Partez loin des clichés de la beau-gossitude. Franchement, les mannequins, les trucs qui ressemblent plus à des pubs pour des morceaux de steak.... vous pensez que tout ça c'est réel ? Prenons par exemple ce cher Logan (ben quoi ? ). Corporellement ce n'est pas un de ces types dans les magasines. Loin d'être une masse de muscles. Pourtant loin d'avoir un gabarit de gringalet. Pourtant il était très sportif par le passé. C'est que le surf, ça permet de se sculpter un peu. Pourtant il n'a jamais développé des tablettes de chocolat. Beaucoup pensent que le sport qu'il fait lui permet de dépenser la quantité gargantuesque de nourriture qu'il ingurgite. Mais physiquement, on peut dire qui Logan est une personne qui se situe dans les normes. Et justement c'est ça la principale volonté de l'australien, passer totalement inaperçu. Se fondre dans la masse.

C'est quelque chose qui se ressent au niveau de son style vestimentaire. Bien qu'avant, Logan n'a jamais été très porté sur son look ou les choses de la mode. Mais il savait bien que les filles aimaient bien regarder les garçons torses nu sur la plage. Et il savait très bien mettre en avant tout ça. Aujourd'hui, autant dire que c'est franchement loin d'être le cas. Sa garde robe est principalement constituée de vêtements sombres. Du noir. Du gris. Du marron. Les seuls touches de couleurs qu'on trouve chez Logan, c'est du bleu marine, des couleurs tirant encore sur le sombre. La seule chose pouvant attirer l'œil sur son look, c'est le fait qui est très couvert quand les températures chutent. Son pouvoir fait qu'il supporte très mal les basses températures et surtout l'hiver.

Mais quand les regards viennent à s'attarder, on remarque pas mal de de choses chez le jeune homme. Ses yeux clairs. Logan des yeux verdoyants tirant sur les ton clairs la plupart du temps. Mais ayant pris la fâcheuse habitude de ne pas fixer les gens dans les yeux, c'est un détail que presque personne ne remarque. C'est en s'attardant aussi sur des détails parfaitement inutiles que vous remarquerez parfois qu'il a une tâche de peinture derrière l'oreille. Ou plus communément que ses mains ont souvent des tâches, de l'encre, de la peinture, du stylo. Les long doigts agiles du brun connaissent toutes sortes de tâches. Les traces dues au fait qu'il dessine assez souvent. Il lui arrive parfois même d'avoir de la peinture dans les cheveux. Il faut dire que la peinture sur les mains, combiné au tic de s'ébouriffer tout le temps les cheveux, ça n'a jamais fait très bon ménage. D'ailleurs c'est à cause de ce tic que Logan vous donnera souvent d'être coiffé comme l'as de pique... ou après avoir mis les doigts dans la prise électrique... ou comme s'il avait utilisé le dos de la brosse... Enfin j'en passe des vertes et des pas mûres. Il passe juste son temps à passer sa main dans les cheveux pour les ébouriffer. Mais le matin quand il part, ils sont coiffés... c'est juste que ça ne dure jamais très longtemps.

Enfin bref, un type banal quoi ? Un pauvre petit gars comme il en existe beaucoup dans le monde... Vous ne trouvez pas ?

Banal, c'est souvent ce qu'on vient à penser de Logan quand on le voit le première fois. Souvent le regard des gens ne s'attarde pas sur lui. Pour lui ça n'a jamais été un mal, bien au contraire. C'est même quelque chose qu'il cherche, passer inaperçu. Ce n'est pas un hasard si son look est aussi passe-partout. Ce n'est pas un hasard s'il s'arrange pour ne jamais faire de vague. Et ce n'est encore pas un hasard s'il cherche à se fondre dans la masse. Il ne veut pas qu'on le remarque. Il veut simplement faire partie d'une masse populaire. Dans une pièce remplie de monde, il est toujours celui qu'on oublie tout simplement. Attirer l'attention, c'est s'attirer les ennuis. S'attirer les ennui. C'est s'attirer les test de contrôle. Et une chose que Logan ne veut pas, c'est qu'il soit reconnu comme mutant aux yeux de la société. Déjà qu'il ne s'accepte pas comme mutant, alors être recensé par le gouvernement... Ce n'est vraiment pas possible. « Pour vivre heureux vivons cachés. » Logan rajouterai à cette maxime bien souvent utilisée « Pour vivre heureux vivons cachés et humains. ». Car Logan faute d'être recensé comme mutant, est donc humain. Il vit donc comme un humain. Un humain tout ce qu'il y a de plus banal après tout. Une personne que vous aurez dans votre champs visuel, a qui vous arriverez à parler de temps à autre. Un échange de politesse. Des paroles sans la moindre profondeur. N'espérez pas plus de Logan. Faire la conversation ne fait pas du tout partie de ces points forts c'est sûr. Par contre sur les silences, autant que là c'est un véritable professionnel. Il est plus souvent de ceux qui écoutent, qui observent, que de ceux qui parlent pour tout et rien dire. Quand il ouvrira la bouche c'est pour dire les choses les plus nécessaires. Donc n'espérez pas qu'il vous fasse la moindre confidence... ou la moindre confiance d'ailleurs. Pour lui c'est une manière de se défendre que de ressembler presque à un associable... ou de l'être plutôt. Parlez le moins possible, c'est en dire le moins possible sur qui il est. Après tout c'est le but général.

Et encore, quand il arrive à parler. Logan n'est pas la personne la plus sympathique du monde. Pas forcement le connard non plus. Mais il aurait parfois tendance à être antipathique. Dans le fond on se demande si ce n'est pas volontaire parfois... Il faut dire que le mutant n'est pas du genre dire des choses en prenant des pincettes. Mêlez ça à une franchise débordante. Autant dire que plus d'une personnes ont tendance à faire des sales têtes quand la conversation va plus loin que le simple échange de politesses. En fait c'est juste que lorsqu'il dit quelque chose, il le dit sans vraiment chercher la meilleure manière de l'annoncer... même si c'est une bombe. Et il faut dire que Logan manque parfois de tact et n'est pas très fin psychologue. Si ça vous plait, tant mieux, sinon tant pis. C'est un peu la politique de la maison. Rajoutons avec ça une tendance aux sarcasmes assez prononcée. La manie de faire fuir les gens voulant s'intéresser à lui ? Très certainement. L'australien à tendance à se méfier des personnes trop curieuses, que les intentions soient bonnes ou pas. Et il n'a encore jamais rencontré une personne étant capable de percer cette défense. En tout cas il n'a pas encore rencontré de personne assez insistante pour arriver à ce stade là...

Mais là vous allez me dire ? « Ce type n'a que des défauts ! » Eh bien non ! Car tout le monde a des qualités, même le pire con de l'Univers. Même si cela n'est pas le cas de notre cher Australien. Car quand on y pense, cette manière d'agir n'est qu'une manière de se défendre lui et les autres. En effet, Logan ne s'accepte pas comme mutant. Et depuis que ses pouvoirs lui ont joués des tours plutôt traumatisants, il a l'impression d'être une sorte de danger permanent. Alors la moindre de ses réactions ne sont là que pour deux raisons : un, qu'on ne sache pas qu'il est mutant ; deux, éviter de faire du mal aux gens qui l'entourent et surtout les proches qu'il pourrait avoir. Mais lorsqu'on passe à travers cette carapace très épaisse, on peut commencer à s'intéresser à une tout autre personne. En vrai Logan n'est qu'une personne qui a du mal à s'exprimer. Parler de ces sentiments c'est quelque chose qu'il n'a jamais su faire, même lorsqu'il vivait encore avec ses parents. Alors quand il s'agit d'avoir une conversation un peu plus intime, autant dire qu'il a tendance à perdre très rapidement son latin et à bafouiller. Il n'a jamais su s'exprimer pour ça. Mais il a toujours trouvé une manière différente pour vraiment s'exprimer. Le dessin. Le jeune homme dessine souvent, toujours de quoi réaliser ses gribouillages sous la main. Mais lorsqu'on arrive à tenir la confiance de ce cher Lolo, on peut dire que c'est bingo. Avec ces personnes, se comptant sur les doigts d'une main – pour ne pas dire qu'ils sont inexistants – Logan est une tout autre personne. Plus sympathique, c'est sûr (mais toujours aussi sarcastique). Mais pouvant se montrer comme protecteur... ça vous surprend? Pourtant c'est bien possible. Les miracles existent.

Logan n'était pas cet homme-là avant. Avant qu'il se découvre mutant. Son caractère a radicalement changé quand « l'accident » s'est produit. On peut même dire qu'avec son caractère était aux antipodes de ce qu'il est actuellement. Avant c'était le genre de personnes ouvertes souriantes. Très confiant, limite trop. Une sale manie de se la jouer dragueur. Il était le prototype du surfeur australien sur la plage. Le genre de type qui font baver les touristes. Sa vie était parfaite pour lui. Il n'y avait rien à changer. Il aimait son existence faite de légèretés. Mais si la vie était un long tranquille je pense qu'on serait au courant depuis un sacré moment.

A l'apparition de ses pouvoirs, il avait l'espoir fou qu'on ne le rejette pas. Pendant quelques secondes, ouais. Vu ce qu'il s'était passé, il est vrai qu'il se rend compte que c'était de la folie furieuse que d'avoir l'espoir. Il n'a jamais réussi à savoir s'il en avait voulu à ses parents de l'avoir rejeté. Lui même n'arrivait plus franchement à regarder son reflet dans le miroir. On disait que les parents pouvaient tout pardonner, c'était faux. Il avait fini par accepter, s'il n'avait pas été mutant, jamais il n'aurait perdu cette vie qu'il avait tant aimé. Jamais il ne serait monté dans avion qui l'emmena loin de chez lui.

Le jour où Logan monta dans cet avion, il laissa tout derrière lui. Sa vie. Sa famille qui le détestait. Les siens qui pouvaient à peine le regarder dans les yeux sans voir en lui un monstre. Il laissa tout. Même un part de lui-même. Le surfeur dragueur resta au pays. Tout ce qui avait fait qui il était avant resta là-bas dans ce pays qu'il ne reverrait probablement jamais. Le souvenir d'un humain normal resta dans sa famille. Un souvenir qui ne serait plus jamais. Depuis ce jour il ne se sépare pas d'un album photo, des photos avec son « lui d'avant ». Des photos de la famille, des amis. Il avait voulu envoyer des lettres à ses amis, mais il avait du partir sans rien. Car mentir, il ne le pouvait pas et dire la vérité... ça non-plus. Quand il arriva en Amérique il écrivit des lettres, surtout à sa sœur...uniquement à elle en fait. Mais jamais de réponses. Depuis il en écrit, mais il ne les envoie jamais. Peut-être devrait-il les jeter à la cheminée... Mais il n'y arrive pas.

Autre chose, Logan ne s'accepte pas du tout comme mutant. Il le sait mais pourtant, s'est quelque chose qu'il refuse catégoriquement. Tout ce qui se rapporte à sa mutation il le rejette en bloc. Donc depuis qu'il a découvert ses pouvoirs, le jeune brun n'a jamais essayé de les maitriser. Essayer de contrôler ses pouvoirs c'était comme accepter sa mutation. Chose dont il est parfaitement incapable. Alors souvent ses pouvoirs se manifestent sous les coups de très fortes émotions. Colère la plupart du temps. Mais aussi la panique et l'excitation. Ce qui aurait tendance à être très handicapant pour Logan... qui au final fait tout pour éviter les facteurs qui pourraient déclencher son pouvoir. Mais quand il a besoin de se calmer, le jeune utilise le dessin. La méthode qui a ce jour est la plus efficace pour lui.

« Groupe : Mutant non-recensé
« Raisons : Logan n'a jamais été recensé à sa naissance. Et quand on voit l'endroit où est né l'australien on comprend bien pourquoi. C'est un village avec... une population assez réduite. Donc l'accouchement fut loin de se passer dans un hôpital avec tous les tests. La chose fut beaucoup plus rustique, à la maison avec les femmes du village. La vie de Logan commença donc dans un des endroit le plus isolé du monde et y passa avec ses parents jusqu'à l'age de trois ans. Personne ne savait qu'il était un mutant. Ses pouvoirs se sont pourtant révélés. Mais personne ne s'en est douté. En effet, ces derniers ne se sont montrés que tardivement. Un souvenir bien cuisant pour cet australien de naissance. Le début de la galère pour lui. Après s'être fait expulsé par les siens, il ne chercha à faire qu'une chose, passer totalement inaperçu. Parfaitement conscient de faire partie des mutants, il n'est pourtant pas du genre à le crier sur tous les toits. C'est même tout le contraire. Quand il arriva aux États Unis, il fit tout pour se fondre dans la masse des humains. Le but, se faire passer pour un humain. Un humain un trait associable. N'assumant en rien son pouvoir et se sentant plus comme un véritable danger il préfère la solitude qu'à le trop d'accompagnement. Maintenant le tout sera de cacher qu'il est différent... qui a dit que c'était facile avec un pouvoir qu'on ne maitrise pas ?

« Pouvoir(s) : Absorption et utilisation de la chaleur
« Description : La moindre des cellules du corps de Logan est capable d'absorber et de réutiliser la chaleur environnante. Un pouvoir étant donc en deux parties. Deux mécanismes parfaitement complémentaires, mais dont l'utilisation n'est pas parfaitement rodée c'est un fait. Donc pour ne pas s'y perdre, description en deux parties.

D'abord absorption de la chaleur. De tout ce qui est une source de chaleur. L'air environnant lors des fortes températures. Un feu. Un radiateur. Un poêle. Un four.... Très pratique aussi pour refroidir les appareil en surchauffe. De manière sérieuse il peut aussi absorber la chaleur des êtres vivants. Mais c'est quelque chose qu'il n'a jamais expérimenté. D'ailleurs il n'est même pas au courant qu'il puisse le faire. Bien que le procédé d'absorption se fasse naturellement au court de la journée. Il n'a jamais eu de « limite » à ses réserves de chaleurs. Ou plutôt si, mais il n'a jamais eu le loisir d'en connaitre la limite. La plupart du temps, sa chaleur se décharge naturellement pendant son sommeil, quand la température tombe trop, pour se « réchauffer ». Il serait capable pour le moment d'emmagasiner de quoi faire bouillir une casserole d'eau, donc cent degré (parfait pour faire cuire les pattes \o/). D'ailleurs ce pouvoir-ci lui donne quelques particularités. Entre autre chose sa peau est capable de résister aux très fortes températures. Mais attention, il est incapable de se la jouer comme la Torche Humaine et de brûler vif. Bien au contraire. Un contact prolongé avec une flamme peut altérer sa peau comme tous les humains. Il pourrait maximum garder une flamme en contact avec sa peau pendant une minute grand maximum. Lorsqu'il emmagasine de la chaleur, la température du corps de Logan augmente beaucoup. Pouvant dépassé le 40 ° de température. Pourtant lui ne le remarque plus.

Bien sûr cette chaleur il l'utilise, mais c'est un pouvoir qu'il a énormément de mal à maitriser. Il faut dire qu'il n'a jamais cherché à subir le moindre entrainement. Alors ses pouvoirs sont parfaitement maîtriser par une chose : ses émotions. Il est capable d'envoyer des vagues de chaleurs plus ou moins chaude. Des chaleurs pouvant provoquer chez un être humain normal des brûlures du deuxième au troisième degré (cela dépendant de sa « charge », autant dire qu'en hiver il est parfaitement impuissant ). La seconde utilisation de son pouvoir est la thermokinésie. Le contrôle de la température. Pour le moment il ne peut l'utiliser que par contact avec les mains seulement. Il est capable de faire monter la température d'un objet ou d'une personne d'une trentaine de degré, voir même plus quand il déraille. En particulier lorsqu'il ressent de la colère. Un sentiment le faisant chauffer à tous les sens du terme malheureusement. Enfin ses propres cellules peuvent utiliser la chaleur pour renforcer leur potentiel, et ainsi rendre le mutant plus endurant, plus fort, plus résistant. Mais ce principe reste bien trop complexe pour le jeune australien, bien trop fin et trop délicat. Il n'a en rien conscience de cette partie de ce don et ne l'a pas conséquent jamais utilisé et pourra probablement ne pas l'utiliser.

« Amara,

Cela fait un petit moment que je ne t'ai pas écrit. Je m'en excuse. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas pris le temps d'écrire tout ça sur papier. Je m'étais promis de le faire, mais je ne l'ai pas fait. Peut-être suis-je en train de devenir un peu qui sait. Ou peut-être que je suis fou depuis un sacré moment. Ou peut-être que c'est un mélange des deux. En vrai de ne saurais pas dire. Je ne cherche pas vraiment à comprendre. Bien des choses ne tournent plus vraiment rond depuis que j'ai quitté la maison. Je sais que ça a changé quelque chose en moi. J'aurais aimé rester. J'aurais vraiment aimé rester avec toi. Mais ce n'était pas possible. Même moi avec mon espoir fou, je savais bien que le départ était la seule et unique solution. C'était le mieux à faire, pour toi, pour les parents... Était-ce vraiment la meilleure chose pour moi ? Je reste encore très indécis sur la question. Enfin cela restait la meilleure option pour toi, alors je suppose qu'elle le sera pour moi... pour nous. J'avoue cette solution me fait encore mal. Le pays me manque. Ma vie me manque. Tu me manques. Tu sais la vie ici n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. Enfin je m'attendais déjà à ce que ça soit nul. Sur ce point j'ai pas été vraiment déçu. Enfin bref... Les parents ne m'ont pas dénoncés tu sais ? Était-ce pour me protéger moi ou eux-même ? Encore une de ces questions à laquelle je ne pourrais jamais répondre. Enfin bref, je me fais passé.... pour humain. Pour ce que je ne suis pas. C'est désolant, mais ça n'a jamais été une fierté pour moi, l'inverse est plus dans le vrai. Je pense que je n'arriverai probablement pas m'accepter comme cette chose. Trop dur. Et trop peu d'envie pour la bataille. Une bataille qui serait de toute manière perdue d'avance. Parfois je me dis que je devrais m'achever ou quelque chose comme ça. Dans le fond peut-être ai-je encore l'instinct de survie. Ou le goût du masochisme. »

Règle numéro un : Oublie tes origines

« Il paraît que je suis né dans l'Outback. Tu sais sais cet endroit avec plus de terre que d'être humains. J'ai franchement du mal à imaginer les parents loin de l'agitation de Byron Bay et de son agitation. Il m'avait semblé qu'ils ne pouvaient pas vivre sans ça. Mais à croire qu'ils aimaient la poussière à l'époque. Plusieurs fois j'ai entendu les parents rigoler franchement de cette époque. Loin de toute civilisation. Loin de tout être humain. Dans un village fermé, une communauté soudée avec très peu de personnes. A cette époque je trouvais ça franchement craignos. Je me disais à cette époque qu'un endroit sans civilisation et sans le net devraient pas exister. Maintenant j'avoue que je ne saurais quoi en penser. Il m'arrive de rêver de cet endroit exilé. Très loin, solitaire. Là où personne ne pourrait voir ce que je suis. Ouais quand j'y pense maintenant c'est un endroit que je rêverais de connaître. Trois années, c'est le temps que je suis resté là bas. Avec les parents. Jusqu'à ce qu'ils apprennent que tu étais en plein de train de squatter dans le ventre de notre mère. Le déménagement n'a pas été simple je pense, mais suite mon arrivée... qui fut mouvementée, ils pensaient sûrement que te faire naitre dans un hôpital était la meilleure des solutions. J'ai beaucoup de mal pour me rappeler de cette période. En fait je ne me souviens presque de rien pour tout avouer. Parfois il m'arrive d'avoir quelques flash rapides. Mais rien de plus que cela. Je me souviens rapidement des étendues désertiques, la terre rouge qui volait sous mes pieds d'enfant. Le visage souriant de maman. Puis je me souviens de toi, du jour où tu as débarqué dans ma vie. Et le changement que cela m'a apporté. C'était comme si d'un coup, tout mon univers c'était mis à tourner autour d'un seul soleil. Ce soleil, c'était toi.

Logan Clint. C'était les noms qu'ils m'avaient donnés. Je les avais toujours trouvé franchement à dormir debout. Franchement qui s'appelle Logan ? Qui s'appelle Clint ? Il n'y avait franchement que ces crétins dans les super héros qui avaient des noms pareil. Des trucs que plus personne ne lisait depuis un bail. Franchement trop « has been ». Puis un jour tu m'as dis quelque chose qui m'avais fait changé d'avis. Tu m'as dit, que si je portais de tels noms ce n'était pas pour rien. Que je les portais parce que j'étais quelqu'un d'unique, quelqu'un appelé à être différent, exceptionnel. Quelqu'un de bien. C'était ça l'idée. J'avais tout de suite trouvé ça beaucoup plus cool d'un coup. Les amis m'appelaient plus souvent Clint. J'aimais bien ça. Depuis que tu m'avais dit ces mots. Je me rend compte actuellement de l'influence que tu avais sur moi. Chacune de tes paroles pouvaient m'influencer, c'était comme ça. Aujourd'hui, je sais quel point tu avais raison quand tu disais que j'étais exceptionnel. Mais je ne pense pas que tu te sois attendu à ce que je sois différent dans le mauvais sens... Je me souviens notre vie avait quelque chose de léger. C'était comme ça tout du long. On ne se faisait pas de soucis pour grand chose. Nous étions une famille dans la moyenne. Nos parents étaient très cools et nous avions grandis un peu comme nous voulions. On n'était pas très riches, mais nous n'étions pas pauvre non plus. C'était le genre de personne à faire des grosses économies pour plus tard, les études les choses comme ça. On peut dire que notre enfance à été très heureuse. Elle ne pouvait pas être plus heureuse. J'ai rapidement appris à me servir de ma belle gueule pour avoir ce que je voulais... entre autre chose l'intérêt des filles. Je n'étais pas le genre de gars sérieux, je ne l'ai jamais été. J'étais dans ce genre oisif. Je m'arrangeais pour bosser mais pas trop, juste assez pour avoir la moyenne. Je n'étais pas le gars le plus intelligent, sans pour autant être con... C'est juste que je trouvais le travail usant. Je préférais le repos au boulot c'était sûr. Souvent tu venais me rappeler à l'ordre. Des sacrés coups de coudes que tu m'as souvent donné. Mais j'avais l'habitude, c'était notre manière de nous apprécier après tout. Et même avec toutes les filles du monde, tu restais la plus belle à mes yeux. »

Règle numéro deux : Les amis, les proches n'existent plus

Le thermomètre s'agitait. Le mercure était monté en flèche. On affiche plus de quarante de degré au soleil. Les températures n'étaient jamais montées aussi haut. C'était un record dans tout l'histoire de la ville... Et du pays. On avait jamais vu telles chaleurs. L'alarme canicule était déjà passé sur toutes les chaînes de télévision. Tout était dit, pensez à bien vérifier l'état de santé des plus jeunes et des séniors. Pensez à bien vous hydrater. Autant dire que les vendeurs de brumisateurs, d'écran total et des ventilateurs étaient en train de faire littéralement fortune. Il y avait un autre domaine qui faisait affaire c'était le tourisme. La ville de Byron Bay sur la côte est de l'Australie était réputée pour deux choses: les touristes et le surf. Et aujourd'hui il était sûr que les touristes étaient tous partie faire bronzette sur la plage, n'oubliant pas de s'enduire de crème pour ne pas subir la brûlure du soleil Des gens faisaient parfois trempette dans l'eau histoire de ne pas totalement se dessécher à cause de la chaleur qui était parfaitement pesante. Au loin garçon sur sa planche de surf regardait la plage avec une moue rieuse sur le visage. Semblant s'amuser de toute cette agitation. Ses yeux verdoyants scrutaient l'horizon. Observateur et moqueur. Peut-être cherchait-il quelqu'un parmi la marée humain qui squattait la place. Ou peut-être ne faisait-il que rire de se fourmillement sur la plage. Allez savoir. Personne ne pouvait savoir ce qu'il se passait vraiment dans la tête du jeune homme. Jeune homme brun semblant toujours porter cette moue entre le rire et la moquerie. Il semblait avoir environ dix-huit années. Entouré par quelques amis, ils attendaient des vagues pour pouvoir jouer aux équilibristes sur leurs planches.

Le brun semblait être au centre du groupe. D'un naturel plutôt souriant, c'était naturel que notre regard sur lui (ndla: puis d'un coté je vais pas causer du Pape ). Logan Clint Wayland. Communément appelé Clint par ceux qu'il considérait comme ses amis. Un brun qui était assez charmant, mais qui avait parfois la fâcheuse habitude de vouloir se rendre intéressant. Le jeune homme sur sa planche arborait un short de bain. Le torse apparent légèrement humide, sur sa peau un tatouage. Il symbole représentant une flèche brisée en dessous de son pectoral droit avait toujours eu le don de plaire aux filles. Ses jambes pendaient dans l'eau, suivant les vas et les viens de la mer. Le brun ferma les yeux un court instant, savourant la température de l'eau. Tellement plus chaude qu'à l'habitude. Il pouvait nettement sentir la chaleur de l'eau envahir ses jambes et se répandre dans la totalité de son corps. C'était une étrange sensation de bien-être. C'était tout a fait enivrant. Lorsqu'il ouvrit les yeux, son sourire avait très légèrement changé. Il avait quelque chose de mauvais. Le genre de sourire quand on a un mauvais plan en tête. C'était quelque chose qui n'avait pas échappé à ces camarades.

Vous avais-je dit que Logan avait tendance à aimer attirer l'attention sur lui ? Ah ? Bon ben je le répète. Un peu comme un petit con je vous l'accorde. Tout le monde savait ce que ce sourire signifiait. Rapidement, la vague déferla. Pensez bien que Logan ne fit qu'une chose, enchainer les figures pour se faire voir. Et vu le monde qu'il y avait sur la plage... L'exercice avait l'air sportif. Mais apparemment le brun avait l'air de s'y connaître. Sûrement était-il habitué de la pratique. Sur la plage une blonde l'observait. Une jeune adolescente d'une quinzaine d'année, les cheveux cascadant sur ses épaules. Elle soupira et leva les yeux au ciel en voyant le mariole exercer son spectacle de singeries. Elle observa Logan effectuer son exercice et arriver sur la plage avec ce sourire qui lui était caractéristique. Le blondinette soupira une nouvelle fois, visiblement légèrement agacée par cette scène. La demoiselle attrapa une serviette pour la lancer au pseudo-crétin mais elle n'eut même pas le temps d'aller au bout de sa pensée. On lui barra littéralement la route. Couper la route pas des – selon la jeune demoiselle – des pétasses barbies. D'ailleurs elle lâcha entre ces dents une insulte qu'elle seul pu entendre.

STEVE - « Les gars qui font ça Clint, ils ont l'air de désespérés, railla l'un des gars »

Mais le regard du fameux Clint fut vite attirer ailleurs. Son sourire s'agrandit sur son visage quand il vit débarquer des « amies ». Il trouvait ses filles parfaitement stupides, mais la vue était franchement appréciable. Alors il pouvait dire que ça compensait la chose. Les demoiselles avaient le sourire aux lèvres, apparemment les nouvelles allaient être bonnes.

MOLLY - « Dis on fait une petite fête demain soir. Ça te dirait de venir ? »
LOGAN - « Mais avec plaisir. La conversation continua, échange d'adresse et de numéro et l'affaire était dans le sac. Une fois les filles éloignées Logan s'empressa de railler ses camarades. Je crois que les filles aiment les désespérés. Mais il reçu rapidement un coup de poing dans le flanc, pas très tendre. Aïeuh ! Il se retourna vers Amara qui venait de le rejoindre. »
AMARA - « T'avais pas une copine toi ? »
LOGAN - « Une quoi ? Rétorqua le brun en riant légèrement. »
AMARA - « Pauv'tache ! Conclut-elle en posant la serviette sur la tête de Logan. On rentre, jme fais chier. »

Logan passa son bras autour des épaules de la blonde et lui posa une bise sur le front. Cela ne voulait pas tout dire ?

« Quand j'y pense, je n'ai jamais pu aller à cette fameuse soirée. Tout cela a pris fin. Ça s'est arrêté. Comme ça, sans prévenir. J'ai conscience qu'à cette époque je ressemblais franchement à un petit con. Mais si on m'avait dit que ce moment était le dernier d'une période. La fin de ma vie telle que je l'avais connu... Je pense que si j'avais su que ce serait la dernière fois, j'aurais cherché à plus en profiter. Je pense que que j'aurais voulu retenir chaque moment de cette vie, chaque de goût de chaque souvenir, pour les faire vivre à jamais. Parfois je me rend compte que j'ai été franchement bête... ouais franchement. »


Règle numéro trois : Aimer le voyage

« Ce qu'il s'en suit. J'aurais aimé pouvoir le raconter. J'aurais aimé pouvoir m'en souvenir très exactement. Mais la réalité est que malgré le fait que ce jour fut le plus terrible que j'ai connu. Tout me semble terriblement flou... et un peu fou aussi. Je ne sais plus ce qu'il s'est passé exactement. Il y a des détails qui m'échappent totalement. Je ne sais plus exactement dans quelle pièce j'étais, ou encore quelle heure il était. Ma perception des choses avait été tellement altérée. Je ne saurais dire quelle sorte de mécanisme c'était déclenché dans mon corps. Quelque chose, comme une maladie qui c'était envahit en moi. Ouais c'était le terme exact, une maladie, un foutu virus. Ça m'avait tellement... non, c'était un maladie. Une maladie écrite dans mes gênes depuis toujours. La vérité était que j'avais toujours une foutue bombe à retardement. Je me hais parfois... Si on l'avait su avant, qu'est-ce qu'il se serait passé ? Je me pose bien la question. Souvent un tas d'hypothèses se posent dans mon crâne, j'imagine ce qui aurait pu se passer si les choses en avaient été autrement. J'ai conscience que c'est un acte de masochisme. Mais il ne peut en être autrement. Je n'arrive pas à m'en empêcher.

Comme je disais. Je n'ai jamais pu aller à cette soirée. La tragédie est survenue avant. Quand je suis rentrée avec Amara, j'ai commencé à avoir comme un coup de chaud. A cette époque, je restais encore sensible à la chaleur. A cause de cette canicule ma chaleur emmagasiné n'avait jamais été aussi importante. Mais aussi à cette époque, j'étais bien incapable de deviner quelle malédiction était en train de me frapper. J'avais pensé à un coup de soleil mal placé, un début d'insolation couplé d'une migraine. J'avais eu comme des bouffées de chaleurs, des nausées, des étourdissement. Enfin je ne vais pas faire tout la liste. Le plus marquant était que j'avais chaud. Trop chaud. J'étais allé me coucher tôt étrangement. J'avais pensé qu'après une bonne nuit de sommeil allait arranger les choses. Mais les températures restaient trop chaudes. Et ma merveilleuse hypothèse était aussi crédible qu'un sumo en tutu. Je m'étais réveillé, à quelle heure, bonne question, peut-être en plein milieu de la nuit, ou bien en plein milieu de la journée, je ne sais même plus si j'ai aperçu les rayons du soleils ou pas. Je me souviens m'être senti encore plus mal. J'avais tenté de quitté mon lit. Je crois que je suis tombé. Je ne sais plus. Peut-être avais-je même régurgiter à cause de la nausée qui était devenue parfaitement insupportable. Je ne sais plus rien après. Je n'arrive plus à savoir si j'ai quitté ma chambre ou pas. J'avais chaud, j'avais tellement chaud. J'étais en sueur. Je me sentais mal, je me sentais tellement mal. Rester debout était devenu impossible à cause des vertiges. Je n'arrivais plus rien à percevoir de mon environnement, ma vision était totalement brouillée. Toi tu étais arrivée. Ta voix je l'aurais reconnu entre des milliers, des millions. Je ne me souviens plus exactement ce que tu as dit. Je sais juste que j'ai bafouillée une réponse parfaitement inintelligible. Tu n'aurais pas du rester. J'étais dangereux. Si j'avais été là... je te l'aurais dit. Je t'aurais prévenu. Mais c'est impossible. Si tu savais comme je m'en veux. J'ignore se qu'il se passa dans cet endroit. J'avais comme perdu totalement conscience. Je sais que je t'ai fait du mal. Un cri me ramena à la réalité. Ton cri. Le feu. Quand j'ai ouvert les yeux, tout brûlait et tu t'étais évanouie à cause de la douleur, brûlée sévèrement. La réalité. Je venais de la comprendre, c'était moi qui t'avais fait ça. Les parents étaient là, j'entendais leurs voix, elles semblaient si lointaines, comme si j'avais été dans une bulle insonorisée. Mais je sentais leur peur, leur agitation. « Je... j'ai... je... je l'ai... j'voulais pas. » Les seules choses qui sortirent de ma bouche. A l'époque, je me demandais s'il avaient compris, mais aujourd'hui, j'ai ma réponse. C'est à peu près ce moment où je me suis évanouis, vraiment.

Quand je me suis réveillé, j'étais à la maison. Pendant un moment j'ai cru que tout ça n'avait été qu'un rêve. Vu a quel point mes souvenirs étaient embrumés, j'étais sûr que c'était un rêve. Pourtant en sentant les douleurs sur mes bras. J'ai compris. J'ai immédiatement su que je n'avais pas rêver. Que tout ça était réel. Que ce cauchemar.... ce cauchemar j'étais en train de le vivre de l'intérieur. J'avais brûlé ma sœur. J'avais brûlé ma propre sœur. Comment ? Comment était-ce possible ? J'étais quoi ? Je commençais à flipper vraiment. Qu'est-ce que... mais qu'est-ce que ?! Les parent aux avaient bien compris. Ils savaient ce que j'étais. Ce fut la première fois que ce mot sorti de la bouche de ceux qui étaient mes parents: « mutant » dirent-ils avec du dégout. Je vu pour la première fois dans le regard de la haine. La honte. Je t'avais fait du mal. Pourtant des choses me semblaient bizarre. Ils ne m'avaient pas emmené à l'hôpital. Je pensais au départ dans des folles pensées que ça avait été dans le but de me faire souffrir. Mais aujourd'hui, je me dis que c'était sûrement pour éviter le contrôle et qu'on apprenne ce que j'étais. Honte ou protection ? Les deux ? Je ne saurais le dire. Je suppose que je ne saurais jamais le dire en vrai. Je n'ai jamais pu te revoir, je n'ai jamais pu te reparler. Le mal était déjà assez fait. J'ai compris quand les parent m'ont dit de partir. De partir très loin d'ici. Mais apparemment le déménagement à l'autre bout du pays n'était pas suffisant... Mais mettre un océan entre nous semblait l'être. J'ai fini par accepter. Je n'avais pas vraiment le choix de toute façon. Partir sans rien dire. Pas un au revoir à personne. Ni à mes amis. Ni même à ma sœur. C'est à ce moment là que j'ai réalisé que j'avais tout perdu. Même mes parents. »


Règle numéro quatre : Ne jamais faire confiance

« J'ai détesté immédiatement cet endroit. Ce qui m'a choqué immédiatement c'était la température. Il faisait froid. Tellement qu'à peine le pied posé dehors, je crois que j'ai attrapé la crève. On m'avait dit que l'endroit était bien différent de chez moi au niveau du climat... Mais franchement à peine étais-je arrivé que je détestais cet endroit. Je le détestais au moins autant que je me détestais. Je ne savais pas comment commencer cette nouvelle vie. Il y avait bien des choses qui s'imposaient à moi: ne jamais parler du fait que j'étais un mutant et vivre de la même manière que les humains normaux. Ma mutation devint chez moi une véritable honte. Personne ne devait savoir. Absolument personne. Alors je ne devais juste plus parler. Et devenir un humain lambda. Devenir la chose la plus banale au monde. Moi qui m'étais toujours comporté comme un crétin, je te jure que ça a été dur. Mais je suppose que quand on veut, on peut. Alors j'ai repris le cours de ma vie comme celle que j'aurais du avoir. Des études. La fac, les bêtises comme ça. Sauf que ce n'était pas la suite logique de ma vie. J'étais seul au monde maintenant. Je sais que ça a tendance à faire « fataliste ». Mais j'ai encore l'impression d'être seul au monde. On dit souvent que lorsqu'une seule personne nous manque, toute la planète nous semble dépeuplée. Je le confirme. Je le vis toujours.

J'avoue que je me sens vide. Quoique je fasse. J'essaye de vivre du mieux que je peux. Mais entre le fait de ne parler à personne, de se fermer tout contact. Ce n'était pas aussi simple que ce que je pensais. Alors souvent, j'étudie. Des études en art, le dessin. Tu te souviens ? Tu les adorais. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai continuer dans cette voie. Je me suis dit « pourquoi pas ? ». Dans le fond j'avais peut-être espérer qu'étudier ce qui me détendais pourrais rendre ma peine moins lourde. Mais je me trompais. J'habite dans une résidence universitaire. Bon ce n'est pas franchement le grand luxe. Puis avec les foyers... enfin bon. Mon voisin a un gueule de bisounours. Tu le trouverais sûrement parfaitement adorable. Je ne cherche pas vraiment à le connaître. La première fois qu'on c'est vu je lui ai fermé la porte au nez. Si je me souviens bien... il s'appelle... un nom à tenir debout. Polenta Zaraki... Ou peut-être pas. Enfin bref, un truc étranger, il vient peut-être de la lune. Enfin bref. Il me pose pas de questions, tant mieux. Je ne lui en pose pas non plus. Je vis juste ma vie. Ou du moins j'essaye. Je pense que je suis un peu fou de t'écrire ça. Je sais que je ne vais même pas l'envoyer. Elle ira rejoindre les autres. Dans cette boîte. Après tout, tu dois me détester. Tu ne dois même pas avoir envie d'entendre parler de moi... Alors ceci restera pour moi, encore.

« Système de Puçage : Que non que non

« Avatar : Shiloh Fernandez
« Recyclage du Personnage : Hmmm oui