● Nom : Langford
● Prénoms : Curtis
● Sexe :Homme
● Âge : 33
● Origine Génétique : Mutante
● Origine Géographique : Manhattan, USA.
● Métier : Professeur d'archéologie à l'université d'Achaea.
● Date de Naissance : 26 janvier 1991
● Lieu de Naissance : Manhattan, USA.
● Orientation : Hétérosexuel

● Description Mentale : Curtis n’est pas quelqu’un de difficile et encore moins de compliqué. Il faut tout d’abord savoir qu’il aime son travail par-dessus tout et s’y donne à fond. Cela peut risquer de nuire à l’idée même de construire une relation avec lui, aussi amicale ou amoureuse soit elle. La plus part de ses connaissances viennent de son travail. Malgré tout ça, il ne va pas rejeter les gens (tous confondu), au contraire, il est très ouvert et parle facilement. Il aide tout aussi facilement son prochain. Disons plutôt qu’il ne les voit pas souvent, trop concentré par ses recherches. Il faut juste insister un peu. Il finira par venir boire un verre ou répondre à des questions futiles comme ce qu’il a regardé la veille. Il répondra sûrement « ses cours » ou un documentaire. Pourtant, c’est une personne qui n’hésite pas à s’amuser, ou à faire l’idiot. Comme il dit souvent, il en a besoin avec son travail. S’il ne lâchait pas un peu la bride pour rire, s’amuser et sortir, profiter de la vie, il ne s’en sortirait pas.
Malgré sa gentillesse innée et sa facilité à aller vers les gens, il peut se montrer très froid envers des personnes qui le mérite. Patient et tolérant, il ne faut pas aller trop loin. Il ne supporte pas la méchanceté gratuite, la petitesse d’esprit, et les misogyne. Il supporte encore moins qu’on lui manque de respect. Il risque de se fermer totalement. Il ne cherchera pas à crier plus fort que son vis-à-vis mais se contentera de l’ignorer à moins que ça aille trop loin. Il n’est plus le jeune et chétif petit garçon au lycée ou en primaire, il n’hésite plus à remettre les personnes en place et à montrer les poings s’il le faut. Il n’est pas friands de violence, mais il ya des choses qu’on ne peut contrôler.
Il est toujours très calme, mais comme cité plus haut, il faut se méfier de l’eau qui dort. Il travail beaucoup et est vite irrité ce qui peut le poussé à hausser le ton ou à répondre sèchement aux gens. Mais il n’en tient pas compte. Il gueule un bon coup, et ça passe, il n’est pas rancunier pour un sous. Cela veut aussi dire qu’il est franc et qu’il dit clairement ce qu’il pense, mais que quand ça vient dans la discussion, jamais il n’utilisera les vérités des gens pour les disputer ou leur faire du mal. Il accordera sa franchise que s’il tient à vous et pour vous améliorer et non vous enfoncer.
Il a un gros défaut, mais aussi une qualité, tout dépend du cadre. Il est curieux. C’est un plus pour son travail. Ca le pousse à chercher toujours plus loin et à s’intéresser à la vie quelque soit le sujet. Il adore s’instruire et instruire les autres. C’est un échange, ce qui fait de lui un bon professeur. Mais le problème est qu’il est très curieux aussi dans la vie de tout les jours. Ce qui le rend fou, c’est qu’on lui dise qu’on lui cache quelque chose ou qu’on commence par lui dire un fait sans le finir, car on ne peut le lui dire. Il ne supporte pas ça. Il veut savoir à tout prix ! Soit on lui dit tout, soit rien ! Ca va la travailler et il risque de vous harcelez jusqu’à ce qu’il oublie.
Il adore bouquiner, curieux comme il est et instruit. Il a un nombre incalculable de livre, roman, essaie, journaux, livre de photo, ou alors d’information, historique. C’est son petit plaisir quand il rentre du travail. Aller dans le canapé, se prendre une bière (il adore la bière) prendre un livre et s’endormir au milieu d’une croisade, d’une explication politique ou d’un baiser enfin donné.
Il aime beaucoup sortir aussi. Pas besoin de préciser que c’est souvent au musée ou à des expositions, mais aussi dans des pubs. Il préfère de loin les lieux convivial et bon franquette. Il n’apprécie pas trop l’ambiance des boîtes de nuits ou de soirée trop bien habillé par exemple. Il ne s’y sent pas à sa place et ça ne lui plait guère.

● Histoire : « Pour le peu de Kofun qu’on put étudier par chance d’un éboulement […] le respect des morts nous interdit les fouilles. […] On pu constater que certain de ces tertres étaient vides. Pas de tombeaux, ni traces d’ossements. Ce n’était que de simple monuments. »

_Ou alors… Des faux morts, qui ont souvent été traité comme des divinités… On prend en compte la… Merde !

Curits tapa son stylo sur la feuille de brouillon et se frottait l’arrête du nez. Ses lunettes lui pesaient sur le nez.

_Superstitions ! On aurait pu croire qu’ils étaient possédé par des man…. Où même l’idée de karma, ne jamais ressuscité, rester dans une telle enveloppe charnel…

Il se frappa le front. Il était parti sur l’absence de réelle origines des Japonais. On en parlait que peu dans les textes chinois et quand on voulait chercher trop loin, bizarrement, on l’y arrêtait. C’était bien trop vague que c’en était soupçonneux, mais alors, il avait largement divagué à cause de la fatigue.

_Mais t’es con ma parole ! On n’est pas immortel… Je m’enlise dans la connerie ! Il faut que j’aille sur ces tertres ! Tout est louche chez eux ! Pourquoi tout détruire pour reconstruire aussi hein ? Ca efface les preuves ! Je sais qu’il y a une piste. Trop de superstitions, de temple ! L’idée de mettre un simple homme au statut de dieu après la mort…
_Curtis…
_… de dieu… Ca doit bien venir de quelques parts toutes ces idées farfelues ! Pourquoi cette personne et pas une autre. Ou alors étaient-ils juste complètement illuminés ?!
_Curtis !

La voix au début lointaine le foudroya au fin fond de ses pensées. Il sursauta. Ses cheveux mi-longs était en bataille à force de se gratter la tête. Une jeune étudiante était au chambranle de son bureau. Elle était plus que mignonne, mais surtout adorable et attentionnée.

_Tu travailles trop et je dois fermer la bibliothèque. J’ai finis de tout ranger et je suis fatiguée. J’aimerai rentrer…

Elle lui fit un sourire pesant. Elle devait attendre que le professeur quitte l’endroit pour pouvoir fermer l’établissement. Ce dernier mit un peu de temps avant de comprendre. Il se leva avec précipitation avant d’empaqueter toutes ses notes et ses livres. Dont un sur la mythologie gréco-romaine où était écrit sur l’intérieur de la couverture « Que ces contes inspirent ta vie. Fillian. ». Celui-ci, il le garda contre lui.

Ce n’était pas le simple cadeau d’un étudiant à un professeur, mais de longues rechercher peaufiné par son assistant : Fillan Davis. Le professeur Langford faisait parti de l’opération Genesys. On l’avait demandé pour faire des recherches sur l’origine des mutant, où il rencontra vite un collègue qui devint vite un ami. Mais, le travail était bien trop gros, même pour deux hommes, alors avec une confiance fortement établi avec quelques élèves, ils dispatchées les recherches. Fillan lui donnait son travail à travers ce livre mais de façon codée. Les recherches étaient précieuses, mais surtout dangereuses. Si quelqu’un venait à découvrir leur études, quel sort allait-on leur réserver ? C’était un sujet délicat qui pouvait jouer sur la place qu’ils (mutants) auraient aux yeux de la société. Tout comme l’origine des japonais, par exemple. Les essaies étaient censurés et les recherches interdites à propos des origines des premiers habitants de ce pays. Sauf que là, l’importance était encore plus grande que le déshonneur d’être chinois. (Curtis pense sincèrement que c’est bien plus profond que cela pour qu’ils soient si paranoïaque.) Si Genesys démontrait que les mutants existaient presque aussi longtemps que les hommes, ne seraient-ils pas vu comme tout le monde ?! Quelqu’un aux mêmes droits qu’un humain. La question ne se pose pas si bien sûr on pense que ce gêne est une « évolution » pour en parler de façon subliminal. Pour ne pas dire un nouveau virus, ou une tare, une déformation. Voilà le but pacifiste de l’opération pour ne plus longer les murs dans la rue. Mais tout n’est encore qu’hypothèse et qui les entendra ? Curtis et son collègue vivront-ils assez longtemps ou même leurs assistants ?

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Avant de faire parti de Genesys, Curtis était un passionné d’histoire et un archéologue. Ses pouvoirs jouèrent beaucoup, mais déjà avant, il adorait savoir l’évolution de l’homme, des mœurs, les conséquences des grandes personnalités. Puis après des tues de langues anciennes et d’histoire de l’art en option, il se spécialisa en archéologie, surtout la période antique. La magie des rituel, une façon de pensée propre à chaque civilisation, leurs contes, leur trésor, leur croyances,… De nos jours, tout est mélangé, confondu, inspiré. L’histoire ancienne est plus riches et magique à son goût.

L’apparition de l’un de ses pouvoirs se fit tôt, vers ses 13 ans. C’était celui de clairsentance. Il y avait une sortie au musée avec la classe. Il se baladait tranquillement entres les œuvres exposées et liait les informations, curieux. Puis deux garçons de sa classe le chahutèrent. Dans leurs ébats, Curtis trébucha par-dessus la cordelette rouge. En voulant se relever, il posa la main sur le présentoir et le bout de ses doigts caressèrent un des trésor de l’époque incas. Un original, sans énorme valeur. Le décor changea. Il se retrouva sur une de leurs pyramides typiques. Un orateur charismatique parlait au peuple alors qu’une femme, la tête posé sur l’autel, pleurait. Un autre tenait une sorte de hallebarde. Il observa avec émoi ce qui s’ouvrait à lui. Puis tel un anachronisme dans un film humoristique, un homme en costume noir arriva dans sa direction. Il l’attrapa violemment par le manteau et le monde incas s’évanouit, laissant place au musée. On le réprimanda avec ses camarades, mais peu importe. Il était encore transporté perturbé parce qu’il venait de vivre.

Les premiers temps avec ce nouveau pouvoir fut une catastrophe. C’était incontrôlable, il devait subir ces visions du passées, ces témoignages, même pour un simple pendentif, mais avec le temps, il finit par maîtriser ce pouvoir. Il le déclenchait quand il le voulait tout en gardant un œil sur le paysage qui l’entourait. Bien sûr, il n’en parla pas, même pas à ses parents. Il avait trop peur d’être prit pour un fou ou d’être rejeté. Les mutants, déjà à ce moment était mal vu. On pensait à une maladie, ensuite un gêne qui a changé. Ses parents trop pieux en parlait comme une punition sur l’homme qui a voulu être aussi grand que lui, alors il leur donnèrent cette tare pour comprendre ô combien il ne fallait pas souhaiter être aussi puissant que notre Père. Puis à l’école, il ne faisait pas confiance à ses amis. C’était horrible, il avait si peur et il avait vu ce qu’on réservait au mutant à son lycée par exemple. On les frappait, les violentait verbalement, c’était du harcèlement moral.

L’autre pouvoir se fit plus tard. Cela se passa lors de son premier cours de grecque ancien à l’université. Tout comme son premier cours de latin. Il lisait parfaitement et comprenait comme s’il l’avait toujours parlé ses premiers textes de langues mortes. Il était complètement subjugué. Il essaya autre chose, du chinois ancien, l’écriture en hiéroglyphe. Il sortit dehors, et tendait l’oreille vis-à-vis des touristes. Et il fut bien plus étonné quand il répondit sans réfléchir une seconde, lors qu’un mexicain lui demanda le chemin dans sa langue. Il était bien plus facile à contrôler que l’autre pouvoir, mais il était vite dur d’expliquer à ses amis comment il pouvait connaitre tant de langue. Alors, il ne se vantait pas trop devant des gens qu’il côtoyait souvent.

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Ensuite, il eut son diplôme et travaillait déjà sur des sites de fouille. Le premier était en France, dans la Vendée. Un petit site sur les trésors des latinistes, mais il y était allé surtout par curiosité, comme une sorte de stagiaire qui venait se faire un avant goût de son travail. Puis ensuite, ce fut l’Egypte.

Il travaillait sur une pyramide découverte il y a peu. Il était arrivé un peu tard et on avait déjà découvert pas mal de trésor et d’information, mais il y avait beaucoup de travail. Lors de cette fouille, il découvrit bien plus qu’un trésor égyptien caché, ou un témoignage dessiné sur les murs qui aurait pu changé l’histoire. Par une grande maladresse de sa part, sa lampe torche lâcha, un soir alors qu’il cherchait à comprendre les zone d’ombre des contes témoigner sur le mur. Il savait pourtant qu’il n’y avait plus beaucoup de pile, mais peu importe, il était dans le feu de l’action et ne voulais pas s’embêter avec ce genre de détail. Il était parfois inconscient. Le voilà, dans le noir. Une main fine vint soudain lui faire tomber ses lunette et se tâtonnait un chemin jusqu’à ses mains. On lui arracha la lampe des mains.

_Même si j’aimerai une excuse pour que t’abuse de moi, les tombeaux ne m’excitent pas plus que ça…

La source de lumière se mit à briller de tout son éclat et on put apercevoir le doux visage de Maelys Briec. Une fille qui n’avait pas la langue dans sa poches et aux charmes exquis. Elle était plus historienne qu’archéologue et était passionnée d’Egypte et de Curtis. Ils sortirent de la pyramide et pour une fois, le futur professeur avait remarqué les beaux yeux bleus de la brune. Il la ramena à sa tente et trouva la sienne. La lampe était toujours dans sa main et il resta allongé dans son lit, pensif. Il dévissa le cul de la lampe de poche pour conserver les piles en souvenir. Il adorait collection des objets tout bête mais qui avait un petit quelque chose, une histoire à raconter. Sauf qu’il n’y avait pas de pile. La lampe était vide. Il essaya de l’allumer, rien. Pourtant elle marchait très bien et il ne l’avait lâché une seconde. Sa curiosité pour Maelys ne fit que grandir bien plus. Une discussion s’imposa le lendemain. Elle lui confia à conter cœur qu’elle pouvait contrôler l’électricité. Curtis ne dit rien sur le moment, et finit par avouer ses pouvoirs à son tour.

Ce jour là, naquit une amitié mais aussi un amour. Maelys fut la première personne à connaitre son secret. Ils firent un magnifique couple qui malheureusement perdit de sa passion et de sa complicité car Maelys restait en Egypte alors que Curtis parcourrait le monde, à la recherche d’encore plus de savoir.

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Ce beau couple vit sa perte apparaître quand l’opération Genesys avait entendu parlé de Curtis et de ses idées militantes. Il était en Chine à ce moment là, dans un grand tombeau. Il était conscient de ce qui se passait dans le monde, mais impuissant pour améliorer la vie des mutants, il s’enfermait dans son travail. Lui aussi avait entendu parlé de cette opération qui avait rendu la tension plus présente. On lui donna la chance et les moyens d’aider leur cause. Pour lui c’était une légende, mais Genesys existait vraiment, une personne la représentait à ce moment et en plus de tout ça, on acceptait volontiers son aide ! On lui proposa un poste au sein de cette opération qui pouvait lui permettre de faire avancer les choses si les résultats étaient bons. Il perdit aussi l’amour de sa bien aimé en acceptant.

Ils s’étaient retrouvé après une longue absence, l’un l’autre à un coin du monde. Elle lui demanda des engagement. Il l’écoutait à peine. Il avait beaucoup de travail, et n’arrivait plus à lever ses yeux de ses notes. Elle tapa sa bouteille de bière sur la table et sa voix éclata.

_Je veux un enfant Curtis ! Tu n’en veux pas toi ?
_bien sûr que si, pourquoi tu me dis ça ?
_Parce que j’en veux un… avec toi… Tu n’en veux pas de moi alors ?
_Mais ça n’a rien à voir. J’en veux, mais pas maintenant. Qui va se sacrifier pour s’en occuper ? Toi ou moi ? Tu as vu notre travail ? J’ai un poste important désormais. Je n’ai pas le temps. Je veux en avoir, mais dans un monde meilleur, plus accueillant, où on sera sûr d’être présents, sans avoir d’incident. T’es inconsciente de vouloir un enfant à un moment pareil en plus. Je ne veux pas faire d’enfant dans un atmosphère de conflit ! Puis, mon travail est important pour moi ! Qui sait si je ne ferai pas changer les choses ! Quand j’arriverai à faire bouger un cailloux et qu’on déplacera par la suite des déserts, oui. Je voudrais un enfant et je te le ferai…

La jeune femme le fixa longuement et mit fin à leur relation en quittant l’appartement du jeune homme. Curtis fut blessé, mais c’était quelque chose de si décisif de vouloir un enfant et si elle ne voyait pas dans la même direction que lui, autant qu’ils se séparent. Il n’eut pas le temps de broyer du noir. Il travaillait tant par la suite qu’il lui était difficile de construire de nouvelles relations ou alors elle ne tenait pas. Et qui plus est, ça faisait que depuis son entrée dans Genesys qu’il habitait à Achaea ; il ne connaissait pas grande monde. Il fallait dire qu’il ne cherchait plus vraiment non plus. Il se donnait corps et âmes à l’opération. Bien sûr, il aimait toujours séduire, mais c’était plus taquin que sérieux, se disant d’avance qu’il n’y aura rien d’autre que de bon moment. Sincèrement, jusqu’à maintenant, la personne qui était resté le plus longtemps à ses côté, ce fut un mois. Il se disait de toute façon qu’il avait le temps et qu’il verrait après pour s’engager avec quelqu’un.

Il était maintenant, professeur à Achae en archéologie, et pendant ses heures perdues, il bûchait pour faire avancer ses recherches que finançait l’opération Genesys. Bien sûr c’était secrètement, comme il cachait sa nature mutante au public. Il avait peur qu’on lui fasse du mal d’après ce qu’on entendait ces dernières années. C’était aussi pour cette raison qu’il n’était pas recensé.


● Avatar : Jake Gyllenhaal
● Recyclage du Personnage : Bien sûr, c'était pas vraiment le miens à la base.