Nom : CLARK.
Prénom : Sanji.
Âge : 28ans.
Sexe : Masculin.
Origine : Mutant.
Date de Naissance : 12 janvier 1992.
Famille : Son père, Roy CLARK. Sa mère, Lucy LIU. Seiko CLARK

Groupe : Mutants Hostiles
Raisons : Aux premiers abords, il semble que Sanji appartienne à ce groupe pour diverses raisons, toutes plus mauvaises les unes que les autres. En fait, ce n’est qu’un faux-semblant. Sa véritable haine se trouve envers le projet Apocalypto et surtout envers les savants qui considèrent les mutations comme une maladie et lui reniant son identité de mutant.

Pouvoir(s) : Epines.
Description : Le pouvoir de Sanji réside dans le fait qu’il génère, à partir de son épiderme, une quantité plus ou moins importante d’épines d’une dizaine de centimètres de long, dont il peut se servir comme projectile. Cette génération ne se fait que sur les bras et le torse. Avec le temps, Sanji pourra produire des épines sur des zones de son choix.
Les épines qu’il prend peuvent se régénérer de manière plus ou moins rapide. La quantité d’épines et la vitesse de régénération dépendent de sa concentration, de son état physique et émotionnel. En temps normal, Sanji ressemble à n’importe quel humain lambda. En revanche, lorsqu’il est vraiment fatigué ou que ses émotions deviennent trop fortes, sa mutation devient apparente. Le point négatif est que lorsqu’il utilise sa mutation, ses vêtements se retrouvent complètement troués, ce qui n’est pas forcément très pratique.

Description Physique : Sanji est un jeune homme mesurant un mètre quatre-vingt. Il doit sa grande taille à son père, qui frisait le mètre quatre vingt-dix. Comme beaucoup de sino-américain, Sanji possède un physique d’asiatique, tant sur la couleur de peau, plutôt pâle, que sur les cheveux, courts et raides, que sur la forme des yeux, noirs et en amendes. Il a une carrure d’athlète, sans pour autant être boosté aux anabolisants.
Sur le plan vestimentaire, Sanji s’habille de manière décontractée, mais toujours en noir, car il n’a jamais su marier les couleurs comme il fallait. Basket, jeans et débardeur sont ce qu’il porte généralement. Et lorsque cela est nécessaire, il porte un blouson de cuir sur le tout. Il porte constamment une chevalière à la main droite, héritage de son grand-père paternel, et sur laquelle est calligraphié l’idéogramme « sagesse ».

Description Mentale : Sanji est quelqu’un d’assez froid et distant avec tout le monde, que ce soit des personnes qu’il fréquente depuis longtemps ou des inconnus. La seule personne, pour le moment, devant laquelle il se dévoile est sa mère, qu’il cherchera à défendre au péril de sa vie. Lorsque que quelqu’un aborde Sanji, il peut s’attendre à se faire rembarrer assez durement, voire se faire agresser verbalement.
Sanji préfère la solitude à la vie en communauté, séquelle de sa jeunesse. Pratiquant les arts martiaux et la médiation depuis sa plus tendre enfance, Sanji possède une concentration certaine qui lui permet de garder la tête froide lors des situations critiques. Malgré cela, il lui arrive souvent d’agir avant de réfléchir, ce qui a tendance à lui attirer des ennuis plus souvent qu’à son tour. Cela peut paraître contradictoire, mais il n’en est rien. En effet, bien qu’il réfléchisse peu à ce qu’il va faire dans la minute qui suit, il ne paniquera nullement en voyant les conséquences de ses actes.


Points Forts : Sportif, dynamique, calme.
Points Faibles : Solitaire, impulsif, renfermé, imprudent.

Particularité : -

Histoire :
1992 – 2002
Sanji, fils de l’américain Roy Clark et la japonaise Lucy Liu, est né le douze janvier mille neuf cents quatre-vingt douze, à Tokyo. Ce fut le plus beau jour pour ses parents. Sanji vécut une enfance simple et insouciante dans la famille de sa mère, ne voyant son père que par intermittence, ce dernier faisant régulièrement des voyages aux USA pour son travail. Sanji ne savait pas en quoi cela consistait, mais il savait que c’était un travail très important pour son père, les USA et les humains. Et Sanji était très fier de ça, même si il ne comprenait pas vraiment les tenants et les aboutissants.

2002
Ce fut l’année à la fois la plus terrible et la plus heureuse pour Sanji. Cette année-là vit la naissance de sa soeur, Seiko, mais il perdit son père, l’amour de son père, ses amis. En effet, au cours d’une partie de base-ball, une bagarre éclata entre les deux équipes. Sanji, receveur de son équipe, ne lésina pas sur les coups et en distribua plus qu’il n’en reçut. Les parents vinrent bien entendu les séparer et le match en resta là. Mais, quelques jours après, Sanji se retrouva coincé par quelques gamins de l’équipe adverse. Ceux-ci voulaient faire un exemple de Sanji. Ce dernier avait beau pratiquer les arts martiaux et être très athlétique, il ne fit pas un pli face à quatre adversaires simultanés. Alors que ceux-ci le rouait de coups, Sanji poussa un étrange hurlement, qui fit frissonner les quatre gamins, sans qu’ils sachent pourquoi. Et soudain, l’un deux poussa lui aussi un cri lorsqu’il frappa Sanji dans l’abdomen. Mais ce n’était absolument pas le même genre de cri. Quand le premier était un cri sauvage, primaire, le second était un cri de douleur. En effet, le pied de ce gamin était recouvert de sang et un trou y était apparu. Lorsque les quatre petites frappes regardèrent Sanji, ils virent que ce dernier avait le haut du corps entièrement recouvert d’épines. Sanji, lui, était replié en position fœtale et ne bougeait absolument pas. Les quatre gamins s’enfuirent en courant et Sanji se risqua à se relever. C’est seulement à ce moment là qu’il découvrit l’état de son corps. Complètement abasourdi et choqué, il ne bougea pas d’un iota. Les épines se rétractèrent alors et rentrèrent dans son corps. Seuls restaient des trous dans son tee-shirt, preuve qu’il n’avait pas rêvé. Bien entendu, Sanji commença par cacher ça aux yeux de sa famille et de ses amis. Mais, lorsqu’on a dix ans, même avec la meilleure volonté du monde, il est impossible de contrôler un pouvoir aussi étrange que cela. Il advint donc ce qu’il devait arriver : les pouvoirs de Sanji se manifestèrent devant sa famille, le jour de l’anniversaire de son père. Bien entendu, ce dernier se serait très bien passé de ce genre de cadeau et ce jour de fête finit par une effroyable dispute entre Roy Clark et Lucy Liu. Peu de temps après, la mère de Sanji emmena ce dernier et sa soeur loin de la maison familiale et alla se cacher dans un petit village sur la côte japonaise.

2002 – 2010
Les huit années suivantes furent un véritable enfer pour Sanji, sa soeur et sa mère, une fuite perpétuelle pour échapper au père de Sanji. Ce dernier utilisa tous les moyens à sa disposition pour mettre la main sur son fils et le livrer aux services américains. Car pour lui, Sanji n’était plus son fils. Plus depuis le moment où il avait découvert les pouvoirs étranges du jeune garçon. Heureusement pour les deux fugitifs, ils pouvaient compter sur la solidarité des parents de Lucy Liu et de leur réseau de contact favorable aux mutants. C’est ainsi que Sanji développa une rancune tenace envers son père. Rancune qui se changea peu à peu en haine lorsqu’il comprit que sa mère souffrait énormément de ce déchirement entre les deux amours de sa vie.

2010 – 2019
Lorsqu’il atteignit la majorité, Sanji quitta sa mère et sa soeur, afin, d’une part de les protéger et pour qu’elles cessent cette fuite éternelle et d’autre part pour apprendre à utiliser ses pouvoirs consciemment. En effet, au cours des huit années, il n’avait guère eu le temps de développer son talent, car sa mère l’en avait, involontairement, empêcher, le maternant sans cesse. Sanji comprit très vite, que, s’il voulait avoir une chance de s’en sortir, il lui fallait quitter le Japon, pays que son père connaissait trop bien et dans lequel il ne pouvait se cacher bien longtemps. Aussi, dès que sa maîtrise fut suffisante pour que son pouvoir ne se déclenche plus seul, et, pour compliquer encore plus la tâche de son père, Sanji décida d’entrer dans la marine marchande, ayant ainsi une cachette mouvante, ce qui rendait sa localisation d’autant plus ardue. Bien entendu, il ne dévoila son don à personne. Il ne voulait pas prendre le risque de se faire trahir par l’un de ses collègues. Il passa ainsi neuf années à naviguer sur toutes les mers du monde ne faisant escale que quelques jours dans des pays différents à chaque fois.

2020
Au cours d’une escale au Etats-Unis, il entendit parler pour la première fois de Achaea, dite la Cité du Demon. Les histoires qu’il entendit dans le bar le rendirent perplexe à tel point que Sanji finit par retourner au bateau, prit toutes ses affaires (c’est-à-dire pas grand-chose), le liquide qu’il avait amassé et décida de se rendre dans cette ville apparemment particulière. Il s’arrêta au passage pour acheter une Skyline, bolide dont il rêvait depuis longtemps et tailla la route jusqu’à Achaea…


Possessions : Une chevalière en or, un Beretta, une Skyline.

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