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Katherine Must - (100%)

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Anonymous

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Katherine Must - (100%) Vide
MessageSujet: Katherine Must - (100%) Katherine Must - (100%) EmptyDim 19 Sep - 13:34

» Informations de Base
"Rien ne devrait recevoir un nom, de peur que ce nom même ne le transforme"

Katherine Must - (100%) Zzzzzi
● Nom : Must
● Prénoms : Katherine
● Sexe : Féminin
● Âge : 29 ans
● Origine Génétique : Mutant
● Origine Géographique : Américaine (Achaea)
● Métier : Professeur de Théologie et Croupière
● Date de Naissance : 21 juin 1994
● Lieu de Naissance : Achaea

» Informations des Groupes
"Il y a quelque chose de plus grand pourtant que d'appartenir au monde, c'est de s'appartenir à soi-même"
● Groupe : Neutre
● Raisons : Ayant vécu des choses terribles dans ma vie, j'ai décidé d'aider les gens, je me considère donc comme une mutante neutre dirons-nous, même si je me sert de mon pouvoir pour subvenir à mes besoins parfois, mais aussi pour tricher dans des folles parties de cartes. Même si j'ai réussi à décrocher un boulot de professeur, alors que je n'ai aucun diplôme officiel, je n'ai jamais étudié grandement la religion mais je m'y connais tellement bien que j'ai réussis à passé sans me faire prendre, mais pour combien de temps ? Je ne sais pas, mais je commence à me lasser de cela. Je sais, je change de vie au bout de 4-5-6 ans. Je me dis neutre, mais en fait, je n'ai pas vraiment de camps, je connais l'existence d'autres mutants, j'ai entendu parlé de Genesys, en comparaison à Apocalypto, c'est d'ailleurs très biblique tout ça, la Genèse, l'Apocalypse ... J'ai étudié un peu tout ça, pour me faire une idée. J'aurais pu aller à Genesys, j'aurais pu devenir hostile, ou carrément pacifiste à vrai dire. Mais je ne peux pas, je dois faire attention à mes faits et gestes car je sais que je suis plus ou moins observée. Et puis, avec cette guerre presque ouverte, je me dois de faire attention, alors tout ceux qui me connaissent ou presque, ne savent pas que je suis une mutante. Et oui, pour eux, je suis simplement une humaine alors que ce n'est pas vraiment le cas. Bref, la neutralité me va bien, ce n'est pas près de changer pour moi.

● Pouvoir(s) : Figer le temps + Vol

● Description :
Figer le temps : J'ai ce pouvoir depuis très longtemps, j'ai aujourd'hui 26 ans, je l'ai découvert quand j'avais 12 ans environ. Je l'ai découvert par hasard … Il faut une description du pouvoir ? A pardon, je dirais comment je l'ai découvert un plus tard alors. Bref, voici une rapide description de ce pouvoir que je maitrise plutôt bien à présent.
Figer le temps, cela à l'air simple de prime abord, mais au début ça ne l'est pas. Je peux figer le temps, dans un périmètre de plus en plus grand. Je ne sais pas exactement combien de mètres, mais je pense qu'une bonne centaine de mètre est quelques choses de raisonnable, si ce n'est un peu plus. Plus personne ne bouge, pas même un moustique, par contre lorsque le temps est figer, au début en tout cas, c'était comme si tout était statufié. Je pouvais me déplacer dans cet environnement durant environ 10 secondes mais depuis tout cela à évoluer avec le temps et la maitrise que j'ai de ce pouvoir. Je peux maintenant bouger dans cette espace durant plusieurs minutes, et aussi ouvrir les porte même si cela me demande une concentration plus grande. Je peux bouger quelques objets mais pas au delà de mes forces bien évidemment. En général quand je veux utiliser mon pouvoir, je ferme le point, mais personne ne le sais ou presque.

Vol : J'ai découvert ce pouvoir un peu plus tard que le premier, lors d'un choc émotionnel, lorsque mon père est mort, quand j'avais 16 ans. Ici, aussi c'est juste une description ? Bon, bon, désolé, je vais décrire ce pouvoir que je maitrise bien mais moins que le premier même si cela fait quand même 10 ans que je le connais.
Voler, je pourrais presque dire que c'est dans les deux sens, je sais voler dans les airs, mais je suis une habile voleuse, surtout associé avec mon premier pouvoir mais ce n'est pas ce qui est demandé ici. Au début, l'apprentissage fut difficile, puisque je ne contrôlais rien, je pouvais m'envoler à quelques centimètres du sol sans m'en rendre compte, mais heureusement, j'ai vite compris ça marchais même si parfois c'était difficile. Aujourd'hui, je peux voler à une bonne altitude, d'environ 150-200 mètres durant environ 3 heures à la vitesse de croisière de 200 km/h. Mais en général, je ne fais jamais autant. Ça c'est la limite que j'ai fait, je ne sais si je pourrais faire plus, plus vite et plus haut. Quand je démarre, quand je vais m'envoler, il y a un léger craquellement du sol sous la pression si le sol est friable, sinon, c'est une mini secousse sur à peine 2 mètres autour de moi.

Pour dissimuler mes pouvoir, rien de très compliquer, puisqu'ils ne sont pas physique à proprement parler. Je peux marcher dans la rue sans que cela ne se voit, et maintenant que je maitrise bien ceux-ci, mes émotions ne sont plus en interférences avec ceux-ci, ce qui me facilite grandement la tâche.
Katherine Must - (100%) 40067023


» Informations Descriptives
"Le roman est l'art de créer un homme, la biographie l'art de le ressusciter"

Katherine Must - (100%) 69453366
● Description Mentale :
Je pense que je ne me suis pas trop mal débrouillé concernant ma description physique, je vais essayé de faire aussi bien avec ma description mentale, même si cela risque d'être assez difficile, mais je vais essayer, vraiment de donner le meilleur de moi-même en étant la plus impartiale possible. Ici, je ne peux pas commencer par mes pieds, mais un équivalent mental, à savoir mon humeur. C'est vrai que des fois, elle est aussi mauvaise que l'odeur de mes pieds mais la comparaison s'arrêtera là. Mon humeur est toujours tourné vers le beau fixe, malgré ce que j'ai vécu, je reste une éternelle optimiste de la vie, à chaque situation, je tire le meilleur laissant le mauvais de côté même si cela arrive parfois. On l'a souvent dit que j'étais parfois trop gentille avec les autres, enfin cela dépends dans quelle situation quand même, car si je suis en position d'aider je le ferrais, mais si je suis dans une de mes opérations secrètes, que je suis en train de voler quelques choses ou que j'utilise mes pouvoirs, je peux être très mauvaise, faisant mal à mon adversaire, mais jamais je ne suis aller trop loin en le tuant. C'est contraire à mes principes, en faisant cela, je deviendrais comme mon père, un tueur, ou plutôt une tueuse et je ne le veux pas. Je suis donc quelqu'un de sympathique de prime abord, qui me fait rapidement des amis là où je me trouve, car il y a quand même pas mal de changement de situation autour de moi mais j'arrive toujours à retomber sur mes pattes. C'est difficile de décrire ces propres qualités, je ne saurais quoi dire, les autres pourrais vous le dire, mes amis si j'en avais vraiment. Il y a bien Francesca, une collègue professeur comme moi, et encore, elle m'aime bien, mais ne sais pas que je n'ai aucun diplôme et que je suis une mutante, sinon, elle me tuerait presque sur le champs même si ce n'est pas son genre. Peut être pourrait-elle vous dire que j'ai un bon sens de la répartie, que je suis quelqu'un de parole, fidèle à ce que je dis et à ce que je crois, serviable lorsqu'on me demande gentiment un service, que je suis quelqu'un de débrouillard. Je suppose qu'elle pourrais dire ça sur ce qu'elle connait de moi, mais après, au delà de ça, je ne sais pas moi-même.
Il y a pourtant tout un tas de choses que j'adore faire. Je suis une véritable adepte des sensations fortes. Je ne sais pas s'il faut que je dise ça ici, mais je pense que ça à sa place. J'ai fait un nombre incalculable de saut en parachute, bon pas incalculable mais un nombre assez important, comme du saut à l'élastique aussi. Si j'ai une journée complète à ne rien faire proprement dit, je vais dans un parc d'attraction et je m'amuse comme une folle. J'adore aussi l'informatique, la seule bonne chose que je retiens de mon père lorsqu'il fut sobre, c'est qu'il m'a appris à me servir d'une machine, de ces ordinateurs, pour m'amuser mais aussi passer à travers les mailles du filet. Il ne m'a plus rien appris depuis 10 ans, mais je me tiens à jour pour être vers la pointe de la technologie. J'aime aussi bien manger, c'est important de manger équilibrer et varié, et j'adore ça.
Il y a aussi tout un tas de choses que je n'aime pas, que je déteste vraiment comme les ivrognes. L'exemple de mon père m'a largement suffit pour comprendre le genre de pourriture que c'était, et pour la plupart, c'est pour fuir leurs ennuis au lieu de les affronter comme pour mon père. Je n'aime pas les lâches, ceux qui n'ont pas qu'une seule parole. Je me suis fait avoir quelques fois, mais heureusement pour moi, j'ai suffisamment de ressources pour passer entre les mailles du filet informatique et physique, sinon, je peux vous dire que j'aurais fait déjà plusieurs jours en prison. Pourtant, je ne suis nullement hostile à la police, je ne suis même pas rechercher, enfin si mais à un degré moindre que d'autres mutants.
Je pense que j'ai fais le tour, mon sens des valeurs n'étant pas forcément le même que celui de tout le monde, du moment que je survie dans ce monde de brutes, tout cela me va très bien. Pour moi l'amour n'est qu'une foutaise, cela ne peux pas exister, avoir le béguin pour quelqu'un je ne dis pas, mais tomber amoureux, avoir le coup de foudre, je n'y crois pas. Pourtant, j'ai besoin d'assouvir quelques besoins physiologiques, mais pas de relations longue durée, ça ne me va pas vraiment.
● Taille :
Et bien, je ne suis pas très grande, dans les 165 centimètres environ, je suis d'un petit gabarie, cela me permet de me faufiler un peu de partout quand je suis en mission top secrète. Rien à dire de plus, sinon que je ne porte jamais de talon pour me grandir, sauf exception, lorsque je m'infiltre dans des soirées mondaines.
● Poids :
Je suis un vrai poids plume, vous allez me dire, je ne suis pas grande donc c'est normal, n'est ce pas ? Je suis donc fine, assez longiligne, je pèse dans les 50 kilos tout mouillés de chaud. Je mange assez équilibré, donc mon poids varie très peu, surtout que je fais pas mal de sport aussi.
● Cheveux :
Et oui, je suis une vraie blonde alors que ce gène a tendance à disparaitre, il est bien présent chez moi. Mes cheveux sont en général mi-long, m'arrivant un petit plus bas que les épaules, mais pas toujours. Je les attache souvent parce que mine de rien, parfois ça peut être pénible de les avoir sur le devant de la tête à cause du vent.
● Yeux :
Mes yeux ont une couleur assez banale finalement, ils sont marrons, mais d'un marron assez clair, qui change légèrement selon la luminosité, et si vous me regardez de bas ou de haut évidemment. Ils ne sont pas trop allongé, de type caucasien en somme.
● Style vestimentaire :
Je vous rassure, je ne suis pas une exhibitionniste, je m'habille bien, je ne suis pas nue à longueur de journée, même si la nuit... Enfin, ça ne vous regarde pas ces habitudes là. Bref, j'ai un style plutôt tranquille, j'aime bien les vêtements assez ample pour me sentir bien à l'aise, mais cela ne m'empêche pas d'avoir des vêtements plus sexy, cependant vous aurez plus de chance de me voir en jeans et en tee-shirt, que dans une superbe robe noir au décolleté pigeonnant, même si en certaines occasion, vous pourriez me voir comme ça. Quand je suis devant mes élèves, ma blondeur en fait déjà saliver quelqu'un alors, je reste très sobre, manquerais plus qu'un élève tombe devant moi parce qu'il a vu trop de ma poitrine, même si celle-ci n'est pas extrêmement développée, elle me va très bien comme elle est. Je porte quelques fois des boucles d'oreilles, mais c'est quand même assez rare. Le seul bijou que je porte tout le temps sur moi, c'est la bague de ma mère qu'elle m'a donné, « par hasard » quelques jours avant sa mort. Redoutait-elle ceci ou pas ? Je ne le sais pas, mais je la garde précieusement à ma main gauche, pour ne pas oublier qui elle était.
● Particularités :
Qu'est-ce qui fait que je suis ce que je suis ? Et bien, j'ai un petit tatouage sur mon omoplate droite. Il représente un ange, une sorte de symbole de ce que je suis en somme. Je me considère comme un ange pour ceux que je peux aider. Même si parfois, je peut être comme un démon dans les situations qui l'exige. Je me suis récemment fait assez mal à mon épaule gauche, une barre de fer m'est rentrée dedans, enfin à peine, mais depuis, il y a une petite cicatrice à ce niveau là, à cause de quelques points de sutures, mais rien de bien méchant quand même.
● Points Forts :
Quand tout ce que vous avez pu faire dans votre vie, ce qui est acquis grâce à l'expérience, ce que vous avez naturellement devient une force, ça donne à peut près ça.
[/] Mes pouvoirs : C'est incontestablement ma principale force face à l'adversité. Figer le temps me permet d'échapper à des situations incroyables, tout comme ma capacité de voler dans les airs. Ces deux pouvoirs alliés ensemble me permettent de pouvoir me défendre dans toute les situations que j'ai connue jusqu'à présent.
[] Être un caméléon : Ceci est aussi une de mes capacités. Comme j'ai eu pas mal de temps libre dans ma vie après la mort de mon père, j'ai pu potasser pas mal de choses sur l'art de changer de personnalité presque comme de chemise. Je ne peux avouer que j'ai suffisamment de connaissances pour faire chirurgien, mais je peux passer pour une avocate, une juge, une cuisinière, une championne de roller sans aucun soucis.
[-] Mon physique : Je suis blonde et je l'assume complètement, d'ailleurs dans pas mal de situations je me sert de celui-ci pour arriver à mes fins, comme coucher avec un homme pour lui soutirer de l'argent ou des informations sur la mort de mon père et la disparition de ma sœur.
[.] Mon savoir : J'ai appris beaucoup de choses, je ne sais pas tout sur tout, mais je connais pas mal de choses, pour devenir par exemple professeur en théologie, métier que j'exerce aujourd'hui sans avoir obtenu le moindre diplôme officieusement. Ce savoir que j'ai emmagasiner au fil des années, notamment après la mort de mon père est une véritable force qui laisse parfois mes adversaires sans voix.
● Points Faibles :
Quand vos points forts peuvent se retourner contre vous dans certaines situations, et que par moment, vous n'arrivez plus à faire vraiment, face à la situation, ça donne ceci.
[/] Mes pouvoirs : J'avoue, c'est un paradoxe que de dire qu'ils sont un point faible par moment, mais dans certaines situations, ils me déservent complètement. Quand, je suis avec des amis, ou des anti-mutants par exemple. Je sais que ça ne se verrais pas forcément mais quand même.
[] Mon sommeil : Comme je peux figer le temps, je perds quelques fois cette notion lorsque j'utilise trop ce pouvoir, et c'est surtout mon sommeil qui s'en ressent. J'ai déjà tester, et si je peux figer le temps, cela me demande bien trop de concentration pour pouvoir dormir alors que le temps ne s'écoule plus. Si bien qu'il m'arrive de ne pas dormir durant plus de 48 heures.
[-] Mon physique : Être blonde à pas mal d'avantage mais bien souvent cela n'est pas le cas. Quand vous voulez être discrète, et que vous avez une horde de petit mâle en chaleur qui vous drague dans un bar, vous donneriez n'importe quoi pour ne pas l'être. Mais heureusement, pour me sauver, j'ai la bague de ma mère, et pas mal passe leur chemin en croyant que je suis avec quelqu'un alors que je suis un pur électron libre.
[.] Ma famille : Ceci est toujours un point sensible chez moi, quand on me demande des choses sur ma famille. Et je n'ai pas envie de dire à tout bout de champs que mes parents sont morts et que ma demi-sœur est quelques part dans ce monde. C'est pourquoi, je resterais toujours vague à ce sujet, ne rentrant jamais dans le détail, sauf si je veux des précisions sur la mort de mon père, car je reste persuadé que ce n'est pas un suicide même si je préférerais que ce soit le cas.
● Aime :
J'aime énormément de choses à vrai dire. Mais j'aime avant tout me faire plaisir. Je ne ferrais jamais quelques choses que je n'aime pas. J'aime lire, hacker des sites internets, télécharger des films et le tout sans me faire prendre évidemment. J'ai aussi manger de bonnes choses, du bon chocolat, des plats de la gastronomie française. J'ai souvent des petits bonbons sur moi, comme pour laisser des traces invisibles si jamais je m'amuse à cambrioler un magasin.
● Déteste :
Il y a bien quelques choses que je déteste par dessus tout, ce sont les injustices auprès des gens, je déteste ça. Je déteste aussi les gens qui vous prennent de haut, que font en sorte de vous rabaissez au maximum, je déteste ça. Il y a une dernière choses que je n'aime vraiment pas, c'est aussi les poissons rouges dans un tout petit bocal, ça me fait mal au coeur de voir qu'il n'a pas assez d'espace pour nager.
● Peurs :
Je n'ai peur de rien, mais quand je vous dis ça c'est que c'est presque vrai. Je n'ai pas peur du noir, ni du vide, ni des araignées, ni des serpents. Mais j'ai peur qu'un jour je ne puisse plus faire ce que je veux de ma vie à cause de cette guerre entre mutants et simples humains. Pour le moment, j'ai réussi à ne pas trop me faire remarquer, mais qui sais ce que nous réserve le futur ...
● Rêves :
Ce dont je rêve est top secret. Non, mais vous rêvez de savoir quel est mon rêve, je vous le dis moi. Je vais donc rester très évasive à ce sujet. Mon pouvoir est un don qui permettrais que mon rêve puisse se réaliser, mais se serait trop difficile pour une seule personne, il y a trop de monde sur cette terre pour que les mutants puissent vivre comme il le faut.



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Dernière édition par Katherine Must le Lun 18 Oct - 17:02, édité 9 fois
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Katherine Must - (100%) Vide
MessageSujet: Re: Katherine Must - (100%) Katherine Must - (100%) EmptyDim 19 Sep - 13:34

» Informations Générales
"La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme"
● Histoire :

Chapitre 1 : Naissance d'une enfant bénie, enfin presque
Nous sommes le 14 janvier 1994, lorsque Markus Pradi et Emeline Must se marient en l'église d'Achaea, ainsi que devant le maire de la ville, tout semblait bien se passer, il y avait une petite fille d'un an qui était déjà là, pour cette famille recomposée, Markus se mariant pour la première fois, Emeline s'était séparé de son ancien mari qui la battait violemment. Elle avait vraisemblablement trouver une vraie famille avec lui, un homme charmant qui avait un travail stable, et en plus de cela il aimait les enfants. Au bout d'un an et demi de mariage, un heureux événement pointa le bout de son nez, une nouvelle petite fille arriva dans la famille en plus de Savannah. Je venais de naitre en cette belle journée du 21 juin 1996, pratiquement 3 ans après ma grande sœur. Cette dernière était particulièrement heureuse de voir une nouvelle tête arriver dans la famille, une autre petite fille qui faisait son plus grand bonheur. Je m'apelle alors Sylvia Pradi, comme le nom de mon cher père, comme ma mère qui avait changé de nom également, seul ma grande sœur avait un nom de famille différent, ce que je ne comprendrait que bien plus tard. Je grandis alors dans un grand bonheur, un bonheur qui serait de courte durée, même si pour moi qui était encore enfant, ce bonheur fut pendant un temps toute la durée de ma vie. En effet, si tout s'était bien passé alors que je n'avais que 6 ans, tout dérapa petit à petit à ce moment là, sans que je comprenne vraiment ce qui se passait. A cet âge là, on ne comprends pas grand chose de la vie qui nous entoure, beaucoup de choses, et d'aspects nous échappent vraiment. Et pour moi, c'était le cas, tout ce qui comptait pour moi c'était ma grande sœur, d'aller à l'école avec mes copines pour faire des dessins et compter jusqu'à 10. Mais lorsque commença l'école primaire, j'ai commencé à avoir quelques devoirs, mon père perdit brusquement son travail, pratiquement du jour au lendemain. Cela faisait 6 ans que j'étais sur terre, et pour la première fois, je vis mon père dans un état plus que second. Je ne savais pas pourquoi il était comme ça à l'époque, mais il avait apparemment bien trop bu pour être normal. C'était la première fois, mais pas la dernière que je le voyais comme ça, et petit à petit, il devint un autre homme. Toute mon innocence de l'époque jaillissait dans mes questions débiles, mais que chaque gamin pose à cet âge là. « Pourquoi tu es comme ça papa ? Pourquoi tu ne me réponds pas ? Pourquoi tu sens bizarre ? » C'est vrai qu'en y repensant maintenant, ces questions étaient vraiment à ne pas poser, mais elles étaient tellement enfantine aussi que je crois que c'est normal qu'elles soient posées. Si jusque là, mon enfance avait été toute rose, c'est à partir de ce moment là que tout bascula, petit à petit et que du stade d'enfant, je suis devenue un petit bout de femme du haut de mes presque 8 ans.
Les deux années qui suivirent mon sixième anniversaire furent remplis de violence et de heurts. Markus venait de perdre son boulot d'informaticien chevronné, et n'arrivait pas à retrouver un boulot digne de ce nom. Pourquoi cela ? Il était pourtant quelqu'un de qualifié dans son métier. Les raisons de la fermeture de son ancienne entreprise était assez louche. Apparemment le comptable de l'entreprise avait truqué les comptes pour s'en mettre plein les poches. Visiblement l'entreprise se portait très bien, mais lorsque le comptable se tira sans rien dire à personne pour se couler de beaux jours sous les tropiques, pratiquement du jour au lendemain, tout s'écroula comme si on avait enlevé une carte à la base du château de carte qui avait lourdement chuté, mon père avec. Il était l'un des cadres, mais aussi celui qui avait le plus à perdre, et il avait tout perdu, non seulement son travail, mais le goût à la vie, et bientôt, il perdrait sa famille. Ce fut deux années de descente aux enfers pour lui, il ne serait plus jamais l'homme espiègle, joueur et souriant que j'avais connu quand j'étais une très jeune fille. Il buvait presque chaque jour, et commença à battre ma grande sœur ainsi que ma mère. J'avais la chance d'être son enfant, il ne me battait pas, même si parfois c'était juste, j'arrivais à me faufiler là où il fallait quand il le fallait, un don que très petite j'avais et qui me servirait plus tard. Alors que mon père devenait violent, ma mère m'avait inscrite à la gym. Je faisais ça depuis mes 6 ans, et j'adorais ça. Je crois que j'ai du en faire jusqu'au lycée ou quelques choses comme ça. J'ai fait ça jusqu'à la mort de mon père, mais ça, je vous le raconterais un peu plus tard lorsque l'orage sera passé parce que là, il va falloir aller dormir.

Chapitre 2 : Comment survivre ? Seule avec un père violent ?
Pourquoi, je vous parle d'un orage ? Pas parce que lorsque j'écris mon histoire, c'est un jour comme ça, mais bien parce que ma vie bascula complètement un jour d'orage, un jour inoubliable pour moi mais dans le mauvais sens du terme, très mauvais sens même. Mon père battait régulièrement ma mère et ma grande sœur, ce n 'était pas nouveau, malheureusement, mais ce soir là, ce fut la goute qui fit déborder le vase. Je m'étais presque habitué à le voir comme ça en soirée, il n'était jamais sobre, toujours avec un minimum d'alcool dans le bec. Il ne semblait pas plus saoule qu'à son habitude mais ce soir là, l'orage grondant au dehors, il tabassa ma mère qui ne se releva pas. Du haut de mes 8 ans, je pensais qu'elle avait peut être préféré dormir pour que les coups soient plus doux, mais elle ne dormait pas, loin de là, elle était morte. Mon père ne s'en rendit même pas compte continua de taper alors même qu'elle ne disait plus rien et traina son corps dehors, alors que l'orage et la pluie étaient à leur paroxysme. Bizarrement, il eut un réflexe que je ne comprendrait que plus tard, il imbiba le corps de maman d'alcool et il y mit le feu, alors même que la pluie était là. La foudre ne passa pas loin de lui pour toucher le corps sans vie de ma mère qui brula comme du bois bien sec. Il était dehors, et avec ma grande sœur j'observais ce spectacle choquant par la fenêtre. Puis mon père rentra à la maison, arrivant encore à marcher debout pour se rendre dans son bain, bain où il s'endormit pour la nuit. Apparemment, il n'y avait plus rien à faire pour maman, elle brûlait encore et encore, et ceci pendant plusieurs heures. J'étais petite, je pensais qu'elle irait bien le lendemain, qu'elle pourrait se relevé, mais il ne restait plus rien, la pluie qui ruisselait sur le terrain avait emporté les dernières cendres, les derniers restes de ma mère. Elle n'était plus, et tous les jours qui suivirent, j'avais peur d'être la prochaine. Mon père ne signala même pas la disparition de notre mère, et j'avais trop peur qu'il me fasse la même chose alors je n'avais rien dit. Ma grande sœur avait eu très peur aussi, mais elle décida de m'abandonner lâchement, retournant avec son père et sa belle-mère chez qui elle allait quelques fois. J'ai cru pendant longtemps qu'elle reviendrai un jour, un nuit pour me sauver de mon père, mais j'aurais attendu ce jour pendant très longtemps puisqu'il ne vint jamais.
Je vivais donc dans la crainte, surtout le soir, mais le reste du temps, quand mon père était à peu près sobre, car il faut bien le dire, il avait tellement l'habitude de boire qu'il devait toujours avoir de l'alcool dans le sang, ça allait. En tout cas, il était assez agréable de vivre avec lui, surtout quand il vous montrait les ficelles de son métier. Il m'avait donné sa passion, et je dois dire que c'est bien la seule chose positive que je retiens de lui. S'il ne m'avait pas appris les ficelles du métier, comment devenir un hacker, je ne pourrais sans doute pas survivre aujourd'hui. Mais ça, je vous le dirais plus tard, d'accord ? Il m'appris alors à me servir d'un ordinateur, et de naviguer sur internet, le béat bas mais je n'avais que 9 ans, et je savais me servir d'un pc comme les grands, j'en était assez fière à vrai dire. Mon père retrouva un travail stable, même si ce n'était pas exactement ce qu'il voulait, sa consommation d'alcool sembla ne pas cesser mais elle commença à se réduire, ce qui n'était finalement pas une si bonne chose que ça, il avait trouver mieux. Je ne le savais pas à l'époque, il se gardait bien de me le dire, mais il se droguait. Cependant, il se remit en question, et durant une semaine, alors que je n'avais que 10 ans, il me demanda de rester bien sagement à la maison comme une grande, et qu'une personne gentille viendrait s'occuper de moi dans son absence. Il allait subir une privation volontaire d'alcool et de drogue, pour se sevrer au maximum. La personne qui s'occupa de moi durant ces deux semaines, était très sympathique, elle s'appelait comme ma mère, ce qui dans ma tête était un gage de sécurité. Mais si mon père était absent, ce n'était pas réellement pour se sevrer, il avait gagné, une semaine tout frais payer à Las Vegas, où il avait un budget confortable de 50 000 dollars à dépenser comme bon lui sembler. Ce fut plus pour lui une semaine de beuverie qu'autres choses. De cette première semaine, il lui restait non pas 50 000 mais 75 000 dollars. Il avait eu de la chance aux jeux, c'est pour cela qu'il avait décidé de rester une semaine de plus, surtout qu'au travail, il avait pas mal de congés à prendre. Son pactole de départ se réduisit comme peau de chagrin, mais il rentra tout de même à la maison, avec 12 000 dollars et une belle et brillante jeune femme qui lui servirait de copines pendant peut être un ou deux mois avant qu'elle ne mette les voiles, par manque de diversité sexuelle selon ce qu'elle avait dit. Mon père lui avait donner un peu d'argent pour qu'elle ne parle pas trop autour d'elle de cette relation, il lui donna les 12 000 dollars qu'il avait gagné aux casinos de Las Vegas, comme si elle était une prostituée qu'il avait payé pour ces 45 jours de présence dans notre foyer. C'est vrai qu'elle était belle cette jeune femme, je ne me souviens pas son nom, mais il y a une chose que je me rappelle, c'était que je voulais lui ressembler physiquement quand je serais grande, et je crois qu'à part le tour de poitrine, je ne m'en suis pas trop mal sortie physiquement. Bref, mon père n'était plus aussi violent qu'avant, son boulot semblait lui plaire un peu plus, il était monté en grade apparemment, il avait plus d'argent, mais il n'achetait rien, il dépensait tout dans la drogue. Si l'alcool semblait s'être réduite à la portion congrue, la drogue semblait avoir pris le pas. Je le voyais des fois devant son ordinateur, il commençait à trembler, comme s'il avait une grave maladie, puis il prenait une sorte de pilule et ça le calmait. Il ne savait pas que je l'espionnait souvent, car s'il s'était calmé, j'avais toujours peur qu'il me tue comme il avait fait à maman. D'ailleurs, personne n'avait pris de ces nouvelles, personne ne se souciait d'elle, comme si elle n'avait jamais existait dans ce bas monde. Je me doutais que mon père avait fait quelques choses, mais il n'avait pas de baguette magique pour ça, si ? Mais assez parler de cette relation père-fille qui n'était pas si mauvaise que ça, même si je redoutais quand même le pire.
J'avais des amis à l'école, des garçons et des filles, mes notes n'étaient pas extraordinaire, mais je ne me foulais pas du tout, quand j'arrivais à avoir un ABIEN, puis plus tard un 11 ou 12 sur 20, ou encore un C+ ou un B-, j'étais très heureuse. Je participais bien en cours, les professeurs trouvaient que j'étais une élève agréable, même si je n'aimais pas toujours ces professeurs. De ce côté-là, on ne pouvait pas se plaindre de moi. Il faut bien le dire, je ne détestais pas l'école comme certains, ça ne me dérangeait pas d'y aller, là fut la nuance. J'avais un comportement qui laissait présager que je pourrais aller loin, faire de grandes études. Mon père avait beaucoup aimer une série télé dans sa jeunesse, et il avait acheté tout les DVD, des heures et des heures de vidéos sur des crimes, des meurtres tournant au carnage. Je me souviens très bien de tout cela, et d'ailleurs que je serais plus grande, était de devenir comme eux, une enquêtrice de génie afin de démasquer les malfaiteurs, mon père en premier. Je ne sais pas si vous vous souvenez de cela, mais la série s'appelait ainsi : CSI Las Vegas. J'adore encore regarder cette série, même si elle se fait vieille maintenant, les premiers épisodes ont presque 20 ans, c'est pour vous dire que la série ne datent pas d'hier mais bien d'avant hier puisque nous nous sommes en 2020.

Chapitre 3 : Découverte du Premier Pouvoir
Mais mes choix télévisuels ne sont pas les plus intéressant, n'est ce pas ? Surtout que je me suis arrêter alors que je n'avais qu'une dizaine d'année. A vrai dire, ce qui suis n'est pas spécialement le meilleur de mon histoire, j'étais seule avec mon père qui buvait, et qui était tombé dans la drogue. J'avais de quoi vivre mais rien de plus malgré le salaire assez confortable de mon père pour deux personnes. Je ne demandais pas la lune non plus mais une console de jeux vidéos et puis une scooter ou un petite moto ne m'aurait pas fait de mal. A force d'insister j'ai réussi à avoir la console mais pas la moto, peu importe, j'étais en train de découvrir mon premier pouvoir, j'avais 12 ans, je venais d'obtenir ma console, c'est alors que j'ai découvert quelques choses, que je pouvais arrêter le temps. Je jouais tranquillement à un jeu de rôle sur celle-ci, j'étais vraiment dedans, c'était comme si le personnage était en moi, et sans m'en rendre compte, à ma montre il était déjà 19h, et j'avais commencer à 13h. La pendule du salon indiquait pourtant seulement 17h45. Je ne comprenais pas, mon père aurait du déjà rentrer du boulot s'il était 19h, mais il n'était pas là, je ne comprenais pas. C'est alors que je mis le jeu sur pause, et en regardant les autres pendules et autres réveils de la maison, ils indiquaient tous 17h45 à plus ou moins 2 minutes près. Seule ma montre, et l'heure de la télé indiquait bien les 19h. Comme si j'avais été dans une sorte de bulle temporelle. J'étais jeune, je ne comprenais nullement ce qu'il se passait, je me suis dit que c'était simplement une coïncidence mais le jour suivant, le dimanche, mon père ne travaillait pas cette fois-ci, il sembla bouger au ralenti pendant que je jouait. Je lui demandait s'il allait bien, mais il ne semblait pas m'entendre, comme si j'étais dans ma bulle temporelle. Je me disait que c'était probablement moi, que je jouait trop à ce jeu vidéo. Mais le lendemain soir, il rentra complètement bourré, comme cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu et pour couronner le tout, il y avait de l'orage dans l'air. Le souvenir de ma mère revenait à grand pas. Il semblait avoir envie de taper sur tout ce qui bougeait, je me demandais encore comme il avait fait pour revenir à la maison en un seul morceau tellement il sentait l'alcool. Il commença alors à proférer des propos à mon encontre pour la première fois depuis très longtemps. Il me cherchait, j'étais dans le placard à balai, ne bougeant plus, coupant presque ma respiration pour qu'il ne l'entende pas, mais au bout de quelques heures, il se faisait tard, il devait être 22h et il me trouva enfin. Par réflexe, je me suis mis à fermer mes poings très fort comme pour me préparer à me battre, c'est alors qu'il se stoppa net, comme figer. J'en profitais pour sortir de ce placard et trouver une autre cachette mais bizarrement, à ce même moment l'orage semblait avoir cesser, la pluie avec. Que se passait-il exactement ? Même les cliquetis du mon réveil semblait s'être éteint. Je ne comprenais pas pleinement, et je ne maitrisais encore moins ce qui semblait être un pouvoir, celui de figer le temps durant une courte période. J'étais alors partie chercher un plat en métal pour assommer mon père et pouvoir dormir. C'est ce que je fit, et c'est à ce moment là que le temps repris son cours, suite à la forte pousser d'adrénaline que je venais d'avoir. Quelques part, j'avais fait mal à mon père, mais je ne le regrettais pas, j'en retirais une certaine fierté de ne pas avoir été sa victime comme ma grande sœur et ma mère quelques années plus tôt. Moi qui était une petite fille blonde de 12 ans, je pouvais me défendre face à un homme de 40 ans qui était plutôt balèze. Cette nuit là, mon appréhension de la nuit qui était constante s'estompa petit à petit. Plus je comprenais ce qui m'arrivait et plus j'aimais dormir tranquillement. Je ne sais pas si au début quand je me sentais bien, le temps s'arrêtait la nuit, mais je dormais comme un bébé. J'étais à chaque fois reposer comme il le fallait, armer pour une nouvelle journée de cette vie. Bien entendu, c'était mon secret que je ne révélerais jamais, même à mes amies de l'époque, je ne disais rien. Quelques fois, j'arrêtais le temps durant quelques secondes, simplement pour voir la tête que les gens faisait à ce moment là. Mais, je n'usais de ce pouvoir que lorsque j'en avait vraiment besoin, l'amusement avec celui-ci ce fut durant les 2 ou 3 premiers mois, histoire de bien comprendre et de jouer avec ça. Cependant, je fis quelques recherches, je ne pouvais pas être la seule à avoir un pouvoir, mais peu de chose filtrait à ce niveau. Je n'avais que 13 ans, ce n'était pas si grave que cela. Si j'avais ce pouvoir, je devais l'utiliser à bon escient, c'était ce que je me disais. Je n'avais pas spécialement d'éducation religieuse, je ne savais pas si c'était un don de dieu ou pas, mais je sentais que je devais faire le bien autour de moi, enfin ceci, je le pensais avant que n'arrive quelques choses de plus dans ma vie. L'amour pointa alors le bout de son nez en moi, du moins c'est ce que je pensais, car ce n'était pas tout à fait le cas. En fait, ce n'était qu'un premier béguin, j'étais jeune, je n'avais que 14 ans, les hormones commencent à vous travailler dur dur, et c'est comme ça que ça devient bizarre. C'était un garçon qui était dans ma classe, il était plutôt mignon, quoique, j'ai regardé la photo de classe récemment, et il n'était pas à tomber par terre, juste un garçon avec un peu de charme, mais j'ai vu bien mieux depuis, mais bon c'était mon premier béguin pour quelqu'un. Enfin cela est quand même aller assez loin puisque je crois que ce fut notre première expérience sexuelle à nous deux un an plus tard. C'est à partir de ce moment là qu'il devint différent. A croire qu'il avait adoré ça et qu'il voulait le refaire, encore et encore. La première fois, on l'avait fait dans sa chambre, à un moment où ces parents n'étaient pas là. Mais je n'avais pas envie de le refaire tout de suite, et il me quitta quelques semaines plus tard. Aujourd'hui, je ne le regrette pas du tout mais bon à l'époque le temps se figer souvent, j'avais mal dans mon petit cœur mais finalement cela passa avec le temps.

Chapitre 4 : La mort de mon Père
Je m'étais à présent complètement remise de cette histoire d'amour, que quelques choses déjà de plus dramatique allait me tomber dessus. Et je dois bien avouer que je ne m'y attendais pas du tout, pas si vite en tout cas. Si je savais qu'il allait mourir un jour où l'autre, j'aurais préféré que ce soit quelques années après, mais ce ne fut pas le cas. Je n'avais que 16 ans quand ma vie bascula complètement, ou si vous préférez, bascula une seconde fois, mais d'une façon encore plus grande que lors de la mort de ma mère. Je revenais du lycée, tranquillement à pied comme toujours puisque ce dernier se trouvait à un kilomètre environ, soit quelques minutes de marches pas plus que ça. La journée avait été excellente jusque là, le professeur de mathématiques nous avait rendus un devoir et j'avais vraiment cartonné par rapport à mon habitude avec un super A-, l'équivalent d'un 17 sur 20 soit ma meilleure note depuis un bout de temps. Je ne sais pas pourquoi j'avais réussis à me surpasser de cette façon, mais tout cela fut bien dérisoire face au spectacle qui allait arriver devant mes yeux. La porte était grande ouverte ce qui me mis la puce à l'oreille, j'étais déjà prête à arrêter le temps pour assommer le voleur, mais je n'en avais pas besoin, il était partis depuis un certains temps. J'explorais la maison, il n'y avait apparemment personne, apparemment seulement car, dans la dernière pièce que j'explore, je vois mon père allongé dans la salle de bain, il ne faisait pas la sieste puisque son corps baignait dans une marre de sang, il était sur le sol, un plaie par balle en pleine tête et deux autres dans le torse. Le temps s'arrêta alors de tourner durant quelques minutes, je me remémorais les bons moments que j'avais vécu avec lui, les fois où il m'avait fait voir sur l'ordinateur, les fois où il m'avait laisser reproduire tout cela. Tout d'un coup, les mauvais souvenirs devenaient dérisoires, je voulais savoir qui avait pu faire ça. Puis, je remis le temps en marche, j'avais l'impression de ne plus être moi-même comme si j'étais dans la lune, comme si je volais dans les airs, comme si je planais. C'est à ce moment là que je vis que mes pieds ne touchant plus le sol, mais étant à quelques centimètres au dessus. Je comprenais ce qui m'arrivait, ma mutation qui m'avait permis de figer le temps, venait de prendre un nouveau tournant, apparemment je pouvais léviter, du moins c'est ce que je pensais car plus tard, j'arriverais à plus que ça. Voilà seulement une dizaine de minutes que je venais de découvrir la mort de mon père, j'appelais donc la police, qui arriva seulement une minute après. Ce n'était pas mon coup de fil qui les fit venir, mais bien mon père qui baignait dans plus de choses que son propre sang. Apparemment, il y avait eu un mort en ville, un dealer de drogue, le dealer de mon père et la police était remonté jusqu'à lui, il était apparemment l'assassin de cet homme mais cela l'avait rattrapé, enfin selon mes premières suppositions. Comme elle était sur place, le commissaire Jam Kriss l'interrogea, la routine pour lui, il se devait de le faire.

« Ce n'est pas la peine d'aller plus loin vous arrivez trop tard, il est dans la salle de bain, mort, je viens de le trouver, je n'ai touché à rien. » dis-je quand ils arrivèrent. « Son assassin est déjà loin à mon avis. Je reviens à peine de l'école, et mon père devait être arriver seulement 30 minutes avant moi … Enfin s'il a respecté son emploi du temps. »
Je vois que vous semblez connaître notre méthode.
« Oui, un petit peu, mais allez-y ! Posez moi vous questions, je n'ai rien à cacher. »
C'est bien ce que j'allais faire, ne vous inquiétez pas. Vous êtes rentré à quelle heure chez vous ?
« Il était 17h50 environ, il y une quinzaine de minutes. »
Vous n'avez rien vu de spécial, rien n'a été pris ?
« J'ai vu la porte d'entrée ouverte ce qui tout à fait inhabituel, alors je suis rentré progressivement et prudemment à l'intérieur, mais il y avait juste mon père allongé. Je n'ai pas remarqué d'objets manquants, je ne pense pas que ce soit un vol qui se soit mal passé. »
Si ce n'est pas un vol, qu'est ce que ça peut être ?
« Je ne sais pas, je sais que mon père se droguait, peut être que cela à un lien. Un fois j'ai surpris une conversation téléphonique avec celui qui devait être son dealer, un certain James je crois, mais je ne l'ai jamais vu. »
James MacRock pour être exact, il a été tué la nuit dernière. Vous ne savez pas si votre père était chez vous vers 2h du matin ?
« Je devais dormir à cette heure là, mais une chose pourrait vous le dire, l'ordinateur est branché aux ouvertures, je pourrais vous dire si la porte d'entrée ou une fenêtre a été ouverte. »
Faites moi voir ça, si vous me le permettez.
« Bien entendu, suivez-moi... Apparemment, la porte d'entrée a été ouverte à 1h41 du matin. Puis, elle a été réouverte vers 2h34 du matin. S'il allait voir son dealer, il avait suffisamment de temps pour le tuer et lui piquer sa came. »
Saviez-vous où ils avaient rendez-vous en général ?
« Non, mais dernièrement il parlait beaucoup d'un asile si mes souvenirs sont bons. »
L'asile, dites-vous ? Je pense que vous avez raison, c'est ici que nous avons retrouver le corps du dealer. Je vous remercie beaucoup pour toutes ces informations, je vous tiens au courant de la suite, et puis j'aurais peut être quelques questions à vous poser par la suite.
« Pas de problème, je pense que je vais aller chez une amie en attendant, voici les clés de la maison si vous en aviez un quelconque besoin ... »
J'avais une furieuse envie de revenir en arrière et de sécher mes derniers cours de la journée, mais je n'avais pas ce pouvoir là, simplement celui de figer le temps et peut être celui de léviter, je ne savais trop encore ce que c'était, mais peut être que sous le coup de l'émotion ce pouvoir s'était déclenché. Je me suis rendu chez Jenny, c'était l'une de mes seules véritables amies. Pourtant, elle ne savait pas pour mes pouvoirs, car la nuit passa, je me suis réveillé en train de léviter au dessus de mon lit, seulement une dizaine de centimètres, mais il semblerait que j'arrive désormais à lutter contre la gravité. Avec la mort de mon père, je n'avais plus rien, je me retrouvais complètement fauché, sans rien à me mettre sous la dent. Il y aurait peut être des droits de succession, ainsi que le dernier salaire de mon père pour m'aider à survivre durant un temps mais maintenant je devrais me débrouiller toute seule. En parallèle avec l'enquête de la police, je faisais la mienne, une enquête hautement officieuse mais qui m'aiderait à voir plus claire. Mes dons de pirate informatique m'aideraient sans aucun doute à en savoir autant que la police. Je m'intéressais à la mort de ce James MacRock. Je n'avais rien pour analyser tout ça, mais les rapports de la police m'aideraient grandement. J'ai réussi à pirater leur système après quelques heures et prendre ainsi tout leur dossier sur les deux affaires. Mon père et le dealer avait été tué par la même arme, ils étaient mort de la même façon, un coup dans la jugulaire, et deux coups dans la poitrine. Mon père était-il celui qui l'avait tué ? Je ne le pensais pas, et c'est ce que la police semblait penser, lorsqu'un autre dealer et un de ces clients réguliers furent tués dans une ruelle sombre tout les deux. D'un côté, j'étais fière que mon père ne soit pas le tueur de ce dealer, mais cela ne m'en disait pas plus sur son meurtrier. Durant un temps, alors que j'appréhendais mon nouveau pouvoir que je ne maitrisais pas du tout, je faisais mon enquête, ma quête était celle-ci : trouver le tueur de mon père avant la police qui semblait piétiné un peu dans son enquête. Je devenais une enquêtrice en herbe et je dois avouer que j'aimais ça, je n'avais pas de limites, je pouvais me trouver n'importe où, poser des questions, et m'enfuir sans soucis. Il y avait quelques quartiers difficiles, et je me suis retrouvé à acheter de la cocaïne, en venant de la part de Markus Pradi et cela avait marché. J'ai donné la drogue à un sans abri qui semblait être en manque, j'avais ce qu'il me fallait un billet pour l'enfer. Le commissaire Kriss revint alors me voir, m'indiquant que mon adresse IP semblait avoir pirater leur système sur l'affaire de mon père.

« Bonjour commissaire, je ne pensais pas vous voir de sitôt ! »
Je sais ce que vous faites, vous menez votre propre enquête sur la mort de votre père, votre adresse IP a été interceptée, vous consultiez le dossier sur l'affaire de la mort de votre père …
« N'ai-je pas le droit de la faire vu que vous semblez piétiner sur cette affaire ? »
C'est à la police de faire son travail, mais apparemment vous semblez avoir une petite longueur sur nous. Je suis allé interrogé un témoin tout à l'heure, et il m'a dit qu'une petite blondinette était venu lui demandé la même chose il y a 2 jours. J'ai montré votre photo et il vous a reconnu. Alors dites nous ce que vous savez.
« Je ne suis pas sur que j'en sache plus que vous à ce sujet, mais je veux bien vous dire tout ce que je sais. »
J'espère bien sinon, je vous arrête pour entrave à la justice, alors crachez le morceau ici, à moins que vous préféreriez aller au poste ?
« Ici, ça sera très bien ! Suivez moi, tout est dans mon ordinateur. Voici, le dossier que j'ai pu récupérer sur la mort de mon père. La cause du décès n'a rien d'extraordinaire, ce qu'il avait dans le sang non plus, un dose de cocaïne. Ce qui est étrange, c'est que le dealer MacRock est mort de la même façon, tout comme un autre dealer : Robic et son client du jour Stein. Tout les 4 sont morts de la même façon. A mon avis, tout cela est rattaché à un gang de la ville, ou peut être à des mutants, qui maitrise un groupe récoltant de la cocaïne. Il y a eu peut être une fuite sur quelqu'un ou quelques choses, et ils ont voulus éliminé ceux qui pourrait savoir, comme mon père qu'ils sont venus trouvez ici. C'est pourquoi, j'ai cherché d'autres liens, et c'est là que je tombe sur votre témoin, enfin je suppose, le petit frère de MacRock qui a un casier apparemment vierge, je dis bien apparemment, car on a trouvé de la marijuana sur lui quand il était plus jeune. Tout ça pour dire, qu'il savait qui avait fait le coup, c'était lui, mais bien évidemment, il n'avait pas le profil, il voulait se balancer pour couvrir quelqu'un de plus gros, un plus gros poisson. Celui que vous recherchez, c'est Arthur Bizmac, mais il est en prison à l'heure actuelle. Je me suis alors demandez où il était emprisonner et par magie, il est en isolement total pour encore 17 jours sans moyen de communiquer avec l'extérieur. Il a un gardien rien qu'à lui mais il arrive quand même à faire abattre 4 hommes. »
Vous savez tellement de choses que je me demande si vous n'êtes pas complice de tout cela, mais vous devez avoir raison. Nous allons rendre une petite visite à ce charmant chef de gang. Voudriez-vous venir avec moi ?
« Pourquoi le ferrais-je ? »
Il semblerait que votre sens de la déduction et de l'observation soit très bon, vous pourriez être utile à l'avancée de l'enquête.
« Si vous voulez! »

Qu'est ce qui se cachait derrière tout cela ? Je ne le savais pas du tout mais apparemment le commissaire était sincère, je devenais consultante sur cette affaire qui m'impliquait de façon plus ou moins proche, alors que je n'avais que 16 ans, presque 17 ans d'ailleurs. Dès la mort de mon père, j'avais demandé mon émancipation pour pouvoir faire ce qu'il fallait pour survivre et le commissaire me l'apporta sur un plateau avec la résolution de l'enquête par moi-même. Enfin, nous avions réussit à piquer le commanditaire, il suffisait de trouver l'homme de main et tout serait fini. Ce cher Bizmac était très malin, sans pouvoir parler à l'extérieur de la prison, il avait quand même pu le faire. Il y avait une bibliothèque à la prison, c'était par ce biais là qu'il arrivait à communiquer. Dans sa cellule, il avait les toilettes, et quelques cotons tiges. Rien de bien sorcier, il urinait sur ceux-ci pour pouvoir imbiber une page et écrire un message. A la chaleur celui-ci apparaissait. Il rendait le livre à la bibliothèque de la prison et un autre prisonnier sous moins grande surveillance l'empruntait et passait la page qu'il fallait à son premier visiteur qui donnait l'information pour mettre à exécution ces actes. Tout ce qu'on pouvait dire c'est que c'était sournois, mais j'avais adorer faire cette enquête et mon émancipation en poche, j'avais postuler pour intégrer la police scientifique comme enquêtrice de niveau 1. A ma grande surprise, sans avoir fait d'études, ni d'école de police, j'ai été accepté apparemment avec l'appui du commissaire. C'était fou, je faisais en vrai ce que j'adorais voir à la télévision avec les DVD de mon père.

Chapitre 5 : Mon expérience dans la police
Il y avait quelques choses qui me chiffonnait cependant. Je voulais oublier ce passé, commencer avec une nouvelle ardoise à 17 ans, j'avais des envies de changer de nom. Mais cela attendrait un petit peu. Je m'appellerais Sylvia Pradi pour encore quelques années, le temps que je sache suffisamment de choses dans la police scientifique. C'est vrai à la base, si je rentrais dans la police scientifique c'était pour réaliser mon rêve ou quelques choses de proche. Je n'avais pas de plans de carrière en tête, j'étais déjà vraiment heureuse de me retrouver là, mais finalement, le côté rose de la chose commença à s'estomper rapidement. Enfin rapidement, pas tant que ça, mais après quelques affaires, j'avais compris que je ne ferrais pas ça toute ma vie, mon cœur n'était pas assez solidement encré en moi pour survivre dans cette jungle.
Ce qui fut le plus drôle ce fut mon apprentissage sur le terrain, je n'avais rien appris autrement quand dans les DVD de la série qui était en perte de vitesse mais qui était encore et toujours diffusée en 2011. Certes, il y avait les DVD, j'avais appris par leur intermédiaire, mais ça ne remplacé pas les connaissances acquises sur le terrain, mais cela viendrait avec le temps et mon formateur, un certain Ronald Szmanda, un rat de laboratoire qui était passé sur le terrain 3 ans plus tôt et qui me racontait comment lui aussi il avait passé l'épreuve des balles. Bref, ma vie se résumait à ces enquêtes, mettre un peu de poudre à empreinte pour découvrir les empruntes digitales, récolter les indices, et mon sens de l'observation fut mis à rude épreuve, mais j'arrivais à voir des petits détails qui parfois ne donner pas plus d'informations mais quelques fois je faisais mouche, et puis j'avais un questionnement perpétuel sur le pourquoi, le comment, et à chaque nouvel indice je me reposait les questions, comme s'il fallait faire un bilan. Je faisais partie de l'équipe de nuit, moment où j'arrivais à veiller jusqu'à 2 ou 3 heures du matin, donc le rythme fut un petit peu difficile, enfin seulement au début car après tout se passa bien. Je me souviens du premier homicide que j'ai résolu, on pouvait pensé au suicide, les preuves nous le disait, l'équipe le pensait d'ailleurs, mais j'avais un doute, et un dernier élément fit s'écrouler le château de cartes menant au suicide. Il fallait tout reprendre à zéro, chose que je fit sans rechigner, et pour résoudre l'affaire, il fallait faire la bonne chronologie dans les événements. Car en fait, il y avait deux affaires de liées avec ce pseudo-suicide. La première affaire fut très rapidement résolue, nous avions trouver qui était le coupable, mais nous ne l'avions pas sous la main, pour preuve, il venait de se suicider dans la maison de sa grand-mère, enfin c'est ce qu'on voulait nous faire croire, car s'il était bien le coupable de la première affaire, il s'était fait grillé sur son suicide. Tout indiquait que c'était le cas, les marque sur le cou, mais on l'avait aidé sur le fait de se pendre. Il était bien mort par pendaison, mais il avait de la chair sous ces ongles, en partie celle de son cou, mais il y avait un infime trace du coupable. Il y avait également deux cheveux de l'agresseur sur la corde qui avait servie à le pendre. Le coupable semblait ne pas être ficher, mais il avait pas mal d'allèle en commun avec une personne ficher qui était en prison. Nous l'avions retrouver comme ça, c'était vraiment génial et excitant à souhait. Je ne vivais que pour mon travail, je n'avais plus de famille et l'école m'avait complètement repoussé, de toute façon, après mon bac, je n'aurais pas eu les moyens de faire quoique ce soit, et cette chance d'intégrer la police scientifique c'était offerte à moi, même si je ne croyais pas en mes chances, du moins au début.
Tout se passa bien jusqu'à l'âge officiel de la majorité. En effet, cela faisait maintenant 4 ans que j'étais sur le terrain, je connaissais plein de trucs que la série me montrait, série que je regardait toujours, même si elle était aujourd'hui fini, la final avait été extraordinaire, tout le monde était mort ou presque, sauf le nouveau qui avait eu une panne d'oreiller. Tout les policiers qui avaient été là, à l'heure avait été tué dans l'explosion de l'étage où ils étaient. Il ne restait plus que le petit nouveau, qui n'avait que 2 ou 3 affaires à son actif pour résoudre cette fin dans un triple épisode captivant qui avait réuni plus de 30 millions de téléspectateurs. Mais pour moi, ce qui me fit avoir entre guillemets envie d'arrêter, ce fut une affaire qui me concernait encore de trop prêt, la mort de ma demi-sœur que je n'avais pas revue depuis des années. C'est dans cette affaire que j'ai montré mes failles émotionnelles, je me suis tellement impliqué que j'ai outrepassé les ordres, et que j'ai bien failli faire foirer l'enquête, notamment en perquisitionnant sans mandat. J'ai reçu une mise à pied pour ceci, puis j'ai décidé d'aller voir ailleurs en finissant en beauté sur une affaire de meurtres, je voulais partir la tête haute sur une victoire pour passer à autres choses. Je n'avais que 21 ans mais avec la mort de ma demi-sœur, tout les souvenirs que je ne voulais pas revivre était là, il me fallait passer à autres choses, changer de vie.

Chapitre 6 : Ma vie de mutante
Si jusque là, je ne m'étais servie que peu de mes pouvoirs, surtout le second, j'ai décidé de m'en servir pleinement, pour faire le bien, mais aussi à mon propre avantage. En ayant travailler durant 4 ans dans la police scientifique, je savais faire pleinement attention, pour ne laisser aucune trace. Sachant que le taux de réussite pour résoudre les enquêtes, était d'environ 25%, je savais que je pourrais passer à travers les mailles du filet. Il le fallait de toute façon, mon ADN, mes empreintes digitales et tout ce qu'il fallait était dans les fichiers, alors je ne devais pas me faire attraper. C'est pourquoi, j'ai décidé de changer de vie, en me faisant passer pour morte aux yeux de tout le monde dans l'incendie de ma maison. J'avais réussi à figer le temps suffisamment longtemps pour que le feu dévore la matière et qu'on ne retrouve plus aucune de mes traces. Sylvia Pradi était morte, comme toute sa famille proche, Katherine Must venait de naitre, avec des antécédents et tout ce qu'il fallait pour rendre le plus crédible possible, tout cela, grâce à un ordinateur performant et mes doigts habiles de hackeuse. Sans mon père, je n'aurais jamais pu faire tout ceci seule, il m'aurait fallu de l'aide et payer grassement quelqu'un et je ne voulais rendre de compte à personne. Si à la mort de mon père j'avais déjà voulu faire ce changement de nom, je ne l'avais fait à cause de l'opportunité que m'avait donné la police scientifique, mais là, je ne pouvais maintenant plus retourner en arrière. Le comble fut que j'assistais à mon propre enterrement, il n'y avait pas beaucoup de monde, une trentaine de personne, pour la plupart de la police scientifique, en effet, cela ne faisait que 2 mois que je les avais quitter mon souvenir était encore très présent dans leur mémoire. J'avais figer le temps, et j'étais arriver en volant. Me cachant dans un arbre au feuillage dense et touffu, personne n'avait pu me voir dans toute cette émotion qui chargeait l'atmosphère. Dès la fin de la cérémonie, j'étais repartie en figeant le temps pour que personne ne puisse me voir, cela serait bien bizarre de voir en chair et en os celle que l'on vient d'enterrer. Le pire c'est qu'il ne restait que des cendres de la maison, malgré l'acharnement des pompiers, l'équipe scientifique n'avait rien pu en conclure, rien pu en tirer, il n'y avait pas de trace d'accélérant, mais tout les fils électriques avaient cramés, rendant la maison pire qu'un brasier.
Je pouvais enfin vivre pleinement ma vie de mutante, aidant à la fois la veuve et l'orphelin, mais profitant de mes dons pour avoir ce que je voulais, pour mon plaisir personnel. J'étais resté assez discrètes en tant que policière, peu de personne avait vu mon visage, il ne serait pas compliqué de me faire passer pour cette Katherine, puisque de toute façon Sylvia Pradi était morte, comme sa mère, son père et sa sœur. Je n'avais plus de famille, et j'étais une solitaire, pour certains, la vie ne valait même plus la peine d'être vécue, mais pour moi c'était comme une nouvelle naissance. J'étais une sorte de justicière masquée la nuit, mais je pouvais dérobé tout ce que je voulais ou presque aux yeux et à la barbe de chacun. Il me suffisait d'allier mes deux pouvoirs pour être pratiquement imbattable et botter le cul des méchants, d'une façon bien différente que dans la police scientifique.
Cependant, il y avait un fil rouge dans ma vie, où plutôt deux choses qui me tenait à cœur. J'avais eu vent d'une opération de l'armée, une certaine opération du nom d'Apocalypto qui recherchait les mutants, pour on ne sait quelles raisons, même si cela semblait être évident. Les mutants attrapés devaient servir de cobaye à toutes sortes d'expériences afin de reproduire leur pouvoir pour les donner à de simples soldats, pour en faire des surhommes. J'étais persuadé de cela, mais je n'avais pas vraiment de preuves. Il y avait aussi un dossier qui était resté sans réponse lorsque j'étais à la police scientifique, une jeune femme qui avait eu des rapports sexuels non protégés avait été retrouvé morte, plié en 4 dans un sac poubelle. Mais l'ADN trouvait n'était pas dans les fichiers, c'était donc une impasse si celui avec qui elle avait couché était bien son meurtrier. Le problème, c'est que cet ADN était sur deux autres scènes de crimes. Même si je ne faisais plus partie de la police, j'adorais mener mes propres enquêtes. Je me disais, et si je passais le concours pour devenir détective privé ? Mais je n'en avais pas envie, j'y arrivais sans l'aide de ceux-ci, alors pourquoi devenir comme eux ? Pour passer par des voix plus légales ? Cela ne m'avancerait à rien, simplement à perdre un peu de ce précieux temps. Mon topo était donc de me faire mes propres enquêtes, me servant de mes dons de pirate informatique. D'ailleurs, j'aurais bien voulu être une cyberpathe pour pouvoir communiquer avec les machines, et pouvoir gagner un temps précieux parfois en me concentrant, je pourrais aller droit, sans passer par des chemins tortueux comme je devais le faire, mais peu importe. Mais il fallait bien que je gagne ma vie, et sans travail, avec les maigres économies de ma vie de policière, j'avais pris le temps de retirer tout mon argent pour pouvoir en bénéficier. Je pouvais vivre quelques mois avec ça, mais pas bien plus, il me fallait trouver de l'argent, et le marché noir serait parfait pour moi, volant des objets de valeurs, les revendant aux plus offrant. C'était devenu mon quotidien, et puis quelques fois la nuit, j'aimais me promener dans la rue, j'arrivais souvent aux bons moments pour aider les gens. Les agresseurs se foutaient bien de moi quand je leur disait de lâcher leur proie, une belle blondinette comme moi pourrais leur faire un autre casse-croute mais ce ne serait pas le cas, en deux temps 3 mouvements, ils étaient par terre ne comprenant rien à la chose. Je me suis bien amusé à faire ça, volant dans les deux sens, bottant les fesses de méchants, leur revendant parfois de la came et ce fut mon quotidien de mutante durant environ 4 ans, comme si tout marchait par cycle. J'avais 25 ans, l'amour n'était pas en ligne de mire, je désirais faire d'autres choses que d'être cet ange noir agissant à 95% la nuit. Durant mon temps de libre, j'avais lu pas mal de bouquins, pour la plupart voler dans des librairies, des grandes surfaces ou chez des particuliers. Je me suis alors inventé un nouveau personnage, celui de la professeur de théologie. C'était sympa, je m'étais renseigné sur le programme.

Chapitre 7 : Ma vie de théologienne
Voilà ce que je fais depuis maintenant un peu plus d'un an, interprétant ce personnage à la perfection. Mais pour que cela soit crédible, pour la Katherine Must que j'étais, il me fallait avoir fait les études qu'il fallait, c'est pourquoi, je me suis amusé à construire moi-même un nouveau CV, tout neuf, avec des études inventées puis je les avais arrêté à l'âge de 16 ans, soit 9 ans en arrière. J'avais ainsi étudié la théologie dans une prestigieuse école de France. J'avais même créer un dossier avec les formulaires et tout ce qu'il fallait, je m'étais renseigné sur les professeurs de l'époque et même si ceux-ci ne se souviendrait pas de moi, puisqu'ils ne m'auraient jamais vu, on n'irait pas chercher jusque là. Mon français était moyen, je comprenais très bien, mais je ne parlais pas aussi bien que je ne le comprenais, mais cela remonte officiellement à 3 ans, et comme je n'ai que peu pratiqué, c'est une raison valable de la perte de ce langage. Mon faux dossier était complet, je pouvais postuler à l'Université d'Achaea sans aucun problème, mon physique ferrait sans doute le reste. Il cherchait en plus de cela un professeur avec un très bon diplôme pour enseigner cette matière et je leur tombais littéralement sous la main, une aubaine pour eux, mais aussi pour moi de me poser un peu, je n'aurais plus besoin de voler pour survivre, je ferrais un travail tout à fait honnête même si les diplômes étaient bidons, mais s'ils s'en apercevaient un jour, je pourrais fuir sans problème mais ce n'était pas le moment. Je garderais mon petit côté énigmatique et mystérieux pour qu'on ne me pose pas trop de questions sur ce passé qui n'était que mensonge, enfin depuis mes 16 ans, tout ce que je pourrais dire après n'était que mensonge, mes études et tout le reste. Dans mon nouveau personnage, le père et la mère n'était plus de ce monde aussi, cela m'éviterais de faire quelques gaffes, parce que si je disais qu'ils étaient vivants, et après mort, il y aurait un soucis. Mon entretien d'embauche se passe très bien et le poste fut pour moi la semaine suivante. Je ne connaissais pas trop l'école mais je pourrais compter sur une certaine Francesca, une jeune femme qui était radieuse et par dessus tout professeur de français. Il semblerait que nous avions des points communs, nous sommes devenue des amies, même si elle ne m'aimait pas génétiquement parlant. Elle n'aimait pas les mutants, et les dragueurs invétérés. Si pour les mutants, nos points de vues était divergeant même si je ne lui avais rien dit à propos de ma nature, les dragueurs ce n'était pas mon truc non plus. Cela me faisait penser à ce tueur en série, et à chaque fois que je voyais un gars qui draguait dans un bar, je pensais que ce pouvais être lui, alors je me laissais séduire, juste pour avoir une empreinte digitale des crêtes de sa main puis je le laissais soit tomber, soit je me laissais emporter dans son lit, mais je ne le faisais jamais la première fois, je ne voulais pas être la victime de ce tueur en série, alors je prenais mes précautions. Je savais que mon physique était très sympathique pour lui, et peut être même que lui aussi avec un physique également attrayant mais je préférais attendre, même si quelques fois j'en aurais eu envie. Mais à chaque fois ce n'était pas lui, et si je le revoyais je me laissais embarquer ou pas, cela dépendait de sa façon de faire quand même.
Voilà ce qu'est ma vie : je suis professeur de théologie, ma seule véritable amie est une professeur de français en lycée et je volais de temps en temps pour mon plaisir. Une vie assez tranquille qui correspondait bien à ce que je voulais pour le moment. Je faisais quelques rencontres, sans lendemain, j'avais bien envie de trouver l'amour, c'était ma quête du moment, mais est ce que je trouverais l'homme qu'il faudrait ? Je ne le savais pas vraiment à vrai dire ...

Chapitre 8 : Après 3 ans ...
Je suis donc resté professeur de théologie à l'université, mon personnage me collait à la peau, ma couverture n'avait pas été révélé donc je pouvais continuer à faire comme je l'entendais à propos de ce métier. Cependant, je me connaissais, au bout de 3 ou 4 ans, cela commencerait à me saouler un petit peu. Et c'est ce qui se produisit au bout de 3 ans de professorat. Je n'avais que 16 heures de cours par semaine, payé évidemment à plein tarif, alors entre les copies très subjectives parfois, je prenais mon temps pour d'autres activités. J'entrainais notamment ma précision au lancé de couteau. Je sais, cela n'a rien à voir avec ce que je fais mais j'aime bien m'aérer l'esprit, je suis un peu une touche à tout et même si je prends de l'âge, je suis encore pleine de vigueur pour apprendre de nouvelles choses, et je le faisais donc. Je me suis alors passionnée pour pour le poker. Et au bout de quelques temps, j'étais devenue une bonne joueuse, j'ai fait quelques tournois dans le casino de la ville voisine, je suis arrivé assez bien classée à plusieurs, peut être un peu à cause de mes tenues souvent déstabilisante dans ce domaine réservé le plus souvent aux hommes. Je ne suis pas devenu accroc, au contraire, j'ai utilisé mon pouvoir sur la fixation du temps pour pouvoir gagner. Je sais c'était de la triche, je l'assume mais tout ce que j'avais pu gagner de façon cavalière, je l'ai donné à des associations caritatives, je n'aime pas m'enrichir sur le dos des autres, c'est bien dommage, mais j'ai encore une conscience qui me permet de ne pas le faire, enfin à travers le poker seulement, allez savoir pourquoi ça ne me le fait pas quand je vole des objets précieux. Ce qui est le plus marrant, c'est que les objets disparaissent comme par magie sur les bandes de sécurité des propriétaires. Je laisse souvent de petits indices, des bonbons, des traces de chaussures. Et encore, c'est une fausse piste, car je prends bien souvent des chaussures plus grandes pour faire croire que c'est un homme qui a fait le vol, je suis de toute façon, au dessus de tout soupçon. Je suis donc passé de l'autre côté au casino, devenant croupière du weekend. Qu'est ce à dire ? Et bien, j'ai réussi à décrocher un petit contrat à mi-temps le weekend seulement. Ainsi depuis environ 6 mois, je fais ça le weekend, et lorsque mon service est finie, j'endosse le rôle de joueuse, et je dois dire que je m'amuse comme une petite folle, il y a tellement de monde que les croupiers ne me reconnaissent pas forcément. Je suis une adversaire plus que redoutable, et je dois dire que j'aime ça, que les hommes perdent leur sang froid dans certaines situations, ou qu'ils fassent tapis avec une paire de 2 sachant que j'ai un brelan d'as. J'alterne donc entre professeur la semaine avec une vraie vie sociale, avec les élèves, les autres professeurs, et une vie d'associale le weekend, jouant pratiquement non stop au poker. Mais cela va certainement changer, le poker est très prenant, peut être que cela va devenir mon activité principale afin de m'enrichir pour quelques mois ou années, enfin je gagne déjà pas mal de bonus avec le poker alors ...

Et si je me trouvais quelqu'un à dévergonder un peu ? Je ne sais pas, j'aimerais avoir une relation stable à ce niveau, mais malheureusement cela m'exposerait un peu trop à certaines choses, notamment sur mon passé, et si celui que j'aimerais n'était pas celui qu'il prétendait être et qu'il était là pour me piéger ? Il faut dire que si jamais on me prenais, non seulement pour les faux diplômes et tout le reste, je serais en prison, mais si ce moment là arrive, je sais où je pourrais aller. D'ailleurs, en parlant de refuge, j'ai fait des recherches, et pour contrer l'opération Apocalypto, il semblerait qu'une certaine opération Genesys soit apparut, son parfait opposé biblique. Et oui, je suis théologienne donc je m'y connais un minimum, la Genèse, la création de la terre, contre l'Apocalypse ou la Révélation selon les versions, la destruction d'un monde méchant. Genesys semble être un refuge pour les mutants, notamment en dehors des États-Unis qui sont devenus très dures avec nous, mais je n'ai que faire de ce gouvernement. Je sais que je cours un risque élevé en vivant ma vie comme je l'entends, il se peut que je sois surveiller à l'Academy, par un professeur sous couverture. Je sais que je pourrais faire de nombreuses recherches pour savoir qui est qui mais je n'en ai pas besoin, je ne me sens pas du tout menacée, mais alors pas du tout. Je sais que je suis au dessus de tous soupçons pour le moment, mais même avec mes pouvoirs, je ne suis pas à l'abri d'une erreur qui pourrait faire écrouler mon beau château de cartes, alors attention à moi !

PS : Quelques informations sur ma famille :
Markus Pradi : Mon père était un ivrogne récurrent, chaque soir il rentrait à moitié saoule à la maison, finissant de se bourrer la tête à la maison. Tout cela n'était pas comme cela au départ pourtant. Je me souviens vaguement que dans mon enfance, quand j'avais 5-6 ans, il n'était pas comme ça, il était souriant et sobre. Il avait son boulot d'informaticien, puis la boite à ferme à cause d'une mauvaise gestion du comptable qui prenait une plus grosse part du gâteau que prévu. C'est à partir de ce moment là qu'il a commençait à sombrer petit à petit dans l'alcool, et peut être même la drogue par la suite, mais ça, je n'ai pu le savoir qu'officieusement après sa mort. Car, oui, je n'ai plus de père, il est mort il y a maintenant 10 ans, mais ça vous le saurez plus tard.

Émeline Must : Ma mère était une femme battue par son ancien mari qui en retrouve un pire dans ce nouveau mariage même si elle ne l'avait pas remarqué au début puisqu'il n'était pas comme ça. Elle avait déjà eu un mari, mais elle avait divorcer à cause de ces excès de colère et parce qu'il la battait. Elle avait trouvé la force de porter plainte et de l'envoyer en prison. Avec Markus, tout semblait bien se passer, jusqu'à la perte de son emploi, il perdit complètement les pédales et il se mit à boire et à battre ma mère. Jusqu'à un jour où elle ne survécut pas sous les coups de boutoir de mon père, il l'a frappé jusqu'à plus soif, son visage était tuméfié, elle était morte. Je garde pourtant un très bon souvenir de ma mère qui a tout fait pour moi.

Savannah Bilalian : Ma demi-soeur, fille de Emeline d'un précédent mariage, elle est plus âgée que moi de 3 ans, c'est aussi celle qui ne ferra rien pour moi, une demi-soeur qui renie la nouvelle venue n'ayant pas le même père. C'est ma demi-soeur, mais franchement, elle ne m'a pas aidé, surtout quand papa a tué notre mère commune. Elle est partie de la maison, rejoignant son père et sa belle-mère. Elle n'avait que 11 ans à l'époque mais je ne la regrette pas. Je ne l'ai pas revue depuis, je ne sais même pas si elle est encore en vie à vrai dire, et je m'en fou...


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Aucun recyclage possible, si je vous quitte, c'est que le personnage sera mort, donc pas de PV possible ;)
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● Comment avez-vous connu le forum ? Par un top site à l'époque, je ne sais plus lequel ><
● Parrainage : Ca ira lol
● Un commentaire ou un message à faire passer aux administrateurs ? Vivement la reprise lol
● Quelque chose à dire sur le forum ? Peut être un peu trop de CSS pour le design lol, mais je suis pas un pro dans ce domaine lol
● Quelles sont vos disponibilités ? Intérim oblige, ça sera très variable selon les semaines, mais 3-4 jours par semaine me semble raisonnable
● Parlez-nous un peu de vous : J'aime les forums RPG, sans blagues ? Sylvain, 22 ans, recherche un emploi stable depuis trop longtemps ...

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Dernière édition par Katherine Must le Lun 18 Oct - 17:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Katherine Must - (100%) Katherine Must - (100%) EmptyJeu 14 Oct - 13:22

Bonjour,

Je sais que ta fiche est encore en construction, mais pour éviter que les MPs ne se perdent lorsque tu auras terminé, ou que tu fasses un double post, je te demanderais de poster à la suite lorsque ta fiche sera terminée plutôt que de la signaler autrement.

Merci et bonne chance.

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MessageSujet: Re: Katherine Must - (100%) Katherine Must - (100%) EmptyLun 18 Oct - 17:03

Voilà, normalement j'ai fini ^^

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MessageSujet: Re: Katherine Must - (100%) Katherine Must - (100%) EmptyLun 18 Oct - 17:26

Pfiiiou ! Heureusement que je lisais ta fiche petit à petit, ça nous fait un beau roman !

Que dire sur cette fiche ? Elle est très bien écrite, rendant le personnage attrayant et attachant, j'avais déjà trouvé Kathy très intéressante lors de ta première fiche, là je ne dirais qu'une seule chose : tu as parfaitement tiré partie des quelques années de battement entre les deux fiches pour nous faire évoluer la belle miss Must ! Bref, tu l'auras compris, c'est vraiment une très belle fiche, et tu es validée !

Je te demanderais juste de faire ta fiche de sujets et de relations ici, puis tu pourras débuter le RP après ça ;)

Bon jeu ! ♥️

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