je suis la seule qui me connaisse parfaitement, en profondeur, et cette connaissance de moi va me permettre d'enrichir votre connaissance sur l'homme. Et pourtant... Pourtant l'écriture du "je" a ses limites. Je ne vais pas tout vous dire, parce que d'une part on ne peut pas tout dire - et tout ne présente pas forcément un intérêt justifié - et d'autre part, j'ai aussi le souci montagnien du branle pérenne, et du défaut de mémoire. Comment parler de soi, comment porter un regard objectif sur ce que je suis alors même que ma subjectivité n'est absolument pas la même, si je m'analysais à l'âge tendre de la jeunesse, ou plutôt à l'âge de raison de la force de l'âge? Le "je" est une fiction, une projection du moi dans un monde de fantasmes. Je crois à l'autofiction plus qu'à l'autobiographie, sans pour autant évidemment me prétendre être Proust. Mais posez-vous la question : un écrit peut-il être tout à fait sincère, tout à fait exact?"
Ces mots blanchissaient avec frénésie la page blanche de la jeune femme. Cette réflexion lui était apparue, sans crier gare, pendant un moment d'égarement. C'est la conscience de la mort imminente, cette menace tacite et ineffable qui rôde sans cesse autour de l'homme. "Dès qu'un homme vient à la vie, il est assez vieux pour mourir", clamait Heidegger. Il faut laisser quelque chose pour la postérité, sinon le nom s'éteint et s'égare dans le vent comme autant de mots vains et de promesses vides. La cohérence de sa réflexion était chaotique. Elle regardait sa main coucher l'encre noire sur le papier immaculé, comme spectatrice de ce moment de folie. Mais qui donc pouvait s'intéresser à son histoire? Qu'avait-elle de plus? Non, elle se devait d'avoir un objectif, une visée, dans ce projet, sinon il resterait stérile. Raconter sa vie n'avait plus aucun sens aujourd'hui. N'importe qui pouvait le faire. N'importe quelle starlette de télé réalité, qui avait à peine trente ans, ou n'importe quelle idole des jeunes, à peine pubère. Sa main s'adoucit, elle remit de l'ordre dans ses idées.
"Quel roman que ma vie, écrivait Napoléon Ier. Voilà. Ma vie est un roman. A mi-chemin entre le roman réaliste, le roman d'analyse psychologique et le roman picaresque. Le cadre initial est celui du roman chevaleresque : je suis née dans un des derniers domaines rescapés des temps aristocratiques, sous la bonne étoile du comte D'Arcy. Je n'ai pas eu à bouger un doigt que les fées se sont empressées d'entourer mon berceau. Fille d'un comte et d'une mère professeur émérite à l'université de Cambridge, je baignais dans un milieu culturel qui ne pouvait augurer que le meilleur, pour mon éveil, ma scolarité, voire ma place au sein de la société, une fois les études accomplies.
Mon père est mort lorsque j'avais seize ans. Je passais alors le baccalauréat. Etrangement, j'eus l'impression de ne rien ressentir pour cet homme qui s'était fort peu préoccupé de moi, à part de mon succès aux études, en étant parfois draconien, punissant sans vergogne dès qu'une mauvaise note pointait le bout de son nez. La fatigue, la tristesse, les moments de passage à vide... Tout cela semblait ne pas l'atteindre. Jamais. Son regard bleu a toujours été froid. D'aussi loin que je me souviens, je ne suis jamais parvenue à lui arracher un éclat de fierté. Sans doute que, comme tous les autres pères de l'aristocratie moribonde, mon père était attristé de ne pas avoir eu un héritier de sexe masculin, d'où cette intransigeance et cette apparence glaciale. Toujours est-il que ma mère ma plaçât dans un internat catholique privé, durant mon année de terminale. Avec les premiers émois, les boutons qui poussent partout sur la figure, les moments de mise à mort sociale menaçants, la crainte de ne pas avoir le bac, je dus aussi faire face à mes premières visions. Enfin, j'appelle cela des visions... J'ai toujours cru que la maladie d'Alexiane avait été l'élément déclencheur, mais rétrospectivement, un autre évènement avait contribué à enclencher le gène mutagène. Ce n'était que du déjà-vu. Une odeur, un son, une situation que je croyais avoir rêvée...
Cela passait complètement inaperçu à l'époque. J'avais d'autre préoccupation que les mutants, de manière tout à fait égoïste. Je préférais passer mes examens et perdre ma vie sociale à m'enfermer des heures pour étudier la magie de la littérature française. J'adorais cela. Pour l'instant, mon histoire ressemble à un roman balzacien : une provinciale vient chercher à Paris gloire et fortune. Contrairement aux héros de Stendhal, j'y parvins. Le monde pour moi n'existait plus que dans les livres et mes yeux perdaient des dixièmes de visibilité à chaque concours blanc. L'amour se glissa dedans, et cette fois, c'est le roman nian nian d'analyse psychologique qui fait irruption dans ma vie, sans trop que je comprenne pourquoi. Je croyais échapper aux soupirs du coeur. J'allais être déçue."
La jeune femme reposa le stylo, le regard rêveur. Aaron était apparu, au milieu d'une soirée, un verre à la main, et un regard d'une tristesse qui suscitait la curiosité. Qui était-il, que faisait-il à cette soirée prodigieusement ennuyante, seul parmi la masse qui gigotait sur la piste de danse, à avaler des petits fours en gloussant, déjà plutôt bourrés? Pourquoi lui semblait-il que le monde s'était obscurci, et que lui seul pouvait lui apporter de la lumière? Elle aussi était seule. Alors elle s'était approchée. Ils avaient parlé, et ses mots résonnent encore aux oreilles de la jeune femme, mais avec le goût de l'amertume, désormais. Ils s'étaient aimés. Sincèrement. Avec flamme et passion. Et lorsque le test s'était avéré positif, cela lui avait semblé être le plus beau cadeau du monde.
Mais il lui semblait maintenant bien dérisoire d'avoir cru à l'amour en ces temps qui célébraient l'avènement des relations et mariages kleenex. Cela s'était dégradé, elle ne savait pas pourquoi. Enfin... Sur le coup, en tout cas. Il était tendu, désagréable, parano, ne s'occupait plus de sa fille. Puis, un jour, il était parti. Il était aussi paumé que ce que son premier regard lui avait confié, en réalité. Le roman tournait au vinaigre. La plume hésita une seconde. Elle tremblait. L'encre se fit assassine, dansant sous ses traits furieux, se pliant à l'impulsion sèche du poignet de la jeune femme. Mais sa rage ne servait qu'à masquer son impuissance et son amertume. Elle savait, inexorablement, qu'elle glissait vers le récit le plus sombre de son existence. La découverte de la maladie de sa fille. Celle de son gène mutagène. Le début des véritables ennuis. Parce que son salaire d'enseignante n'était finalement pas si reluisant que cela. Et qu'il lui avait fallu faire des tâches au noir. Pas forcément reluisantes non plus. Le traitement était si cher, si lourd... Mais son ange de lumière était tout ce qui lui restait.
Elle posa la plume, son regard se fixa au dehors, tandis que les réminiscences continuaient d'affluer. Son premier flash, déterminant. La compréhension qu'elle avait quelque chose de spécial. La fuite, ailleurs, là où l'espoir était permis. Le mensonge. Le soi-disant casier judiciaire vide, pour pouvoir intégrer l'université d'Achaea, le marché passé avec les autorités, qui acceptaient de fermer les yeux, si elle se mettait à leur service... Les crises de larmes, quand les rapports médicaux se faisaient pessimistes. Les moments de désespoir, où elle se sentait toute proche de la chute... Puis, les petits moments de bonheur, qui lui faisait oublier qu'elle était une mutante, asservie par intérêt, sacrifiée pour que vive une enfant innocente... Bienvenue en Amérique, Land of the Free, comme écrit dans la constitution... Mais au moins, Alexiane n'était plus en danger...
La flamme de la chandelle vacilla. La petite dormait dans la chambre à côté. La lèvre inférieure de Joyce trembla. La nuit était bien avancée. Et comme à chaque rentrée, que ce soit au lycée, ou en tant que prof, elle ne trouvait pas le sommeil. Mais pourquoi écrivait-elle de telles inepties? A quoi bon? Tout le monde l'oublierait, de toute évidence... Elle referma le stylo, puis chiffonna la feuille, qu'elle jeta dans la poubelle. ● Avatar : Mélanie Laurent ● Recyclage du Personnage : Non
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● Comment avez-vous connu le forum ? Demandez à Jaina =P ● Parrainage : Non, merci =) ● Un commentaire à faire passer aux administrateurs ? Tout va pour le mieux, superbe travail <3 ● Quelque chose à dire sur le forum ? Nope ● Quelles sont vos disponibilités ? Maintenant que la prépa est terminée, j'essaie d'être là le plus souvent possible =) ● Parlez-nous un peu de vous : Cf la fiche de Jaina D'Arcy, puisque ceci est son multinick =)
Dernière édition par Joyce H. D'Anceny le Jeu 12 Mai - 21:24, édité 3 fois
◊ Liam Winchester ◊
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Sujet: Re: Joyce H. D'Anceny Mer 11 Mai - 11:31
Bienvenue sur le forum !
Je sais que ta fiche n'est pas terminée, mais histoire qu'on ne rate pas ça lorsque ce sera bon, je te demande simplement de poster après moi lorsque ce sera bon. Sinon tu connais le topo, pour la moindre question, mes MPs sont là ou la CB aussi si jamais !
Bonne chance !
◊ Joyce H. D'Anceny ◊
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Sujet: Re: Joyce H. D'Anceny Ven 13 Mai - 12:04
Alors pas d'inquiétudes, tout est bon ! Le pouvoir est bien expliqué et loin d'être abusé, l'histoire résume bien tout en laissant une part de mystère, le caractère et le physique ciblent l'essentiel, bref, je n'ai rien à redire. Il y a juste un endroit dans l'histoire où tu as mis "D'Arcy" au lieu de "D'Anceny" mais l'habitude je pense, ce n’est pas gênant !
Je te valide donc avec plaisir ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé, et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite je m'occupe de tout te recenser, toi tu peux te chercher des partenaires de RP, tu connais le topo, pas la peine que je te ré-explique tout je pense, de toute manière on est disponible si jamais !
(Re) Bon jeu sur Apocalypto !
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