"Rien ne devrait recevoir un nom, de peur que ce nom même ne le transforme"
● Nom : Cooper ● Prénoms : Hope ● Sexe : Féminin ● Âge : 19ans ● Origine Génétique : Mutante ● Origine Géographique : Etats Unis d’Amérique, Etat du Maine, Augusta ● Métier : Etudiante en Bachelor of Science ● Date de Naissance : 14 février 2006 ● Lieu de Naissance : Austin, Etat du Texas ● Orientation : Bisexuelle
» Informations des Groupes
"Il y a quelque chose de plus grand pourtant que d'appartenir au monde, c'est de s'appartenir à soi-même"
● Groupe : Mutant Pacifiste ● Raisons : Ce choix est très certainement la suite logique d’une éducation ayant donnée à Hope, la capacité à apprécier la nature de chacun, quelque soit les différences. En effet, ces parents ont toujours tenté d’inculquer à la jeune femme, le respect de la vie, de l’autre. Ne jamais juger sans savoir, sans connaitre, ne jamais rabaisser inutilement. Loin d’être partisante du « Pour vivre mieux, vivons cachés », Hope aime voir dans les différences, des forces. La pluralité, la différence est ce qui enrichit notre monde. Et puis, l’étudiante part surtout du principe que, si elle, n’a pas demandé à être mutante, les humains n’ont pas demandé non plus à rester humains, ou à voir des mutants apparaître parmi eux. Situation, mutation qui échappe à tout contrôle. Alors, pourquoi en vouloir aux humains ? Parce que certains d’entre eux prennent peur face aux mutants ? Mais que ferait-elle, à leurs places ? Certainement la même chose. On ne peut blâmer une personne apeuré, inquiète. La peur fait souvent faire des choix incompréhensible aux hommes, et l’histoire de l’humanité regorge d’exemples. Bien sur, il est assuré qu’Hope changerait d’avis si l’on venait à s’en prendre à ses parents, ou à ses amis. En réalité, si elle peut comprendre parfois les choix des humains, elle continue surtout de garder espoir en un avenir plus tolérant, de paix. Concernant les mutants, l’étudiant se montre plus réservé. Il faudra, de toute façon, selon elle, prendre un jour le temps de s’asseoir autour d’une table, et de discuter tous ensemble.
● Pouvoir(s) : Cerveau ordinateur ● Description : Hope possède un cerveau qui fonctionne comme un ordinateur, avec une capacité photographique et mémorielle illimitée. Du coup, elle n’oublie jamais rien de ce qu’elle voit, entend ou comprend. Elle peut effectuer plusieurs fonctions mentales au même moment. La vitesse accélérée de ses pensées lui permettent de faire des calculs et des analyses complexes, appréciant la probabilité d'une action donnée. C'est ainsi une joueuse d'échec hors-pair. Mais plus impressionnant encore, Hope est capable de comprendre aisément le langage des ordinateurs, et ainsi, peut programmer ceux-ci à sa guise. Concernant sa visibilité par rapport aux regards des autres, Hope a la chance d’avoir subit une mutation totalement invisible vue de l’extérieur. Du moment qu’elle se retrouve pas sous un scanner médical, ou à être radiographier, surtout au niveau du crâne, personne ne pourrait deviner la nature de son cerveau. Aucun signe extérieur, aucune indication. Pour ce qui est de sa capacité à comprendre le langage des ordinateurs, et afin de pouvoir dialoguer avec eux, les programmer selon ses souhaits, dans la mesure du possible, il faut naturellement à Hope, un clavier, cela va s’en dire. Car il est tout à fait impossible de pouvoir communiquer avec ceux-ci, uniquement à l’aide de son cerveau seul, ou par sa simple pensée. Il est possible cependant que le cerveau de Hope subisse quelques légères interférences, notamment dans les zones à fortes concentrations d’ondes électriques ou magnétiques. Rien qui pourrait lui nuire sévèrement, mais qui occasionnerait toutefois chez elle, une gêne, une migraine peut être même dans le pire des cas.
» Informations Descriptives
[size=11]"La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme"
● Description Mentale : Réservée, timide, sauvage peut être. Voilà ce que l’on pourrait bien entendre en premier lieu, si l’on souhaitait qualifier d’embler, sans réfléchir vraiment, Hope. Pourtant, ce ne serait que s’arrêter à une première impression, car en réalité, l’étudiante américaine est bien plus que cela. Jeune fille plutôt réservée, il est vrai, Hope est une demoiselle qui aime observer, comprendre son univers, monde, environnement. A vrai dire, c’est chez elle plus qu’un passe temps, presque une obsession. Tout s’analyse, tout se démontre. Sa mutation y est très certainement pour quelque chose. Toujours en retrait au premier abord, la demoiselle préfère choisir le moment opportun pour venir vers l’autre. Trop souvent jugé, catalogué, moqué, elle a développé avec le temps, une carapace, qui la protège de ses propres sentiments. N’allez pas croire pour autant qu’Hope est incapable d’aimer, d’être affectueuse, car en privé, en confiance, elle est une jeune fille ordinaire, qui aime à recevoir l’amour de ses parents, l’affection dont elle a tant besoin. C’est aussi une personne qui éprouve volontiers empathie, joie, compassion. Fidèle et dévouée, elle sait être une amie loyale, généreuse, toujours présente lorsqu’on a besoin d’elle. Possédant des valeurs, une morale enseignée par ses parents, Hope est une fille qui a les pieds sur Terre, même si on lui connait un côté rêveuse. En définitif, il est bien difficile de connaître vraiment Hope. C’est une fille qui aime se préserver, instinct de sauvegarde puissant, mais qui sait s’ouvrir aux autres lorsque ceux-ci en valent la peine.
● Description Physique : Hope est une jeune fille plutôt agréable à regarder. Comme beaucoup de jeunes femmes de son âge, l’étudiante n’apprécie que très peu certaines parties de son corps. Pourtant, la demoiselle fait tout pour prendre soin d’elle, de son apparence, sans tomber dans le travers du narcissisme. Elle n’est en rien une fashion victim, et encore moins une fille précieuse, qui se prendrait volontiers pour une starlette. Sa fierté, qui n’est pas mal placée, réside dans sa chevelure. Longue, soyeuse, sa chevelure est souvent coiffée habillement par la jeune femme, qui aime lui donner des formes différentes, au gré de son humeur. La fierté de sa mère envers sa fille, réside quant à elle dans le regard de la jeune Hope. De beaux yeux bleus-verts, expressifs à souhait, d’une couleur pure et cristalline, qui reflète aisément les émotions. Son corps est agile, et sa silhouette est gracieuse, affichant des courbes sensuelles. D’ailleurs, sa poitrine reste généreuse, et Hope aime à mettre en avant sa féminité. Pour son visage, elle possède un nez discret, et sa bouche est sensuelle à souhait, souvent soulignée d’un gloss rose ou rouge. Si Hope n’est pas dépendante du maquillage, elle aime à embellir son visage de temps à autre.
Côté vestimentaire, Hope aime à pouvoir compter sur une garde robe importante, non sans être hors de contrôle, et difficilement rangeable. Robes, jupes, tops et hauts, chemisiers ou pantalons, chaussures pour toutes occasions rencontrées, l’étudiante dispose d’un panel de tenue diverses et variées. De quoi rendre peut être jalouses certaines de ses camarades de classe. Selon la saison, mais aussi un peu la mode, Hope aime à s’habiller dans l’air du temps, sans être non plus à l’affut des dernières nouveautés ou tendances. L’été et durant la belle saison, la demoiselle ne rechigne pas à porter robes et jupes, n’hésitant pas à afficher ses longues jambes fines. Pour un côté plus intime, l’étudiante aime la lingerie fine, malgré le prix prohibitif parfois de certains ensembles. Toutefois, cela ne l’empêche pas d’acquérir régulièrement de sublimes parures.
● Particularités : Est-ce qu'il a des cicatrices, des rêves, des peurs... : Rêveuse un peu naïve ou utopiste, Hope aime croire en un futur meilleur. Aspirant à un monde meilleur pour tous, elle aime à s’engager, lorsque celui lui est possible, dans des œuvres écologiques, ou à but humanitaire. Malgré ce côté positif de sa personne, c’est aussi une demoiselle soucieuse du regard, du jugement des autres. Trop souvent sujette de critiques, moqueries, incompréhensions, notamment face à son niveau scolaire excellent, elle s’est construire au fil de sa scolarité, une carapace, de sorte qu’aujourd’hui encore, elle donne trop souvent l’impression d’être imperméable, insensible aux remarques que l’on pourrait lui faire. Instinct de sauvegarde puissant, Hope est une fille trop souvent réservée. Pourtant, on lui connait quelques amies. Ce qui l’effraie le plus, c’est la violence qui règne dans le monde, jusqu’à la porte de sa maison. Bien souvent, elle serait tentée de se laisser atteindre par les sentiments d’insécurité, de panique, de peurs que relaient si aisément les médias. La particularité qui qualifierait peut être le mieux Hope, est sans doute son incroyable mémoire. Capacité hors norme qui provient naturellement de sa mutation. Un don qui d’elle très tôt une surdouée. Ayant subit brimades et commentaires douteux, blessants, Hope ne réussit jamais à voir sa mutation comme un don, mais plutôt comme une punition.
» Informations Générales
"Le roman est l'art de créer un homme, la biographie l'art de le ressusciter"
● Histoire : Soleil et désert. Voilà ce qui me vient à l’esprit en premier, lorsque je repense à mon enfance. J’ai gardé des souvenirs très précis, depuis toute petite. Si beaucoup n’ont pas cette chance, ou capacité, vous comprendre au fil de mon histoire, pourquoi il en est ainsi avec moi. Je suis à Austin, dans l’Etat du Texas, au sein d’une clinique privée flambant neuve. Fille unique, je suis le fruit d’un amour inconditionnel entre le Professeur Tyler Cooper, et la belle infirmière Nora Walberg. Enseignant à l’université, maître de conférences, spécialiste en mathématiques, mon père éprouva toujours une grande fierté à mon égard, tout comme ma mère d’ailleurs. Mais ce regard de l’un et de l’autre sur moi fut toujours différent quelque part. Aboutissement d’un désir commun, devenue par mon arrivée à la vie, pivot d’un couple qui n’avait guère de soucis, je venais enrichir cet amour qui chaque jour, se dévoiler sous mon regard. Mon père est une personne très intelligente, et il faut l’être pour enseigner les mathématiques comme il le fait, à ce degré là. Ma mère est une femme plus proche de ses émotions, à l’écoute de ses instincts, comme toutes les mères vous me direz.
Mon enfance se déroula sans ombres au tableau. J’étais une petite fille calme, posée, joueuse et rieuse. Rien ne me destinait à connaître un avenir chaotique. Bientôt, j’atteignais l’âge d’entrer à l’école, et les premières semaines révélèrent chez moi une aptitude anormale pour l’apprentissage. La professeur, le directeur, le médecin scolaire n’avaient jamais vu cela avant moi. Une capacité surprenante pour mémoriser, apprendre, comprendre, surtout chez une petite fille de mon âge. Aussitôt, l’on conseillait à mes parents de me faire passer des tests, et j’excellais à ceux-ci avec brio. Le diagnostic tombait : j’étais une enfant surdouée. Un cas extraordinaire, mais qui s’était pourtant devant vue, ici et là. Après tout, il y avait toujours eut sur Terre, des surdoués. Albert Einstein n’était pas si loin que cela dans nos mémoires, ni notre histoire. Si mon père éprouvait une grande fierté face à cette nouvelle, s’expliquant cette particularité par son quotient intellectuel déjà élevé, il en avait déduit que j’étais la digne héritière de son savoir, et que, peut être, finalement, cela était héréditaire. Dans sa joie que ma mère ne parvenait pas à partager, il venait d’élaborer une théorie qui n’était pas si loin de la réalité. Car sans qu’aucun d’eux ne le sachent, à ma naissance, des tests sanguins avaient déjà été pratiqué, révélant chez moi, un nombre anormal de gênes. Pour les personnes à l’origine des tests, c’était clair : j’étais une mutante.
Etre une enfant surdouée ne me posa pas vraiment de problèmes dans mes jeunes années. L’on me changea d’école, afin que je puisse m’épanouir dans l’apprentissage, et je me débrouillais mieux que bien. J’avais déjà marché plus tôt que l’âge normal, et j’allais continuer sur ma lancée en parlant plus tôt que la normal, en apprenant à lire plus rapidement que la moyenne, en sachant compter plus rapidement et tôt que la moyenne. Le pire dans tout cela pour moi, et que je trouvais toujours tout trop facile. J’éprouvais sans cesse ce besoin de corser les choses, de démontrer, de chercher, d’analyser, de comprendre. Les années passèrent, et je grimpais sans effort les échelons du système scolaire. Tellement facilement que très vite, je m’ennuyais à l’école, n’y trouvant plus aucun intérêt. A peine étais-je âgée de 12 années, que je me voyais sujette à une dépression en devenir. Je n’avais guère d’amies, je n’arrivais pas à m’épanouir à l’école, les leçons me paraissant trop simples à apprendre, et inévitablement, j’en venais à me replier sur moi-même, comprenant lentement et surtout pour le coup, que j’étais anormale, en rien comme les autres.
A cet âge, éprouver pareil sentiment était catastrophique. Il fallut de longues semaines, plusieurs mois même à mes parents, pour réussir à me redonner la force, l’envie de reprendre une vie de petite fille comme les autres, et ainsi, à retourner à l’école. Cette phase douloureuse dans ma vie passée, j’en venais à vivre une autre. Je ne l’avais pas remarqué depuis longtemps, mais déjà, je portais des soupçons vis-à-vis de mes parents. Si ceux-ci s’étaient toujours occupés de moi comme de bons parents, je commençais à discerner chez eux, une inquiétude, un malaise, qu’ils cherchaient tant bien que mal à dissimuler. Puis, quand je trouvais le courage d’en parler avec eux, faisant là preuve d’une maturité certaine, je comprenais la raison de ce dit malaise. Etre une enfant surdouée était déjà une épreuve pour eux, même si cela faisait la fierté de mon père. Mais ce qui les inquiétait surtout, c’était de me voir capable de retenir aisément le moindre détail, gardant des souvenirs particulièrement précis de moments vécus, d’instants passés de mon enfance, ou de lieux que nous avions visités. Incapable de m’expliquer à moi-même ce don, car je préférais y voir un don, mes parents finirent par se convaincre que cela faisait partit de moi, et que cela allait avec mon intelligence.
Les classes passèrent, les professeurs aussi, et très vite, une fois adolescente, je choisissais de fréquenter une école normale. J’avais assez passé de temps dans un monde qui avait été étudié, préparé pour des gens comme moi. Je voulais connaitre une scolarité ordinaire, même si, pour cela, je devais fréquenter des cours normaux, et donc, beaucoup trop simples pour moi. C’était pourtant pour moi, un sacrifice tout à fait envisageable. Je ne voulais plus être regardée, considérée comme une surdouée. J’avais subit assez de brimades, de moqueries, de regards étranges à mon encontre les années précédentes. L’adolescence y était peut être pour quelque chose, même si, au final, je ne connus jamais de « crise d’adolescence » comme certains adolescents justement peuvent en connaître. J’ai toujours été une fille sage, réservée, calme, qui préférait rester dans son coin à lire les livres de mathématiques de son père, plutôt que d’aller jouer à la corde à sauter avec ses copines. Fréquentant une école donc ordinaire, je vivais alors de nouvelles expériences, m’adaptant à mon environnement, dont je n’avais de cesse d’analyser le fonctionnement. Très vite, j’en venais à faire consciemment des erreurs dans mes devoirs, jouant un vrai rôle d’étudiante lambda, pour mieux me faire accepter, me fondre dans la masse. Et petit à petit, j’en venais à être douée dans ce jeu, qui, s’il ne m’amusait pas vraiment, avait le mérite de m’offrir une existence moins difficile et pénible.
Dernière année à la High School. Les week ends, je me plaisais à aider mon père dans la préparation de ses conférences. D’ailleurs à ce sujet, je dois préciser que de par ton travail, nous devions souvent déménager. Au gré des postes disponibles, mon père se devait de proposer ses services aux universités, et ainsi, pouvait être muté ici et là. Nous partagions lui et moi une vraie passion pour les mathématiques, et ensemble, nous pouvions passer des heures à résoudre équations et problèmes, sous le regard parfois exaspéré de ma mère. Mon adolescence s’était plutôt bien déroulée, comme je vous le disais, et si mon apparence était convenable, même plus attirante selon le regard et les commentaires de certains garçons, je n’avais jamais senti d’attirance jusqu’ici pour le sexe opposé. M’étant tout de même faites quelques amies, je commençais à sortir les soirs, avec l’autorisation de mes parents toujours, pour fréquenter quelques soirées. C’est là que je connus mon premier petit ami. Je n’étais pas vraiment douée pour ces choses là à l’époque, et encore maintenant, je crois que je serais une vraie catastrophe ambulante. Laisser parler mes sentiments, les laisser me guider, ce n’était pas pour moi. Face à Brian, je cherchais sans cesse à savoir comment il fonctionnait, quelques étaient les stimulis, les éléments déclencheurs qui le faisaient agir ainsi, ou réagir d’une autre façon. Dans ces instants de recherche, alors que je voulais à tout prix comprendre, j’en arrivais parfois à me détester.
Pour mes études, je recevais mon premier ordinateur, et ce fut pour moi une merveille, un jour que je n’oublierais jamais. Bon, je sais, vous allez me dire que, de toute façon, je n’oublis jamais rien, mais c’était une façon de parler. Sans avoir besoin de l’aide de mon père, qui s’y connaissait déjà pas mal dans le domaine, je trouvais là une nouvelle façon de m’occuper l’esprit, de mettre en application mon savoir, mon don, alors que je passais des soirées entières dessus, à pianoter sur mon clavier, à découvrir toutes les capacités de cet bel appareil révolutionnaire. Mes copines elles, avaient déjà un ordinateur depuis longtemps, et je ne comprise jamais vraiment pourquoi, mes parents ne m’en avaient jamais offert un avant. Après tout, ils devaient avoir leur raison. Et après une semaine à peine, je commençais à programmer des logiciels, à améliorer significativement mon propre ordinateur, comprenant aisément son langage, qui me paraissait clair et limpide, au grand damne de mon père. J’allais devenir une vraie geek, ne sortant de sa chambre que pour prendre sa douche et se nourrir. Et sur les encouragements de mon père, je me forçais à aller à une soirée.
Je me suis réveillée 2 semaines plus tard, et pour le coup, avec aucun souvenir de la fête en question. Selon mes parents, la voiture de l’amie avec qui j’étais partie à cette soirée, a quitté la route, et nous a entrainé toutes les deux dans une série de tonneaux, pour finir dans un ravin en contre bas de la route. Si le fait de me réveiller dans un hôpital, m’indiquait clairement que j’étais bien vivante, il n’en fut pas de même avec Lisa, la conductrice, l’une de mes rares amies. Cette nouvelle fut la plus douloureuse de toute ma vie. Pendant que j’étais dans le coma, selon le récit de mes parents, qui attendirent le meilleur moment pour m’en parler naturellement, j’apprenais que j’avais subit un tas d’examens. Normal quand vous êtes à l’hôpital, à la suite d’un grave accident de la route. Sauf qu’après avoir passé un scanner, l’on découvrait pour le coup, l’effet qu’avait produit la mutation chez moi. Mon cerveau, d’apparence extérieure, était tout à fait banal. Sauf qu’en réalité, à bien regarder plus en profondeur, l’on remarqua que celui-ci fonctionnait comme un véritable ordinateur, et que son cœur n’avait rien d’humain. Du jamais vu, et qui avait surpris tout le monde, moi la première. Ce fut bien le premier jour que je pus lire dans les yeux de mon père, une sorte de déception. Quant à ma mère, elle restait bouleversée par l’accident. Ma mutation était pour elle qu’une information inutile. Je restais sa fille, et ça, rien ne pourrait jamais rien y changer. Je crois qu’il fallut plus de temps à mon père pour l’accepter véritablement, et que, finalement, ce diagnostic officiel, sonnait le glas de son espoir de pouvoir ne voir qu’en moi, qu’une fille surdouée certes, mais totalement humaine et ordinaire. L’on en profita pour me proposer l’implant d’une puce. Elle permettrait d’enregistrer mon identité, et d’autres informations, et ainsi, les autorités pourraient avoir un contrôle sur moi. L’idée, que je pouvais comprendre, mise en colère au départ mon père. Je lui expliquais alors que si les autorités souhaitaient prendre des mesures vis-à-vis des gens comme moi, je pouvais comprendre cela. Je ne souhaitais pas vivre cachée toute ma vie, ni même m’opposer à notre gouvernement, car après tout, j’aspirais à être une citoyenne ordinaire. Et si je devais en passer par là, j’étais consentante.
Ne me demandez pas si mes parents ne furent pas mis au courant de ma vraie nature, dès la maternité, car je ne saurais vous répondre. J’étais trop petite moi. Une fois autorisée à sortir de l’hôpital, je rentais chez moi, pour repartir dans ma vie ordinaire, avec des parents qui enfin, m’acceptaient telle que j’étais, avec ma particularité. Quelques semaines encore de convalescence à rester à la maison, ma mère restant aux bons soins avec moi et pouvant jouer son rôle de mère, mais aussi d’infirmière avec moi et je passais pour ma part, mes journées avec mon père, à lire, discuter, calculer, jouer et bricoler nos ordinateurs. Une vraie de famille heureuse, qui me comblait tant. Mon diplôme de fin d’année, malgré mon absence assez longue, fut obtenu avec les honneurs du jury. Si cela fit la fierté de mon école, de mes professeurs, de certaines amies, et de ma famille, ce n’était pour moi absolument rien. Je n’y voyais aucune satisfaction là dedans, car après tout, ce n’était pas le résultat d’un travail acharné, suite à de longues heures nocturnes à relire des cours, étudiée, en passant par des nuits blanches non, mais uniquement le fruit d’une mutation que je n’avais pas souhaité. Le choix de la suite de mes études fut d’une logique à toutes épreuves. Avec l’avis de mon père, je me dirigeais vers un Bachelor en Science. Je crois qu’au fond de moi, je continue de vouloir faire la joie et la fierté de mon père. Si je n’envisage pas encore un métier futur, je me plais à étudier les sciences. J’intégrais donc cette nouvelle école, continuant mon petit jeu de comédie, reprenant mon rôle de la fille douée en études, mais sans plus, capable de se tromper souvent, de faire des erreurs, et cherchant surtout à me fondre toujours plus dans la masse.
Je n’eus pas de réels soucis durant ce début d’année. Les cours étaient plus intéressants que ce que j’avais connu auparavant. Le soir et les week ends, j’aidais mon père dans ses cours, ses calculs, et je me plaisais toujours autant à jouer à l’ordinateur contre lui, sans tricher. Une seule, durant cette année, je reçus un coup de téléphone, d’un groupe ou société, pour prendre rendez vous avec moi, afin de faire un léger contrôle sur ma puce. Naturellement, je m’y suis rendue aussitôt, et tout ce déroula parfaitement bien. A voir et entendre les médias pourtant, l’on dirait que nous sommes au seuil d’une nouvelle guerre civile. J’avoue n’avoir pas tous les tenants et aboutissants du sujet. Pour ma part, je ne me pose pas vraiment de questions à ce sujet. Je suis une mutante, je ne le cache pas forcément, mais si on ne me demande pas, je ne le crie pas sur les toits non plus. J’aspire juste à une vie normale pour ma part. Je continue mes études au mieux, fréquentant des amis quand cela est possible, et commence à réfléchir à une orientation de carrière, pour un futur plus ou moins proche. Une vie de mutante, qui se voudrait être ordinaire.
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"Jamais personne n'a trompé tout le monde, et jamais tout le monde n'a trompé personne"
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◊ Liam Winchester ◊
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Sujet: Re: Hope Cooper Mer 29 Juin - 19:28
Tout d'abord, bienvenu sur le forum,
Venons-en à ta fiche, je viens de la lire en intégralité et je ne vois rien à redire. Le pouvoir est normalement bloqué comme deux membres l'utilisent déjà, mais étant donné que l'un d'eux (David Hawkins) n'a pas donné de nouvelle depuis plusieurs semaines, je te laisse le prendre aussi ! Le pouvoir est bien expliqué, il est précisé qu'elle est pucée, le code du règlement figure dans ta fiche, l'histoire est sympathique, ça fait plaisir de voir des mutants qui ne s'assument pas ^^ J'aime beaucoup ton rang personnel au passage (Forrest Gump \o/), tout est donc bon !
Je te valide avec plaisir ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé, et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite je m'occupe de tout te recenser, toi tu peux te chercher des partenaires de RP, il y a des recherches de sujets donc si ça t'intéresse, tu peux y jeter un œil ;)
Histoire de ne pas être paumée avec les doubles comptes, je t'invite à lire ce sujet. Et Ella s'occupe de ton parrainage, elle te contacte sous peu ! ;) Pour le curseur je l'ai constaté en effet, il devrait peut-être changer sous peu ^^
Bon jeu sur Apocalypto !
◊ Invité ◊
Invité
Sujet: Re: Hope Cooper Mer 29 Juin - 19:33
Merci Liam pour cette validation rapide.
J'avais pas spécialement vu pour le pouvoir. Mais tant mieux si tout va comme cela. Merci encore.
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Sujet: Re: Hope Cooper
Hope Cooper
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