● Nom : Grace Parker.
● Prénoms : Ella.
● Sexe : Féminin.
● Âge : Vingt Cinq Ans.
● Origine Génétique : Mutante.
● Origine Géographique : Née en Amérique, à New York, mais la mutante à des origines italienne qu'elle tient de sa mère. On peut aussi retracer quelques autres origines on peut partout, mais ça n'a pas d'importances.
● Métier : Mannequinat / Top-Modèle depuis déjà plus de cinq ans.
● Date de Naissance : Conçue lors d'une belle journée de fin d'été, elle est née, neuf mois après, le 21 Mars 1998, faisant le grand bonheur de ses parents.
● Lieu de Naissance : Bien que la famille de la jeune demoiselle ait habité presque toute leur vie à Achaea, la jeune demoiselle, elle, est née à New York.

● Description Mentale : Comment peut-on décrire notre propre psychologie, notre caractère, notre façon de penser ? Si je dis que ma façon de penser est bien ; ça serait d'après moi, mais cet avis différerait selon la façon de voir les choses des autres. Alors, comment quelqu'un peut-il décrire son propre mental ? Il est libre d'exagérer ou bien de cacher des choses, non ? Voilà ce qu'est une description psychologique d'une personne ; des qualités, quelques défauts pour ne pas faire penser aux autres qu'on leur est supérieur et des peurs - celles qui nous passent par la tête - et le tour est joué. Ne mentons pas. Qui se dévoile entièrement aux autres ? Et surtout qui ne change pas ? Nous pouvons bien être une personne généreuse, un jour et un autre, une personne ayant commis quelque chose de détestable. Mais, cependant, je vais quand même essayer de décrire mon caractère...

Donc commençons par ce qu’on appellerait mes « qualités ». On pourrait me décrire comme une personne extrêmement serviable et généreuse. Toujours là pour aider son prochain ; je n'hésite pas à courir des kilomètres pour allez aider un ami dans le besoin. Ce trait de caractère vient probablement de ma peur de me retrouver sans personne autour de moi. Effectivement, plus nous sommes là pour quelqu’un, plus cette personne a tendance à vouloir être là pour nous. Ici, il n’est pas question de chantage, d’égoïsme ou peu importe. Mais juste des peurs d’une pauvre mutante.
Je suis une aussi une personne très responsable, qui saura prendre en mains ses responsabilités ainsi que les assumer. Je sais ce que j’ai à faire, et je le fais si ça fait partit de mes responsabilités. Ça vaut aussi pour mes erreurs. Je sais les comprendre et je suis quelqu’un de très ouvert aux leçons de la vie par le biais des erreurs personnelles.
De plus, les gens me qualifient de « fille très intelligente ». Mais je ne crois pas que ce soit le terme exact. J’ai toujours été doué à l’école, mais ces informations, ces compétences qu’on apprend à cet âge, ce ne sont qu’une intelligence académique. Ça n’a rien à avoir avec l’intelligence en tant que telle. Je n’ai pas le mérite de me vanter d’être intelligente. À défaut d’être l’intello, j’ai toujours voulu apprendre des choses sur ce qui m'entoure et c’est probablement ça qui fait de moi une fille un tant soit peu intelligente.
On peut aussi dire que je suis une jeune femme très sensible. Je suis probablement une fille très fragile et donc un peu d'arrogance ou de prétention peuvent me vexer. Bien sûr, je ne pleurerais pas, toutefois, ils m’arrivent souvent de bouder suite à ce genre d’arrogance chez certains. Bouder pour le plaisir ? Peut-être. Après tout, je suis quelqu’un qui aime rire, s’amuser, lancer des pics, pouvoir ne pas prendre les choses aux sérieux 24h/24. Ainsi donc, il m’arrive souvent de vouloir m’amuser avec mon entourage, utilisant l’ironie, le sarcasme, parfois même la folie, justement en jouant la tarée, mais cela ne m’empêche pas pour autant d’être froissée si on use trop du sarcasme avec ma personne. Mais en général, je prends assez bien les choses, souriant à la vie, malgré mon statut de mutante.
Je suis aussi une femme très patiente, sereine, joyeuse. Je suis loin d'être une de ses "allumeuses" qu'on peut voir dans les rues ou bien le genre de petite amie qui serait impatiente et jalouse. Non, je suis une femme qu’on qualifiera de "bien". Comme toute fille censée, il m’ait peut-être arrivée d’aguicher un mec ou deux, pour le simple plaisir, ou parfois, par devoir professionnel, mais cela n’enlève rien à ma générosité et à ma sincérité qui feront de moi une personne qu’on voudra – tout du moins j’espère – revoir.
D’autant plus que je suis certainement LA personne sur qui on peut compter pour se confier. Toujours là ; je suis l'oreille idéale pour mes proches comme pour les inconnus. Jamais - mais vraiment, jamais – je ne trahirai mes amis en parlant de leurs secrets. J’ai le sens de la loyauté, tout simplement.

Mais personne n’est parfait et ça tout le monde le sait. Si je semble être une demoiselle presque parfaite, jumelant des qualités telles que la générosité, la loyauté, la patience, la sensibilité, cela ne m’empêche pas d’avoir certains vices, certains défauts. J’ai beau être une mutante, je reste avant tout une humaine comme les autres, et je suis donc dans le même sac que tout le monde.
Bref commençons. Mon premier défaut, c’est probablement le fait que je sois naïve. Mais c’est un défaut assez particulier. Je ne suis pas naïve de base, plutôt timide et distance aux premiers abords, je fais passé cette attitude, ce masque froid, sur mon métier de top-modèle. Mais une fois placée en confiance, là je deviens naïve. Le problème, c’est qu’il faut attendre que je sois assez en confiance, outre, je paraîtrais distance et froide. Mais là n’est pas le sujet. Je suis naïve, oui, j’accorde trop d’importance aux gens que je connais à peine, je cherche sans arrêts à aider les autres, je ne vois jamais le mal, il m’arrive même parfois, de me la jouer un peu « sotte », de jouer celle qui ne comprend rien, par simple naïveté et plaisir personnel, mais cela peut bien souvent embêter les gens.
Sinon, je suis aussi, sans même le remarquer moi-même, plutôt indécise. Je n’ai pas ma propre opinion. Je me range souvent du côté des plus nombreux, seulement car c’est plus facile pour moi. C’est un défaut, car ça m’empêche d’avancer ‘correctement’. Jamais arrêtée sur un point précis, je retourne toujours ma veste. Bref, les gens détestent ça chez moi, et le pire, c’est que je ne m’en rends souvent pas compte.
On pourrait même ajouter, aussi bizarrement que cela pourra vous paraître, que je suis légèrement gourmande sans même m’en rendre compte. Mais, ce n’est pas un simple petit pêché mignon… C’est mon pêché capital ! Étrange pour une top-modèle me direz-vous, et bien oui, c’est vrai. Mais que voulez-vous ? Il faut de tout. Alors, la gourmandise, c’est mon pêché, certes, mais c’est assez compliqué. Je suis une gourmande de tout, pas forcément que de la nourriture, j’aurais tendance à acheter n’importe quoi d’inutiles seulement pour me gâter. Pensant par les sucreries, aux petites choses totalement inutiles, et aux luxes de la nourriture comme les vins à des centaines de dollars. Toutefois, heureusement pour moi, je suis entouré d’une équipe à l’agence qui me permette de garder la ligne et parfois de réduire mes dépenses… Mais, je ne me rends moi-même pas compte de ce que je fais. Un pêché est un pêché !

● Histoire : Vingt-et-un mars 1998, fut le jour où je naquis. Il fallait dire que je fis la joie de mes deux parents qui attendaient depuis si longtemps l’arrivé de leur enfant. Ce fut probablement les neufs mois les plus longs de leur vie. Il fallait aussi dire que je naquis le jour où le printemps arrive et commence à se montrer. La neige et le froid partent, les fleurs repoussent, le beau temps revient, et une fille magnifique nait. Quoi souhaiter de mieux à ces chers parents ? Tiens d’ailleurs, mes parents étaient le couple idéal. Ils s’aimaient depuis des années, s’étaient mariés il y a environ un an et demi et maintenant ils avaient une jolie et petite fille (moi !, voyons). John Parker, brillant et très réputé docteur, et Melinda Grace, intelligente et maligne avocate, commencèrent peu à peu à apprendre à éduquer leur fille. Il fallait dire qu’ils n’avaient jamais été préparés à éduquer des enfants et que c’était tout une épreuve pour eux. Quand j’étais jeune, petite, joufflue et bruyante je ne savais pas que quand je pleurais car j’avais faim ou bien que j’avais fais popo dans ma couche-culotte, cela les dérangeait… Avoir su, j’aurais été plus calme, mais que voulez-vous ? Ils s’habituèrent et devinrent d’excellents parents.

Mais bien sûr, Papa et Maman ayant des boulots très encombrants ne pouvaient pas toujours être là pour moi. Ne vous inquiétez pas, cela n’eut aucune répercussions chez moi. C’était ma grand-mère du côté de ma mère qui me gardait. Dès l’âge de trois ans, je l’aimais comme si s’était ma deuxième mère. J’avais appris à dire son nom, son âge – qui n’était pas le bon, soit disant passant – et le nom de son mari, etc. Bref, j’étais son chouchou d’amour et c’était ma vielle peau ridée d’amour. On passait sans arrêt du temps. Que ça soit avec mes parents, ou bien seulement moi et elle, on sortait souvent dehors jouer au ballon, ou bien parfois on restait à la maison et elle m’offrait ses vielles poupées que j’adorais. Il faut le dire, c’était le bonheur avec elle. Elle était omniprésente pour moi et elle m’apprenait sans arrêt des choses. Les années passèrent, je grandis et elle aussi, mais on continua quand même d’être « les meilleures amies ».

Mais voilà, les années passèrent, et je grandis. Je me fis des amis, j’allai en cours, etc. Bref, je commençais mon petit bout de chemin. Je voyais de moins en moins, ma grand-mère, mais je lui rendais visite quand même, quand je ne sortais pas avec des amis ou quand je n’avais pas de devoirs. D’ailleurs, malgré que j’haïssais de tout mon cœur les devoirs, j’aimais l’école. On y apprenait tant de chose que c’était magique pour moi dans ces temps-là. Toute fois, ce beau moment fût bousculé par un évènement qui changea ma vie à jamais… Comment oublier ? Comment oublier le fait que j’avais fais sauté toute les appareils électriques de la maison à ma grand-mère ? Je n’avais rien vu, mais ma grand-mère elle, avait tout vu et avait été étonné… Mais étrangement, elle ne fût pas dégoutée. Non au contraire, elle répara le téléphone et appela sa fille, pour lui expliquer qu’une nouvelle mutante venait d’entrer dans la famille. À présent, je comprends que les femmes de ma lignée étaient toutes des mutantes, mais quand j’étais cette toute petite fille innocente je fus choquée, épeurée, attristé, surprise, bref, toute sorte d’émotion traversèrent mon esprit ce jour-là. Vous l’aurez donc compris, cette soudaine « apparition » changea ma vie…

Ma grand-mère avait le pouvoir de lire dans les pensés des autres, et ma mère avait le pouvoir de créer et d’effacer des souvenirs. Je trouvais ça amusant quand j’étais jeune, moi qui regardait les émissions où des super-héroïnes avaient des pouvoirs et étaient habillés en guerrière trop jolie. En gros, j’aimais mon pouvoir car il s’était présenté qu’une seule fois et me rendait spéciale à mes yeux. Mais voilà, ma mère voulu se rapprocher d’avantage de moi et laisser beaucoup trop de côté mon père qui commença à avoir une autre femme. Je l’appris à mes quinze ans, et il demanda le divorce. Ma mère accepta et ma grand-mère vînt s’installer à la maison afin de le remplacer. Ce fut dur pour moi, au début, mais avec les mois, tout cela passait et je m’en remis grâce aux garçons, aux amies, aux cours etc.

Puis encore ; les années passèrent. Je devins une femme resplendissante, mature, belle et…détruite par son pouvoir. J’essayais tant bien que mal de cacher cette erreur de la nature qui m’avait transpercé et qui s’était caché en moi, mais c’était parfois impossible. Je faisais sauter les appareils électriques et je m’étais électrocuté une fois en sortant sous la pluie. Je n’en pouvais plus. Je ne me reconnaissais plus. Je voulais changer de vie. Je décidai donc de partir de chez ma mère, prendre un appartement, et faire des études de mannequinat. Des études assez simples et peu longues qui me mèneraient à un travail qui rapporterait beaucoup. Peut-être étais-je réellement différente des autres ? Mais cette sensation me déplaisait. J’avais l’impression d’être un monstre. Je me tuais peu à peu et je pouvais tuer n’importe qui que j’aimais d’un coup… C’était monstrueux et j’étais un monstre… Toutefois, ma vue des choses changea au cours des années et je pris le temps d’accepter ce pouvoir que je n’aimais pas. Il faisait partit de moi et j’allais vivre avec, mais je continuerai de le détester, c’est ce que je m’étais dis le jour de mes vingt et un an.

Je devins la top-modèle que je voulais être facilement. Le métier ne me plaisait pas forcément énormément, mais il rapportait beaucoup et il m’était très facile de gagner ma vie de cette manière. J’essayais de vivre tant bien que mal – mais surtout mal ! – et je faisais chaque jour mon petit bout de chemin. J’avais en tête qu’un jour, je réussirai à contrôler mes pouvoirs et qu’ils me serviront à faire le bien et non le mal. Malgré tout, elle essaya de vivre avec les humains. Elle avait parfaitement réussit à se fonder dans la masse. Il m’arrivait avec le temps de donner quelques chocs aux autres, mais je faisais passer tout ça pour un hasard. Les gens gobaient cette excuse, et tout allait bien pour moi.

Toutefois, tout change dans la vie. C’est une chose à savoir. Une chose primordiale. Et vous vous en doutez donc, ma personne autant que ma vie ont changé. Je rencontrai des gens bien plaisants, des hommes, des femmes, des agents, d’autres top-modèles, en passant même par des photographes, des garagistes ou bien des avocats venant de sa famille. Vous vous en doutez donc, j’en avais rencontré des gens en si peu de temps. Mais tout cela ne prit pas une grande tournure dans ma vie. Au contraire, ces rencontres furent rapidement bâclées et les relations étaient très difficiles à entretenir. Mais avec le temps, j’oubliais ce détail qui importait peu pour une top-modèle. Parlant de mon métier, je grandissais, je vieillissais, je acquérais donc une certaine expertise dans le métier. J’ai été rapidement poussé à travailler des heures supplémentaires, à ouvrir mon catalogue à un horizon plus grand, plus ouvert, plus étendu, pour ainsi donc encaisser bien plus de fonds. Car oui, cet argent, elle n’était pas pour moi. Si je travaillais, c’était pour ma mère. À la retraite, sans reers, elle ne pouvait pas vivre seule. Je me devais de l’aider. Je détestais cela ; mon métier ne me plaisait même plus qu’autant qu’avant… Mais que voulez-vous ? On ne peut pas abandonner, et se faire ce qu’on veut lorsqu’on a un aussi grand poids sur les épaules. Alors, je me contentais de vivre… Ou tout du moins, de respirer. Car je ne vivais pas réellement. Menteuse, car effrayée de dire que j’étais mutante, je ne pouvais pas vivre comme je le voulais. Occupée, car je travaillais du matin jusqu’à la nuit, je ne pouvais pas vivre ma vie comme je le voudrais. Donc, oui, je me contentai d’avancer. Après tout, que pouvais-je faire d’autre ? À quoi cela servirait-il d’ailleurs de faire davantage d’efforts ? À rien. Strictement à rien.

Les mois passèrent, et j’eus bien des problèmes avec mon pouvoir. Heureusement, ma mère fût là pour m’aider à passer à travers. J’appris à maîtriser mon pouvoir. Je savais à présent garder le contrôle de celui-ci et je savais l’utiliser à son plein potentiel. Mais je m’en foutais un peu. Car ce que je recherchais réellement, c’était à m’en débarrasser. J’y pensais depuis des années déjà. Ma vie serait tellement facile sans mes pouvoirs - ,me disais-je. Je saurais une humaine qui serait pour les mutants et donc ceux-ci n’aurait aucuns problèmes avec moi, et les autres humains n’en auraient pas plus car je serais l’une d’entre eux - ,ajoutais-je des fois même.

Ainsi donc, après quelques semaines, je demandais à ma mère de venir chez moi. Mon métier ne m’offrait plus la possibilité d’avoir une vie privée quelconque, alors je préférais autant avoir les peu de gens proches de moi … euh..bien, proche de moi ! Ma mère qui se faisait vieille, acceptait bien évidemment, et ça faisait une charge en moins pour moi ; je n’avais plus qu’a payé pour un seul appartement. Je vécu donc quelques mois avec elle, avant que tout bascule. Les nouvelles en parlaient, les journaux, les gens, tout, tout, tout. Quoi donc ? Les mutants, encore une fois. Des attaques, des assauts. Puis à présent d’une puce électronique à laquelle les mutants allaient devoir se soumettre. Ce jour-là, je n’avais jamais vu ma mère aussi révoltée. Elle ne voulait pas se soumettre à cette nouvelle loi. J’avais beau lui expliquer que si elle ne le faisait pas, elle allait avoir de problèmes, et que je ne voulais pas la perdre. Mais, c’était une vraie tête dure. Autant que sa fille. Elle me dit alors ce jour-là qu’elle allait devoir quitter le pays, et qu’elle allait se servir de son don – effacer et créer des souvenirs - pour pouvoir esquiver l’autorité. Je n’en croyais pas mes yeux. Je restai silencieuse. Je ne savais pas quoi dire, mais au fond de moi, je savais que la force de mes mots, l’immensité de ma peine, etc, ne changerait rien à la décision de ma mère…Et je crois que ce fût cela qui me blessa le plus ce jour-là ; cette fatale vérité.

Je fus donc obligée de me faire « pucée ». Je ne savais rien de cette puce, mais j’acceptai de la porter. Je n’avais jamais été une fille à trouble. J’avais été éduquée pour suivre l’autorité. Si le gouvernement l’obligeait, ça sera ainsi. Je ne voulais pas être maltraitée comme les autres mutants et si pour cela je devais passer par le biais d’une simple puce électronique, et bien je le ferais – voilà ce que je m’étais dis.

Les mois passèrent donc de nouveau et je ne m’étais jamais senti aussi seule. J’étais dans un vrai état de neurasthénie. Mais j’essayais tant bien que mal de vivre – une fois de plus. Je décidai de retourner à mon horaire d’origine, pour éviter d’être si « overbookée » et je continuais ma simple routine. Ennuyante, certes, mais au moins, je vivais en paix.
C’est seulement il y a quelques semaines que j’eus un appel d’un homme que je connaissais très peu ; Justin. Je l’avais revu quelques fois depuis notre première rencontre – soit il y a trois ans, vous savez, c’est le fameux photographe – dans la rue, ou bien pour lui redonner sa fameuse veste, mais c’est tout. Je fus donc surprise de recevoir un appel du jeune homme qui souhaitait seulement me revoir. J’acceptai et on discuta alors. Il me dit alors qu’il avait à présent plus aucun domicile, et je connaissais bien sa situation financière – quasi inexistante, notez bien d’ailleurs – et j’eus un peu de compassion et je lui proposai de venir habiter chez moi. Pourquoi ? J’étais seule, j’avais besoin de compagnie. Et je savais que l’humour de ce cher Justin allait réanimer un peu l’appartement silencieux dans lequel je vivais.

Et c’est après trois semaines de cet évènement que ma vie est rendue. Vingt cinq ans, et toujours aussi martyrisée.

La vie est si injuste….

● Avatar : Amber Heard.
● Recyclage du Personnage : Euh...Oui, mdr ! xD