● Nom : Mei ● Prénom : Ai [Amour] ● Âge : 17 ans ● Sexe : Féminin ● Origine : Humaine ● Date de Naissance : 11 Décembre 2003 ● Famille : Tout d'abord vient son père, Toru [Saveur cachée] Mei, japonais moyen né dans une famille tout ce qu'il y a de plus traditionnelle. Né dans la capitale, dès son plus jeune âge, ce dernier fut promis à l'enfant d'une autre famille à la condition un peu plus élevée et à un avenir dans la société renommée du père de cette dernière. Jusqu'au jour ou il rencontra cette dernière, Toru ignora lui-même qu'il était un mutant. Le déclencheur ? Cette fille si légère, si moqueuse, qui refusait de se donner à lui alors qu'il voulait qu'elle fasse pour lui les plus grandes folies. Ce jour, le père d'Ai Mei découvrit qu'il avait la faculté étrange mais Ô combien satisfaisante de contrôler les autres comme des marionnettes. Haya [Rapide] Sâto, devenue Haya Mei, la victime de ce premier essai hésitant, était donc la fille d'une grande famille dont le père était un magnat des affaires plus intéressé par celles-ci que par sa propre famille et la mère, une profiteuse comme on en fait pourtant rarement dans la société japonaise. Elle-même n'était rien d'autre qu'une grande joueuse profitant le plus possible de la vie malgré son dévouement à sa famille. Vint ensuite, en premier de ce grandiose futur, Masao [Saint] Mei, le plus calme des quatre enfants que la famille allait avoir par la suite, et sans doute le plus protecteur envers les jumeaux qui suivirent, Ai et Akio [Garçon brillant] Mei, enfants très liés entre eux. Akio fut toujours solitaire, observant à la dérobée des gens qu'il ne connaissait pas sans raison apparente, comprenant toujours du premier coup ce que chacun désirait, et ce ne fut que beaucoup plus tard qu'Ai - La seule de la famille à le savoir - comprit qu'il avait hérité du gêne mutant de leur père. Quant au petit dernier, Rai [Confiance] Mei, il fut la conclusion d'un passé plein de promesse se dégradant au fur et à mesure. Au final, c'est ce dernier qu'Ai connait le moins dans sa propre famille, d'autant qu'il ne cesse de bouger dans tous les sens, entrant tout juste dans l'âge ingrat. A ce jour, Ai n'a plus revu son père depuis des années et vit donc toujours avec sa mère et ses frères, ceux-ci ayant respectivement 21, 17 et 15 ans.
» Informations des Groupes
● Groupe : Humains ● Raisons : Une raison ? Un choix ? Les humains en ont-ils encore seulement ? Ai, en tout cas, n'en eut aucun à sa naissance dans une famille japonaise tout ce qu'il y a de plus classique, et autant dire qu'elle n'en eut pas plus par la suite lors du déménagement de cette dernière aux États-Unis. Être humain ne se décide pas. Être mutant non plus. Être tout court, pour elle, est une raison suffisante pour ne pas être autre chose que ce que la nature lui a permis d'être.
● Pouvoir(s) : Aucun ● Description : Aucun
» Informations Descriptives
● Description Physique : Un regard se pose sur vous, et le papillon s'envole dans le ciel. Une biche peut-elle encore se promener seule dans la nature sans risque de se voir enfermée ? Les yeux en amande de la jeune humaine en tout cas ne cessent de poser des questions sans réponses, grands et expressifs comme les premières pages d'un livre éternel. Ou se cache le mal, la porte vers l'enfer promise par les saintes écritures ? Rien ne transparait, hormis de la douceur et un espoir ne possédant pas de limites, rien d'autre qu'un monde à part entière dans lequel on ne peut en aucun cas souhaiter voir des nuages paraître à l'horizon, dans la peur du noir qu'offre aujourd'hui l'Humanité défaillante. Ourlé de longs cils noirs papillonnant sans cesse sur des larmes cachées, ce regard velouté comme la nuit, brièvement éclairé d'ambre, se détourne soudainement dans une pudeur attendrissante. Il est si difficile de savoir vers où se porte le petit ange qui vous fait face malgré le sourire hésitant qui s'esquisse à la pulpe framboise de ses lèvres qu'elle vient mordiller dans un mouvement discrètement sensuel et sans doute habité d'une grande gêne. Et pourtant, comme la pâle et nostalgique lueur de la lune, sa peau se dessine en un blanc laiteux et diaphane, caressant de ce fait un peu plus la fragilité de ses traits fins, honorés d'un petit nez au bout rond et de joues rosées encore pleines des rondeurs de l'enfance qui s'en va doucement pour laisser la place à une nouvelle femme sur cette terre. Une cascade entoure alors ce visage rêveur, dégringolant l'arrondi de ses épaules, glissant le long de son dos jusqu'à la cambrure de ses reins, venant caresser la naissance de ses hanches généreuses et ondulantes malgré elles; Une cascade de soie noire, tel le rideau calme et brillant de la nuit parcourue d'étoiles, dormant au creux des bras cotonneux des nuages. En aucun cas la jeune fille ne peut être prétendue belle, d'un terme trop direct et dépourvu de subtilité, elle qui semble s'échapper tout droit d'un rêve, emportant avec elle une odeur fine de vanille fraichement coupée. Jolie ? Mignonne ? Même là, le doute peut se faire, comme si l'on ne pouvait nommer d'un mot connu l'apparence même d'un ange à la voix basse et aérienne. Toujours vêtue simplement, comme si le monde lui-même lui suffisait comme exagération, Ai pourrait même sembler immatérielle dans ses robes aux tissus d'un blanc aussi pur qu'elle-même semble l'être. ● Description Mentale : N'importe qui pourrait la regarder et comprendre; Les pages avancent, ne se ressemblent que peu, et l'histoire évolue au gré des intempéries, des rires aux pleurs, laissant la trace indélébile d'une créature fragile et douce comme une pluie de printemps. Oui, généralement, les gens ne retiennent en rien la présence de la jeune fille, comme un fantôme ayant juste effleuré un rêve du bout des doigts avant de s'en aller pour l'au-delà, ce monde dont on ne revient jamais. Après tout, Ai ne vit que dans ce monde imaginaire ou tous veulent l'y voir, comme si jamais la vie n'avait put mettre la main sur elle. Discrète et polie à l'extrême de par son éducation, l'humaine est le genre de personne dont on devine tout de suite qu'elle a besoin de protection pour survivre; Après tout, elle est tellement habituée à croire tout ce qu'on lui dit qu'un seul ordre lui intimant de sauter lui serait suffisant pour abandonner tout derrière elle. Croire trop en l'Humanité n'est pas un acte stupide, ce n'est rien de moins que le courage, un courage incommensurable, bien qu'il se porte d'une façon toute différente de celui que possèdent les héros des livres que la jeune fille lit sans cesse, soupirant d'émotion à la moindre notion d'amour, d'espoir et de paix. Mais n'allez pas croire pour autant qu'elle dédaigne ses émotions lorsqu'elles sont réelles, dans ce monde qu'elle tente d'éviter le plus possible, loin de là... Combien de fois les larmes ont-elles coulé le long des joues de la jeune fille face à la détresse, qu'elle soit sienne ou autre ? Mais qu'importe sa personne, Ai est bien plus de nature à cacher sa propre douleur afin de mieux compatir et aider à celle des autres. Facilement impressionnable, facilement effrayée, peureuse de tout ce qui l'entoure lorsque la solitude la prends, la japonaise est d'une nature qui peut passer pour faible aux yeux des autres, de par le maximum de bons côtés qu'elle semble posséder, cachant ses blessures au plus profond d'elle-même, dont celle qui bien souvent détruit ses relations avec d'autres personnes.
● Points Forts : La force ? Ce n'est pas quelque chose que connait Ai, car chaque point bénéfique qu'elle possède en elle-même semble capable de basculer d'un coup et sans prévenir du côté de ce qui pourrait la faire couler. Mais après tout... Peut-être pourrait-elle admettre que son empathie naturelle envers les gens est un avantage, lorsqu'elle ne finit pas par une bourde monumentale à partir de sa gentillesse innocente. Sa curiosité ? Pareil, retournez-la donc du côté de ce qu'il vaut mieux ne pas savoir, et vous comprendrez bien vite comment la jeune fille en est arrivée à ce point dans sa vie. La japonaise est, toutefois, assez intelligente. Mais à quoi bon ? Rien ne se lie à ça, ni sa naïveté exemplaire, ni même une quelconque capacité à utiliser son intelligence pour se sortir de mauvaises situations, alors... Ce n'est pas comme si tout ce qu'on apprenait dans les livres servait, n'est-ce pas ? Toutefois, c'est tout du même un certain avantage que de pouvoir retenir tout ce que l'on désire au bout d'une unique lecture. ● Points Faibles : Sensible à l'extrême, voir facilement qualifiée d'émotive, les points faibles d'Ai Mei sont d'un ordre mental plus que de techniques ou de quoique ce soit d'autre; La peur constante qui l'habite, la faisant reculer au moindre pas fait dans sa direction, son habitude à croire tout le monde, qu'importe à quel point ce qu'on lui dit paraît fou et insensé, et mieux vaut ne même pas parler de son incapacité totale à pouvoir se défendre - De quoique ce soit. Oui, autant dire qu'on pourrait résumer tout cela par une prison dans laquelle elle semble s'enfermer d'elle-même, accentuée par ce côté de sa personnalité qui la pousse à ne jamais montrer son propre désespoir aux autres.
● Particularité : Malheureusement pour elle, on peut dire que la petite japonaise possède quelques particularités qui passent rarement inaperçue dans ses contacts avec les gens; Tout d'abord, son accent. Non pas qu'il soit désagréable, au contraire; On peut même dire qu'il a un côté très mignon qui va parfaitement avec son image générale, chantant et attendrissant, mais comment prétendre qu'il n'existe pas et qu'on ne doit pas s'y habituer avant de comprendre parfaitement ce que la demoiselle dit ? D'autant plus qu'il arrive souvent à l'asiatique de sortir, au détour d'une conversation, quelques mots de sa langue natale, dans lesquels on peut reconnaître même un léger défaut de prononciation, principalement sur les terminaisons en -asai, qu'elle prononce toujours en -apai. Par exemple ? Gomenapai, au lieu de gomenasai. De plus, et voilà quelque chose qui l'a bien souvent mise dans de pénibles situations - surtout depuis son arrivée dans un pays aussi jeune et ouverte que les États-Unis -, Ai Mei vit difficilement une peur phobique des hommes. Qu'un homme l'approche de trop près, et même une souris piégée n'aura pas l'air aussi effrayée que la jeune fille. Et pour cause, cette phobie semble se rapprocher bizarrement de la longue cicatrice parcourant son bras droit, glissant de la paume de sa main jusqu'au creux de son coude en une spirale la faisant passer de l'arrière à l'avant du bras. Sans parler de sa peluche, évidemment, qui reste tout de même un point assez surprenant pour les gens la rencontrant pour la première fois.
Dernière édition par Ai Mei le Dim 1 Nov - 18:11, édité 4 fois
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Sujet: Re: Ai Mei Jeu 23 Avr - 15:36
» Informations Générales
● Histoire : C'est au sein de la ville de Takaoka, au bord de la baie de Toyama, qu'Ai Mei ouvrit les yeux pour la première fois, et déjà les choses semblaient lui faire un effet bien différent de celui qu'on attendait d'un nouveau né : C'est dans les cris de son jumeau, Akio Mei, qu'on remarqua le plus le silence irréel de la petite fille qui lui avait succédé de quelques minutes à peine. Les yeux grands ouverts, d'un bleu océan caractéristique des bébés, elle avait fixé le plafond avec plus d'intérêt qu'elle n'avait fixé sa mère, observant avec calme le monde dans lequel elle allait vivre. Des mains indélicates sur son corps, un liquide relativement différent de celui qu'elle avait habité ces huit derniers mois en tant qu'enfant prématuré, des paroles qu'elle ne comprenait pas, et les cris de son voisin ulcéré de ne pouvoir dormir sous l'heure. Oui, remuant dans l'air ses petites mains fragiles, elle pouvait inquiéter par sa taille déjà bien réduite par le mois qui lui manquait, et ce silence n'arrangeait rien. Mais Ai Mei était promise à l'avenir d'une famille japonaise moyenne, humaine autant qu'on pouvait l'être, ainsi donc pouvait-elle se permettre quelques petites différences que personne ne lui reprocherait dans le futur.
Car en effet, ce manque de réaction fut rapidement comblé au fil des saisons, l'enfant se rattrapant largement auprès de son grand frère, Masao, de quatre ans son ainé, et de son jumeau Akio. Joyeuse, souriante, aussi rapide qu'une sauterelle achevant son oeuvre dans les plaies d'Égypte, la petite japonaise devint rapidement un petit rayon de soleil au sein de sa vieille maison traditionnelle, s'empressant chaque année d'aller qui au festival de Tanabata, qui prier auprès du troisième plus grand Bouddha du Japon, qui visiter les fameux jardins botaniques de Futagami Manyo. Rien, en somme, pouvant la distinguer du commun des mortels au sein de ses péripéties d'enfant.
Vint son entrée à l'école, et l'arrivée d'un nouveau membre dans la famille, Rai, à l'âge de ses six ans. L'un et l'autre lui plurent, tout naturellement, et elle se prit vite d'affection pour les livres qu'elle s'empressa de découvrir dès lors qu'elle sut lire la majorité des lettres de l'alphabet. Comment combler au mieux ses parents ? Ai l'avait vite compris. Faire le maximum pour être la meilleure tout en restant le plus humble possible. Mais ce dernier point n'était pas vraiment son fort à cette époque, et dès cette période la petite fille fut écartée de tous les jeux des autres enfants de son âge. Ce fut également à ce moment là, lorsqu'elle eut atteint ses dix ans, que ses parents se séparèrent soudainement.
A première vue, Ai ne voyait aucune raison que son père parte de la maison, ni même que sa mère n'aime plus ce dernier. Les choses ne pouvaient pas se passer ainsi, ni pour elle, ni pour ses frères. A ses yeux. Masao, toutefois, semblait voir les choses d'une manière bien différente, écartant sans cesse sa sœur de son père, l'entrainant dans des jeux tous plus étranges les uns que les autres, ne parlant même plus à Akio, ni même à Rai. Mais à cet âge, un enfant peut-il clairement comprendre ce qu'il se passe autant de lui, surtout lorsqu'il refuse d'admettre clairement ce qu'il se passe ? Ainsi donc, Ai se retrouva d'autant plus désemparée à l'annonce de leur déménagement dans une autre maison. Pire. Dans un autre pays. Mais quel pays ? Y avait-il vraiment quelque chose au-delà de l'eau ?
Les Etats-Unis ouvrirent leurs bras à la petite famille et la japonaise se retrouva encore plus renfermée qu'auparavant, n'arrivant ni à se faire comprendre, ni à comprendre les autres. Sa vie ne se résuma plus, à partir de cet instant, qu'à ses frères et à ses livres, loin de l'amour maternel qu'elle n'était plus sûre de vouloir depuis que cette dernière lui avait expliqué que son père était le plus méchant des hommes. Jusque là, jamais Ai n'avait entendu parler des mutants. Mais les paroles prononcées dans son dos entre sa mère et son grand frère mirent bientôt à jour des fondations de savoir qu'elle s'empressa de faire fructifier au gré des rares connaissances qu'elle possédait.
Les mutants, gentils ? Jamais. Son père ne pouvait tout simplement pas être une personne fréquentable, et cela elle le comprit bien vite en parlant avec ses professeurs, et à ses treize ans elle ne doutait en aucun cas de tout ce qu'on lui avait dit. Pourquoi lui aurait-on menti, au nom du ciel ? C'est dans cette situation qu'elle tomba nez-à-nez avec son géniteur, au coin de la rue qu'elle se devait de traverser pour rejoindre le collège qu'elle fréquentait. Sa première réaction fut d'avoir peur. La seconde, de sauter dans ses bras en pleurant, le suppliant de lui dire qu'il n'était pas du tout ce que tout le monde ne cessait de lui répéter.
Sa première réaction aurait été la meilleure, compte tenu des évènements qui suivirent cette rencontre pas si fortuite que ça.
Soulagée de voir son père se comporter normalement, la jeune fille le suivi jusqu'à l'appartement qu'il avait loué pour son bref séjour au pays afin de retrouver sa fille. A aucun moment elle ne se demanda pourquoi il ne lui demandait pas comment allait sa mère, ni comment allaient ses fils. A aucun moment elle ne se posa des questions quand il l'enferma dans sa chambre, le temps - soi-disant - d'aller chercher de quoi manger pour le soir au magasin du coin.
L'enfer commença.
La japonaise resta dans cette chambre un jour; Son regard fixé sur le mur d'un blanc défraichi, elle ressemblait à une poupée abandonnée. Elle y resta un deuxième jour; Déjà, ses yeux avaient accroché les petites traces de sang mal nettoyées sur le sol. Elle y resta un troisième jour; La peur faisait trembler ses membres, et les questions affluaient dans sa tête, offrant à son visage un regard désemparé. Le quatrième jour, elle n'était déjà plus qu'une poupée de chiffon cherchant un coin dans la pièce qui soit plus chaud que les autres, priant pour voir son père revenir afin de pouvoir manger et se reposer sans sursauter au moindre bruit.
Et il revint. Sans nourriture. Sans sourire. Sans vêtements, aussi.
La poupée de porcelaine s'était brisée. Les larmes de douleur et de honte coulaient. Plic, ploc, faisait l'eau dans la douche.
Après ce jour, plus rien ne fut jamais pareil. Toru Mei était parti assez rapidement, abandonnant le corps meurtris dans cet appartement maudit, pour ne plus jamais revenir. La police, appelée par la mère des jours auparavant, arriva enfin à la retrouver grâce à un appel anonyme signalant des bruits bizarres venant de ce lieu, ou personne n'était censé vivre depuis bien longtemps. Ai Mei rentra chez elle, et ses frères ne furent plus capables de l'approcher pendant des jours, des mois, des années, et son silence ne se rompait plus que pour parler à un lapin en peluche. Mais pour dire quoi ? Lorsqu'elle disait trois mots sans aucun lien entre eux, c'était déjà beaucoup. Elle se renferma. Longtemps.
Puis, la veille de ses dix-sept ans, Akio vint la trouver dans sa chambre, affrontant avec un trouble évident la réaction animal de sa jumelle, qui se contenta de se recroqueviller dans un coin de la pièce, mouvement qu'elle avait déjà eut sans qu'il puisse la sauver pour autant. Il s'agenouilla devant elle, lui tendit simplement la main, et se mit à parler. De tout, de rien, mais surtout de ce qu'elle avait dans sa tête, de ces mots qui affluaient à l'intérieur d'elle-même sans que sa bouche soit capable de les laisser sortir. Lui, qui entendait tout de ses pensées, lui qui voyait bien plus loin que ce qu'un jumeau normal aurait put le faire. Il affronta les images, les détails, les mots qui se posaient sur ce qu'avait vécut sa sœur.
Et enfin, les deux purent pleurer. Ensemble, en silence. Et la vie reprit son court.
Difficilement, lentement. Ai haïssait les mutants. Ai aimait les mutants. D'un côté, son père. De l'autre, son frère. Un secret pour chacun.
● Possessions : Une petite alliance d'argent gravée de la phrase « Je n'oublierai jamais » en japonais ayant appartenu à sa grand-mère maternelle, un dictionnaire japonais-anglais qu'elle possède depuis son arrivée au pays et une peluche en forme de lapin blanc.
● Avatar : Yuko Ogura
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● Comment avez-vous connu le forum ? En faisant le poisson rouge ! Euh, oui, en résumé j'ai déjà oublié comment je l'ai trouvé; Sans doute en passant de forums en forums en essayant de trouver celui sur lequel je reprendrai les RPG ^ .^' ● Un commentaire ou un message à faire passer aux administrateurs ? Ben, euh, non ? ● Quelque chose à dire sur le forum ? Je tenais à dire que le design était vraiment beau et original - Pour faire dans l'original, comme commentaire, moi aussi huhu
◊ Liam Winchester ◊
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Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 9:32
Bonjour et bienvenue sur le forum !
Quel plaisir, je m'absente un jour et je reviens pour trouver une superbe fiche en attente ! Comme tu l'auras compris, ta fiche est parfaite, j'aime beaucoup l'histoire et ton style d'écriture je dois dire, ton personnage promet d'être intéressant ! Lou va être contente d'avoir une amie humaine ! ;) Je te valide donc sans soucis, va faire ta fiche de sujet et de relation puis tu pourras débuter le RP ! (Il y a un sujet général libre si tu es intéressée ;) ) En cas de questions n'hésite pas, bon RP sur le forum ! ^^
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 9:40
Bienvenue sur le forum ! ^_^
Jolie fiche ! ^-^ Et histoire très originale en plus, amuse-toi bien sur le forum =)
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 10:42
Merci pour la validation \o/
Et aussi pour les commentaires sur la fiche, l'histoire, tout ça, j'avais peur que ça fasse trop classique, ou quelque chose comme ça :p Fiches créées et (presque) mises dans le profil, et puis... Ah ben oui, le sujet général libre, je sens que je vais aller le squatter un peu, histoire de dire que les humains peuvent encore rencontrer des humains de temps à autre !
Et puis encore merci ^ .^
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 11:05
Oh ! *-* Une amie humaine lol ! Contente de ne plus être la seule enfin ! Sinon comme tout le monde a dit, jolie fiche vraiment, ça fait plaisir à lire, bon amusement et bon RP sur le forum ! ^^
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 17:43
Bienvenue !! Effectivement belle fiche !! Bon jeux !
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Ven 24 Avr - 18:35
Je crois qu'il y en a qui ont de l'inspiration à revendre, et aussi que certains validés pourraient en acheter...
Bienvenue et continue tes beaux posts !
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Ai Mei Lun 27 Avr - 10:37
Aie aie, encore à la bourre moi ><
Bon, bonjour à toi et bienvenue Ta fiche a l'air pas mal bien que je n'ai pas le temps de la lire dans son entièreté pour le moment ^^
J'espère juste que tu t'amuseras ;) Au plaisir ^^
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Sujet: Re: Ai Mei
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