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{* Alec Ross

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AuteurMessage
۞ Mutant Neutre ۞

Alec Ross

Alec Ross
۞ Mutant Neutre ۞

◊ Nombre de Messages : 137
◊ Nombre de Messages RP : 10
◊ Age : 32
◊ Informations : .
{* Fiche d'Alec Ross
{* Relations & Sujets
{* Dossier Personnel
{* Journal d'Alec [Not Yet Aviable]
{* 1150 Riverdale, appartement d'Alec
{* Missions

◊ Age du Personnage : 26 ans
◊ Pouvoirs / Armes : Aura d'influence négative


Informations

» Métier
: STF (sans travail fixe)

» Statut RP
: Ouvert

» Particularités
:

{* Alec Ross Vide
MessageSujet: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyMer 17 Aoû - 18:20







Nom, Prénom, (Prénom)

« Nom : Ross
« Prénom(s) : Alec Lazarus
« Sexe : homme
« Âge : 26 ans
« Origine Génétique : mutant
« Origine Géographique : Allemand
« Métier : STF (sans travail fixe) accepte tout les petits boulot qui passent.
« Date de Naissance : 15 novembre 1999
« Lieu de Naissance : Munich, Allemagne
« Orientation : hétérosexuel
Description Physique

Je ne m'étendrais pas trop là dessus, car de toute façon, pour moi en tout cas, le physique n'a pas d'importance. Les histoires de mannequins et de mode m'ont toujours donné des migraines, alors...

De manière générale, j'ai toujours été d'assez grande taille, sans être un géant, mais assez pour bien y voir dans une foule, si vous voyez ce que je veux dire. Mes cheveux sont brun-roux clair et lisses, et le plus clair du temps, pas vraiment en ordre sur ma tête. Ce sont eux qui gagnent sur le peigne le matin ! Je ne les coupe que rarement, premièrement parce que j'ai rarement le temps de penser à ce genre de détails, deuxièmement parce que changer d'apparence est plus facile avec les cheveux longs, quand on tente de vivre sans réelle identité. Du coup, ils sont plus souvent qu'autrement mi-longs, quoi que sujets au changement. Sinon, j'ai le sourire de mon père, à ce qu'il parait, avec les pommettes hautes et les rides aux coins des lèvres. Mais tout le monde s'en fout et personne n'est là pour s'en rappeler, même pas moi, alors je ne sais même pas pourquoi je raconte ça... Quoi d'autre? J'ai les yeux gris-verts, assez clairs. J'ai souvent eu des commentaires positifs les concernant, mais comme avec moi à chaque tentative de rapprochement on se prend un râteau...

Je suis habitué à la dure, même si je suis très loin d'être culturiste, et je n'ai pas peur de travailler ou d'en découdre avec n'importe qui. Quoi qu'il y a probablement un gros problème de témérité là dedans... Les gens ne me remarquent souvent pas ou ne sont guère impressionnés en me voyant pour la première fois, du haut de mes 1m80 et de mes 46 kg. D'autant plus que je suis d'apparence assez banale, sans apparat ou signes particulièrement distinctifs. D'ailleurs, plusieurs s'étonnent en me voyant faire tous ces petits boulots de bras, par-ci par là, et encore plus quand je réussis à me dégoter une place de videur dans un bar. C'est ce qu'il y a de plus payant, dans mon style de vie, car même si je n'ai rien d'un Arnold Schwarzenegger, je sais me défendre et faire comprendre ma façon de penser. J'ai appris à coup de poing et de gueule. J'en ai bavé. J'en baverais encore, d'autant plus que les humains sont généralement peu porter à aimer les mutants. Mais croyez moi, ce ne sera pas sans en faire baver en retour.

Habillement... ça dépend des jours. J'aime particulièrement tout ce qui est plus pratique pour bouger, travailler ou devoir répondre au quart de tour. Je suis toujours sur le qui vive, près à foutre le camp, alors aussi bien être habillé en conséquence, non? Donc je suis loin du veston cravate. Seul élément que j'apprécie, c'est ce chapeau que je traine avec moi depuis trop longtemps maintenant que je ne me souviens plus exactement quand. Il est tout noir et assez simple, un peu trop chic pour moi, il faut le dire, mais ce n’est pas comme si j'en ai quelque chose à cirer. Pour tout le reste... Y a qu’à me regarder pour savoir.
Description Mentale

On peut à raison me qualifier d'associable. Je n'ai rien d'un boyscout ou du type sympa d'à coté. En fait, d'ordinaire, j'évite les contacts avec les autres, quitte à les fuir ou à être hostile avec les gens. C'est un choix, mais aussi une obligation. Mon pouvoir, ma malédiction, touche tous ceux qui entrent dans la zone d'action de mon aura. Et pour rien au monde je ne voudrais laisser quelqu'un y entrer trop longtemps. Lier des liens d'amitié, faire connaissance, faire partie d'un groupe, rester longtemps à un endroit ou pire encore, tomber amoureux, sont des choses que j'ai banni de ma vie car elles impliquent toutes que des gens entrent fréquemment en contact avec moi, et donc de mon aura, ce qui les met en danger. Et je refuse de mettre la vie des gens en danger, mutant ou non, ça n'a aucune importance.

Parlant de ce situation justement, entre les mutants, dont je fais partie, et les humains. Je me suis fait jouer par l'un comme par l'autre, et j'ai compris il y a longtemps que je ne pouvais compter que sur moi même. Je dois tout de même avouer que j'ai une plus grande animosité envers les humains, pour la simple et bonne raison qu'ils me donnent plus souvent qu'autrement la vie dure. Également, je ne crois pas qu'un ou l'autre ait raison dans cette histoire de conflits. Et même si cela serait le cas, que voulez-vous que j'y change? Je n'ai pas envie de le savoir, de toute façon. Ce qui m'intéresse c'est de savoir où je suis maintenant et peut-être où je vais être demain. Je survis, un point c'est tout à ce monde d’oppression et de discrimination, et particulièrement à moi même. J'ai déjà assez à gérer avec ma propre personne qui est un danger publique pour ne pas avoir à aller foutre le bordel ailleurs.

Je suis un éternel solitaire, et du coup, j'ai un sens de la débrouillardise assez développé. J'ai toujours été seul, sans pouvoir compter sur personne, et j'ai appris tout ce que je sais par moi même. J'ai terminé l'école primaire mais je n'ai pas poursuivi mes études supérieures. Sans parents ou tuteurs, j'ai enchainé petits boulots sur petits boulots, changeant de ville ou de logement plus souvent que je changeais de vêtements, vivant sans port d'attache, sans personne pour m'attendre ou m'espérer... Et c'est encore ainsi que je vis. Ce mode de vie me convient parfaitement. Dune part, il me permet de ne jamais créer de liens avec personne. D'autre part, il me permet que d'éviter plus facilement les Chasseurs et autres membres des forces militaires qui en ont après mon gène mutant. Ils ne me mettront pas leurs saleté de puce sous la peau, pas tant que je serais vivant. Ma liberté, j'y tiens, et ce truc signerait ma condamnation. Je déteste la perspective d'être un numéro. Et avec cette puce, on vous codifie comme des animaux, on vous classe, vous suit pas à pas... Avec ce truc en nous, on ne devient rien de plus qu'un simple cobaye dans un parc d'attraction grandeur nature pour des cinglés de scientifiques et gens du gouvernement.

Je n'aime pas particulièrement la violence, du moins quand c'est moi qui suis impliqué. Que les autres fassent ce qu'ils veulent, c'est pas à moi de jouer au super héros ou à la mère Thérèse. Non mais... vous avez vu ma tête, j'ai l'air d'une religieuse peut-être? Personne ne s'inquiète pour moi ou ne prend soin de moi, et je ne m'occupe de personne. C'est très bien comme ça. Cependant, si on me demande vraiment mon avis, je déteste les actes de violences gratuits. Mais enfin... je suis assez contradictoire, entre l'envie de sauter à la gorge du premier militaire venu et celle de lui demander la paix, alors je préfère m'abstenir et me tenir loin de tout ça. De toute façon, vous l'aurez compris, les relations humaines ne sont pas vraiment ma tasse de thé.

Pour changer de sujet, si j'ai à me décrire, je dois dire que j'ai mauvais caractère. Je n'ai pas la patience d'un ange, loin de là, et j'ai une petite tendance vers le colérique. Juste un peu... Quand on m'aborde, c'est tout le contraire de l'accueil avec ballons et confettis. Je suis passé maitre dans l'art du sarcasme et de la répartie à tout casser pour faire prendre des râteaux aux gens et les envoyez balader plus loin pour leur faire passer le gout de revenir me voir. Je ne mâche pas mes mots et suis assez direct. Je déteste tourner autour du pot. Normalement, le tout a deux effets distincts lors de mes échanges. Soit, un, le type repart dans son coin et je ne le revois jamais, soit, deux - ce qui arrive plus souvent qu'autrement, vu l'effet que mon aura à sur les gens - la situation tourne au vinaigre et ça ce termine à coup de poings. De là ma réputation de gars pas fréquentable.

À part survivre, ma principale occupation est de protéger les autres de moi même. On pourrait croire que je me fous du monde entier, mais ce n'est qu'un masque. Je le porte depuis tellement longtemps qu'il me colle au visage, comme une deuxième peau. Parfois je m'y perds, ne sachant plus très bien laquelle des peaux est réellement la mienne. Mais peut-être, qu'au fond, tout cela n'est qu'illusion que les deux peaux n'en forme qu'une seule et unique... Je me suis juré de ne jamais laisser quelqu'un être assez longtemps avec moi pour atteindre l'effet final de mon aura. Plus jamais, quelqu'un ne mourra à cause de moi, qu'il soit bon ou mauvais. Qui suis-je pour juger du bien ou du mal, hein? Je ne crois pas que quelqu'un soit en mesure de le faire, alors certainement pas moi. Le poids de cette vie perdue et du mal que j'ai fait pèse sur mes épaules, et le chien errant que je suis ne vaut pas vraiment mieux que de tenir cette promesse. C'est ce que je m'applique à faire, jour après jour, quitte à vivre comme un fantôme.
Particularités

J'ai plusieurs cicatrices sur le corps, dues à diverses causes, quoi que principalement causées lors de bagarres ou autres trucs du genre. D'ordinaire, elles ne sont pas vraiment apparentes puisqu'elles sont principalement situées sur mon dos et mes jambes. Cependant, je n'arrive pas toujours à dissimuler celles qui marquent mes bras. J'ai une légère cicatrice sur le bord de l'œil droit, et une sur le haut de ma lèvre supérieur gauche, mais elles ne paraissent pas vraiment.

J'aime le grand air et la nature, mais j'ai rarement l'occasion d'y aller, puisque mon mode de vie de trimballe d'une ville à l'autre. Du coup, j'ai passé ma vie sur une route d'asphalte et deux murs de béton! Génial le tableau, non?

J’ai aussi oublié de préciser quelque part que je suis la malchance incarnée. Non seulement à cause de mon aura qui propage le malheur autour de moi, mais parce qu'on dirait que je suis un aimant à emmerdements. S'il y a une malchance à tomber sur quelqu'un dans un rayon de 10 kilomètres, c'est sur moi que ça tombe. Vous ne vous imaginez pas toutes les situations impossibles qui peuvent me tomber dessus en une seule journée. À croire que j'ai un don pour me foutre dans les pires positions possibles...

Ah oui, autres détails inutiles, je ne bois pas mais je fume de temps à autre, ça me passe les nerfs. Je parle également quatre langue. Mes deux langues maternelles sont l'anglais et l'allemand, mais je parle assez bien français et me débrouille en espagnol. J'ai toujours eu une facilité pour apprendre les langues. Aussi, dans les seuls trucs que je possède, il y a ma vieille guitare folk acoustique ainsi que mon harmonica qui me viennent de mes parents. Ils ne me servent pas de bibelots, rassurez vous, je sais en jouer.
Groupe et Pouvoir

« Groupe : Mutants neutres
« Raisons : Je n'ai jamais cru en personne. Ceux qui se battent pour des causes aussi perdues que faire entendre raison à l'humanité y laisseront leurs vies sans rien y gagner. J'ai toujours été seul et je me suis toujours débrouillé sans avoir besoin de qui que ce soit, mutant ou pas. Pour moi, cela ne fait aucune différence. Les deux m'ont déjà fait du mal, de toute façon. La seule chose qui différencie l'un de l'autre est que les mutants extrémistes me courent après pour me rallier à eux et que les humains me courent après pour m'implanter l'une de leur saleté de puce électronique dans le corps. Dans un cas comme dans l'autre, ça n'arrivera pas.

Je ne laisse personne m'approcher, je n'ai aucun port d'attache, on me catégorise de SDF (sans domicile fixe) et de STF (sans travail fixe) avec raison... et c'est comme ca depuis que je suis petit. C'est mon style de vie. La nature m'a donné un pouvoir, un "don", comme certains se plaisent à appeler, même si pour moi, elle porte le nom de "malédiction". Cette malédiction fait partie de moi, je n'y peux rien et personne d'autre non plus d'ailleurs. Aussi bien vous y faire, moi je m'y suis fait il y a longtemps. Et de toute façon, ce n'est pas comme si j'étais quelqu'un de social, disons... Encore, si j'avais le choix!

Je ne vis que pour moi même, comme je l'ai dit, et seuls mes intérêts et ma survie comptent. Les autres, je m'en fous, ca ne compte pas. Non... en fait c'est faux. Si je vis cette vie de nomade anonyme, c'est loin d'être par plaisir ou par intérêt personnel. Quel avantage y a-t-il de toute façon à dormir un soir dans une chambre d'hôtel miteuse et l'autre dans une ruelle? Aucun. Aucun du moins, pour probablement tout le monde sur terre à part moi, pour deux raisons. De une, n'avoir jamais d'adresse et ne jamais rester bien longtemps au même endroit à ses avantages, soit que les chiens du gouvernement n'ont pas encore réussi à me mettre la patte dessus pour m'implanter leurs satanée puce. De deux, et c'est là que ça se complique... être froid et indifférent n'est pas vraiment ma nature, même si j'ai mauvais caractère à la base, mais est un mécanisme de défense... pour les autres. Tous ces idiots qui viennent près de moi pour me parler ou pour peu importe quelle autre connerie, ne savent pas à quel point ils se mettent dans la merde. À croire que personne sur ce foutu continent n'ait le moindre brin d'instinct de survie! Alors je dois faire le sale boulot à leur place. Dissuader les gens de m'approcher en exploitant mon mauvais caractère et mon coté solitaire est la meilleure façon que j'ai trouver pour y arriver! Et vu mon tempérament, à la base, je dois malheureusement avouer que c'est un rôle assez facile à endosser.

« Pouvoir(s) : influence négative
« Description : Mon pouvoir est celui d'une malédiction. Je n'ai jamais vraiment eu de suivi médical, alors autant prévenir que je n'ai jamais eu personne pour me dire comment toutes ces foutues histoires de génétique et de mutations marchaient. Encore, si j'avais un pouvoir facile à expliquer ou à comprendre, ça m'aiderait! Bah... vous vous contenterez de mes explications, de toute façon, ce sont les seules que je peux donner.

Mon pouvoir c'est mon aura. Une aura mauvaise. Je suis la malchance incarnée! Il agit un peu comme ceux qui sont empathiques... mais à l'envers. Toute personne qui entrent dans la périphérie de mon aura est affectée. Plus les gens sont loin, moins ils sont touchés. Plus ils sont près, plus les effets sont grands et rapides. Au plus loin que j'ai pu constaté, mon aura fait effet dans les 3 mètres en périphérie autour de moi, et les dégâts vraiment sérieux commencent quand quelqu'un s'approche à moins d'un mètre. C'est carrément le bordel quand on me touche. Également, plus ma présence est prolongée près d'une personne (la fréquence peut variée) ou dans un endroit particulier, plus les effets de mon aura sont importants.

Parlant de ces effets... Instantanément, ils sont différents pour chaque personne, tout dépendant du caractère de chacun, à ce que j'ai pu constater. Certains ressentent un profond malaise mental ou physique, d'autres voient leurs émotions chamboulées et sont ainsi pris d'une peur panique, d'une colère sourde et inexpliquée, ou leurs mauvais souvenirs refont surface et le mal les prend. Peu importe, au final, puisque toujours les effets sont négatifs et fonts en sorte que les gens se sentent mal, sans réelle raison, et sortent de leur état normal.

Ces effets s'amplifient, avec le temps et la proximité, pour devenir un bourdonnement de malaise. En de rares fois, j'ai expérimenté ce qui se passe lorsque la situation se prolonge au delà de ce stade. Au bout de quelques jours, la douleur et le trouble mental devient physique, puis la personne concerné tombe malade, comme empoisonnée de l'intérieur. Une fois seulement, je me suis rendu au bout des effets de mon pouvoir. Après être tombée malade, la personne qui reste en contact avec moi finit petit à petit par en mourir. Cela s'est échelonné sur plusieurs années, pour l'unique fois où c'est arrivé, et à l'époque, je n'étais encore qu'un gosse. Mes pouvoirs ont augmenté depuis, et peut-être que les effets seraient encore plus rapides aujourd'hui, pour ce rendre à cet ultime point, mais je n'ai aucune envie de tester.

Il est rare que les gens n'associent pas leurs malaises à ma présence. Les gens se rendent comptent qu'ils ne sont pas dans leur état normal et que le tout est relier à ma personne. Et avec la méfiance des humains envers les mutants, les gens ne tardent pas à découvrir ma nature, à mon désavantage... et mon avantage à la fois, puisque du coup, les gens ont peu envie de venir vers moi. Je n'ai vue que deux personnes qui ont combattu les effets de mon aura. La première était ma mère, et probablement à cause de l'amour qu'elle me portait, elle n'a jamais ressentit d'animosité à mon égard. Cependant, elle est tomber malade... et en est morte. La deuxième était une mutante, comme moi, qui avait un pouvoir de réverbération des attaques mentales. Elle n'a pas vraiment eu d'effet suite à l'exposition de mon aura, mais elle est morte trop tôt après m'avoir rencontrer pour dire si à long terme, son pouvoir aurait continuer d'annuler le mien. Je crois donc pouvoir dire que les effets peuvent tenter d'être contrôler par les autres, même si je n'ai jamais prit contacte avec d'autres personnes assez longtemps pour pouvoir être certain. En fait, quelqu'un de fort psychologiquement ou qui a un pouvoir de protection personnel pourrait surement réussi à résister d'avantage à mon aura que la majorité des gens. Qui sais, peut-être totalement... mais j'ai peu d'espoir de rencontrer quelqu'un avec qui je pourrais être sans lui faire de mal ou sans modifier son caractère.

En ce qui concerne ma maîtrise de ma malédiction et bien... elle reste minime. C'est aussi le plus gros malus de mon pouvoir. J'ai remarqué que les effets de mon aura augmentaient lorsque j'ai des émotions négatives. Et ça devient assez dangereux lorsqu'elles sont fortes, puisque les effets s'amplifient et vont plus rapidement. Mon contrôle sur mon aura est donc uniquement fait par la maitrise de mes émotions. Plus je suis impassible, moins les radiations de mon aura sont fortes. Cependant, il m'est impossible de la résorber complètement, de choisir qui sera touché ou non, ou encore de jouer avec la périphérie de mon aura. Lorsque j'étais gamin, je faisais n'importe quoi et mon pouvoir était toujours au maximum, 24h sur 24. Aujourd'hui, j'ai appris à me maîtriser moi même, et les choses vont mieux. Mais j'ai beau dire, je ne contrôle pas vraiment mon pouvoir. Et si vous voulez mon avis, cette malédiction est là pour rester, personne n'y peut rien, même pas moi. Je suis comme ca, un point c'est tout.
Histoire

« Je m'appelle Alec Ross. Mon nom complet est Alec Lazarus Ross, mais je n'utilise jamais mon deuxième prénom, qui est celui de mon père. Pourquoi? Parce que je ne l'ai jamais vraiment connu et parce que je n'aime pas l'idée de porter l'identité de quelqu'un d'autre. Alors, appelez moi simplement Alec, Alec Ross. »

    {* 15 novembre 1999, Munich, Allemagne.


« Je suis né en Allemagne, à Munich. La journée de ma naissance, le 15 novembre, avait été attendu avec espérance et bonheur. Une parfaite histoire d'amour se dénouait sur un évènement heureux, digne d'un mauvais film romantique américain. Et oui, mon histoire commence là où se termine une histoire de bonheur trop parfait! Seulement, la perfection n'est pas de ce monde.

Mon père était Allemand. Il se nommait Lazarus Ross et travaillait aux yeux de tous comme pharmacien dans mon quartier d'origine. En réalité, il était porteur du gène mutant et correspondait avec des membres d'une organisation du front de libération des mutants en Amérique, là où les choses allaient plus mal pour les mutant que partout ailleurs dans le monde. Il correspondait avec eux depuis longtemps déjà, au vu des fragments de papiers et de lettres que j'ai trouver après sa mort. Cependant, je ne sais pas exactement le rôle qu'il jouait dans tout ça, ni qui étaient vraiment les gens ou le groupe de libération des mutants avec lequel il faisait affaire.

Ma mère, elle, était américaine. Elle était la correspondante principale de mon père, en terrain américain. Elle se nommait Jessie-Bell Walker. Elle n'était pas mutante mais défendait leur cause depuis bon nombres d'années déjà, à ce que j'ai pu comprendre. Je ne sais pas très bien non plus avec quelle organisation elle était affiliée, ou même si les actions de son groupe étaient pacifistes ou agressives. Mais peu importe, l'histoire d'amour entre mes parents débute là, lors de cette correspondance. Ils ne s'étaient pas encore vu qu'ils étaient amoureux l'un de l'autre.

Quelque chose a dû se passer, vers 1996, un événement important, un problème, peu importe, puisque ma mère décida de quitter son pays pour rejoindre mon père en Allemagne. Ou peut-être, tout simplement, que ma mère a décidé de venir rejoindre mon père pour vivre avec lui, sans qu'il ne risque trop sa peau en venant, lui, s'installer en Amérique. En Allemagne, malgré le fait que les mutants ne soient pas acceptés, comme partout ailleurs, la vie était plus facile et les grands courants d'agressivité, d'oppression et de discrimination que connaissaient les mutant en Amérique n'étaient pas encore d'actualité. C'était donc un lieu plus calme, prospère à la vie du couple qu'ils formaient et à l'avenir qu'ils envisageaient. À l'enfant, surtout qui ne tarda pas à arriver.

C'est à peu près tout ce que je connais sur l'histoire et le passé de mes parents. J'étais trop jeune lorsqu'ils sont morts pour en connaître d'avantage d'autant plus qu'ils ne m'ont jamais parlé de leurs activités reliées aux conflits humain/mutant. Tout ce que je sais, je le tiens de documents partiels et codés que j'ai trouvé dans notre demeure après leur mort, juste avant que les autorités ne viennent tout saisir. Mais ça, ça c'est passé beaucoup plus tard. »

    {* 2003, Los Angeles, Californie


« J'avais 4 ans lorsque nous avons déménagé en Californie, précisément dans le centre ville de Los Angeles. Mes souvenirs passés, en Allemagne, sont pratiquement inexistants. Un flash, une sensation, une odeur... Mais rien pour vraiment me faire office de souvenirs. J'étais trop jeune. La langue par contre, je m'en souviens. J'ai été bilingue avant de savoir écrire, puisque mes parents parlaient autant anglais qu'allemand à la maison, même après notre déménagement. J'ai donc toujours été doué pour les langues, et je parle toujours ces deux langues à titre de langues maternelles.

À notre arrivée en Amérique, ça je m'en souviens bien, nous avons dû passer un test de dépistage du génome mutant, en arrivant aux douanes de l'aéroport. Mes parents savaient que je portais ce gène en moi, mais comme les mesures allemandes étaient beaucoup moins rigoureuses qu'en Amérique, aucun spécialiste ne m'avait encore vu jusqu'à ce jour. La procédure fut rapide, mais marquante. On étampa un marquage spécial dans mon passeport, ainsi que dans celui de mon père, également identifié comme mutant. Puis on avait été transféré dans un bureau isolé où nous fûmes soumis à une identification particulière servant au « recensement » des mutants. Mes origines, aux yeux du gouvernement, ne sont donc pas un secret. Seulement, et heureusement pour moi, le système de puçage n'entra en vigueur que bien des années plus tard, en 2022, et jusqu'à ce jour, j'ai réussi à échapper aux griffes de ce système. Ce n'est pas demain la veille que je les laisserais m'implanter leur truc électronique sous la peau, c'est garanti...

Mes parents avaient loué un petit appartement, au dessus d'une boulangerie. L'endroit était, du moins dans mon souvenir, très éclairé et spacieux. Trop spacieux. J'ai toujours trouver cet appartement vide. Mais peur-être est-ce seulement une fausse impression due à la froideur qui régnait dans ce lieu, puisque je me souviens que mes parents possédaient un tas de vieux meubles en bois rapportés d'Allemagne.

Les problèmes commencèrent peu de temps après notre arrivée. Mon pouvoir, classé dans la catégorie des « mentaux », ne s'était pas vraiment manifesté jusque là. À de rares occasions seulement, mes parents m'ont raconter, mon pouvoir s'était manifesté avant mes 4 ans. J'avais fait fuir tous les gens qui se trouvaient dans un lieu public lorsque je m'étais mis à pleurer, comme tous les bébés le font, par exemple. Mais sans plus. Mon pouvoir sembla se développer grandement lors de ma quatrième année, qui concorde avec notre arrivée en Californie. Les évènements étranges autour de moi commencèrent à se produire. La malchance ne tombait jamais loin, les animaux grognaient en ma présence, les gens étaient de mauvaise humeur aussitôt qu'il me voyait et sans aucune raison, perdaient patience avec moi ou se mettaient en colère... Mais le pire, c'était à la maison, là où j'étais en permanence.

L'animosité qui semblait prendre toute les personnes qui s'approchait de moi avait gagner mes parents de façon permanente. Ils se disputaient sans arrêt, se criant dessus comme je ne les avais encore jamais vu le faire avant, eux qui étaient si calmes, amoureux et aimants. Envers moi aussi, leur comportement changea. Si ma mère semblait incapable, malgré l'influence de ma présence, de me détester, il en était tout autrement pour mon père. Pour une raison X, il commença à me haïr. Chaque fois qu'il posait son regard sur moi, c'était un regard de reproche ou de dégout. Il avait changer. Les choses ne firent qu'empirer, puisque ma mère tomba vite malade.

La maladie de ma mère reste un parfait mystère. Aucun médecin ne sut dire de quoi elle souffrait, ni pourquoi elle semblait être « empoisonnée » de l'intérieur. Du coup, et à raison, les regards s'étaient tournés vers moi. Sans avoir besoin d'une grande expertise, on pouvait maintenant facilement deviner que mon pouvoir était en rapport avec tous ces malaises que les gens ressentaient en ma présence. Alors la maladie de ma mère s'expliquait ainsi : une trop grande exposition à mon aura. Mon père, qui malgré tout était éperdument amoureux de ma mère, voulut m'éloigner d'elle. Seulement, ma mère lui fit comprendre que jamais elle ne laisserait faire une chose pareille. Mais sa maladie empira, et la haine de mon père envers moi aussi. Ce calvaire dura 2 ans. »

    {* 2005, Los Angeles, Californie


« À leur arrivée à Los Angeles, mes parents avaient repris de l'activité auprès du groupe de résistants dont ma mère avait fait partie, plusieurs années plus tôt. Mais à cause de la maladie de ma mère, qui la clouait maintenant au lit, seul mon père y participait. Il était de plus en plus souvent parti, ne supportant plus la vision de sa femme trop malade, ou ne supportant plus ma présence. Il n'était plus du tout l'homme qui avait été mon père. C'était devenu un étranger. Un homme qui ne m'aimait pas et qui me faisait peur, mais auprès duquel je tentais toujours de paraitre le mieux possible. J'aurais tellement aimé que tout redevienne comme avant. Mais j'étais trop jeune pour comprendre vraiment ce qui se passait.

Un jour, alors qu'il devait rentrer à la maison cet après midi là, il ne revint pas. Il ne revint jamais. Un homme qui m'était inconnu et que je n'ai vu qu'une fois, ce soir là, vint cogner à la porte. Il me demanda de parler à ma mère et je l'y conduisis, mal à l'aise. Ma mère, en voyant l'homme arriver, devint livide et me demanda alors de les laisser seuls un moment. Je m'assis donc en tailleur au milieu du salon, une boule d'angoisse dans la gorge, à fixer la porte close de la chambre de ma mère. Je restais là longtemps. Je savais que quelque chose n'allait pas. Je n'entendis pas ma mère pleurer. Je ne l'entendit pas non plus crier, puisqu'elle se tut. La nuit était tombée depuis un moment et je n'avais pas ouvert une seule lumière dans l'appartement lorsque l'homme ressortit de la chambre. Je n'avais toujours pas bougé. Il m'adressa un signe de tête et un sourire maladroit, compatissant, et s'en alla. Tremblant, j'étais allé rejoindre ma mère.

J'avais 6 ans lorsque mon père est mort, abattu par un militaire humain sous prétexte d'être devenu un mutant dangereux et agressif. On avait tenté de l'arrêter pour avoir refuser d'obtempérer et l'avait abattu puisqu'il n'avait pas voulu coopérer et avait agressé un membre des forces de l'ordre, à ce que j'ai su. La nouvelle me blessa autant qu'elle me laissa indifférent. L'homme qui était mort n'était plus mon père. Mais je pleurais pour l'espoir de le retrouver un jour qui venait de s'éteindre. »

    {* 2006, Los Angeles, Californie


« J'ai tout essayé J'ai eu beau tout faire ce qui était en mon pouvoir de gamin, à l'époque, veiller sur elle jour et nuit, rien n'y fit. Le 24 octobre 2006, ma mère, Jessie-Bell Walker, mourut à l'age de 38 ans des suites d'une maladie inconnue et mystérieuse, causée par ma présence, près d'un an après la mort de son mari. C'est à sa mort que je compris toute la gravité de mon pouvoir, ainsi que ma responsabilité dans la déflagration de ma famille et la mort de ma mère. Je m'en voulus à vouloir m'en laisser mourir. J'avais 7 ans. Aujourd'hui encore, je m'en veux. Plus qu'on ne peut en vouloir à personne.

Lorsque ma mère est morte, j'ai eu accès au bureau de mon père. J'y trouvais des lettres, papiers et autres documents concernant leurs activités pour le front de libération des mutants. Les informations étaient trop morcelées, codifiées, et mon esprit de gosse était encore trop sous le choc de la mort de ma mère pour bien comprendre. Je ne me souviens pas avoir lu le moindre nom d'organisme dans ces documents. Tout était coder. Seulement des rapports de missions, des correspondances ou de lieux de rendez-vous qui confirmait le fait que mes parents travaillaient dans le secret pour la cause des mutants. Mais ma connaissance de leur rôle ou de leurs réelles activités s'arrête là. Et ce n'est pas comme si j'avais encore ses documents sous la main ou comme si j'avais eu le temps de les lire attentivement. Deux jours après la mort de ma mère, des types sont venus dans notre appartement et ont saisi tous les documents en plus de la quasi totalité des biens de mes parents. Quant à moi, on me confia à un orphelinat. Je ne retournais jamais dans cet appartement de Los Angeles.

On me plaça, quelques semaines plus tard, dans une famille d'accueil. J'y resta jusqu'à la fin de mes études primaires. C'était des gens calculateurs, qui prenaient des enfants orphelins uniquement pour toucher l'argent du gouvernement et des héritages. Autant dire que lorsque je suis partis de chez eux, l'héritage de mes parents était presque épuisé... Ils n'avaient pas prévu tomber sur un mutant orphelin. La somme généreuse de mon héritage les fit cependant accepter de me prendre sous leur ailes. J'aurais préférer qu'ils n'acceptent pas... Ils étaient froid et distant, autoritaire, n'aimaient pas les enfants ni les mutants. Leur maison n'était qu'un endroit où vivre, rien de plus. À 12 ans, je commença à m'éloigner d'eux, soit après mes études primaires. Je passa la majorité de mon collège à l'extérieur de la maison, m'éloignant de plus en plus de ma famille d'accueil. Je quitta l'école lors de ma deuxième année de lycée, à 15 ans. L'atmosphère était devenu insoutenable à la maison, je n'avais pas d'ambition d'étude, et je n'avais qu'une envie : partir loin de cette ville. Au grand plaisir de mes responsables avec qui je n'avais tissé aucun lien proche, et à qui je causais plus d'ennuis qu'autre chose, je partis. Jamais personne ne me poursuivit, personne ne chercha à savoir si j'allais bien ou non.

Ma mère m'avais dit une chose avant de mourir : « Promet moi de vivre, Alec. » Et c'est ce que je fis. En fait, pas totalement. Je survis. »

    {* Octobre 2021, Truckee, Californie


« Qu'est-ce que peut devenir un gosse de 15 ans, qui se retrouve seul,sans logis, sans parents ou tuteurs, complètement livré à lui même? Vous m'avez devant vous. En quittant mon foyer d'accueil, je n'avait que les vêtements que je portais, la guitare de mon père, l'harmonica de ma mère et mes souvenirs. L'argent qui me restait de l'héritage de mes parents – en majeure partie envoler en fumée à cause des mes tuteurs – me servit au début pour manger et m'abriter. Mais très vite, ces fonds furent épuisé et je m'arrangea pour trouver de quoi vivre. Je suis resté très peu matériel, et je ne possède aujourd'hui que quelques effets personnels de plus qu'à l'époque. Depuis cet age, je vais d'un travail à l'autre, d'un lieu d'habitation à un autre, sans jamais vraiment m'attarder à un endroit précis. J'avais compris que je ne recevrais l'aide de personne et que je ne pouvais que compter sur moi même. Je devins donc le type débrouillard, solitaire et complètement neutre que je suis aujourd'hui. J'avais également compris quel était réellement mon pouvoir, à mon grand malheur, et tout ce qu'il pouvait entrainer. Une vie de bohème, sans domicile fixe et sans relations m'étais donc apparue comme le choix le plus logique et pratique à adopter.

Rien ne sert d'expliquer tout ce qui m'est arrivé durant toutes ces années de bohème incessante. Ça revient du pareille au même : petit boulot, louer une chambre ou un appartement, être pris dans une emmerde ou une bagarre, se faire virer, changer de ville, se retrouver un autre petit boulot... J'ai eu la vie dure, mais je ne m'en plains pas. J'ai appris la vie et la réalité par moi même, et si je n'avais pas vécu tout cela, je ne serais pas l'homme endurci que je suis aujourd'hui. C'est juste si je ne suis pas devenu insensible à ce qui se passe autour de moi.

Enfin bref, la vie étant ce qu'elle est de nos jours, je finis par atterrir dans une petite ville du nord-est de la Californie nommée Truckee, non loin de la frontière du Nevada. J'étais alors âgé de 22 ans. Depuis un peu plus d'un an, je tentais de me trouver des boulots de videurs de bars dans les villes où j'allais. Pour un métier assez bien payé, pour lequel on ne vous pose pas beaucoup de question et où on ne reste pas trop longtemps, c'est l'idéal. J'avais trouvé mon compte à Truckee, dans un bar appelé le « Blue Coyote Bar ». Assez creux comme trou, assez mal fréquenté aussi, j'avais du boulot sur les bras presque chaque soir. C'est là que j'y ai fait la connaissance de Serah Sawyer.

C'était une fille assez ordinaire qu'on ne s'attendait pas à rencontrer dans un bar comme celui où je travaillait. Et pourtant. Elle était entrée, se foutant des regard surpris ou pervers des saoulons habituels du « Blue Coyote », s'était assise au bar et avait commandé un double Whisky qu'elle avait avalé d'une traite. Au bout d'un moment, un grand type – plus gros que grand en fait – s'était lever et était aller l'aborder. J'étais trop loin pour entendre leur échange, mais je pu voir le sourire pervers sur le visage du soulard ainsi que sa main glisser délibérément vers les fesses de la nouvelle venue... Après lui avoir rétorquer un truc quelconque que qui le cloua sur place, elle s'était simplement détourner vers le bar et avait commander un nouveau Whisky. Le gros type n'avait pourtant pas l'intention d'en rester là et, prit d'un accès de colère et d'humiliation – peut-être dû à ses compagnons de beuverie complètement hilares un peu plus loin - attrapa la jeune femme par le bras et la força à lui faire face.

« Lâche moi tout de suite. »
« Du calme ma jolie, t'as pas envie de venir boire un verre avec nous? »
« Je crois que non, alors on va laisser la demoiselle tranquille, d'accord? »

Je m'étais approché et venais de me mettre à coté de la jeune femme, face au type. J'avais l'habitude de ce genre de situations, et je savais donc que ça ne se réglait pas tout seul, pour la plupart du temps. Mon patron avait déjà eu des ennuis avec la police, avec ces types, et il m'avait bien dit de ne pas les laisser s'énerver. J'étais un peu cassée ces temps-ci, alors je voulais garder mon boulot. Je n'allais donc pas laisser les choses dégénérer... Seulement, encore une fois, le type trouvait que son histoire avec la demoiselle se terminait trop tôt. Chancelant sur ses pieds, il m'insulta un peu et encouragé par les cris de ses congénères plus loin, voyant que je ne réagissais pas et n'avais pas l'intention de bouger, et comme les gens saouls font des trucs idiots, il leva son poing dans l'intention claire de l'étamper dans mon visage. Je ne fis rien de bien compliquer, vu son manque d'équilibre et sa vitesse, en évitant son coup, attrapant son bras au passage et en le rabattant derrière son dos avant de la plaquer contre le comptoir. J'attendis un moment qu'il se calme, lui disant que s'il ne souhaitait pas se calmer, il irait couver sa bière ailleurs. Comme cela arrivait la plupart du temps, le type se calma et regagna son siège en grognant, chancelant, et en se frottant le bras. J'allais retourner dans mon coin, à l'ombre derrière le bar, lorsque la jeune femme s'adressa à moi.

« Je pouvais très bien m'arranger toute seule. »
« Peut-être. Mais je tiens à mon boulot et ça implique que j'évite les problèmes. »
« Ben voyons... Vous allez me dire que vous n'avez pas fait cela pour jouer au chevalier servant et secourir une âme innocente? »
« Parce qu'une âme innocente viendrait tranquillement boire un verre dans un endroit pareil? »
« Vous gagnez un point. Vous voulez boire un verre avec moi? »
« Pas sur mes heures de travail, désolé. »
« À quelle heure finissez-vous monsieur...? »
« Ross. Alec Ross. À la fermeture du bar. »
« Serah Sawyer. Dommage... Une prochaine fois peut-être. »

Et la prochaine fois ne tarda pas à arriver. Elle vint de plus en plus souvent au bar, m'abordant à chaque fois un peu plus. Je gardais mes distances, méfiant comme envers chaque personne qui tentait de m'aborder avec un peu plus d'insistance. Je ne réalisais que tard qu'elle ne semblait pas ressentir les effets de mon aura. Du coup, étonné et curieux, je ne pus résister à l'envie d'aller vers elle. De voir si mon impression était vraie. Mais aussi, je ne voulais pas me l'avouer alors, cette jeune femme surprenante m'attirait. M'obsédait même. C'est comme cela que j'ai rencontré Serah et que notre relation à commencer.

Trois semaine plus tard, on se rencontrait un peu partout, par hasard. Je la soupçonne de m'avoir suivit. Et c'est alors que suite à une série d'évènement qui m'échappent encore, que je me retrouvais à aller la reconduire chez elle après mon chiffre de travail au « Blue Coyote ». Elle m'invita à prendre un café et... j'ai accepté, à mon grand étonnement. Depuis quand est-ce que je me permettais de laisser les gens m'approcher? Non, pire. Depuis quand est-ce que je cherchais à me rapprocher de quelqu'un?!

Cette soirée là, nous avons parlé. J'ai parlé plus que je n'avais parlé depuis des années. J'appris que Serah était une mutante comme moi, comme je l'avais d'abord cru. Elle était très secrète sur sa vie personnelle, et je ne la poussais en aucun cas à m'en révéler plus, mais je crus comprendre qu'elle était membre dans une organisation semblable à celle de mes parents. Au bout d'un moment, elle me demanda pourquoi j'étais si distant avec les gens... Devant mon hésitation, elle voulut changer de sujet mais je fit non de la tête. Et à mon tour, je lui posais une question.

« Je n'y comprends rien... Comment tu arrives à rester près de moi? »
« On se calme, on n'est pas marié! »
« Non, non, je veux dire : tu ne ressens rien d'anormal, tu ne te sens pas... différente, tu n'est pas mal?
« Non... Je ressens une petite oppression autour de toi, comme si l'air était plus lourd mais... c'est tout. Pourquoi? »
« C'est... compliqué à expliquer. »

Mais je lui expliquais. Je restais bref, je ne m'engageais dans aucun détail, mais elle m'écouta. En silence. Puis elle me sourit, doucement, et elle m'avait à son tour révélé son pouvoir. Serah était dotée d'une sorte de bouclier d'énergie qui repoussait les énergies ou les pouvoirs mentaux négatifs des autres. Pour la première fois de ma vie, je sentais que je venais de trouver ma place. Non pas dans un endroit, mais près de quelqu'un. Pour la première fois, je me surpris a espèrer, à ressentir quelque chose d'autre que de l'indifférence pour quelqu'un. Ou plutôt, à m'autoriser à ressentir quelque chose pour quelqu'un. J'étais trop surpris pour comprendre sur le coup que j'étais déjà tombé amoureux. Je ne quittais pas son appartement ce soir là. »

    {* Juin 2022, Truckee, Californie


« Pour la première fois depuis que j'avais quitté l'orphelinat, je restais plus de trois mois à la même place. Plus que cela, j'étais à Truckee depuis 8 mois. À cause, où grâce, à Serah. Notre relation était... particulière. Elle comme moi étions plutôt réservés et indépendants, et si nous vivions toujours chacun dans nos appartements respectifs, nous passions la majorité de nos nuits chez elle ou chez moi. Nous apprenions à nous connaitre, jour après jour, mais mon passé et ses activités au sein de son organisation restaient des sujets que l'on évitait. J'avais peur, malgré tout, de rester trop longtemps auprès d'elle, de me rapprocher trop, malgré que mon pouvoir ne semblait pas encore l'affecter directement. Ce qui était différent avec elle, c'était que je ne voulais pas la protéger de moi par principe, comme pour tout le monde. Non. Elle, je voulais la protéger parce que je l'aimais plus que je ne voulais me l'avouer. Elle représentait tellement, pour moi, alors.

Cela c'est passer un soir où je devais aller la rejoindre chez elle après mes heures de boulot. Il devait être 4 heures et demi ou 5 heures du matin. Lorsque je suis arriver chez elle, l'absence de lumière me surprit. Je cogna, mais personne ne me répondit. Le porte n'était pas verrouillée, alors je me permis d'entrer. L'appartement était vide. Étrange... Serah avait l'habitude de m'avertir lorsqu'elle devait s'absenter pour ses activités, et en plus, elle m'avait parlé cette après midi-là et m'avait bien dit que l'on se verrait ce soir. Je ressentis alors un sentiment que je n'avais pas ressenti depuis longtemps pour quelqu'un : de l'inquiétude. Je me mis à fouiller sur les papiers qui trainaient sur la table, une étrange mauvaise impression me gagnant peu à peu. Au bout d'un moment, je finis par m'apercevoir que j'avais fait tomber une carte routière sur le sol, à force de déplacer le fouillis sur la table. La carte représentait les réseaux routiers de la région. Un trajet rouge tracé a la main partait de Truckee et suivait l'autoroute 80, traversait légèrement la frontière du Nevada et s'arrêtait au village de Verdi, à l'ouest de Reno. Quelques secondes seulement me suffirent pour sortir de l'appartement. Je me rendis au bar, dont j'avais la clef, et j'empruntais la voiture de livraison – le jour, mon patron avait débuté à faire la livraison de sa fameuse pizza au four - . J'étais déjà sur la 80, direction Verdi.

En arrivant au village, moins d'une demi-heure plus tard, le soleil pointait déjà à l'horizon et je remarquais immédiatement l'agitation. De petits attroupements de gens s'étaient formés sur la rue principale qui traversait le village. L'agitation était palpable et les gens discutaient fort. L'angoisse qui me serrait l'estomac depuis que j'avais quitté l'appartement de Serah sembla gonfler. M'arrêtant sur le côté, je sortis de la voiture et m'avançais vers le groupe le plus près.

« Pardonnez moi, qu'est-ce qui c'est passé? »
« Vous arrivez trop tard pour le spectacle, la police vient de partir, me répondit un vieil homme assez corpulent. Ces satanés mutants ont encore causés des problèmes! À ce que j'ai compris, quand ma femme m'a réveillé, c'est que deux groupes de mutants se sont affrontés pour je ne sais pas quoi. Il y a eu des victimes avant que la police ne vienne arrêter cette bande de voyous! Principalement ceux qu'on appellent les hostiles, j'imagine... Bien fait pour eux! Ils sont assez cinglés pour s'entretuer ces bestioles... Si vous voulez mon avis... Hey, où vous allez? Ah ces jeunes aujourd'hui... »

J'étais déjà dans la voiture. Je me rendis en quatrième vitesse au poste de police où l'on m'informa que les mutants impliqués étaient enfermer et que personne n'avait le droit de les voir avant que les enquêteurs de Reno ne viennent les interroger. J'insistais tout de même, leur répétant encore et encore le nom de Serah Sawyer, mais je n'obtins aucune information de plus. Le reste de la journée, je rôdais autour du poste de police. Le soir, je finis par m'endormir dans la voiture, épuisé. Mais je ne dormis que d'un sommeil agité et me réveillais au moindre bruit. Je m'éveillais à l'aube, avant l'ouverture publique du poste de police. Je me rendis une énième fois à la cabine téléphonique du restaurant d'en face et tentais de joindre l'appartement de Serah, dans l'espoir qu'elle se soit échappée et qu'elle y soit retournée. L'appareil sonna dans le vide, encore une fois. Je jurais en donnant un coup à la boite téléphonique et retournais m'assoir devant le poste de police, sur le trottoir. Je me passais une main dans les cheveux. Qu'est-ce que j'étais censé faire maintenant? Défoncer le poste de police? Ça n'arrangerait pas sa situation si elle était accusée de quelconques crimes... Alors quoi?!

À ce moment, un gamin sur un vélo passa devant moi, s'arrêta plus loin et déposa une pile de journaux sur le pas de la porte du poste de police. Je me levais et marchais jusqu'aux journaux, me prit un exemplaire. Sur la page couverture, une photo de la rue principale de Verdi présentant des policiers et des ambulances, avec écrit en grosses lettres noires « Des mutants s'entretuent à Verdi ». En sous titre, en plus petit, était écrit « Deux morts, cinq blessés dont deux humains et sept mutants arrêtés. Détails en page 2 ». Mon cœur avait raté un battement. Poussé par un empressement soudain, j'ouvris le journal à la volée, parcourant les colonnes de photos des mutants fait prisonniers... et des deux morts. Mon regard s'arrêta sur celles-ci. Celle de gauche représentait un homme d'âge mur qui m'était parfaitement inconnu. Alors que celle de droite m'était douloureusement familière. Sous sa photo, son nom était écrit avec une petite description, m'interdisant de ne plus y croire.

« Serah Walker, l'une des deux mutante blessés mortellement dans l'incident d'hier. »

    {* 19 Août 2025, Achaea, Nevada


« Je l'ai cherché pendant des semaines, même si je savais ne jamais devoir la retrouver. Je ne sais ni comment je me suis retrouvé sur la route de nouveau, ni comment j'ai été récupéré le peu de mes effets personnels et démissionner du « Blue Coyote ». Mais j'étais reparti. J'ai erré pendant près d'un an entre la frontière de la Californie et du Nevada dans la région de Reno, après la mort de Serah. Comme si je m'attendais à la voir réapparaitre quelque part, idiot... Je n'ai pas été à l'enterrement. Je ne sais même pas où ou si il y en a eu un. Je n'ai jamais pleuré, malgré ma douleur. Je l'ai refoulée, comme tout depuis mon enfance. Je l'ai cherchée sans vraiment y penser. Puis, peu à peu, je me suis rendu compte de l'absurdité de toute cette histoire. Et j'ai repris mon ancienne vie. L'illusion que Serah m'avais donné, sur une nouvelle vie, n'avait été qu'un échec de plus et un signe supplémentaire que ma vie était destinée à n'être menée que par moi même.

Des humains m'ont regarder de haut, discriminer et m'ont retirer l'espoir de retrouver mon père. Des mutants m'ont arracher la première femme que j'ai aimer qui la seule qui aurait pu changer quelque chose à ma vie. Alors si vous me demandez pour qui je prends parti dans un conflit opposant humains, pacifistes ou mutant agressif, je vous répondrais que je ne prends parti pour personne. Personne hormis moi même. Même si je suis mon principal ennemi.

À partir du jour où j'ai pris conscience de cela, un an après l'incident de Verdi, je n'ai plus laissé personne m'approcher. J'entends par là que plus personne ne m'a connu que brièvement, professionnellement. Je me méfie des gens, autant qu'ils se méfient de moi, sans avoir peur. J'ai voyagé vers le nord, quittant Truckee et la Californie pour me rendre dans l'état de l'Oregon, où je suis resté peu de temps. Je suis même monté jusqu'à Washington, où le travail ne me manqua pas. Je me suis promené un bon moment dans cet état, puis je me suis lassé. Un camionneur m'a ramassé sur le pouce, sur le bord de la nationale, et m'a fait traversé jusqu'au Dakota du Sud, où il devait se rendre. J'étais toujours resté sur la côte ouest, alors la perspective d'aller à l'est me plut. Seulement, erreur de ma part, je n'ai pas réfléchis plus que nécessaire avant d'embarquer pour le Dakota du Sud. Vous connaissez la réputation de cet état des États-Unis, non? Je ne suis donc resté que deux semaines, le temps de me faire tabasser et laisser pour mort, puis j'ai reprit la route. C'est encore là qu'est la meilleure place où « je » peut être. J'ai ensuite enchainé quelques petits boulots qui m'ont tenu le coup assez longtemps dans les environs de Denver, au Colorado, ou je n'ai pas eu trop de problème.

Cela fait deux ans que j'ai quitté la Californie et le Nevada et j'ai beaucoup voyagé. J'étais assez nomade avant, mais jamais de cette envergure. Et aujourd'hui, mes pas me ramènent vers le Nevada. Je suis embarqué hier avec un camionneur – mon moyen de transport privilégié, après mes pieds – qui passait par Denver. Il devait se rendre à Reno d'abord, puis descendre vers Las Vegas. Je lui ai demandé de me laisser à mi-chemin entre les deux villes principales. Je n'ai aucune envie de retourner dans la région de Reno, pour des raisons personnelles, et l'envie de devenir portier pour des millionnaires allant flamber l'équivalent de ce qui nourrirait le tiers monde ne me tente pas d'avantage. Je viens donc de débarquer dans une ville nommée Achaea. Qu'est-ce que je vais y faire, quel boulot que je vais y trouver, où je vais coucher dans les nuits à venir? Tout cela restent sur la même base de données que pour partout où je vais : Je n'en sais rien. Pas plus pour combien de temps je vais rester ici. Et c'est très bien comme ça. »
Informations sur le Personnage

« Système de Puçage : mutant non pucé

« Avatar : Jackson Rathbone
« Recyclage du Personnage : Oui, bien sur, s'il peut éventuellement faire le bonheur dequelqu'un d'autre... j'y vois pas d'inconvénients!
Informations Personnelles

« Comment avez-vous connu le forum ? Je connais Deli (ici Kaileen Moore ) depuis... bah depuis que j'ai commencé à RP, c'est à dire depuis qu'on est gosses^^ On administrait un forum toute les deux, et à sa fermeture, tout récemment, elle m'a demandé de la rejoindre ici (me demande encore pourquoi tu m'en a pas parlé plus tôt, vilaine va *SBAF! - se prend un panneau publicitaire en pleine tête*). Donc me voila, l'autre cinglée qui va de pair avec sa douce moitié vient de débarquer avec 3 ans de décalage horaire xD
« Parrainage ? Nan, je vais me débrouiller! Deli m'a déjà briefée.
« Un commentaire à faire passer aux administrateurs ? Rien. Nada. Niet. Nothing. Ha, oui! J'oubliais, si j'ai deux biscuits aux brisures de chocolat et que tu me donne les deux tiens parce que - ho miracle! - tu es allergique au lactose... ca me fait 4 biscuit, c'est bien ca?
« Quelque chose à dire sur le forum ? J'a-do-re le concept! De l'histoire au design, tout est génial, c'est exactement le genre de forum que j'apprécie vraiment. Je viens juste de clore mon propre forum, avec Deli, par maque de temps et d'activité. Je m'étais dit que je ne me relancerais pas dans un autre RPG pour l'instant, mais quand on tombe en amour, on est foutu! Bref, sincèrement bravo à vous pour ce forum, il est magnifique.
« Quelles sont vos disponibilités ? Je suis assez active, du moins, minimum une à deux fois par semaine dans mes grosses semaine de boulot, mais je ne sais pas trop comment la prochaine année va se dérouler. J'entre en deuxième année de Cégep, donc je préfère m'attendre à tout. Je vais tout de même tenté de passer au moins une fois semaine. J'ai peur des fantômes alors en être un moi même ce n’est pas dans les plans xD
« Parlez-nous un peu de vous : J'ai un groooos faible pour les framboises, la limonade, le chocolat... Hein? Quoi? On parlait pas de nourriture? Ah bon... Bref, les détails peu intéressants, si vous voulez! Moi c'est Akii'Ro (en bref Aki' et n'Arikotte pour ma Deli xD), 18 ans, pas mariée, pas d'enfants, pas célibataire pour autant, au Cégep en arts Plastiques, passionnée d'art - éwè - de chevaux, de lecture et d'écriture, je suis Québecoise, n'aime pas pour autant particulièrement le hockey, handicapée, j’ai une mémoire de poisson rouge, suis pleine de bonne volonté mais = presque aussi bad locker que son personnage et parle beaucoup trop alors va se la fermer. Et voila, c'est moi. Je vous avais dit que c'était pas intéressant, hein?





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Dernière édition par Alec Ross le Dim 21 Aoû - 13:18, édité 4 fois
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Ella Parker

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MessageSujet: Re: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyJeu 18 Aoû - 2:35

Bienvenu sur le forum ! Love

Je sais que ta fiche n'est pas totalement terminée, mais histoire qu'on ne rate pas tout ça lorsqu'on pourra s'occuper de te valider, je te demande simplement de poster après moi pour signaler la fin de ta fiche et on s'occupera de toi. heart

En attendant bon courage et si tu as la moindre question, les administrateurs sont là !

Bonne chance ! Frotte

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Alec Ross

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MessageSujet: Re: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyVen 19 Aoû - 16:07

    Merci pour l’accueil! {* Alec Ross 22716

    Donc voila, mon histoire est compléter, ma fiche aussi du coup. J'avais peur qu'elle soit trop longue et n'excède le nombre de mots, mais nan! Miracle! tout a rentrer!! xD Hum hum...
    J'espère que tout ira, n'hésitez pas à me le dire si un détail cloche. J'ai jouer avec le concept mais je sais que certaines informations (concernant apocalypto ou genesys par exemple) sont contrôler, alors si jamais vous trouvez que je me suis trop laisser aller... *pas taper!! xD*

    J'ai quelques questions en réserves, concernant mon RP plus tard, mais je verrais en temps et lieu, question de ne pas polluer ce sujet {* Alec Ross 364988687

    Edit : Simplement pour avertir que je ne disparaitrais pas dans la brume demain soir xD Je dit cela probablement pour rien, mais il est possible que je ne puisse plus me connecter à internet d'ici jeudi. J'emménage dans mon nouvel appartement pour le début des cours au Cégep et je ne peut pas assurer que ma connexion internet va être bonne. Si je n'ai pas de connexion internet, je tenterais de me connecter en milieu de semaine via un autre ordinateur ayant du réseaux (au cégep par exemple) pour venir vérifier l'état de ma fiche. Merci^^

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Liam Winchester

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{* Alec Ross Vide
MessageSujet: Re: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyDim 21 Aoû - 9:46

Bienvenue à toi !

Désolé du petit retard, samedi chargé !

Alors je dois dire que c'est une très belle fiche, tu écris très bien et c'était agréable de lire tout ça ! Je vais directement aller dans le vif du sujet puisque je ne vois rien à redire mis à part deux petits points :

- L'Opération Genesys n'a été créée qu'en 2021 comme tu peux le voir dans la chronologie, donc que tu découvres des documents à ce propos dans le bureau de ton père alors que tu n'avais que sept ans, tu comprendras que ce n'est pas vraiment possible ! ^^
- Tu parles de ton amie mutante qui avait des liens avec l'Afflictis, mais j'ai un peu eu du mal à comprendre, est-ce qu'elle est du genre terroriste ou à attaquer sciemment les humains ? Si c'est bien ce que j'ai compris, ça ne sera pas possible qu'elle soit liée à l'AL qui est "la face publique" de l'Opération et qui évite donc d'avoir des liens avec des gens "dangereux". Par contre elle pourrait être membre de Genesys, mais bien évidemment ça personne ne le saurait =)
Si j'ai mal compris et qu'elle n'est pas du genre à attaquer ou à faire quelque chose de répréhensible et d'illégal, fais comme si je n'avais rien dit ! xD

Voilà, une fois que ça ce sera modifié, je pourrai te valider comme tout le reste est bon ^-^

Et merci de prévenir pour "l'absence" ! Sourire

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MessageSujet: Re: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyDim 21 Aoû - 13:20

    T'inquiète pas pour le retard, c'est rien^^ En plus, il y a un avantage à être Québécoise... je viens de me lever, du coup, j'ouvre mon PC et hop! On y voit que du feu xD

    Merci, ca fait plaisir à entendre! {* Alec Ross 617144

    Ha merde, j'avais zappé ca xD Je croyais avoir vérifier mes dates mais nan... Pardon, j'arrange le tout pour l'histoire avec Genesys et le père d'Alec. (Je crois que je l'ai fait pour sa fiche de chronologie, que j'ai rédiger à part, mais j'ai complètement oublier d'aller modifier dans la présentation... /boulet/)

    Et j'arrange ça aussi pour Serah. J'avoue qu'après coup... c'est pas clair xD En fait, elle faisait partie de l'opération Genesys, mais personne n'est au courant, même pas Alec, donc impossible de le préciser quelque part. Dans l'histoire, elle devait accomplir une mission quel qu'on que dans cette ville avec d'autres membres de son opération mais ils sont tomber sur des mutants hostiles et ça a tourner au vinaigre. Je comptait me garder ça en réserve, peut-être en tant qu'action ou autre, plus tard dans le RP. Du coup, je vais seulement retirer le nom d'AL.

    Bref, modification effectuer! Si ca colle toujours pas, faut me le dire!
    De rien, pour l'absence et merci pour tout le reste^^

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Liam Winchester

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MessageSujet: Re: {* Alec Ross {* Alec Ross EmptyDim 21 Aoû - 15:46

Très bien, avec ces modifications ça me va ! Et ne t'en fais pas, c'est presque "normal" de devoir modifier quelque chose dans la présentation en général, je suis conscient qu’il y a beaucoup de choses à lire et souvent on passe sur des détails sans le vouloir ^^

Enfin avec ces corrections, je n'ai plus rien à dire, à part bravo pour cette fiche qui - je me répète - était agréable à lire ! Je te remercie aussi pour les compliments ! ^.^

Je te valide donc ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite je m'occupe de tout te recenser, toi tu peux te chercher des partenaires de RP, il y a des recherches de sujets donc si ça t'intéresse, tu peux y jeter un œil ;) Tu gagnes 5 pour avoir pris un groupe défavorisé !

Histoire de ne pas être paumé avec les doubles comptes, je t'invite à lire ce sujet. Sinon tu as la liste des liens importants qui peut être utile.

Bon jeu sur Apocalypto !

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