« Nom : Wisselman « Prénom(s) : Abel « Sexe : Masculin « Âge : 27 ans « Origine Génétique : Mutant « Origine Géographique : Israël « Métier : Agent de renseignement « Date de Naissance : 1 septembre 1997 « Lieu de Naissance : Tel-Aviv « Orientation : Homosexuel
Description Physique
Au terme d'une longue et intense formation sportive, inaugurée dans son enfance, poursuivie au long de l'adolescence et qui atteint le sommet dans sa vie de jeune adulte, Abel s'est forgé un corps athlétique et vigoureux, propre à supporter la fatigue, l'effort physique et les privations qui sont, du reste, des exigences de sa fonction : c'est pour lui un devoir professionnel et une volonté personnelle bien ancrée que de se maintenir toujours en forme.
Un mètre quatre-vingt quatre, un peu plus de soixante-dix kilogrammes, des yeux noirs et des cheveux sombres forment la silhouette d'un jeune homme au teint légèrement assombri par le soleil. Quelques cicatrices, de ci, de là, témoignent d'une existence toujours mouvementée.
Le style vestimentaire d'Abel dépend évidement des missions qui lui sont confiées : il s'agit de se fondre dans le paysage parfois, parfois au contraire d'attirer l'attention (pour mieux la détourner). S'habiller, c'est avant tout pour lui se déguiser et le choix des vêtements a toujours à ses yeux une importance stratégique. Si dans la vie courante il adopte le tee-shirt/jeans/baskets, c'est parce qu'il sait que cette tenue ne le marque pas socialement.
Marqué par la guerre et l'adversité, son regard peut paraître un peu sombre au premier abord. Conscient néanmoins de la nécessité de ne pas laisser ses expériences professionnelles empiéter sur son quotidien, faute de ne plus parvenir à gérer ni les unes ni l'autre, la physionomie d'Abel se fait volontiers plus avenante, passée la méfiance des premières minutes, un peu comme un animal qu'il faudrait d'abord familiariser.
Un oeil exercé et formé à l'observation du corps humain, par exemple celui d'un anthropologue ou d'un psychomotricien, ne peut manquer de remarquer que les mouvements d'Abel sont toujours exécutés avec une perfection, une précision et une harmonie qui, normalement, ne sont pas accessibles à un être humain, même longuement entraîné : c'est le seul indice permanent de sa mutation.
Description Mentale
Le maître trait du caractère d'Abel est sans doute le sang-froid : pragmatique et décideur, le jeune homme ne se laisse pas impressionné par les circonstances et sait prendre, en peu de temps, une décision puis en assumer les conséquences, quand bien même seraient-elles catastrophiques et cette propension a été renforcée par sa profession.
Habitué aux duretés de la vie militaire, aux horreurs de la guerre et aux problèmes moraux de la vie d'agent de renseignement, le jeune homme a appris à compartimenter les émotions et à ne pas se laisser atteindre par tout ce qu'il vivait ; cette capacité à se distancier des événements, si elle est, au quotidien, une aide utile et, au cours de l'action, un rempart nécessaire contre l'adversité, peut s'avérer, plus profondément, la source d'une confusion morale : ce qui est bien, ce qui est mal, tout cela n'est pas toujours très clair aux yeux d'Abel.
Désireux de ne pas se résumer à son activité de militaire d'abord et d'agent plus tard, Abel a fait son possible pour développer sa sociabilité et se montrer relativement accueillant. S'il ne parvient pas à se départir d'une méfiance instinctive qui le pousse à évaluer les gens au premier abord, il ne lui est pas totalement impossible de se laisser aller et de jouir simplement de la vie.
Il arrive d'ailleurs que ces moments de détente prennent la forme d'une thérapie un peu dangereuse et il n'est pas rare qu'Abel multiplie les rencontres et les conquêtes, comme pour s'assurer inconsciemment que, malgré les crimes qu'il accumule sous couvert de raison d'Etat et la culpabilité lancinante, des êtres peuvent encore le trouver assez normal pour le désirer.
La culture d'Abel est variée mais parcellaire. Sans être un mauvais élève, il n'a jamais excellé à l'école et sa vie de soldat lui a plus appris sur la tactique sur la littérature. Mais le métier d'agent de renseignement exige de se fondre dans une société et, pour chaque mission, Abel apprend des choses, lit des livres, dépose sur son être un vernis de culture, point très épais, mais dont il garde toujours des traces.
Plus que sa mutation, c'est sa profession qui maintient Abel à l'écart de la société : habitué à considérer les groupes sociaux de l'extérieur, à en analyser les codes pour mieux s'y assimiler, mais à ne jamais s'y installer, il lui semble peu à peu que si son identité profonde est solide, son appartenance au monde est incertaine. Quel milieu est vraiment le sien ?
Particularités
La profession d'Abel le pousse à cultiver des compétences dont l'association est atypique : s'il est rompu aux sports et particulièremnet à plusieurs styles de combats à mains nues, aux maniements des armes à feu les plus courantes, des explosifs et de quelques armes blanches classiques (le poignard notamment), il a également des notions d'architecture, nécessaire aux départs précipités des immeubles dans lesquels on n'est pas censé se trouver et à la pratique d'artificier, des connaissances extrêmement précises sur la topographie de certaines grandes villes et de certaines régions (il faut savoir par où se glisser et où se cacher), une solide pratique du maquillage, de la comédie et du déguisement, etc.
Ce sont surtout les langues qu'il a été amené à assimiler, parfois dans un temps très court, grâce à des méthodes particulièrement intensives (et indigestes) : outre l'hébreu et l'allemand, qui sont ses langues maternelles, il parle avec un accent new-yorkais ou londonien (au choix) très authentique l'anglais, ainsi que l'arabe, l'italien et le français et se débrouille dans quelques autres langues.
Mais l'histoire, la littérature, la musique, le cinéma, des pans entiers de culture populaire, tout cela lui manque généralement ; il a appris, sur le terrain, à dévier les conversations, à formuler des réponses vagues et ambiguës, pleines d'humour, susceptibles de laisser supposer, mais jamais définitive. Il suffit que l'illusion dure quelques heures.
Groupe et Pouvoir
« Groupe : Mutants Non-Recensés « Raisons : Il a longtemps été difficile de décider si les capacités d'Abel relevaient d'une mutation surhumaine ou si elles étaient simplement le produit d'un entraînement rigoureux et de dispositions innées. Lorsque l'évidence s'est imposée, le jeune homme était déjà devenu un élément de choix pour Tsahal et plus tard pour le Mossad, qui voyaient peu d'intérêt à se priver d'un excellent élément au profit d'autres organisations gouvernementales douteuses.
Abel a donc joui de la protection de sa hiérarchie, motivée par son utilité sur le terrain d'une part et par la rivalité entre les agences gouvernementales. Si ses supérieurs sont au courant de son statut, les dossiers le concernant dans les archives israëliennes souffrent, disons, d'une curieuse amnésie.
Il n'est pas rare cependant que la menace de le dénoncer aux organisations appropriées plane sur le jeune homme, lorsqu'il se montre trop réticent à exécuter un ordre ; comme beaucoup d'agents cependant, Abel apprend peu à peu à mettre à son propre service les compétences auxquelles il a été formées et c'est avec de plus en plus de sérieux qu'il songe à faire cavalier seul et à rompre avec le Mossad.
L'intérêt du jeune homme pour la résistance mutante est donc bien explicable : il répond à la fois à un souci personnel de se protéger contre la menace du fichage et à une volonté de mettre ses compétences au service d'une idéologie moins trouble que les impératifs de son propre gouvernement. La transition n'est pas aisée à envisager et c'est donc avec prudence qu'Abel a commencé des manoeuvres d'approche.
« Pouvoir(s) : Kinésie Parfaite « Description : Abel utilise son corps de manière parfaite ; en somme, chacun de ses gestes ou de ses mouvements est le meilleur qu'un être humain puisse produire, dans les mêmes conditions d'entrainement et avec la même physiologie. La combinaison de gestes parfaits conduit Abel à exécuter des actions qui seraient impossibles à n'importe qui d'autre : en la matière, si l'erreur est humaine, lui n'est pas humain.
Abel est par exemple un excellent combattant au corps à corps, un tirer d'exception, un nageur particulièrement efficace et un maître en escalade. Ses compétences mutantes ont trouvé à s'employer dans sa vie de sportif, de militaire et d'agent de renseignement : il a reçu la meilleure formation pour utiliser au mieux ses capacités.
D'autres formations lui eussent aussi bien convenu cependant : Abel aurait pu être un musicien virtuose, à l'abri de la moindre fausse note, un neurochirurgien protégé contre toute erreur de manipulation, un artisan exceptionnel, un artiste de cirque ou un mime de grande envergure.
Son pouvoir facilite à Abel l'apprentissage de toute discipline impliquant des gestes techniques : utilisation d'objets (montage/démontage d'armes), gestes physiques (sports), comédie (gestuelle), langues (modulation des sons). Les capacités mimétiques du jeune homme accélèrent dans ces domaines l'acquisition du savoir pratique.
Encore une fois, ces capacités sont vaines si elles ne s'associent pas à un entraînement dans la discipline impliquée. Pour prendre un exemple courant, si Abel peut jouer au bowling de la manière la plus efficace pour un néophyte, il sera toujours, à moins de s'atteler à l'apprentissage de la discipline, inférieur à un joueur de bowling professionnel ; en revanche, s'il s'y applique, il le dépassera facilement et en peu de temps.
Théoriquement, le pouvoir d'Abel se partage en deux composantes. Face à une situation, le cerveau du jeune homme extrait du réel des données mathématiques, les combine, formule des solutions, extrait la meilleure et présente le geste qu'il faudrait faire, le geste qui convient le mieux, le geste parfait.
Ce premier processus est entièrement inconscient et le demeurera. Ainsi, Abel ne deviendra jamais un génie des mathématiques ni un champion d'échecs : pour lui, le résultat de l'opération est l'intuition de ce qu'il faut faire, impression aussi banale que le savoir mécanique qu'il faut appuyer sur l'interrupteur pour allumer la lumière.
La seconde étape est physique : c'est le corps d'Abel qui réagit à cette intuition et exécute justement le geste qui est commandé, en composant avec ses propres capacités physiologiques.
En somme, si un acte est en théorie humainement possible pour un corps comme le sien, Abel peut le réaliser.
Histoire
Abel Wisselman naquit dans une famille ouvrière de la banlieue de Tel-Aviv. L'histoire des Wisselman, comme celle de beaucoup de familles juives, était parcourue, heurtée, maltraitée par l'Histoire de l'Europe et elle était pleine de récits tristes, qui faisaient l'objet des commémorations privées : comment les ancêtres étaient morts dans les camps, comment il avait fallu quitter l'Allemagne, comment on était venu s'installer dans la Terre Promise qui ne semblait plus si radieuse que cela, comment il avait fallu se battre contre ceux qui étaient déjà là.
L'adversité, la religion, la nécessité également de se reconnaître dans un organisme plus grand qui donnât sens à l'existence, avaient poussé les Wisselman à développer un patriotisme fervent, non dénué d'une certaine orthodoxie spirituelle ; or, la situation d'Israël au regard du reste de la péninsule ibérique donnait à ce nationalisme des accents guerriers inévitables.
Abel se sentit toujours mal à son aise dans ce milieu. Ce n'était pas la pauvreté, les conditions assez rudes de l'existence quotidiennes qui, surtout, lui pesaient, mais les discours que l'on tenait à table, la haine à laquelle l'on se sentait porté, contre les gens du passé, les gens d'à côté, les générations à venir, un pessimisme judaïque porté à son comble par des temps toujours difficiles.
Lorsqu'il lui arrivait de côtoyer des enfants issus de familles plus libérales, il sentait qu'il y avait dans son pays, dans ses traditions, dans sa religion même, peut-être, quelque chose de plus moderne, de plus progressiste et, finalement, de plus vivant que ce qui s'exposait à son regard au sein du cercle familial ; cependant, un sentiment de solidarité le poussait à ne pas abandonner les siens, à ne pas être turbulent, à suivre sagement l'école.
A l'école, Abel était un élève moyen. Plutôt bons en langues, mauvais en biologie, honnête en mathématiques, il s'en tirait sans difficulté mais sans honneur. En sport, en revanche, il excellait et dépassait de très loin les meilleurs de ses camarades : il multipliait ces activités hors des cours et il lui semblait qu'il ne sentait jamais aussi pleinement lui-même que dans l'exercice physique.
L'adolescence fut une période douloureuse. La naissance du désir charnel le troubla beaucoup. Instinctivement, il se sentait porté vers ses camarades masculins ; mais un semblable penchant était intolérable et, aux yeux de ses parents, parfaitement criminels. Il n'en parlait pas, pas même à ses amis, pas même à lui-même, et tentait de se convaincre, vainement d'ailleurs, des charmes féminins.
L'année de ses dix-huit ans fut une grande année. Dès qu'il le pût, il s'engagea dans l'armée, moins par patriotisme et désir de combattre que parce qu'il eût été impossible à ses parents de lui payer des études et que l'armée était le moyen le plus sûr et le plus rapide de conquérir son indépendance et de sortir d'une famille qu'il considérait, de plus en plus, comme un carcan.
Ce fut à dix-huit ans aussi qu'Abel épousa Sarah Bettelheim, la fille du coiffeur. Il avait pour Sarah beaucoup d'amitié et, la rigueur religieuse de sa famille lui avait permis de ne pas songer, avant le mariage, qu'il n'avait pour elle aucun désir. Par affection sincère pour la jeune femme, par désir de donner le change à tous et en premier lieu à lui-même, Abel s'efforça de se comporter en mari.
Les missions de l'armée, heureusement, le dispensaient le plus souvent de la vie conjugale. Pendant la formation, Abel fit preuve de compétences exceptionnelles. Une fois pleinement incorporé, il ne tarda pas à gagner les corps qui exécutaient les tâches les plus difficiles.
Cette promotion fut à la fois une malédiction et une bénédiction. Malédiction, parce qu'elle le mettait aux prises avec ce que la guerre avait de plus douteux, avec la moralité brisée par les exigences de la situation, avec la brutalité de certains soldats qui trouvaient, dans le conflit armé, l'occasion d'épancher une brutalité qu'ils eussent sinon accomplie dans le crime. Et les guerres d'Israël étaient interminables.
Bénédiction, parce que le spectacle de cette horreur le poussa à abandonner son identité de façade, sa bonne tenue de piété filiale, et à s'interroger, profondément et authentiquement, sur son être, sa morale, ses aspirations et ses principes. Il se détacha de son éducation pour devenir un jeune adulte responsable.
Cela impliquait naturellement de dire à Sarah qu'elle ne serait jamais, et ne pouvait pas être, la personne avec qui il désirerait passer sa vie. De retour de mission, il prit une permission pour préparer cette difficile révélation ; mais son épouse le précéda dans ses propos : elle était malade. Petite tragédie de la vie quotidienne, comme il en arrive tant et lui qui était préparé aux explosions et à la mitraille se trouva démuni face au spectacle de la maladie.
Il ne se résolut pas à lui parler. Quelques mois passèrent. Tsahal n'eut guère de tendresse pour l'histoire du couple et les permissions d'Abel furent peu nombreuses. La jeune femme mourut. Les funérailles furent austères. Abel, qui avait pris quelques mois plus tôt des résolutions pour une nouvelle vie, se trouvait à présent devant le désert — et il n'avait que vingt ans.
Ce fut alors que le Mossad le contacta. Avaient-ils attendu qu'un événement semblable à celui qui lui était advenu, en dépeuplant son existence, le rendît plus malléable ou était-ce une simple coïncidence ? Il l'ignorait. Mais la proposition qu'il lui fut faite de rejoindre la Division des Opérations Spéciales coïncidait avec son désir de quitter l'armée et d'entamer une nouvelle existence.
A nouveau, il y eut la formation et, à nouveau, Abel apprit vite : les langues, la comédie, le combat encore, les armes toujours. Il y avait des choses plus compliquées et qui demandaient plus de temps : analyser une situation, se déguiser, tirer parti du décor, etc. Mais il apprit, en ne songeant qu'à moitié à l'avenir qu'il se préparait.
Il y eut les premières missions, simples d'abord : déposer des objets, récupérer des paquets, en Israël, en Iran, ailleurs. Les premières filatures, les premiers mensonges, et puis les histoires compliquées dont il ne connaissait qu'une infime partie, les machinations dans lesquelles il n'était qu'un pion. Peu à peu, il se débrouillait, apprenait à comprendre sa place et à s'arranger avec la réalité.
Ce fut au Mossad qu'on lui parla la première fois de sa mutation et qu'on lui fit comprendre que Tsahal d'abord, le Mossad ensuite, lui avaient fait et continuaient de lui faire une faveur en le dissimulant aux entreprises des scientifiques d'autres agences et d'autres sections et que sa fidélité à l'organisation était une condition indispensable au maintien de cette tranquillité.
Cette perspective bouleversa Abel. C'était ce discours, plus que les missions qu'il effectuait, qui lui faisait comprendre sa place au sein du Mossad : un agent que l'on peut sacrifier le moment venu. Il avait fait son deuil et la vie commençait à lui paraître à nouveau désirable : il ne voulait pas l'inféoder si pleinement à des puissances parfaitement inhumaines.
Il commença à s'intéresser à la résistance mutante. A Israël, c'était difficile : là-bas, le contre-espionnage fonctionnait à plein, impossible de passer à travers les mailles du filet. Il demanda son affectation aux missions extérieures et, bientôt, fut dépêché comme agent permanent aux Etats-Unis en particulier, aux Amériques en général.
Plus libre, il commença à prospecter. Il fallait toujours ruser. Il y avait les missions. Ce n'était pas facile. Mais sa vie se reconstruisait dans ce monde nouveau, loin des vicissitudes et des souvenirs qui peuplaient désormais pour lui Israël et loin du regard trop insistant de sa hiérarchie.
A vingt-sept ans, Abel est finalement sur une ligne de faille : derrière lui, une vie qui pourrait continuer pour des années encore, devant lui, des dizaines de futurs possibles, tous pleins de danger. Le moindre mouvement inconsidéré, et il passe pour un transfuge coupable de haute trahison. Mais n'était-ce pas malgré tout une position plus enviable que celle d'agent double ?
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◊ Ella Parker ◊
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J'espère que tu te plairas ici ! Si tu as des questions, tu n'as qu'à me MP moi, ou dans la limite du possible, Pixie. Liam étant absente. ^^ En effet, l'équipe administrative est ralentie pour de nombreuses raisons, il est donc assez difficile de gérer le forum pour le moment...
Bref, peu importe ! Je voulais juste m'assurer que ta fiche était réellement bien finie, et si on pouvait la traiter dès maintenant ?
Et surtout, je suis désolée de l'attente. J'avais honteusement loupé ta présentation. Mais voilà, comme je te dis, nous sommes ralenties dernièrement. =/
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Abel Wisselman Mar 13 Sep - 6:40
Merci pour l'accueil !
Oui, la fiche est bien finie — à moins que j'aie loupé quelque chose, évidemment.
◊ Ella Parker ◊
۞ Administratrice - Mutante Pacifiste ۞
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Wow...Que dire ? C'est une présentation magnifique. C'est bien écrit, c'est riche, bon, pas trop long, ni trop court. J'ai vraiment été surprise, mais d'une manière agréable. La lecture était d'une facilité déconcertante. C'était vraiment fluide, le tout passait extrêmement bien.
Bref, je suis comblée. Tout est bon, je crois. La description physique, psychologique, le pouvoir est très bien décrit, et j'aime bien l'idée. C'est bien cherché sans pousser trop loin. Quant à l'histoire, c'était modeste, bien écrit encore, j'ai appriécé le contexte placé dans une toute différente culture de celles qu'on voit généralement dans les présentations des membres.
Je dois m'assurer d'une seule chose par contre. Ton personnage travaille bel et bien pour son pays, non pour les États-Unis ? Il est en mission en Amérique, mais il ne travaille pas comme espion pour l'état américain, quoi ? Je dois être certaine, car si ailleurs dans le monde, les mutants peuvent être acceptés dans ce genre de domaines (armées, département secret, etc), aux États-Unis, ils ne le sont pas. ^^
Voilou, c'est tout ! Super présentation, je le redis.
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Abel Wisselman Mer 14 Sep - 5:35
Eh bien, merci pour tous ces compliments ! Ca fait plaisir !
Pour la question : oui, c'est bien ça. Abel travaille pour le Mossad (les services secrets extérieurs civils israëliens, en gros l'équivalent israëlien) aux Etats-Unis. Il y assure des missions de courte durée (récupérer des données, des objets, extraire des personnes, ce genre de choses) mais non de longue durée (pas d'infiltration de plusieurs mois).
◊ Ella Parker ◊
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Alors, c'est parfait ! Et derien pour les compliments, voyons ! ^^''
Je te valide donc ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite je m'occupe de tout te recenser, toi tu peux te chercher des partenaires de RP, il y a des recherches de sujets donc si ça t'intéresse, tu peux y jeter un œil ;) Tu gagnes 5 pour avoir pris un groupe défavorisé !
Histoire de ne pas être paumé avec les doubles comptes, je t'invite à lire ce sujet. Sinon tu as la liste des liens importants qui peut être utile.
Pour le parrainage, alors, je vais demander à Pixie si elle peut s'occuper de toi. Si non (et ce n'est pas parce qu'elle ne voudrait pas de toi, mais elle est très occupée dernièrement), ça sera moi qui te prendra sous mon aile ! (Oui oui, tu peux avoir peur )
Bon jeu sur Apocalypto Abel !
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Sujet: Re: Abel Wisselman
Abel Wisselman
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