Il est des beautés que l'on souhaiterait pouvoir rencontrer dans sa vie. La beauté du prénom de Ténéïs, va avec la beauté de son visage, de son corps et de cette longue chevelure brune, peu épaisse à cause de cheveux extrêmement fins et léger. Bulgarienne, elle est loin des canon de beauté normaux, elle possède un visage, qui dérange, voire même qui fascine. Il y a même de l'innocence dans ce visage, le nez fin, les yeux en amande et clair, d'un vert d'eau, elle se démarque par ces lèvres charnues, gourmandes et qui ne sont pas radines en sourire et en moue.

Ténéïs dégage une forme de sensualité, et est très élégante. Elle fait toujours très attention à elle. Ténéïs, est plutôt grande, et très svelte. Très fine. Avec une taille prononcée.

De nature craintive, Ténéïs ne possède pas la fibre guerrière, loin de là. Au contraire d'Alianna. Ténéïs est une personne force de caractère, mais possède des difficultés à s'affirmer. C'est une personne qui sourit facilement, mais qui n'est pas chaleureuse de nature, elle se méfie de tout le monde depuis son agression, même si cela fait plusieurs années. Elle n'a pas fait le choix de naître comme mutante, une différence qui lui valu de nombreux problèmes tout au long de son enfance, de son adolescence jusqu'à son arrivée aux États Unis avec sa sœur. Craintive, peureuse, mais elle s'essaye au courage, et possède un petit caractère qui pourrait être percé à jour si vous réussissez à lui faire baisser sa garde. Timide, et réservée, elle n'aime pas vraiment les gens trop exubérants qui montre leurs émotions à tout bout de champs, elle se sent agressée très rapidement. Si elle est timide, elle sait quand même ce qu'elle veut, elle aura du mal à vous montrer qu'elle tient à vous, ou qu'elle a besoin de quelque chose. De plus, c'est une personne qui ne cherche pas à blesser les gens, du moins pas de manière volontaire. Elle a du mal avec la communication, dans le choix des mots, elle peut même vous blesser sans même qu'elle le veuille. Elle s'en rendra compte assez vite et mettra un point d'honneur à vous présentez ces excuses et vous faire comprendre qu'elle n'est pas douée pour la parole.

Ténéïs est une personne calme, à l'écoute, et gentille. Elle n'a pas un mauvais fond. Ni l'âme guerrière, elle n'est pas même violente. Elle est douce, mais elle sait ce qu'elle veut, elle veut rester libre, elle veut pouvoir libre tranquillement, et pour ça, elle pourrait se battre, mais seulement, si elle se sent menacée. Elle possède un caractère compliqué, elle sait qu'elle peut évoluer. Elle veut avancer, devenir plus forte. Un peu comme sa soeur.

Ténéïs possède une cicatrice qui débute au milieu de l'omoplate jusqu'à la pointe de l'épaule. Elle fut victime d'une agression gratuite lorsque la nouvelle de son gène mutant fut officiel. Cette cicatrice vient d'un coup de couteau suite à une agression alors qu'elle avait le dos tourné. La cicatrice date de ses 15 ans, elle en possède une autre, signe de cette agression au niveau du l'avant bras, coupure aux couteau deux traits parallèle en biais sur le l'avant bras gauche.

Ténéïs est une jeune femme ouverte à beaucoup de choses et se passionne pour les arts du papier. Depuis sa plus tendre enfance Ténéïs se passionne pour l'art de l'Origami. Et elle est très douée. Elle a commencé l'origami en entendant parler de la légende des mille grues. Depuis qu'elle a commencé elle en a fait 389. Quand elle atteindra le nombre de mille, elle pourra faire un voeu. Ténéïs garde un côté naïf, et puis elle est très vite stressée et l'origami lui permet de penser à autre chose. Elle aime aussi en offrir, même si beaucoup pensent que c'est ridicule. Ne le pensez pas. Ténéïs aime l'art. Mais elle n'est pas assez douée. pour ça.

« Groupe : Mutants pacifiques
« Raisons : Son histoire fait qu'elle ne veut plus avoir de problème. Son caractère veut qu'elle ne cherche pas de problème. Elle a toujours voulu vivre normalement, faire ses études tranquillement, avoir quelques amis même, faire confiance à nouveau, dormir tranquillement dans l'appartement que ces parents lui ont gracieusement offert. Elle ne veut passe faire remarquer pour des positions dont elle ne connaîtrait même pas les conséquences. Timide, et fraîchement arrivée de sa Bulgarie Natale, elle ne souhaite que se fondre dans la masse. Ce n'est pas une histoire de lâcheté, mais simplement de la crainte lié à une véritable envie de liberté.
Elle n'aime pas se battre. Et tient beaucoup à sa vie. Elle ne se sent pas prête à se sacrifier pour une chose qu'elle ne connaît que mal.

« Pouvoir(s) : Télékinésie
« Description : C'est un pouvoir que l'on pourrait penser amusant. C'est ce que pensais Ténéïs au début. Faire bouger des objets avec la pensée qui ne le souhaiterais pas. La télécommande est un peu trop loin, et je n'ai aucune envie de me lever. Mais c'est un pouvoir qu'elle contrôle plus ou moins bien, il peut lui arriver que les choses lui échappe. Dans une position d'agression les choses peuvent très vite dégénérer. C'est aussi un pouvoir qui fatigue Ténéïs, surtout lorsqu'il s'agit de grosses charges : Migraine, saignement de nez, évanouissement. L'intensité des saignements est relative au poid de la charge déplacée. Il est arrivé, qu'elle tombe dans le coma. Etant d'une constitution physique plutôt faible, Ténéïs gère parfaitement les charges légères ( Petits objets, chaises, assiettes, verres ... ); moyennes ( Vélo, corps humains, télévision, poutres.. ), les charges lourdes deviennent plus problématique dans la mesure où il lui demande de la concentration et des efforts pur lutter contre une condition qu'on ne peut changer. Il est chose aisé de dissimuler la télékinésie: Coup de vent, action en chaîne, chance, les excuses sont nombreuses surtout chez la jeune femme.

Chapitre I : Il fut un temps où je n'avais pas peur de vous.

Je me présente, je m'appelle Ténéïs. Il faut prononcer chaque voyelle de mon prénom comme lettre à part entière. Il ne faut pas trop appuyer sur le T et prononcer le N. Le S est aussi très important. L'orthographe du mot devrait pourtant vous aider. Mais ce n'est pas le propos du moment. Nous en sommes loin du propos, nous en sommes très loin même. Je m'appelle Ténéïs, je viens de Sofia, la capitale de la Bulgarie, je suis née en 2006. Je ne suis pas un bébé de l'an 2000, j'ai même pas connu l'engouement autour d'une probable fin du monde le 21 décembre 2012. Parce que je m'en foutais, j'étais bien plus intéressée par les coccinelles et le retour de mon père le week end. En Bulgarie, nous sommes aussi touché par le délire autour des mutants, j'en suis une. Ma mère non, mon père non plus, ça tombe d'un coup. Ma sœur elle est née deux ans avant moi, Alianna. C'est une très belle jeune femme, elle est venue avec moi aux États Unis. Nous vivons dans un appartement spacieux, mes parents ont les moyens de s'en rendre propriétaires, mais je ne suis pas là pour parler des moyens financiers de mes parents. Il fut un temps, je n'avais pas peur des autres.

En Bulgarie, les mentalités sont bien différentes, les mutants ne sont pas encadrés, nous même nous ne nous connaissons que très mal. Extrêmement mal même. Et la différence est mal perçue, mais je crois que c'est un peu le même délire partout. Ne soyez pas trop différents. Sinon c'est mal perçue, j'ai reçu une très bonne éducation, dans de bonnes écoles de Sofia, des écoles privées. Sofia est une belle ville, une très belle ville. Je n'ai découvert ma véritable nature de mutante je devais avoir 6 ans, les premières années de véritables scolarités. J'étais déjà extrêmement timide à cette époque là, et j'ai eu beaucoup de mal à me faire des amis dans un premier temps. Je faisais certes des ravages parmi mes camarades masculins, mais certainement pas chez mes camarades féminines. J'eus quelques mois où je fus seule, j'ai été assez souvent seule pendant mes années de primaires, je pense qu'à cette époque, on prenait ma timidité pour de la prétention, même si je doute que les enfants de cette âge savent ce que veut dire : prétention. Certains on déjà du mal avec le mot éléphant. Mais bref. C'est à cette période là à peu près où j'ai pris connaissances de mes "dons". Certains disent dons, d'autre disent malédiction. Si vous voulez mon avis, pour qu'on cherche à nous les retirer doit il y avoir une part de vrai dans chacun des deux.

Les années ont passées tranquillement, j'ai commencé à me faire des amis, qu'ils soient amis ou amies. Je faisais confiance, j'avais même une meilleure amie qui venait dormir chez moi le week end. Le collège était devenu une véritable source de joie. Jusqu'à mon entrée au lycée. Un soir, alors que je rentrais. Certains avaient entendu parler de ma différence. Mon "don" car j'avais tout de même eu des problèmes à contrôler ce truc. Alors ils ont voulu me faire du mal. Ils ont réussit. J'ai été coupée très profondément au niveau de l'omoplate ainsi que de l'épaule, et j'ai eu le droit à deux scarifications sur l'avant bras. Je fus jetée au sol, et insultée de monstre, de création de Satan. Les jeunes sont souvent bien plus inventifs, je vous fait abstraction des autres insultes dont j'ai été la cible. Seule, face à une bande d'adolescents cruels, sans aucune connaissance des choses, et des réalités. Parmis eux, ils pouvaient y en avoir qui était comme moi et même ne le savait pas. Moi, jele savais, et le contrôler avait été une tâche ardue. Suite à cette agression, j'ai eu tendance à devenir plus craintive, j'ai changé de lycée, pour un autre bien placé, à côté de chez nous, dans un quartier calme. Alianna avait plus de facilité à s'intégrer, elle est plus sociable, sure d'elle, moins craintive, et avait la chance d'attirer les gens vers elle. Elle m'était complètement différente. On aimait bien plus ma soeur que moi. J'en ai souffert, et puis, les gens n'essayaient pas de me connaître, alors j'ai arrêté de vouloir faire des efforts si personne n'en faisait vers moi.

Chapitre II : Années Lycées, plus belles années ?

Oui certainement.Le lycée, c'est souvent l'occasion des "premières fois" : Première cuite, première fois, premier joint, premier petit ami. Et j'en passe c'est évident. Grâve à Alianna, j'ai pu ouvrir mes horizons, arrêter d'être en retrait, accepter ma différence, comme elle avait accepté la sienne. Elle fut certainement mon meilleur soutien dans ma recherche d'identité, je ne suis pas la bonne copine qui rigole très fort et qui sort des insanités sans que personne ne soit choqué.Je ne suis pas non plus le garçon manqué, je ne suis pas la droguée de service, je suis l'amie calme, timide et craintive, qui a besoin de soutien, et qui en apporte autant qu'elle peut. Je crois que ce côté plaisait aux hommes, vous savez, le soutien, le côté dominateur, ça donne quelque chose comme : Sans mon soutien tu n'es rien. Malgré ma timidité, je n'étais pas quelqu'un de faible psychologiquement, je ne savais simplement pas communiquer. Au lycée les choses changèrent, je faisais bien plus attention à mes dons de télékinésie, et je pus commencer à vivre tranquillement, presque normalement, je ne faisais jamais entièrement confiance aux gens, je ne parlais de la télékinésie qu'avec Alianna, qui partageait aussi le secret d'être mutante comme moi. Mais l'histoire d'Alianna est un peu plus drôle que la mienne.

J'ai fait mes premiers voyages scolaires au lycée, au collège j'avais refusé d'y aller ne supportant pas d'être en constant contact avec les autres. Et je manquais aussi de confiance en moi, encore aujourd'hui, mais à cette époque, c'était simplement invivable, pour moi, autant que pour les autres. Je suis partie trois fois, j'ai rattrapé le temps que j'avais perdu, en intégrant une classe spéciale, ouverte sur l'Europe, où j'avais plus d'heure d'anglais et de langues étrangères que beaucoup d'autre. J'ai appris l'Anglais, bien pratique pour aller aux Etats unis me direz vous, l'italien et l'allemand. Apprendre les langues étrangères est compliqué, car nous n'avons pas le même alphabet, il m'a fallu apprendre de nouvelles sonorités, j'aurais aimé apprendre le français, c'est une langue très belle, mais extrêmement compliquée. J'ai aussi eu mes premières expériences amoureuses, et charnelles, les deux vont souvent de pairs. Surtout au lycée, il semble que les garçons mettent un point d'honneur perdre leur virginité. Les filles aussi me direz vous. Je devais être en seconde, quand je suis "passée à la casserole", il y a beaucoup d'expressions beaucoup moins sympathiques, très vulgaire. Nous n'en ferons pas l'inventaire. Il suffit d'être un peu inventif.Il s'appelait Heden. Il était plus âgé que moi, j'ai toujours préféré les plus âgé, un terminale, charmant. Mais je ne vais pas m'attarder, ce n'est pas quelque chose que l'on raconte dans les détails de toute façon. Et je ne pense pas pas que mes histoire intimes vous intéressent énormément. Vous devez vous demander comment je m'en sors niveau télékinésie à cette époque là j'imagine ? J'enfouis au plus profond de moi même ce pouvoir, ce don, ou cette malédiction, tout dépend du point de vue que vous voulez adopter. Il est bien là, il est bien présent, je le contrôle de mieux en mieux, mais je ne veux pas en parler avec personne, ni même Alianna, qui elle accepte le sien, malgré son côté plus aléatoire. Du lycée, je suis sortie avec les honneurs, et la possibilité d'étudier aux Etats Unis. Voilà pourquoi je suis ici. Je devais dans un premier temps aller à Pittsburgh. Mais Alianna avait insisté pour que nous allions à Achehea, elle disait qu'elle avait entendu que de nombreux mutants vivaient là bas. Non pas que je n'aime pas mes sembables, mais j'ai toujours pensé qu'il valait mieux ne pas trop concentrer un grand nombre de mutant das un même endroit. Je suis convaincue que ça n'amène pas toujours quelque chose de bien. Avant de partir pour les Etats Unis, nous avons passé un dernier week end avec nos amis. Puis Alianna et moi devions partir. Ma soeur, à l'origine, ne devait pas étudier avec moi, dansle même pays. Elle était destinée à rester en Bulgarie. Seulement, c'est une chose qu'elle refusait catégoriquement. Nous n'avons jamais été séparé bien longtemps, je pense qu'elle dépend plus de moi que je ne dépends d'elle, malgré sa personnalité plus expressive et ouverte que la mienne. Je suis convaincue que nous ne sommes pas jumelle pour des prunes. Oui, il faut bien une personne capable de canaliser Alianna qui n'en fait bien souvent qu'à sa tête.


En route pour accomplir le rêve américain. Ou non. Comment pensez vous que deux petites bulgares de 18 ans, allait réussir à se fondre dans la masse d'américains ? Aucune idée. Mais nous allions réussir, c'était évident. De toute façon, nous n'avions pas le choix. Faire le choix de partir de Bulgarie fut parfaitement réfléchi. Ce n'est pas en Bulgarie que nous allions réussir, et je n'étais même sure que nous allions pouvoir le faire aux Etats Unis. J'ai choisi un cursus que je trouvais passionnant. Les Folklores et l'histoire. Réfléchir aux croyances, aux rites païen et autre. Je trouvais la chose assez ironique en définitif. Étudiez les choses qui nous dépassent, alors que j'étais moi même une créature qui sortait du cadre. Je suis une mutante. Je trouve cette appellation un peu péjorative. J'avais entendu des gens s'insulter de mutants. Les mutants comme des dégénérés. Triste chose que l'ignorance.

En arrivant, j'ai appris plusieurs choses, de plusieurs personnes. Du moins de plusieurs mutants. Nous étions traqués, chassés, nous n'avions même pas notre place face à Dieu. Nous n'étions que des créations de Satan, mais comme si nous avions le choix ? Je ne suis pas une personne dangereuse, du moins je ne le pense pas. Nous ne sommes pas non plus des animaux. J'ai véritablement pris conscience de mon statut en entrant aux Etats Unis. Il fut bien difficile d'accepter le fait que nous pouvions être chassés, attrapés et enfermé dans des laboratoires afin de devenir des sujets d'expériences. Des cobayes. Sans aucun droit de contestation. Alors j'ai choisi la voie simple, je ne voulais pas de problèmes, je voulais vivre aussi normalement que j'avais pu vivre en Bulgarie. J'ai eu le mal du pays c'est évident. Je trouvais les Etats Unis tellement impersonnelle. Sans histoire particulière, sans beaux monuments, il n'y avait que des immeubles, des Buildings, des appartements, nous sommes des mutants dans une masse de personnes. Nous n'étions pas grand chose en définitif. Mais nous étions assez pour être traqués. Ironique non ? Allais-je redevenir ce que j'étais plus jeune ? Allais-je craindre plus que je ne craignais déjà ? Pourquoi devions nous nous cacher alors que nous n'avions pas choisi cette condition ? Tout au long de ma vie je me suis posé ce genre de questions, Alianna elle aussi. Mais elle a décidé de se battre pour sa cause. Pour sa vie, pour sa liberté, ce qui est noble, grand peut être même, se battre pour sa cause. Il n'y a rien de plus beau de la liberté, mais avais-je envie d'entrer dans les rangs comme le voulait Alianna ? Je n'en suis pas bien sure. Je n'ai pas l'âme guerrière. Je pense juste avoir envie de vivre. Et je compte bien vivre. Et longtemps pour ne pas avoir à regretter quoique ce soit. Je suis peut être bien lâche de ne pas vouloir lutter, mais pouvez vous m'en vouloir ?

J'ai commencé à vivre avec ma sœur, dans un appartement en centre, proche de l'université. Nous avions choisi cet emplacement par prudence, nous n'étions pas encore habituée à vivre ici, prendre les transports, je vous assure que c'est un gros changement. Ici, tout est démultiplié. Tout est plus grand, plus difficile, ou plus simple. Les entre deux sont rares. Trop peut être. Je ne suis sure de rien. Et je ne sais rien. Voilà ce que je vous dirais si vous venez m'interrogez. Je sais parfaitement jouer les jeunes filles effarouchées. Je vis à Achaea. Je vis ici. Je suis heureuse. Enfin, je sens que je suis heureuse, si je le suis vraiment je ne sais pas. Je suis retournée en Bulgarie. Pour les congés, les vacances. J'ai même fait un Spring Break au soleil. Moi ? Au soleil ? Avec ma peau. ça aurait pu être un carnage, pas tant que ça.

« Système de Puçage : Non

« Avatar : Astrid Bergès-Frisbey
« Recyclage du Personnage : Bien sur