Soucis dans le Bâtiment ! [ Libre - Général ]

[ Sujet libre ouvert pour deux posteurs, voir trois grand maximum, donc les deux ou trois premiers à poster seront les posteurs du topic ;) ]

L’usine de fabrication de voiture n’était pas spécialement fréquentée lors des week end, mis à part les quelques équipes de surveillances qui devaient s’assurer que ni les vandales ni les vagabonds n’avaient élu domicile dans le bâtiment. Mais en ce début d’après-midi voilà qu’une forte agitation se faisait entendre dans l’usine, même de l’extérieur on pouvait voir plusieurs personnes debout à essayer de voir ce qui se passait, car les bruits qui sortaient des fenêtres closes étaient très intrigants. Après plusieurs longues minutes de bruits aussi étranges les uns que les autres, on finit par voir sortir trois fines silhouettes du bâtiment, une petite qui ressemblait à celle d’un enfant, et deux autres qui devaient être celles des surveillants de l’usine. Finalement, les deux plus grandes attrapèrent la petite en l’emmenèrent sans ménagement vers une voiture de police garée là, visiblement le jeune enfant avait été interpellé, et les conversations allaient de bon train derrière le grillage qui fermait l’entrée de l’usine…

[ Note : Ce résumé est extrêmement court c’est uniquement un sujet destiné à que vous puissiez poster donc à vous de choisir les évènements à suivre ! ]

SIGNATURE

Abbygaëlle Sciuto, la jeune gothique mutante, se réveillait doucement dans sa tanière, en ce début d'après-midi. Après une nuit de chasse, où elle n'avait pas trouvé d'humain à tué (elle s'était contenté d'un lièvre pour épancher sa soif de sang et manger par la même occasion), Abby s'était couchée à l'aube, juste avant que le soleil ne se lève. Elle sortait donc de ce court sommeil, plutôt de cette courte matinée d'insomnies, avec de grosse cernes noires sous les yeux, le visage plus blanc que jamais. Elle s'étira, puis se leva difficilement, elle prit quelques gorgée d'eaux fraîche, puis entreprit de se laver et de s'habiller. Propre, elle enfila son pantalon lâche noir, orné de lanières et de chaines argentées, avec une ceinture de cuir orné d'une tête de mort. Le tout avec un top noir avec le squelette blanc illustrant ses côtes et vertèbres sur le devant. Elle coiffa ses cheveux en deux couettes hautes, laissant la frange devant, ses cheveux d'un noir de jais encadraient son visage pâle, et faisaient ressortirent ses yeux verts pomme, qu'elle maquilla de noir. Elle réfléchissait à sa journée, tout en ajoutant ses bijoux à pointes (collier de chien et bracelets assortis), et autres bien gothiques. Elle ne savait pas trop quoi faire aujourd'hui, pourquoi ne pas aller faire un tour en ville ? Elle huma l'air, ça sentait l'humidité et la pluie, pour changer... Elle enfila sa veste de cuir noir, avec ses news-rock cloutées, dans lesquelles elle glissa sa dague qui était sous son oreiller la nuit.

Ensuite, elle se métamorphosa dans sa forme fétiche préférée : la louve. C'était une louve noire, très fine, squelettique comme sa forme humaine. Mais elle était élégante, puissante, plutôt grande, avec un poil bien fournit, lui assurant une protection épaisse. Ses yeux étaient jaunes, aussi perçants et pénétrants que les yeux verts de l'Abby humaine. Ses pattes longues et fine se terminaient par des griffes sur les doigts écartées, grosse différence entre le chien et le loup. Ce qui lui permettait de se mouvoir dans le plus grand silence, comme beaucoup des prédateurs. Elle pouvait aussi se déplacer au trot, a grande vitesse, dans une allure qui lui donnait l'impression de voler au dessus du sol, sans se fatiguer. C'est sous cette forme a la mâchoire plus puissante qu'un rottweiler, qu'elle sortit de sa tanière, dont le trou de l'entrée ne pouvait laisser passer un homme, même enfant. Entrée qui se cachait dans un massif de buisson, à la lisière de la forêt, grand territoire qu'elle partageait avec une meute de loup, et où elle se cachait des humains. C'était à cette endroit de la forêt qu'il y avait une colline qui surplombait la ville. Elle y restait souvent pour contempler cette étendue d'habitation, tranquille à l'entrée de la forêt, surveillant l'agitation.

Elle sortit donc de sa tanière, puis de la forêt et s'assit sur cette colline pour regarder la ville. Il faisait plutôt sombre avec cette épaisseur de nuages menaçant, dont tombait une bruine qui mouillait le sol. Elle s'ébroua, puis reprit forme humaine. Abby mit la capuche qui allait avec son top manches longues, puis entreprit de descendre la colline en direction de la ville. Elle y serait en dix minutes. Mais que faire ensuite ? Elle avisera... Elle cacha son visage le plus possible en entrant dans la ville. La jeune femme était du côté des usines.

Elle voulait se diriger vers le centre, quand une agitation attira son regard. Elle se stoppa net et jeta un œil sur l'usine de voiture, d'où provenait le bruit. Que se passait-il ? Que devait-elle faire ? Elle était traquée par l'opération apocalypto, et si on la reconnaissait, elle serait poursuivit jusqu'à ce qu'elle trouve un endroit où se cacher. Elle hésitait entre fuir avant qu'on la remarque, ou au contraire aller voir ce qui se passait. Mais après, tout, ça faisait deux ans qu'elle s'entrainait pour affronter les anti-mutant et en tuer le plus possible, c'était l'occasion ou jamais ! Elle s'approcha donc discrètement et observa la scène. Apparemment, c'était un jeune garçon qui avait provoqué tout ce remue ménage. Vu la raffut et les dégât, c'était un jeune mutant qui contrôlait mal son pouvoir.

Deux agents de la sécurité le maintenaient et l'entrainaient vers une voiture de police. Ils avaient cet air dégoûté sur le visage, un air typique des anti-mutants, qui n'éprouvaient que du dégoût et rejetait les mutants, quand ils n'étaient pas mort de trouille. Elle connaissait bien cet air, que de nombreux humains avaient eut envers elle. Ni une ni deux, Abby, qui serrait les dents, envahit par la haine et la violence se retrouva sous forme animale. Elle était encore jeune, et de fortes émotions provoquaient parfois sa métamorphose, ainsi que ses peurs, elle ne maîtrisait pas toujours tout. Autant que cette transformation serve a quelque chose au lieu de fuir maintenant !

Elle repéra un trou dans un coin du grillage. Elle s'élança alors, pénétrant dans l'espace de l'usine de voiture, et en quelques bonds, elle sauta à la gorge du premier policier. Celui-ci n'avait rien vu venir. Abby planta ses crocs dans la chair tendre de la partie la plus sensible de la plupart des animaux. Elle sentit la chair se déchirer sous ses dents, puis le sang gicler dans sa gueule, ce qui lui donna un élan de force, et la puissance de sa mâchoire continua d'attaquer cette gorge ouverte. Le policier l'asséna de coups sur la gueule, les côtes et les épaules, mais rien ne la fit lâcher. Elle serra une dernière fois, et elle sentit le craquement des vertèbres dans sa gueule. L'homme s'effondra, sans vie.

L'autre policier avait sortit son arme, mais il ne pouvait tirer tant que son coéquipier était en vie. Tous les gens de l'autre côté de la barrière criaient, s'agitaient, certains fuyaient, d'autres restaient figés sur place, d'autres encore essayaient d'entrer pour aider. Le petit garçon profita de cette agitation pour fuir, par le même trou qui avait permit a Abby d'entrer. Il se souviendrait sans doute longtemps de ce loup qui l'avait sauvé de l'opération. Abby relâcha enfin la gorge du cadavre ensanglanté pour se tourner ver l'autre homme. L'abattre sera bien plus dur sans l'effet de surprise. Prête à l'attaque, elle se mit en position de chasse, la tête basse, les oreilles couchées sur sa tête. Un grognement sourd sortit du plus profond de sa gorge. Elle bondit une première fois, l'homme l'asséna d'un violent coup de son arme, ce qui projeta Abby loin de lui, elle atterrit sur les flancs, l'homme tira une première fois, la louve roula et évita le projectile. Abby rechargea, elle sauta une nouvelle fois, mais ne parvient qu'à atteindre l'épaule, un coup de dent, et elle sentit les os se briser dans sa mâchoire. L'homme hurla de douleur, tira, mais cette fois Abby reçu la balle dans la hanche, elle gémit de douleur puis serra ses crocs sur la jambe de son assaillant, qui tomba au sol de douleur. Abby lâcha prise quand une deuxième balle vint se loger dans son épaule. Sa gueule ensanglanté de sang humain claqua, réprimant un hurlement.
C'est à ce moment là que quelqu'un réussit à pénétrer dans l'enceinte de l'usine pour porter renfort. Mais à qui ? Abby s'apprêtait à ressauter à la gorge du policier, proie facile, blessée et au sol. Elle ne regarda donc pas qui était entré. Mais elle ne tarderait pas à le savoir.

SIGNATURE

Ce matin le soleil ne se faisait pas supllier, il estait là, à se mettre de plus en plus en évidence, dans un ciel immaculé de nuages. Poutant il ne faisait pas encore chaud, la pluie de la nuit précédente se faisait toujours sentir dans l'air, et le mercure ne montait que très doucement vers les 15°C.

Cela faisait au moins une demi-heure que Tom vadrouillait dans la zone industrielle. Il avait attendu depuis l'aube sur le capot de sa nouvelle voiture, une petite Smart noire discrète. Il n'attendait pas rien, un matin au milieu d'usines rejettants fumées noires et odeurs désagréables, avec aucune source de musique sur lui. Il attendait qualqu'un. Mais une fois deux heures passées après l'heure convenue, Tom abandonna et se dit que cette personne ne viendrait plus.

Il descendit de son perchoir et commença à gambader au milieu des infrastructures monotones. Enfin, il arriva sur un espace moins colonisé par les usines, une petite place faîte de sable pouvait représenter à la fois un parking gratuit et ignoré des services d'entretients, et un carrefour non-groudronné reliant les différentes allées des alentours. L'endroit n'était pas désert, le principal bâtiment entouré de grillage était en état de siège par des journalistes, quelques curieux et deux voitures de police dans le milieu de son terrain. Un enfant était au milieu des deux fonctionnaires. Tom surplombait la scène depuis le haut du reste de la zone industrielle, et l'événement ne lui semblait pas normale. L'usine de construction automobile trouée de dégat était certainement la cause de son impression.

Un mutant. La déduction n'était pas difficile à faire, un enfant normal près d'un complexe industriel n'aurait pas demandé l'attention de policier. Mais is c'est un matant et que lui est un agent d'Apocalypto, il se devait de s'en occuper plutôt que de laisser l'enfant entre les mains de simples gardiens de la paix. Il déçida donc de s'avancer au moins aux abords du groupe. Il ne savait pas comment il allait se présenter pour prendrel e contrôle de la situation, il aviserait.

L'enfant commençait à pénétrer dnas une voiture, quand, sortie de nul part, une boule grise foncée déboula sur le policier qui tenait l'nefant. La silhouette furtive avait maintenant les contours de sa gueule déssiné au crayon rouge, là Tom peut intervenir.

Le temps que l'agent se frait un chemin à travers la foule et passe par-dessus le grillage, l'animal désormais identifié comme un loup avait achevé le premier homme et menacé le premier d'un saut. En parallèle à la course que Tom avait entamé vers le combat, trois coups de feux étaient partis du canon du revolver du deuxième policier. Les deux âmes étaient à présent bléssées, tant mieux.

Le loup était sûrement un autre mutant qui a porté secours à l'enfant, l'enfant ! Où est-il ? Echappé... Le loup a désormais atteint son objectif, mais a quel prix, l'épaule au le haut des pattes arrière étaient imprégnés de sang. Tom n'avait plus qu'à sécuriser la situation, le policier bléssé, il ne causerait aucune interposition à son action. Et le loup dans un sale état devrait que lui faciliter la tâche. Mais un objectif devait rester réussi : la proie devrait être prise vivante.

Tom arriva enfin à côté du policier, l'incita à attaquer sa botte avec son nez, pour l'anesthésie... Il se tourna enfin vers l'animal, le visage interposant le soleil et les yeux du prédateur.

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Abby regarda le nouveau venu quand il se pointa face à elle, à côté du policier au sol. En un coup d'œil, elle comprit que c'était un membre de l'opération apocalypto. Elle fixa son regard jaune perçant et pénétrant dans les yeux de l'homme. Son regard semblait lire au plus profond de lui, à faire froid dans le dos. Elle était sûre d'elle, c'était un anti-mutant, ça se lisait dans son regard. Il faisait partit de l'opération secrète, ça se sentait dans sa posture, sa manière de se tenir, elle savait qu'elle reconnaîtrait ces gens au premier coup d'œil, sans aucun doutes. Cette apparition était un mauvais présage, sa présence n'indiquait rien de bon. Elle jeta un œil rapide alentour pour vérifier qu'il était seul. Ce qui semblait être le cas, mais elle devait tuer le policier dangereux avec son arme avant de penser à lui.

Elle se demandait si l'homme la connaissait ?! Surement, elle était activement recherchée après tout ! Enfin, elle se méfiait grandement, elle avait tué beaucoup d'homme, mais pas encore de membre de l'opération. Et elle les savait dangereux et très entrainé, rien de bien rassurant ou encourageant. Ce n'était pas le moment de mourir ou de se faire capturer... Enfin, ce n'était jamais le moment pour ça de toute manière... Mais comment avait-elle fait pour se retrouver dans cette situation ? Un beau pétrin... C'est là qu'elle regrettait de ne pas d'avoir d'allié ou de ne pas agir en groupe, personne n'était là pour lui porter secours ou l'aider à se débarrasser de cet homme qu'elle considérait comme répugnant, qu'elle ne connaissait pas qu'elle n'avait jamais vu, et pourtant elle le haïssait.

Abby commença à bouger. Toute cette réflexion n'avait en réalité duré que quelques secondes, même pas le temps pour que qui que ce soit agisse ou réagisse. La louve prenait garde a bouger très vite, de manière irrégulière de façon a être difficile a toucher. Il lui suffirait d'un coup de crocs bien placé pour se débarrasser du policier déjà au bord de l'évanouissement. C'était une méthode fatigante mais plus sûre. Elle perdait pas mal de sang, ce qui ne l'aidait pas à tenir le coup, mais elle ne laissait rien paraître de sa faiblesse, toujours aussi rapide, elle avait juste la tête qui tournait un peu et était essoufflée plus rapidement. Mais elle ne voulais pas y faire attention.

En décrivit des cercles, des zigzague, elle s'approchait vivement, se reculait encore plus vite. Entrainée par sa vitesse et son agilité, elle planta ses crocs dans la gorge du policier en passant tout près. C'était un coup de crocs tellement rapide qu'elle n'eut pas besoin d'arrêter son mouvement, au sol, l'homme était bien plus facile a atteindre. Et au lieu de serrer jusqu'à sentir la veine se percer et les vertèbre se briser, elle tira un violent coup au passage, entrainé par la vitesse. Les chairs se déchirèrent, les veines avec, comme si elle avait donné un coup de poignard sur le côté et tiré vers l'avant. L'homme poussa un hurlement, qui se termina en un gargouillis désagréable, puis un dernier râle et c'en était finit de lui.

Abby pouvait désormais se concentrer totalement sur l'homme qui devait la fixer. Réfléchissait-il a la façon de la tuer ? De la capturer ? Il devait se demander comment agir... Abby se méfiait beaucoup, depuis le temps qu'elle avait peur de se retrouver face a quelqu'un de l'opération, se retrouver devant comme ça, d'un coup, sans le sentir venir, sans se préparer c'était un choc. C'était comme si ces deux ans à se méfier n'était que du temps de perdu, qu'elle avait provoqué cette rencontre. Cet homme ne devait pas être aussi stupide que les policiers, sinon il ne serait pas un de ces membres. Ce serait sans doute plus dur de lui tenir tête, et dans un tel état, sans doute un effort voué à l'échec. Çà ne devait sans pas être la peine d'essayer. En forme, indemne, elle aurait pu avoir des chances, mais là, elles étaient maigres... surtout qu'il savait à quoi s'attendre, il savait quoi combattre. Et vu comme elle était recherchée et traquée, tous les membres devaient être équipée pour la capturer... Après tout, ce n'était qu'un loup, ou une jeune femme squelettique. Rien de bien difficile pour un homme armé, équipé, plus grand et plus fort qu'elle.

Elle soupira, sans cesser de bouger. Encore une fois cette réflexion s'était fait si rapidement, personne ne semblait avoir eut le temps de réagir. Elle était blessée, elle en était consciente, elle se demandait si ça ne valait pas plus le coup de fuir que de se jeter dans la gueule du loup ?! Elle n'était pas vraiment en état de combattre quelqu'un d'aussi fort... Mais d'un côté, si elle combattait, elle avait plus de chance de mourir, et elle préférait mourir que d'être capturé... Mais si elle fuyait, elle avait des chances de se réfugier en vie. Bien qu'elle ne savait pas combien de temps elle tiendrait avec ces blessures... Mais ça, elle connaissait quelqu'un, elle savait a qui s'adresser ! Et puis, même blessé, un loup courrait bien plus vite qu'un homme ! Mais pas des balles, mais ça, une de plus, une de moins...

Elle voulait essayer de l'amocher un peu avant de fuir, ça lui donnerait plus de chance d'arriver à le semer ! Et puis une bonne partie des gens du grillage avaient fuit en voyant cette scène d'horreur, ce qui lui laissait le passage libre. Toujours en tournant irrégulièrement dans les parages, elle s'approcha assez près pour planter ses crocs dans les mollets de l'homme. Mais elle lâcha avant de déchirer le muscle, pour s'éloigner assez vite et tenter de recommencer.

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Aucun nuage, le teint brumeux du ciel s'était déjà évanoui et les contours des différents élèments du paysage, de la vile ne se faisaient que plus nets. A ce moment tout le monde peut se dire que la vie est belle, qu'elle en vaut la peine d'être vécue. Cette idée n'est qu'un idylle, que les hommes se sont forgés, pendant des siècles. Malgrès ces envies de profiter du moment présent, les êtres humains s'obstinent à couper le mince fil de couture immaculée qui les relient à leur rêve de paix.

Rien qu'à voir les scènes qui se déroulent dans la ville d'Achea, on ne peut qu'aprouver cette théorie et se plaindre de la bêtise humaine. C'est cette théorie que développa Tom, au beau mileu d'usine fumantes de tronçonneuses partant couper la branche sur laquele est assis l'homme, qui lui fit penser que rien de tout cela ne devrait arriver. Sa très discrète oreillet lui soufflait que deux émeutes se suspectes se dévellopaient en ville. La prmière était identifier et les élèments devenaient de plus en plus cohérents, mais la deuxième présentait une multitude d'élèments inconnus.

*Ah oui, ces élèments*

Tom allait presque oublier un facteurs dans toutes ses sombres pensées, un facteur qui était encore mal connu, un facteru qui ne méritait peut être pas d'entrer dans le groupe des êtres humains, un facteur qui mettait beaucoup de bêtes humains en colère, un facteur qui divisait tout le monde et qui redonnait de l'essence à toutes les tronçonneuse du monde.

Les mutants.

Qui a dit que Tom allait lui aussi apporter ses machines de guerre contre le le fil friable. On avait mis le jeune garçon dans une situation où tout bon humain aurait pris joie d'incarner un héros dévoreur de mutant, qui sortirait ses guns en prononçant une phrase copiée d'un film. Ce n'est aps le genre de Tom, peut-être n'était-il pas humain, peut être était-il unique, et peut-être que ... non il ne pouvait pas être un mutant.

Tom n'a jamais été bons en ce qui concerne la baston, où tout le monde rêve d'ascèner un bon uppercut dans le foie d'un adversaire trop prétencieux. Il préfèrait soit usé de paroles sages et constructives, soit contourné le problème en utilisant un moyen peut-être moins ... humain.

Un loup enragé, qui était sans aucun doute un mutant, avait terrorisé un petit bout de monde dans les alentours, il avait même entamé les hostilités en attaquant le mollet de Tom. Tom ne voulait pas se battre, et comme signe de non-violence, il avait offert un coup de 45 modèle Catterpillar à un malheureux fonctionnaire humain. Puis, se tournant vers l'adversaire, il plongea sa main dans sa poche. Sa profonde poche était pour lui le fameux sac où l'on avait toujours un tour. Il en sortit une boîte. Assez petite, mais quand il l'ouvrit, elle parraissait déjà beaucoup plus grande.

Déjà quelques sueurs naissaient sur le sommet du front de l'agent. Le soleil entamait un autre combat. Et la blessure due à des dents acérée començait à faire vaciller et tordre la posture de Tom. Il n'avait pas souvent ce réflexe qui est de crier ou d'afficher une brillante grimace quand il avait mal. Il ne fit comme si c'était une petite éraflure et commença à s'asseoir contre la voiture banalisée. Il jetta un coup d'oeil au canidé, il était resté en face de lui, près à recommencer les offensives ou à se retirer de la scène. C'est tout ce qu'il fallait à Tom. Il réexamina sa boîte et prit dedans une large compresse. Un kit de secours. Il sortit quelques autres outils ou accesoires de son manteau et parla à voix haute en direction de l'animal.

-Je ne veux pas te tuer. Pour moi ça ne sert à rien. Mais mon devoir d'humain, ce sale boulot d'humain, m'oblige à agir sur toi. Et je crois avoir trouver quelques chose qui pourra nous convenir à tout les deux, un marché si tu préfère.

Tom s'arrêta et vit que le loup restait immobile, il se torda l'esprit à penser qu'il était en train de parler à un véritable loup, ce qui l'amusa.

-Quelque chose avant ma proposition, fais moi un signe si tu comprends ce que je dis, sérieusement ça me ferais chier si je parlait dans le vent.

Le loup cligna des yeux et bougea discrètement sa tête de doite à gauche, ce qui ne voulait absolument rien dire et ne prouvait en rien que c'était le signe qu'attendait Tom ou si c'était juste le soleil qui commençait à abîmer les rétines du suposé mutant. Mais Tom jugea qu'il pouvait continuer.

-Bon d'accord, il se gratta le bord de la lèvre, tout en commençant à appliquer ses soins, il serra provisoirement avec du scotch et jura que le loup ne l'avait pas manquer. Nous somes tous les deux bléssés, mais moi je n'ai qu'une trace de dents, toi tu as deux balles nichée dans des endroits où moi je ne les aimerais pas... Si tu as tout compris, je devrais t'attraper vivant, donc pas mort. Et que tu aies déjà deux projectiles entre tes muscles me chagrine. Pour ma part, j'ai aussi quelques diplôme basiques de premiers secours que je sais parfaitement appliquer. Et en plus, comble du luxe, j'ai un assortiment d'équipement médical assez complet.
Alors mon marché serais que tu t'approches de moi, que je te garantisse de ne te faire aucun mal, et que je te soigne de façon à ce que tu puisse rester en vie au moins quelques jours. Tu garantira, par le simple fait d'avancer vers moi, vu que la nature ne t'a pas encore doté de parole, de ne pas me rajouter quelques égratinures du genre que tu m'as déjà infligé. Voici la première solution qui est pour moi la meilleure et que je choisirais, j'espère que tu en feras autant.
La deuxième solutions est que, par un acte irrésponsable de ta part, tu essaies de t'enfuir, ou de m'attaquer, je répondrais pas une troisième balle calibre 12mm d'un Revolver Mp-48 spécial Chicago.

Sa deuxième proposition avait été calculée pour que ses soins personnels soient terminés et qu'il puisse plonger sa main dans une poche intérieure tirant un large morceau de métal, brillant à souhait, avec une large ouverture en bout de canon. Les mains de l'agent s'étaent déjà affairées à recharger le revolver et démontrer la dextérité que le jeune homme fournissait.

-J'ai déjà été déclaré 1^er de tous les concours de tirs, toutes catégories confondues, où j'ai eu l'honneur de concourir. E t je peux sans problème me déclarer meilleur tireur d'élite dans une zone de 50 km autour de moi, même si ma préférence va pour le maniement des armes tel que celle que j'ai en ce moment même dans mes mains.
Bref : tu meurs, ou tu t'aproche de moi.

Tom avait maintenant finit de parler ou de se soigner, le sang ne circulait plus le long de sa cheville et il avait un excellent pistolet à porter de mains. Il positionna le revolver à la droite de ses cuisses, et la boîte de secours à sa gauche, il posa ses mains sur ces dernières et souria d'un air innoçent à l'animal.

-Alors ?

[HRP= j'ai passer plus d'une heure et demi à écrire ça, en un coup, j'en suis super fier et je me suis bien amusé, j'espère que ça te plaît ...]

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Abby continuait a courir autour de l'agent, gardant le rythme. Elle l'observait, elle le vit fouiller sa poche, ce qui la mise encore plus sur ses gardes, quand il sortit une petite boîte, elle ralentie l'allure, ses blessure la fatiguait. En temps normal, elle aurait pu continuer à ce rythme une bonne heure. Elle l'observa sortir de quoi se soigner. La louve s'arrêta donc, face au jeune homme, campée sur ses pattes fines. La tête basse, en position menaçante, elle observait l'homme d'en bas. Contre toute attente, l'homme commença à parler et à lui adresser la parole. 'Je ne veux pas te tuer' ?! C'est ça oui !! Depuis quand un anti-mutant ne voulait pas la peau de ceux ci !! Elle serra les dents, l'agent lui proposait un marché ?! Étonnant... Silencieuse, elle l'écouta, attentive, les oreilles remuante.

Il lui demandait un signe pour poursuivre. L'idée de se faire passer pour un véritable loup l'effleura. Pourquoi pas ? Avec un peu de chance il la laisserai partir ? Non, il la capturerai, et trouverai l'ADN humain... A moins que l'ADN changeait en même temps que sa métamorphose ? Pas sûre... Et puis, un loup enragé, il risquait de la tuer plutôt que de la mettre dans un zoo, ce qui aurait pu être pratique, plus facile de fuir d'un zoo que de la planque apocalypto... Elle abandonna l'idée, surtout qu'il l'avait bien vu sauver le jeune mutant... Elle répondit donc par un vague signe de tête, ce qui l'encouragea à poursuive, même sceptique, ça ne l'empêchait pas de se renseigner sur ce qu'il avait derrière la tête... Il commença donc son explication, tout en pansant sa plaie. Blessure qu'Abby avait faite pour le mettre au même niveau qu'elle et agrandir ses chance de réussir à fuir devant lui, même sous forme humaine.

L'agent commença par avouer être blesser, mais superficiellement par rapport a la louve. Certes, il n'avait qu'une morsure, et elle deux balles, mais elle ne savait pas si les balles avaient traversées, si elles étaient restées, ou si elles n'avaient fait qu'effleurer. Elle ne sentait pas vraiment la douleur, juste un petit étourdissement et de la fatigue, elle se concentrait plus sur les paroles de l'homme. Vivante ? Il la voulait vivante ? La capturer et faire des tests sans doute ! Mais avec tout ce qu'elle avait fait et depuis le temps qu'elle était recherchée, ils ne serait pas chagriné de la tuer pour de bon ! Ils seraient ravi de se débarrasser d'elle une bonne fois pour toute ! Elle ne pu s'empêcher de penser à son frère, capturer d'abord et sans doute tuer ensuite, un élan de haine et de colère la submergea. Elle préférait mourir que de vivre enfermée.

Il continua en se ventant de ses capacités de premier secours, elle ricana intérieurement, si elle restait en louve, il ne serait sans doute pas capable d'appliquer ses soin, a moins qu'elle reprenne forme humaine... Et puis, elle n'avait pas besoin d'aide, elle connaissait quelqu'un pour l'aider... Enfin si elle vivait jusque là... Elle pensa d'ailleurs à Sven, qui lui avait demandé de faire attention, de ne pas mourir ni se faire capturer... Elle n'avait même pas pu le revoir, mais comment apprendrait-il la disparition d'Abby ? Ce qui lui proposa ensuite la fit grincer des dents. S'approcher de lui ?! Voilà autre chose !! Et puis quoi encore ?! Lui faire un câlin pendant qu'on y est !! Comment lui faire confiance en connaissant sa nature ?! Et puis pourquoi rester en vie quelques jours ? Si elle se fait capturer, autant mourir le plus vite possible ! Elle ricana encore en silence quand il parla de parole, si il savait... Bref, il continua avec la deuxième solution, qui se corsait. Lui tirer dessus ? Très original... Il sortit son flingue et se venta encore de ses capacités de tir... Abby soupira et leva les yeux au ciel. Elle aurait peut-être du avoir peur ? Mais tout son baratin ne lui faisait ni chaud ni froid, elle n'eut même pas un mouvement de recul à l'apparition de l'engin.

Elle décida de 's'amuser' un peu, histoire de gagner du temps, pour réfléchir à une solution, mourir de ses blessures, ou laisser le temps à quelqu'un d'intervenir, ce qui avait peu de chance vu la désertion des gens alentour. Abby se concentra, et métamorphosa seulement ses cordes vocales, exercice difficile, mais pour lequel elle s'entrainait régulièrement. Elle préférait ça que de reprendre forme humaine, même s'il savait qui elle était, elle restait plus réactive sous forme de louve. Elle pouvait en effet transformer seulement quelques parties de son corps, ce qui lui valut une belle queue noire et touffue sous forme humaine quand elle ne contrôlait pas vraiment tout... Elle prit donc la parole, contre toute attente.

« Qui te dit que je n'ai pas la parole ?! Et que fais-tu si je ne fuis pas, n'attaque pas et ne m'approche pas ? T'attend que je meurt ? Pourquoi accepterai-je de me laisser soigner par toi ?! Je préfère mourir ! En gros je dois me laisser capturer pour vivre ? Vivre enfermé pour mourir peu après ? Je n'appelle pas ça vivre ! »

C'était une drôle de voix, et elle avait beaucoup de mal à s'exprimer, sa gueule n'était pas fait pour ça, on aurait dit qu'elle mâchait du chewing-gum, tout en produisant des mots pas moins compréhensibles. Oh oui, elle préférait mourir directement, par une troisième balle ou par ses blessures, l'idée de vivre captive lui était insupportable, elle ne savait même pas si elle serait capable de s'enfuir, ils étaient si nombreux et si forts... L'idée de chopper directement sur le flingue lui effleura l'esprit, mais ranger à sa ceinture, il était inaccessible, il faudrait qu'il la menace avec... Au risque de se faire tirer dessus, a moins qu'elle y arrive, mais le flic mort en avait un aussi... Encore une idée qui ne menait a rien. Comment s'en sortir ? Soudain irritée et plus agressive Elle reprit la parole.

« Et si je plante mes crocs là où je pense ? Tu crois que tu pourra encore me tirer dessus en visant correctement ? T'as déjà essayé en concours ? Tu n'es qu'un homme et prétentieux par dessus le marché... »

Elle risquait de le mettre en colère, mais elle ne comptait pas se laisser berner, elle avait trop de haine et de colère accumulé.

[Désolée, c'est pas super...]

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[HRP= C'est court, nul, sans action, mais j'ai le temps que de faire ça, je reviens lundi 18 au plus tôt (1 semaine d'Espagne) j'ai honte de mes qualités de posteur...]

Tom souriait.

Le plus gros problème ethnique de l'Amérique depuis le dernier siècle était entré en action sous ces yeux, et maintenant il y contribuait. Depuis son arrivée à Achea, Tom avait vu beaucoup de scène impliquant directement ou indirectement les mutants. Pratiquement à chaque fois, il en avait conclu qu'il y avait des cons partout.
Il avait vu des mères sourire à ses enfants et raccompagner un enfant égaré qui passait en pleurant par là, ces gens là était le modèle humain. Ils réagissaient en fonction de la plus importante des doctrines ; faire passer l'intérêt collectif avant l'intérêt personnel. Pour Tom, c'était le plus beau geste du monde. Quel importance avait l'enfant perdu pour cette jeune maman heureuse ? Il avait du suivre des suspects agissant de manières semblables, ne faisant aucun mal. Il ne les avait pas interpellé.
Dans ces rondes, il avait aussi vu des gens ignobles, encapuchonnés dans des vestes brillantes ou surmontés de casquettes roses. Ces gens n'ayant qu'à déambuler dans les rues pendant la journée ou embêter des passants. Ces gens là étaient ceux que Tom détestait le plus, ils étaient prétentieux et ne parlait pas de langues officielles. Il a soupçonné plus d'une personne de ce genre là à être un mutant. Pourtant, la plupart montrait qu'il n'avait rien d'exceptionnel en se montrant incroyablement débile, les humains aussi étaient incorrigible.

Quand il avait vu le loup bondirent de nulle part ouvrant la gueule vers un fonctionnaire, il avait l'impression de voir un de ces bagarreurs incapable de penser, ne voulant uniquement montré qu'il n'aime pas l'autorité en causant des dégâts. Mais là, il y avait un autre facteur ; l'enfant. Une chose était sûr, le loup n'avait pas foncé sur des hommes armés pour montrer qu'il est là, mais pour sauver l'avenir d'un enfant innocemment contraint à se défouler dans un lieu désert. Dès que Tom comprit cela, il n'avait plus envie de faire du mal au loup, jusqu'à ce qu'il voit les deux cadavres ensanglantés sur le gravier fin. Il pensait à la famille des deux hommes, qui apprendront qu'un loup leur a ôté la vie. Le jeune enfant mutant valait-il vraiment la vie de deux honnêtes agents publics ? Ce n'était pas sûr, et il fallait donc arrêté le loup.

Voilà en résumé ce qui s'était passé dans la tête de Tom avant qu'il ne franchisse le grillage de l'usine. Il décida en même temps d'user de la prétention et du théâtre pour résoudre cette scène. Mais les efforts du jeune homme pour faire du cauchemar un geste pacifique avaient tombé à l'eau en une seule phrase sortit d'une mâchoire hybride. Tom était bloqué. La seule solution qu'il avait pour sortir de ce pétrin en satisfaisant son devoir de membre d'une opération secrète était de se forcer à montrer ces talents de tireur. Tom aimait tirer avec une arme à feu, simuler un poste de sniper en haut d'un immeuble et pulvérisé des cibles en carton. Tirer sur une cible vivante paraissait déjà moins marrant.

La situation dans lequel il s'était fourré était plus délicate que ce que ses muscles pourrait résoudre, la poudre elle, serait peu être plus forte. Usant jusqu'au bout des gestes théâtrales, Tom reprit dans la paume de sa main droite le revolver et déroula son bras vers la tempe du loup. Sa main gauche vint soutenir l'épais canon et stabiliser l'ensemble. La tête se pencha et se colla contre l'épaule rehaussée de Tom, alignant parfaitement son œil directeur droit avec le viseur et les deux yeux du loup. Déjà l'index droit se crispait sur ce qui restait de vie à l'animal. Celui-ci écarquilla un peu les pupilles, et se pencha un peu plus contre le sol, la truffe frottant la poussière.

-Avant que tu ne t'écroules sur ton grabat, je tiens à te ire que je ne voulais pas cette fin là, que je t'avais donner une chance. Mais au moins, tu aura sauver le garçon, c'est bien. Maintenant c'est toi qu'il aurait fallu sauver, tu n'a qu'à décider de ton sort.

L'index de l'agent se contracta et une nouvelle détonation frappa toutes les surfaces de la scène.

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[HJ : Je ne vais pas m'étendre sur ce qu'Eric faisait avant, je vais entrer directement dans le vif du sujet.]

Les aléas de la vie d'Eric l'avaient ammenés dans un endroit où il n'allait pas vraiment très souvent, vers les usines de la ville d'Achaea. Il avait son baladeur tranquillement sur les oreilles, il écoutait sa musique préférée, il était donc des plus tranquille, rien ne semblait perturber sa promenade à la recherche d'une éventuelle proie devant lui. Cependant, il s'apperçut alors qu'il était plongé dans ces pensées, qu'il y avait une sorte d'attroupement à une endroit précis, non loin de là. Il se mit alors à l'écart, observant cette foule, et notamment les jeunes femmes qui se trouvaient dans le lot, pour savoir si l'un d'entre elles ne pourraient pas lui faire un petit plaisir, s'il ne pouvait pas faire connaissance. Mais alors qu'il semblait avoir trouvé la perle rare qui conviendrait à son bonheur, la foule se dispersa sous le coup de 2 détonations. S'il était plus ou moins concentré sur sa musique et sur cette femme, tout cela disparue en même temps que la dissipation de la foule. Qu'est ce qui se passait par là-bas ? Apparemment, il y avait un enfant qui venait de fuir, et un loup venait de s'attaquer à une homme. Cela fit tilte aussitôt dans sa tête. Abby était dans la place et si elle s'attaquait à l'homme sous sa forme de louve, ce n'était pas pas pur plaisir. Il observa la scène de loin, elle avait déjà déchiqueter deux hommes apparemment, elle s'en sortais honorablement, mais les deux balles semblaient s'être logé dans son corps. Elle était cependant toujours debout, enfin dans sa forme de louve, mais si elle avait ces deux balles, pas sur du tout qu'elle puisse survivre longtemps face à ce gars, probablement un membre d'Apocalypto, sinon, cela ne serait pas marrant. Il se rapprocha doucement de la scène, alors que la majorité des personnes avaient quitté le lieu de peur de se prendre une balle perdue. La scène semblait pourtant totalement sous contrôle par la louve, elle avait attaqué le membre de l'opération qui semblait être mal en point, peut être pas autant que la louve, mais les chances de survie d'un côté comme de l'autres semblait dépendre d'une tierce personne, et cette personne s'était bien entendu Eric. Le membre de l'Agence devrait donc avoir du mal à survivre contre ces deux mutants, sacahnt surtout que le maitre des ombres, reste intouchable de là où il est, et qu'il est en pleine forme par rapport aux deux protagonistes déjà en place sur la scène du crime, enfin des crimes puisqu'il y a déjà eu deux meurtres. Cependant, l'homme d'Apocalypto semble avoir plein de ressource en sortant son arme pour tirer un premier coup de feu sortant de celle-ci puisque les deux précédents sortaient de l'un des flics déjà au sol, hors course. Même s'il était mal en point, la balle semblait prendre la direction de la tête de la jeune louve, autrement dit une morte assurée pour elle mais tonton Eric était là pour dévier cette balle dans un arbre sans se faire voir. En effet, il lança une ombre pour contrer la balle, il placa l'ombre avec un angle suffisant pour que la louve, à savoir Abby ne soit pas toucher. Cela serait surement surprenant pour l'homme de voir sa balle ricochée sur rien, enfin rien en apparence, parce qu'avec le soleil l'ombre d'Eric ne se voyait quasiment pas tellement ces rayons étaient forts.

Eric restait derrière son arbre, personne ne semblait l'avoir vu et les quelques badauds encore en place étaient interloqué de voir une louve s'attaquer à l'homme, mais le plus étonnant était cette balle qui venait de partir sur le côté alors que le combat semblait se finir là. Il resterait par ici le temps qu'il faudrait avant de s'interposer complétement contre ce fichu agent d'Apocalypto. Il n'avait pas envie de le tuer, bizarrement d'ailleurs, il avait plutôt dans l'idée de sauver Abby, ce qui est une chose assez naturelle vu qu'ils sont amis ! Allait-elle voir l'intervention de son ami ? Comment réagirait l'agent en voyant cela ? La suite des événements nous en dirait plus !

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[Mercii beaucoup Ericounet de nous sauver ! Enfin, surtout moi ^^]

La jeune louve continuait de fixer l'agent face à elle. Elle avait arrêté de décrire de grands cercles autour de l'humain, affaiblie, ayant tout juste assez de force pour rester debout, camper sur ses quatre pattes fines, la tête basses, les oreilles couchées sur sa nuque, le regard jaune et perçant fixait sans ciller le visage de Tom. Comme attendu, l'homme ne tint pas sa promesse. Il sortit son arme d'un grand geste, qui lui fit penser à un duel de cow-boy, sauf qu'elle, elle n'était pas armée. Il utilisa les deux mains pour soutenir l'arme, Abby eut un mouvement de recul, elle sortit les dents et un grognement profond retentit, surement la dernière chose qu'elle dira. La tête plus basse que jamais, elle vit le doigt se contracter. En temps normal, elle aurait eut le réflexe de faire un écart en voyant le doigt se contracter sur la détente, mais là, elle était trop affaiblie pour réagir assez vite. Elle sentit le moment fatidique approcher, elle n'écouta pas le baratin de l'humain, elle s'en fichait, il ne faisait que mentir.

Le doigt se contracta pour de bon, l'arme détona, le bruit résonna dans la tête de la louve, le regard dans le vide, ce n'est pas sa vie qui défila devant ses yeux, mais des visages. Celui de son frère principalement, puis Sven, Eric, Piotr, Tim, et quelques loups de la meute... Elle vit la mort de près. Elle n'évita pas la balle, a bout de force, résignée à mourir, déçue que ce soit de cette manière. Elle s'était redressée, affrontant la mort en face. Après tout, c'était bien elle qui avait tenté de se donner la mort à plusieurs reprises. Mais elle voulait tuer le plus d'agent, ce qu'elle n'avait pas réussit, ce qui la chagrinait le plus, c'était de mourir sans avoir vengé son frère. Mourir là, devant tout le monde, laisser cette ignoble humain lui hotter ce qui lui restait de vie. Cette idée lui était insupportable, mais courageuse, elle resta face à son destin tragique.

Contre toute attente, la balle dévia et partit finir sa course dans un arbre. Abasourdie, Abby suivit la balle des yeux, elle aperçue une silhouette familière du coin de l'œil, mais ne la regarda pas, pour ne pas attirer le regard de l'agent. Elle cherchait à réagir vite. Elle hésita entre plusieurs réactions, tout se passa très vite dans sa tête, quelques secondes seulement. Fuir en courant ? Nan, elle n'était pas assez rapide blessée, et il pouvait vite tirer une autre balle. Rester là et se moquer ? Elle aurait bien voulu le charrier, même si elle se doutait que ce n'était pas lui qui avait raté son tire, mais ce serait sans doute la dernière chose qu'elle ferait, et pourquoi pas essayer de sauver sa peau ? Elle pensa à lui sauter à la gorge, mais il risquait de se débattre et de lui infliger d'autres blessures. Elle ne pu s'empêcher de sourire en voyant le tête décontenancée de l'humain, mais un loup qui sourit ressemble plus à une menace qu'à une moquerie.

En même temps qu'elle réfléchissait à vive allure, elle chercha l'origine de ce changement de situation. Elle put ainsi remarquer une ombre toute proche d'elle, entre l'homme et elle, presque invisible avec la soleil. Immédiatement, Abby pensa à Eric, c'était sa silhouette qu'elle avait repéré, elle avait déjà vu une ombre comme celle-ci en sa présence, c'était son pouvoir. Elle ne chercha pas à regarder Eric, pour ne pas montrer à l'agent qu'elle savait qu'il y avait une source, et surtout pas lui montrer laquelle. Toutes ces pensées ne se passèrent qu'en quelques secondes. Elle se souvenait qu'elle avait imaginé elle combattant entourée d'ombre. Cette pensée lui redonna du courage, l'ombre pouvait désarmer Tom, comme elle 'lavait fait avec elle en forêt. Désarmé ?! Mais oui ! D'un bond surhumain, dans un élan de courage, de haine et de colère, avant même que l'homme eut le temps de réagir à cet évènement inattendu, la gueule de la louve noire se referma sur l'avant bras droit de l'humain, plantant ses crocs dans le bras qui tenait l'arme, dans l'objectif de le désarmer.

Abby resta accrochée le plus longtemps possible, enfonçant ses crocs dans la chair, le sang qui coulait dans sa gueule lui redonnait de l'espoir et un peu de force. La présence d'Éric non loin lui redonnait confiance, une chance de s'en sortir et de vaincre son pire ennemi, un espoir de s'en tirer vivante, mais en sale état. Elle était étonnamment heureuse de sentir cette présence non loin, cette ombre non loin d'elle qui pouvait agir et la protéger à tout moment. Si elle s'en sortait, elle ne saurait pas comment remercier son sauveur sombre et mystérieux. Là, elle ne pourrait plus refuser de s'allier avec lui dans cette guerre presque déclarée. Mais ça ne la dérangeait pas, c'était comme elle l'imaginait, combattre avec des ombres autour d'elle, c'était une image qui lui plaisait bien. Et elle commençait à apprécier la présence, qu'elle détestait les premières fois, de ce grand brun séduisant et sombre.

A peine l'arme lâchée et le bras de l'agent bien amoché, Abby relacha sa prise et d'un bond surhumain, ne laissant pas le temps à l'homme de reprendre ses esprits, ou même de ramasser son arme, la louve sautait déjà à la gorge de l'humain. Elle y enfonça ses crocs, comme elle avait l'habitude de faire, c'était un coup fatale. La blessure au bras et l'intervention d'Eric semblait l'avoir totalement destabilisé, prit au dépourvu, Abby pu agir librement, malgré le peu de force qui lui restait. Elle sentit à nouveau le sang couler dans sa gueule puissante, la chair se déchirer. C'était une morsure mortelle, et c'était l'intention d'Abby de lui ôter la vie.

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[HRP= Finalement, c'est assez nul... J'ai des problèmes pour répondre je ne peux pas voir le bas de mon message donc je n'ai pas pu mettre en forme, désolé... et au revoir tout le monde!]]

*Un autre. C'est sûr qu'il y en a un autre quelquepart.*

Tom cherchait désesperement de ses yeux grands ouverts l'orgine du miracle. Il était sûr qu'un autre mutant se tenait quelquepart, peut-être invisible. Peut-être qu'il controlait l'oxygène, et l'a concentré entre la balle et la louve pour dévier le tir, peut-être qu'il contrôle simplement les métaux, peut-être qu'il a à sa disposition une matière inconnu, faite de matière organique invisible déjouant les yeux des communs.

Tom se tenait là, le regard équarquillé, jonglant d'arbres en arbre pour capter un signe artificiel, mais rien ne lui vient à la rétine. Le loup lui à peut être vu la balle contourné son museau, et elle doit en savoir plus que moi sur la nature du phénomène. Le canidé n'en était déconcerté, c'était évident pour lui, il était même plus sûr de lui. Il avait perçu en Tom le rare moment d'inattention, et il plongea.

Les crocs acérés dévorèrent tout du milieu de l'avant bras au poignet, imprégnant le bras de douleur. Un cri rauque et plaintif sortit de la gorge de l'agent, raclant toute les parois de son larynx, un cri qui exprimait l'exaspération et l'envie de cogner dans un mur pour Tom, d'autre diront que, d'après la sonorité de l'énorme soupir, c'était le désespoir et la tristesse qui étaient mis en avant. Tout ce qui partait du bout du bras pour revenir vers la métropôle humaine était remplacer par un glacon, qui consumait peu à peu tout ses vaisseaux sanguins, jusqu'au plus petit capillaire.
-Et merde, lacha Tom avec une profonde amertume sur les lèvres en voyant que la cause de ces souffrances était la gueule du loup. Il regardait à present la masse de poil de la même façon que tâche de ketchup sur un smoking de luxe.
Il amorça alors un mouvement circulaire avec ce qui lui restait de son bras droit de façon a utiliser l'élan du fauve pour le cogner contre le sol ou la voiture de police. La manoeuvre commença bien mais au dernier moment, la mâchoire de l'animal s'abbatit promptement sur une autre cible, la gorge.

Là ce n'était plus de la douleur, s'était de l'asphyxie, l'oxigène ne passait plus entre sa bouche et ses poumons, provoquant qu'un faible gargouillis. Et yeux devinrent si ouvert que les vaisseaux ne paraissaient plus rouge mais pourpre tellement il étaitent mis en valeur.

Le loup sauta de la gorge de Tom et alla se réinstaller avec une démarche claudiquante vers l'emplacement où elle était il y a à peine une minute, et dans un rictus sauvage, sortit un autre addressé à un arbre.
Tom, en arrière plan, était beaucoup moins fier, des flots de sang dégoulinait dans sa chemise et longeant son bras, une flaque avait commencé à se former à ses pied. Son genou gauche rompit eclaboussant les quelques centimètre carrés émergé du liquide vital. La tête en arrière, les pupilles de Tom rétrécirent et ses dernières pensée furent mélées à un dernier souffle.
-Argh....

*Putain d'américains, à vouloir toujours montrer qu'ils sont plus forts. La nature aura raison d'eux, la preuve est vivante. ELLES SONT OU LEURS LUMIERES, CEUX QUI DISENT PENSER ?*

Puis le flanc droit de son visage gratta la poussière du sol et on ne le vit plus bouger.

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Eric venait tout juste d'intervenir dans la bataille, une bataille qui deviendrait rapidement inégale, deux mutants contre un agent bien amoché d'Apocalypto, il ne semblait pas avoir de solutions pour ce dernier. Enfin, il y avait toujours une solution, celle de la mort bien entendu, mais il ne se laisserait probablement pas faire aussi facilement même si là, il semblait être complétement désarçonné par ce coup partis dans un arbre. Alors qu'il semblait emporter la bataille contre la mutante, il venait en réalité de perdre toute chance de gagner ce combat perdu d'avance pour lui. Il était déjà dans un salle état, mais Abby aussi n'était pas au mieux de sa forme. Cependant, l'intervention d'Eric, du maitre des ombres semblait lui avoir donner comme un second souffle. Il faut dire aussi que l'agent semble être totalement perdu, inattentif vis à vis de la louve qui en profita pour de venger sur le bras qui tenait l'arme. Cependant, ceci ne c'était pas fait aussi naturellement qu'il ne l'aurait pensé, probablement à cause de ces blessures, un manque de lucidité évident, mais Eric était là pour la sauver, du moins pour l'aider à se débarasser de ce fichu agent de l'opération anti-mutant.

L'observation de la scène était grandiose, Abby faisait preuve d'une si grande force de caractère, c'était simplement impressionnant de la voir ainsi de débattre dans ce monde de fou contre cet homme, chétif qui était sur le point de périr. A peine eut-elle fini de bouffer le bras de l'agent qu'elle se précipita sur la gorge, un coup mortel dont il ne se relèverais pas. Et en effet, le sang coula fortement entre les crocs de la louve, puis sur la chemise de l'agent. Tout semblait être bel et bien fini pour lui, même si Abby n'était pas au mieux de sa forme. Eric derrière son arbre, marcha alors jusqu'à la louve pour voir si tout allait bien. Apparemment, elle survivrais, avec quelques soins bien entendu. Pour s'assurer que l'agent ne se relèverais pas, il pris son arme et lui tira la dernière balle du chargeur dans la tête, entre les deux yeux, pour qu'on ne le retrouve plus jamais. Eric resta là, auprès de la louve qui semblait montrer quelques signes de lassitudes mais rien de suffisamment significatif pour s'inquiéter véritablement. La scène semblait être hors norme, un homme par terre, à moitié abbatu par un loup, achevé par un homme sortie de nul part. Heureusement pour lui, il n'y avait plus personne, les derniers badauds avaient fuit loin d'ici devant la fougue du loup. Eric et Abby pourraient maintenant devenir de véritables alliés contre l'agence. a eux deux, il pourrait abbattre un nombre très grand d'agent qui se mettrait en travers de leur chemin !

[HJ : Topic Terminé]

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Je classe ce topic dans les archives ;)

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