Kithana a un visage agréable à regarder. Elle n’est pas vraiment le type de femme qui peut être défini comme étant souriante ou facile d’approche. Pourtant, il n'y a presque rien qui retient son sourire aux dents parfaitement blanches et alignée. Celle-ci contraste légèrement avec sa peau légèrement foncé d'un beige lumineux reflétant très bien ses quelques origines non américaines. Elle n'est ni blonde décoloré aux lèvres pulpeuses qui fait tournée la tête de tout se qui est masculin dans le coin. Non, Kithana est plutôt une femme de taille légèrement au dessu de la moyenne à la silhouette bien monté avec se qu'il faut où il faut qui attire sans aucun doute les regards sans pour autant être provocateur ou quoi que se soit dans le genre. Elle est sexy sans être dévergondé. Ses cheveux bruns chocolat divagant vers la couleur blond, sont clairs et lisse en plus d'être doux au touché. Ils descendent jusqu'à milieu de son dos. Elle peut facilement les tressés, en faire une queue de cheval ou tout simplement les bouclés de manière très naturel. Ils sont facilement malléable se qui lui permet de se coiffé sans aucun problème le matin ou bien après la douche. On voit qu'ils sont en santé et que Kithana prend bien soins de les brosser tout les jours. Parlons de ses yeux maintenant. Des yeux en forme d'amandes qui s'étirent finement le long de son visage. L'iris de son œil est d'un vert avec du marron très clair avec une petite lueur jaune qui reflète toute la malice dont la jeune femme peut faire preuve par moment. Elle a la peau douce et les traits de son visage son clairement défini. Ils sont doux et sans brusquerie. Elle a deux jolie pommettes qui sont accentuées quand elle sourit ou bien rit de bon cœur. Bref on les voit apparaître quand elle est heureuse. Ses lèvres sont d'un rose très clair. Elles s'étirent finement lui donnant un air encore plus naturel. Elle a aussi une petite fossette très distinctive et unique en son genre quand elle fait la moue ou qu'elle boude si on veut. Kithana n'est pas grand mais n'est pas ce qu’on peut dire une petite femme, elle mesure environ 5 pied 7. C'est une véritable point plume mais quand on la voit en camisole et en short, on peut remarquer qu'elle a un corps d'e sportive avec des muscles bien défini là où il fait.

Calme de nature, Kithana est le genre de femme qu’on ne cherche pas ni à comprendre ni à provoquer. Ce n’est pas une méchante personne, c’est simplement qu’elle déteste qu’on l’approche de trop près. Elle n’est pas nécessairement solitaire, c’est juste qu’elle a un mal fou à faire réellement confiance aux autres. Elle fut souvent trompé par des gens à qui elle tenait dans son passé et donc il est normal qu’aujourd’hui elle se montre des plus méfiante face aux inconnus qu’elle rencontre. Elle n’a confiance qu’en une seule personne, elle-même. Discrète de nature, elle fait toujours preuve de beaucoup de précisions dans tout se qu’elle fait. Elle a aussi un vrai don pour simplement disparaître quand il le faut vraiment ou encore ce sortir de situation périlleuse est un vrai quotidien pour elle. Kithana sait toujours garder son sang froid et ne s’énerve jamais ou presque. Il est difficile de lui faire perdre son calme et il faut vraiment qu’elle soit énervée pour devenir méchante avec quelqu’un. Doté d’un très bon sens de l’observation, elle peut parfois voir des choses au premier regard très banal qui devienne finalement des pièces crucial dans une enquête. Kithana est une jeune femme qui ne se pose jamais totalement émotionnellement avec un homme. Elle est prudente, peut-être même paranoïaque pour certaines personnes, mais elle ne se laissera jamais abuser de nouveau. Elle est déterminée à prouver sa valeur aux autres. Kithana est très têtue, une fois qu’elle a une idée en tête, rien ne la démord de celle-ci. Elle a apprit à ne plus se laisser influencer par les autres et à penser de son propre chef. C’est un peu une rebelle sans vraiment l’être. Femme simple et naturel, elle ne chercher pas à montrer autre chose que celle qu’elle est réellement. Son naturel désarme bien souvent beaucoup de monde. Elle est directe et dis se qu’elle a à dire quand les choses ne lui sembles pas être se qu’elle devrait être.

Les mains de Kithana sont de plusieurs dégrés plus chaud que le reste de son corps comme c'est le point de rencontre de l'énergie qu'elle utilise pour faire usage de son pouvoir. Kithana a une cicatrice très fine mais singulière en forme de demi lune de quelques centimètres de longueur se trouvant dans le creux de son cou descendant vers sa poitrine. Elle en a une autre dans le dos ou sa puce est implantée. Elle en a une dernière cicatrice qui lui vient d’une fusillade dans ses premières années dans la police. Elle a deux trous presque circulaire dans le milieux de sa cuisse droite.

Kithana n’aime pas les insectes. Elle trouve ça répugnant et envoie le premier qui s’approche d’elle au loin en deux secondes. Ce n’est pas extraordinaire, mais c’est sa phobie la plus marquante.

Elle n'a pas vraiment de rêve comme tel. Elle ne croit pas qu'on puisse se permettre de rêver dans un monde comme aujourd'hui. Elle désirait simplement pouvoir vivre comme tout le monde et ne pas être embêter parce qu'elle est différente génétiquement des autres.

« Groupe : Mutante Neutre
« Raisons : Ne désirant pas se mêler à une guerre qui selon elle ne la regarde pas du tout, elle préfère donc qu'on l'oubli autant du côté des humains que des mutants. Tout ce qu'elle veut c'est se fondre dans la foule et avoir la paix. Elle ne cherche pas la bagarre. De plus comme elle a toujours rêvé de devenir flic depuis sa tendre enfance, Kithana a du donc s'éloigner de tout pour être certain que rien de puisse nuire à son rêve de faire partie des forces de l'ordre un jour ou l'autre. Même si au final, elle ne pourra jamais rien faire d'autre que classer les archives.

Kithana fut la seule et unique mutante dans sa famille ce qui fut terriblement dure pour elle car, on lui a fait la vie dure. Elle a donc du toujours tout faire pour montrer à tout le monde qu’elle était le plus normal possible. Elle voulait à tout pris que sa famille, surtout son père, soit très fier d’elle. C’est leur comportement qui la poussa à toujours refusé de se mêler à toutes ses histoires qu’elle entendait sans arrêté dans tous les médias mondiaux.

Depuis qu’elle est dans la police, on l’a souvent approché pour laisser tomber quelques informations, mais elle a bien fait comprendre à tous que son boulot était minable et ridicule et qu'elle n'avait en aucun cas l'accès à des dossiers importants. Mais faut croire que certains ne le comprenne pas!

« Pouvoir(s) : Capacité a générer une énergie explosive
« Description :
Ne vous êtes-vous jamais demandé si la possibilité de pouvoir concentré tellement d’énergie dans votre propre corps qu’il peut en devenir a un niveau de chaleur extrême près de l’explosion? Est-ce un don pratique ou totalement incontrôlable. Kithana se posait toutes ses questions quand elle a découvert son pouvoir. En effet, l’origine même de son pouvoir se situe dans la section « Attention je peux exploser! ». Il ne faut pas confondre l’explosion avec la combustion car certaine personnes ont tendance à le faire. Elle ne peut pas prendre en feu, Kithana peut simplement concentrer toute l’énergie explosive que son corps génère afin de le pousser à devenir explosif. Il y a donc divers types d’explosions. De petites explosions qu’elle arrive à généré dans le creux de ses mains et à les envoyer devant elle sur de courte distance. Ce type d’explosion cause des dommages bien souvent minimes et ne fait qu’assommer momentanément un adversaire. Elle peut aussi unir ses mains et projeté une onde explosive qui détruit ou repousse ce qui se trouve autour d’elle (plus gros champ d’action 5 mètres). La plus dangereuses de ses explosions est bien entendu l’explosion de son propre corps. Elle ne peut cependant l’utilisé sans avoir une énergie plaine et une bonne concentration. Si elle a le malheur d’être déconcentré et bien l’explosion risque de devenir plus intense ou de ne pas être bien concentré. Une fois son corps explosé, elle devint très faible et il lui est difficile de recommencer de nouveau. La chaleur, peu importe d’où elle vienne, est la source de son pouvoir. C’est ce qui lui permet de créer ses exploitions. De ce fait, elle ne peut pas absorber assez de chaleur pour pouvoir faire exploser son corps en entier. Elle n’en a pas l’envie ou le contrôle.

L’Italie, quel beau pays n’est-ce pas? C’est dans ce pays que je suis venu au monde. Dans une ville plutôt calme. Mes parents, enfin uniquement mon père, était d’origine italienne. Ma mère, pour sa part, était américaine. Elle était tombée en amour avec le paysage et avait donc décidé d’y rester. Heureusement, sinon je n’aurais pas vu le jour. Enfin je dis heureusement, mais tout dépend de comment on voit la chose. Je ne crois pas qu’ils auraient crus que leur seul enfant serait une mutante. Enfin bref, je crois qu’on parle de mes parents et pas de ma nature pour le moment. Mon père, Philip, était policier comme son père avant et ainsi de suite. Une famille de policier, chouette non? Une famille qui n’avait pas l’habitude d’avoir des filles aussi. Mon père avait uniquement des frères, trois, tous plus vieux que lui qui avait tous des fils. Bien entendu, il fut heureux de m’avoir. J’étais la première fille à naître chez les Castello depuis les quatre dernières générations ce qui était assez étonnant. Il était rare de voir que des garçons dans une famille. Ma mère, Emily, n’avait ni frère ni sœur et ces propres parents décédèrent alors qu’elle était adolescente. Professeur en littérature, elle se fascina pour l’Italie ce qui l’amena ici. N’ayant aucune raison de revenir en Amérique, elle accepta d’épousé mon père après 2 ans de fréquentation. Ils étaient le type même du couple heureux. Toujours souriant, très aimant je ne pu demander mieux comme parents. Je les aime malgré tout, malgré les mots et la douleur.

Je suis donc née en plein milieu du mois de mai, le 21 de l’an 1996. Une année qui avait offert un très beau mois. J’étais la dernière de la famille et à croire ce que mes parents me dirent, ma mère eu beaucoup de mal lors de ma naissance. Je ne voulais pas sortir semblerait-il. Mais une fois chose faite, je fis leur bonheur. Le seul problème c’est que comme ma naissance fut difficile pour le corps de ma mère, il lui serait impossible dans l’avenir d’avoir d’autre enfant. Au début, je ne crois pas que ni mon père, ni ma mère n’ont été réellement affecté par le fait que serait leur enfant unique et qu’il n’y aurait pas de garçon dans la ligné de Philip. Il disait souvent qu’il pourrait se contenter d’un petit fils quand le temps serait venu. Aujourd‘hui ces paroles me rendent nerveuse.

Durant 3 ans, tout se passait bien pour ma famille. Nous étions heureux et sans histoire. Si vous vous attendez à une enfance larmoyante et bien vous serez déçue parce que la mienne fut tranquille et paisible. Bien entendu à l’époque je ne savais pas encore que j’avais hérité de certains dons sans le vouloir. C’est à l’âge de 10 ans que je quittai l’Italie sans jamais plus y revenir par la suite. Mes parents ne s’entendait plus, pire, mon père voyait une autre femme alors que sa propre famille avait toujours prôné la fidélité dans un couple. Pour eux, l’infidélité comme le divorce n’était pas une chose envisageable, mais pour ma mère s’était la solution. Elle fit la demande et mon père n’eu autre choix que d’accepter à contre cœur. Elle me prit avec elle et je due dire adieux à tout ce que je connaissais pour me retrouver dans un environnement que je ne connaissais pas du tout. Ce fut difficile pour moi de m’adapter et de vivre dans une grande ville comme New York alors que tout le monde parlait couramment anglais alors que moi j’avais toujours parlé plus italien que cette langue. Ma mère m’avait bien entendu appris… mais je ne m’étais jamais attendu à ce que se soit pour cette raison au final.

Je parlais à mon père presque tout les jours. Il me manquait et vice-versa. Ma mère travaillait à l’université. Elle passait plus de temps avec ces étudiants qu’avec moi. J’aurais aimé lui faire comprendre que j’avais besoin d’elle plus que ces inconnus à qui elle apprenait des passages de livres. La solitude fut ma seule amie pendant plus de 1 an. La solitude et mon père qui continuait à me dire comment il m’aimait. Je ne compris pas pourquoi il ne venait pas me voir ou qu’il ne me prenait pas avec lui. Heureusement, il était toujours bien présent. Je pouvais l’appelé n’importe quand de jour ou de nuit. Puis je fis la connaissance de Damien, le fils de nos nouveaux voisins. J’avais 12 et lui 16 ans, mais comme nous étions les seuls à avoir moins de 30 ans dans tout l’immeuble, nous devient bien vite de bons amis. Il était celui que j’attendais. Je passai plus de temps chez lui avec sa famille qu’avec la mienne.

À cette époque je croyais que les choses allaient être mieux pour moi. J’avais enfin un ami proche et sa famille était très gentille. Mon père bien que loin, pensait à moi. J’étais heureuse même si j’aurais aimé avoir une famille plus conventionnelle, comme Damien. Puis, j’ai découvert mes pouvoirs. J’aurais aimé qu’on m’oubli lors de la distribution des gênes. J’étais la seule fille de la famille et c’est moi qui héritai du gêne mutant que trainait les Castello en secret. En effet, le frère de mon grand-père se trouvait être mutant, mais allait savoir pourquoi il avait été le seul jusqu’à maintenant… La première fois que j’ai fais sauté quelque chose je me trouvais dans une ruelle de New York avec Damien. Faire des petites bêtises s’était normal, mais nous s’était devenu plus commun. Puis, Damien partait bientôt pour l’université dans un autre état. Je savais que comme il était bien plus vieux que moi, un jour on serait séparé. Il m’avait dis qu’il pourrait rester à la fac de New York, mais il méritait tellement mieux que ça. Moi je savais que j’irais à l’académie de police dès que j’aurais mon diplôme. Je voulais faire honneur à la famille de mon père.

Je n’étais pas une voleuse, mais pourtant ce jour là on avait fait la gaffe de prendre quelque chose qu’on n’aurait pas due. Résultat, on se retrouvait avec deux truands bien connu du coin au basket. Je me souviens que le plus petit des deux m’avait attrapé et me tenait contre lui. S’il croyait avoir un bisou de moi celui-là! Il pouvait bien rêver avec une telle haleine même pas un cheval serait assez fou pour l’embrasser. La peur et l’adrénaline ont envahi mes veines alors que je voyais mon meilleur ami se battre avec l’autre voyou qui avait un couteau. Je ne voulais pas le voir être blesser. J’ai senti une vague montée à l’intérieur de moi. Je me souviens avoir tendu les mains sans vraiment savoir pourquoi. Puis, j’ai senti un poussé étrange et bang! Je ne sais pas vraiment comment, mais le couteau explosa littéralement des mains du type qui poussa un hurlement digne des plus grandes starlettes de films d’horreurs. Paniqué, ils ont tout deux fuis nous laissant seul dans la ruelle. Je me suis effondré en pleurant. Je savais que les choses ne serait plus jamais les même pour moi. Damien ne m’a plus jamais regardé comme avant, je crois même qu’il n’osait même pas me regarder. Il m’a ramené et ne me parla plus après ça. J’étais une mutante et le je le savais bien. Il ne fallait pas être une grande lumière pour reconnaître les signes. Quels choix avais-je maintenant? Fuir ou rester et entendre que quelqu’un le découvre? J’avais tellement peur. Sans personne à qui parler, je me sentais encore plus seule que lors de mon arrivé en Amérique. Je parlai donc à la seule personne qui m’écoutait et m’aimait d’un amour absolu, enfin c’est ce que je croyais. Je parlai à mon père de mes pouvoirs et celui-ci ne mis peu de temps à en parler avec ma mère qui averti les autorités. Mes propres parents me dénoncèrent m’obligeant à être pointer du doigt par tous. C’est ce que fut ma fin d’adolescence, seule et jugé. Je savais que je ne pourrais jamais faire parti de la police avec ma situation particulière comme disait ma mère.

Je m’éloignai d’elle dès que je le pus. Je finis tout de même le lycée, pris un sac et fila sans jamais me retourné. J’ai quitté New York pour Boston. N’ayant pas vraiment d’avenir, mais sachant qu’on le gouvernement me retrouverait comme maintenant j’étais fiché comme mutante, j m’installa en espérant pouvoir au moins avoir un petit boulot. Je fus serveuse et barmaid de mes 18 ans à mes 20 ans. C’est dans un bar que je rencontrai Sam. Il était gentil et toujours souriant. Il venait prendre une bière tout les soirs après son service. Il était flic. Il fut sans aucun doute la seule autre personne avec qui je réussi à me lier. Mais j’avais peur que quand je lui dirais que je n’étais pas normal, il prendrait peur comme Damien. Le temps est passé et il revenait tout les soirs. Pendant plusieurs mois, il s’assit au même siège parfois ne commandant rien et ne faisait que discuter avec moi. Puis, il m’invita à sortir. Je n’avais pas vraiment eu la chance de sortir souvent avec des hommes. Mes relations avaient toujours été de très courtes durés. Mais cette fois c’était différent.

Je lui parlai un peu de ma famille, mon enfance sans savoir si je pouvais m’ouvrir complètement. Mais il était tellement honnête avec moi que je me devais de l’être. Je voulais lui dire, j’allais lui dire, mais ma mère gâcha tout. Je ne sais pas comment elle me retrouva et je ne voulu même pas la savoir.

« Tu es une mutante? »

Il me regardait incrédule alors que moi je ne savais pas quoi dire ou faire. Ma mère se tenait derrière nous. J’étais en colère contre elle comme jamais. Elle débarquait dans ma vie et se donnait le droit de tout foutre en l’aire.

« Je voulais te le dire… mais j’avais peur… »

« Peur de quoi? »

« Que tu ne veules plus de moi… »

Il s’approcha de moi. Je sentis ses bras m’entouré.

« Ça n’a pas d’importance. Tu es toujours la même pour moi. »

« Elle est dangereuse jeune homme. »

« Maman! »

« Kithana! Tu fais explosée des choses avec tes mains! »

Je n’en revenais pas.

« Pourquoi tu es là? Pour me rappeler à quel point je suis un danger public? Je suis certaine que ce n’est pas parce que je te manquais. »

Elle prit un visage sévère. Je savais que j’avais frappé au bon endroit pour lui faire mal. Après toutes ses années que voulait-elle de moi?

« J’étais inquiète à propos de toi! Tu n’as pas donné de nouvelles depuis longtemps… et j’ai entendu parler d’un remède pour… »

Elle s’arrêta au milieu de sa phrase, mais je savais très bien ce qu’elle voulait dire. Heureusement que Sam me tenait encore car je ne sais pas ce que je lui aurais fais. Elle méritait vraiment une gifle.

« Dit-le! DIT-LE! POUR LES GENS COMME MOI! »

J’étais sa fille, unique, mais en ce moment je me sentais comme si elle était une étrangère. Elle était ma mère, celle qui m’avait mise au monde et élevé.

« C’est ça la raison de ta venue, me convaincre de laissé le gouvernement faire je ne sais quoi parce que tu as entendu parler d’un pseudo sérum qui n’existe pas. Tu sais ce qu’on nous fait? On nous récence et parfois on nous puce. Ils ont voulu me le faire, mais j’ai toujours dis non et pourtant tu vois, ils me laissent en paix! Tu veux savoir pourquoi? Parce que je me plis à leur demande et ils me fichent la paix. Maintenant sors et ne revient plus… plus jamais. »

Peu de temps, je déménageai avec Sam d’abord dans son appartement puis vers une autre ville, Achaea. Je me laissai convaincre de me faire implanter une puce ainsi il me laisserait totalement en paix hormis les petites visites hebdomadaires. Je rêvais de travaillé dans la police et Sam le savait très bien. Même si je ne pourrais jamais être un vrai flic, il réussit à me faire entrer aux archives de la police après que j’ai eu ma formation. C’est un endroit sombre, poussiéreux et tranquille. J’aimerais mieux, j’aspire à un jour mieux, mais pour le moment j’ai un boulot et un petit ami qui m’aime pour qui je suis. Que pourrais-je demandé de plus? À oui qu’on me laisse tranquille. Je n’ai pas l’intention de me battre, j’aime bien ma vie même si elle est décevante sur certains points.

« Système de Puçage : Oui

« Avatar : Stana Katic
« Recyclage du Personnage : Oui