Vingt deux ans, Bella Cartwright est une jeune femme très belle avec un charme fou. 1m68 pour 50 Kilos. On dit souvent que Bella a un corps de rêve, lui permettant de prendre les autres de haut et de se sentir très largement supérieur aux petites minettes. Mais le plus attendrissant chez elle se sont ses grands yeux turquoise qu’elle maquille très finement. Elle "parle" avec ses yeux, ils sont très émouvants, très expressifs. Souvent un regard suffit pour dire tout ce qu’elle a sur le cœur. Bella a aussi de petites mains qu’elle orne souvent d’une bague, ainsi que de nombreux bracelets. Ses longs cheveux bruns lui permettent de réaliser toute sorte de coiffure l’avantageant, elle les noue en une queue de cheval haute, elle met un bandeau, mais le plus souvent elle les laisse libre, retombant en cascade jusqu’au bas de son dos. Quelques mèches se perdent également sur ses fines épaules, assez carrées mais très joliment dessinées.
La jeune femme pratique également plusieurs sport qui lui permette de garder sa ligne parfaite, notamment de la danse classique qu’elle exerce depuis son plus jeune âge. Elle aime se défouler et se surpasser. Le charme et la beauté ont d’ailleurs été ses principales atouts pour conquérir tous les plus beaux garçons de son entourage. Un teint de pêche, sa peau n'est ni trop blanche, ni trop allée, lui donnant un air rayonnant. Son sourire hautain est très marqué par ses lèvres rosés, assez pulpeuses et bombés. Ajoutez à cela une cambrure de danseuse et des hanches tout juste comme il faut, vous obtiendrez le portrait de notre fascinante brunette aux yeux turquoise. Une façade oui.. un masque de beauté pour cacher sa véritable souffrance qui déchire son cœur, son corps, son essence même.

Bella Cartwright est une jeune femme que l’on remarque, outre sa beauté spectaculaire qui fait étinceler de nombreux regards, on observe instinctivement sa prestance, son allure si gracieuse et si constante. Si on se souvient de son visage et de son corps aux courbes parfaites c’est bien grâce a sa formidable présence. Son sourire est comme incrusté en elle, elle transmet d’ailleurs sa bonne humeur et déambule telle une étincelle qui ne faillit jamais, à la voir dynamique, douce, sauvage et souriante, on ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire également ; et c’est ainsi que sa sociabilité naît, son carnet d’adresse la hissant sur le trône de la popularité. La jeune femme à pour grande qualité de voir le meilleur en chaque personne et en chaque action aussi anodine soit-elle, d’un naturel joyeux, elle n’est pas du genre à s’arrêter sur des détails et reste fraîche comme une rose, évitant les conflits et ne se prenant pas la tête pour de simples futilités. Sa spontanéité la caractérise comme l’étudiante la plus franche et la plus déterminé qui soit. Vous l’aurez compris, quand la jeune Cartwright veux quelque chose, elle l’obtient toujours et pour cela elle n’hésite pas à placer ses caractéristiques les plus noir sur le devant de la scène. En effet, derrière cette douceur si agréable et si séduisante, Bella peut se montrer parfois hypocrite et manipulatrice pour parvenir à ses fins. Je ne vous dirais pas de vous éloigner d’elle, seulement de faire en sorte de ne pas être son ennemi, cela pourrai vous être fatale, ses opinions et ses idéologies ayant une influence assez importante et son côté rancunier étant inclassable. En revanche, si vous faîtes partie de son petit groupe d’amis privilégié, elle vous accordera une attention très particulière et pourra même se montrer possessive et très jalouse. Bella est une femme avec des principes et des valeurs, cependant ses parents l’ont toujours élevé dans la haine des humains. Ses connaissances sont pratiquement tous des mutants hostiles et elle a évoluer dans ce monde malsain et corrompu sans trop poser de question, pour le moment du moins. Fêtarde et extravertie, Bella à souvent tendance à frôler les limites, se montrant parfois inconsciente. Mais à l’intérieure, elle est une jeune femme passionnée, légère comme une plume, émerveillée devant l’abstrait et la danse –qu’elle pratique depuis son jeune âge- . Littéraire dans l’âme, elle se sent vibrer au contact des mots avec lesquelles elles aiment dialoguer en secret. Elle à toujours été captivé par tout ce qui est incompréhensible mais pourtant si subtil. Une pointe altruiste, la demoiselle est définitivement une artiste.

-Elle fait de la danse classique depuis son plus jeune âge.
-Elle aime sortir le soir et organiser des soirées.
-Elle est insomniaque.
-Elle met toujours trois sucre dans son café.
-Elle fait souvent craquer tous les garçons malgré elle.
-Elle garde bien son secret, personne ne sait réellement qui elle est. Personne ne sait rien sur son passé. Et cela lui va parfaitement comme ca. Blessée par la vie, la jeune femme cache merveilleusement bien son jeu.
-Elle fume trop.
-Quand elle dit « peut être », ça veut toujours dire « non ».
-Elle laisse toutes les lumières allumées même en plein jour.
-Elle peut se montrer très manipulatrice.
-Elle préfère les chats au chien mais si elle devait choisir elle achèterait plutôt un chien.
-L’orage la terrifie.
- Elle est idéaliste et songe souvent à quitter le clan des mutants hostiles mais elle a beaucoup trop de respect et de gratitude pour son père pour le faire.
-Elle n'est jamais tombé amoureuse.
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« Groupe : Mutants Hostiles
« Raisons : Elle n’a jamais vraiment choisie. Abandonnée par sa mère et recueillie par son père –qui était un mutant hostile- elle à décidé de lui faire confiance. Se retrouvant en Russie, apprenant à contrôler son pouvoir et ses sentiments, Bella est donc élevée par son père qui ne fait que lui répéter que les humains sont perfides et malsains. Hésitante et se montrant quelque peu réticente à cette révélation, elle se fait manipuler malgré elle par son père et décide finalement de rester avec lui et dans son groupe de mutants hostiles qui devient dès lors le sien.

« Pouvoir(s) : Télékinésie
« Description : Bella possède une faculté hors du commun, celle de déplacer les objets par son esprit. Un pouvoir qu’elle a découvert au cours de sa onzième année, brisant un vase dans un accès de colère, sans bouger le petit doigt. Dès lors, à chaque émotion forte, les objets se mettaient à dégringoler de tout part laissant la jeune femme terrifiée. L’influence de sa mère l’enfonça dans une vision chaotique et elle renia ce pouvoir, tentant de l’ignorer, de le faire taire à jamais. Cependant, il s’imposa à elle comme une évidence, et un jour, au collège, elle blessa une fillette qui avait eu le malheur de la provoquer. Rien de bien méchant, un pansement et l’affaire était classé mais Bella fut très choquée par ce fait. Elle avait envoyé une chaise droit dans la figure de l’intéressée, et celle ci s’était écroulé sous le poids de ce meuble trop lourd. Ce fut la première fois où elle avait vraiment orienté son geste et sa pensée. Elle avait fixé la chaise et imaginé que celle ci attaque son adversaire et la chaise avait réagit sous sa pensée malsaine. Biensur, la tentation était trop grande, elle s’entraîna dans sa chambre mais sans grand résultat, les objets refusaient de lui obéir et elle abandonna bien vite, déjà défaitiste. Ce n’est qu’à ses dix sept ans qu’elle prit conscience que son pouvoir était puissant et surtout contrôlable. Son père l’aida profondément et lui apprit à se servir de ses émotions afin de posséder ses pensées. Ainsi elle arriva à contrôler de petits objets uniquement en pensant à des évènements très fort de sa vie, et plus ce sentiment était intense, plus l’objet lui obéissait. Mais son pouvoir était lunatique et il arrivait qu’elle se concentre au point d’en avoir le tournis et que les objets restent immobile. Au fil des années, elle apprit à contrôler son pouvoir avec plus d’assurance mais il est toujours nécessaire qu’elle puise dans ses souvenirs difficiles afin de se mettre en colère et de réussir à soulever un objet et de l’orienter où bon lui semble. Le plus grand danger reste sans doute le fait qu’elle à du mal à contrôler ses émotions et que son côté morale la fait souvent douter. ....

I- Je m’indigne donc je suis.

« J'ai tout mangé le chocolat.
J'ai tout fumé les Craven A.
Et comme t'étais toujours pas là,
j'ai tout vidé le Rhum Coca »

Deux turquoises étincèlent dans l’obscurité, défiant la pénombre, se hissant aux cotés de la lune. Taciturne, une fillette exhaustive s’envole seule et sans attaches, assise en boule dans sa cuisine lugubre. Les pupilles dilatées, le visage enfouit dans des volutes de fumée, elle sombre peu à peu vers un univers encore pire que le sien. Ses tempes battent au fur et à mesure que ses yeux se ferment. Ses poumons se désintègrent au rythme haché d’une respiration incertaine. Son visage pique, et son nez saigne. Triste spectacle, délirante scène. quinze ans et déjà dopé, le quotidien d’une enfant solitaire dont les parents sont constamment absent. Intoxiqué jusqu’aux racines, drogué par dépit. Conséquence déplorable d’une solitude bien trop précoce aux effets néfastes et préjudiciables. Les étoiles se taisent comment vous vous taisez. Les minutes se fanent, le bonheur n'est qu'une illusion, fantasme oublié et enfouie dans les ténèbres. Satan lui même rirai en voyant cette enfant perdue, vouée à elle même, se détestant, abjecte. Coupée du monde, isolée, détachée. Et le sommeil la dévora. Les premières lueurs du soleil s'engouffrèrent à travers la fenêtre, un bruit sonore et précis se fit entendre. Des clefs qu'on tournent et une porte qui s’ouvre à la volée, s'écrasant avec lourdeur contre le mur. Des talons raisonnèrent et se rapprochèrent du cadavre indolent. D'une voix rauque et aride, des arpèges non mélodieuse émanèrent de la vieille femme. –Bella ! Relève toi putain ! Les paupières encore à demi-closes, l'enfant murmura dans un souffle –Hum.. maman ? Le visage de sa mère se tord, le temps manque à la tendresse. – Ta mère est en voyage au Népal, tu le sais très bien ! un espoir ? – Tu as des nouvelles de papa ? Jamais. – Je t’interdis de parler de ton père.

Le soleil brille, surplombant le ciel, imposant ses rayons, éblouissant la Terre. Une mèche de cheveux relevé, puis glissé derrière l’oreille. Bella immergea sans réelle satisfaction. Le chaos était son berceau, le seul qui voulait bien d’elle, en quelque sorte son refuge éternelle. Elle se releva avec peine et ramassa ses affaires. Bouteilles vides et cigarettes jetées machinalement dans la poubelle. Le carrelage de la cuisine était dans un triste état, presque autant que l’esprit de l’adolescente. Bella s’étira de tout son long, et des crampes surgirent au niveau de ses cuisses et de son cou, il faut dire que s’assoupir la tête sur les genoux n’était pas vraiment conseillé au niveau du confort. Il y a bien longtemps que l'enfant n'éprouvait plus de regret. Elle vivait seule, sa mère étant constamment en voyage et son père restant une énigme, un fantôme qu’elle avait vu pour la dernière fois lors de ses dix ans. Au lycée, Bella était une fille populaire, appréciée de tous et elle jouait le jeu, elle faisait semblant d’être heureuse et parois ça marchait plutôt bien. Mais lorsqu’elle se retrouvait confrontée à la solitude, elle sombrait dans la drogue et tout devenait plus dur, ou plus simple ? Sa tête lui tourna un instant et elle du prendre appuie sur le rebord de la table pour ne pas s'écrouler. Cependant, elle sentit ses jambes se fléchirent sous son poids et ne pu éviter une chute ingrate et douloureuse. Elle essuya d’un geste brusque le sang séché au dessus de ses lèvres et sa langue se réveilla sous ce goût amer et de fer. - Et Merde..

La démarche prompte et vannée, elle se dirigea vers la salle de bain, montant les escaliers avec lassitude. Elle fit couler l’eau dans la baignoire et se regarda quelques secondes dans la glace. Violente antipathie d’elle même, aversion complète et inextinguible, son poing alla s’écraser avec force sur le verre qui se brisa avec élégance. Effusion de sang. La main de la jeune fille se recroquevilla avec mépris et une cascade rougeâtre jaillit de tout part, traversant sa peau, s'immisçant sur son corps, le jet semblait indomptable, revêche et vivace. La vue de la demoiselle se brouilla sous des larmes de colère, elle se haïssait au plus au point, comment avait-elle pu faire une chose aussi stupide ? Un goût acide remonta dans sa gorge, bloquant son œsophage. Bella sentit son estomac se retourner puis se fut le trou noir.



II- Changement D’Adresse.

« J'ai oublié ce que tu sais
J'ai emmêlé mes confidences
Je ne sais plus trop ce qui est vrai
J'ai des accidents de consciences »

Après l’incident de la salle de bain, Bella décida de plier valise et de partir à la recherche de son père, rien ne pourrait l’arrêter, sa décision était prise. L’année scolaire terminée elle décida de quitter New York pour rejoindre la Russie. Pourquoi la Russie ? Tout simplement parce que son père était Russe, et c’était la seule piste qui la rattachait à ses origines. Bella fêta ses 17 ans seule, dans l’avion. Sa vie bascula à ce moment là. Une fois à destination, elle trouva facilement son adresse et les retrouvailles furent mémorable, chaleureuse et aimante. Bella n’en attendait pas autant, dire qu’elle aurait pu le rejoindre il y a des années. Profond gâchis. Cependant un lourd secret pesait sur sa famille paternel.

- Bella, ma chérie, il faut que je te parle.
- Oui papa ? C’est grave ?
- Non.. Enfin oui. Je ne sais pas, c’est une réalité qu’il faut que tu connaisses.
- Je t’écoute..
- Si je suis partis de New York, ce n’est pas sans raison. Il existe des personnes différentes des humains .. ils possèdent des pouvoirs, ils sont supérieurs. Ce sont les mutants.
- Papa, je sais parfaitement qui sont les mutants. Maman dit sans cesse que ce sont des monstres amoraux.
- Ta mère ne comprend rien. Les humains ont peur car les mutants sont l’avenir de ce monde, il faut détruire chaque humain et chaque mutant pacifiste afin de faire évoluer correctement le monde. Je suis un mutant Bella, et tu en es un aussi.
- Je sais ..

Cette révélation fut difficile et fascinante. Elle savait depuis bien longtemps qu’elle était différente. Dans son onzième printemps, elle était très en colère contre sa mère qui une fois de plus était absente et elle avait envoyé valser un vase contre le mur, par la seule force de son esprit. Croyant à une coïncidence ou un esprit de dieu, elle refusa de voir la vérité, à savoir qu’elle était une mutante. Mais les évènements s’enchaînèrent, son pouvoir devenait incontrôlable et les objets se brisaient sous ses pas. Elle en parla une fois à sa mère, qui lui dit qu’elle le savait et que c’était pour cette raison que son père s’était enfuie. Choquée, bouleversée, Bella renia son pouvoir, sombrant dans la drogue et dans le déni. Après avoir raconté cette histoire à son père, il entra dans une rage folle et se dirigea en furie vers la maison. Tout n’était que mensonge, en vérité, les mutants étaient les maîtres du monde et les autres devaient s’écraser. Cette idée lui semblait quelque peu injuste et malsaine mais elle n’avait pas le courage de résister ou de réfléchir à la situation, elle avait retrouvé son père, une nouvelle vie s’offrait enfin à elle, et elle ne pouvait plus reculer. Son père lui apprit des tactiques de combats, des astuces afin de ne pas devenir une proie. Etrangement elle ne ressentait aucune peur, la tendresse et l’affection que lui offrait son père était entrain de guérir ses blessures et son passé désastreux. Il lui apprit également à contrôler son pouvoir, mais trop souvent, les valeurs idéalistes de Bella refaisait surface.

- Bella combien de fois je vais devoir te le répéter ?
– Je n’y peux rien .. je suis une utopiste, pourquoi ne pouvons-nous pas tous cohabiter ?
- Tu m’épuises avec ta morale intangible, viens avec moi et tu verras que les humains sont des êtres profondément dépourvus de raison et de bien.
– Mais c’est nous qui sommes ...
- Nous sommes les gentils Bella, je suis ton père, fais moi confiance, viens avec moi.
- D’accord.

Bella accompagna donc son père à une chasse et elle assista au spectacle le plus horrifiant de toute sa vie. Rouge pourpre, rouge rubis, rouge sang, son paternel et ses amis mutants assénaient des coups magistraux à un groupe d’humains en cavale. Bella voulait s’enfuir, s'enfuir pour ne plus jamais revenir. Mais pour aller où ? Son père était le seul qui l’avait vraiment aimé, elle ne pouvais l’abandonner, elle avait trop besoin de lui et de son amour. Ainsi, elle rejoint le groupe de mutant hostile de son père et apprit à s’endurcir et à tourner le dos à sa raison, à quand viendrait sa première mission ?

III- Double Vie.
« le coup le plus rusé que le diable ait réussit,
c’est de convaincre tout le monde qu’il n’existe pas.
Raconte-moi l'erreur, Crois en ma psychose,
Montre-moi l'horreur, Murmure-moi la peur »

Le moment était enfin arrivé, elle devait prouver à son père qu’elle était bien dans son camps et elle avait une idée particulièrement délicieuse afin de le faire. Attaquer publiquement un humain. Quelques années auparavant, cela lui aurait paru impossible mais le lavage de cerveau et le conditionnement chez son père avait eu raison d’elle, raison de sa propre raison. Il était dans les alentours de quinze heure lorsque Bella pénétra dans le célèbre parc des Tuileries à Paris. Elle était en France avec son paternel et quelques uns de ses amis pour une affaire secrète qu’ils n’avaient pas voulu lui révéler. Tandis que ceux-ci se prélassaient au bord du grand lac, elle se dirigea vers la baraque à crêpe, latente. Il suffisait d’une provocation, d’un regard déplacé et l’attaque deviendrait alors une nécessité et les amis de son père n’auront plus de doute sur elle. Car le problème venait de là. Bella avait surpris une conversation entre son père et ses associés et il paraîtrait que ceux ci n’ont pas confiance en Bella, ils ne la trouve pas assez violente, pas assez haineuse et son père semblait anéantis devant cette révélation. Décidant de jouer son rôle de fille sans limite, elle bomba la poitrine et épia les touristes et la foule parisienne. Enfin, elle entendit non loin d’elle – Marguerite si tu vois un mutant, il faut que tu cours. Ils ne sont vraiment pas recommandables. Tentant de puiser toute sa violence intérieur, elle fit défiler dans sa tête de nombreux souvenirs, son passé de droguée solitaire, les paroles antipathiques de sa mère, mère qui ne l’a jamais aimé. Elle bouillonnait intérieurement et elle fixa avec volonté les barbelés pointus qui entourait le parc. Une pointe se cassa avec élégance et dans un geste de la main, elle l’envoya en pleine vitesse vers la femme qui avait prônait ces inepties frappantes. La pointe s’enfonça dans son épaule et elle s’écroula à même le sol. Effusion de sang. Un homme la montra du doigt – C’est elle, c’est elle ! La foule s’enfuit, se dispersa, tandis que les plus balèzes se dirigeaient vers elle, le visage emplit de haine. –Je, je .. tenta d’expliquer Bella, choquée sous le sang qu’elle avait versée. La femme n’ouvrait toujours pas les yeux, était-elle morte ? Son père arriva instinctivement, ainsi que ces amis et ils prirent la fuite de manière très théâtrale. D’autres humains furent tués au passage. Morte de honte, Bella leva ses grands yeux vers son père et il lui dit – Je suis fière de toi ma puce, tu as enfin compris où était ton camps. Ses paroles suffirent à apaiser l’esprit de Bella, le point de non retour était alors arrivé.

« Système de Puçage : Non.

« Avatar : OAbbey Lee Kershaw
« Recyclage du Personnage : Non