Sujet: Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+] Mer 29 Déc - 23:14
Lukaz Le Guen ▬ Cinderella Tennessee
Une fois n’est pas coutume, Lukaz avait du se lever tôt en cette nouvelle matinée du mois de décembre. Il avait vraiment horreur de ça, surtout en hiver. En effet, il avait toujours préféré rester bien au chaud sous une couette et cela même s’il dormait sur un vieux canapé reconverti. Oh, bien sûr, les hivers dans le Nevada étaient loin d’être aussi rudes que ceux qu’il avait vécus en France, mais ça ne changeait rien. Quand on aime se prélasser en hiver, on aime le faire n’importe où ! Sans oublier que depuis quelques temps maintenant, Lukaz ne vivait plus seul dans son appartement miteux. Toutefois n’allez pas croire que malgré ses mœurs libertines, il avait fini par se trouver un copain ou une copine… Non, ça n’avait même rien à voir. C’était juste qu’il s’était montré un peu trop gentil, une fois de plus. Il viendrait bien un jour où il le regretterait mais c’était ainsi… Ainsi, il avait proposé à une jeune fille bien gentille, Kaileen, de venir vivre chez lui, vu qu’elle n’avait plus d’endroit à elle. Bon, il fallait quand même être franc et avouer que la gentillesse n’était pas le seul élément qui avait pesé dans son choix de proposer cela… Il y avait aussi quelques espoirs qu’il pouvait nourrir quant à des remerciements d’ordre plus physiques… Des espoirs qui avaient déjà été amplement satisfaits, un soir où il avait eu l’occasion de s’amuser pour la première fois avec elle. Ca avait été une nuit superbe et il se demandait s’il y aurait encore droit. Mais pour le moment, il se contentait de beaucoup plus simple. En effet, se réveiller collé tout contre une autre personne, même si on ne faisait rien avec elle, ça avait quelque chose de vraiment très agréable. Et rien que pour glisser ses mains sur le corps de Kai, le visage enfoui dans ses cheveux, Lukaz adorait se prélasser sous sa couette.
Seulement voilà, bien qu’il ne soit rien de plus qu’un petit voleur, Lukaz avait quand même des impératifs à respecter. Et ce matin là, il devait aller voir son patron, Salvatore Gambino. Visiblement, ce dernier avait un nouveau travail à lui confier et il valait mieux répondre à son appel sans trop tarder. Son avenir en dépendait en effet très largement. Le jeune Français quitta donc son canapé-lit en prenant soin de ne pas réveiller Kaileen. Elle savait qu’il devait s’absenter et ne serait donc pas surprise de ne pas le trouver au réveil, mais ce n’était pas pour ça qu’il devait éviter d’être discret. L’air frais de la pièce fit frissonner son corps nu, ce qui le poussa à s’habiller sans trop attendre. Il prit ensuite son sac dans lequel il fourra quelques affaires et déposa un baiser sur le front de sa belle colocataire. Puis, sans faire de bruit, il quitta son petit studio pour rejoindre la rue. Comme il l’avait fait à de très nombreuses reprises, Lukaz connaissait par cœur le chemin pour aller chez les Gambino. Il le suivit donc sans trop y faire attention, comme s’il était un automate programmé pour cela. Finalement, il arriva enfin à destination.
Le portier qui gardait l’entrée de la propriété laissa passer Lukaz sans aucun problème. Il commençait à bien connaitre le jeune homme et lui ouvrit donc le portail en l’accueillant d’un simple signe de tête, sans même quitter son journal des yeux. Un peu plus loin, un jardinier taillait un pommier qui poussait dans le parc de la propriété… Quand on y pense, c’est une véritable aberration de voir une telle chose dans le désert, mais c’est aussi une preuve indéniable de la puissance de la famille Gambino. Certes, l’argent ne fait pas tout, mais il permet énormément de choses et là, on voyait clairement que les Gambino en ont, de l’argent ! Lukaz pénétra enfin dans l’imposante demeure et, au détour d’un couloir, il rencontra l’un de ses seuls véritables amis, Vincenzo. Il resta un petit moment avec lui, discutant de tout et de rien. En effet, cela faisait un certain temps qu’il ne l’avait pas vu et le beau brun commençait à lui manquer… Cela dit, il ne voulait pas le faire souffrir davantage et ne tenterait donc plus de l’attirer dans un lit, même s’il le regrettait amèrement. Après un échange plutôt agréable, Lukaz le salua d’un bisou sur la joue avant de repartir. Oncle Sal l’attendait.
Le vieux mafieux était dans son bureau, comme à son habitude. Occupé au téléphone, il invita Lukaz à prendre place le temps qu’il mette fin à sa conversation. Le jeune Français s’installa donc dans un joli fauteuil de cuir en faisant son possible pour ne rien entendre de ce qui se disait, mais il parvint quand même à surprendre quelques mots pleins de mystères : Apocalypto, Winchester, attaque… Visiblement, c’était du sérieux, même s’il ne comprenait pas pourquoi Oncle Sal’ voulait se servir de ces vieilles carabines, avec l’arsenal qu’il avait à disposition... Et surtout, qu’est-ce que c’était que ça, Apocalypto ? Il connaissait bien un vieux film du même nom, mais ça ne devait pas avoir de rapport… Est-ce qu’il devait se renseigner à ce sujet ? Il n’eut toutefois pas le temps de se poser plus de questions à ce sujet puisque le vieux Salvatore raccrocha et vint s’installer dans le fauteuil voisin du sien, un verre de whisky à la main.
« Lukaz, tu tombes bien. Je viens juste de recevoir des informations complémentaires sur la mission que je veux te confier. Voilà ce qu’il en est. J’ai besoin que tu ailles dans une maison des quartiers riches pour récupérer des documents bancaires. Ce sont des documents spécifiques que je veux, pas n’importe quel compte-rendu. Ils doivent lier la personne chez qui tu te rends à une organisation du nom d’Apocalypto. Je ne suis pas sûr que le nom figurera sur ces papiers alors voici une liste de numéros de comptes qui peuvent t’aider à trouver ce qu’il faut. »
Salvatore tendit quelques documents à un Lukaz perplexe. Encore ce nom, Apocalypto… A quoi est-ce que ça rimait. C’était un nom de code pour un projet quelconque ? Ou c’était encore tout autre chose ? Il n’en avait encore jamais entendu parler, mais en même temps, ça n’avait rien d’étonnant vu le peu de temps qu’il avait passé dans ce pays. Toutefois, ça semblait être assez important pour Salvatore alors il aurait bien aimé en savoir un peu plus… Mais ça aurait sans doute été malvenu de poser la question directement.
« Je me doute que tu te poses des questions, mais ne t’en fait pas, tu auras les explications le moment venu. Pour l’instant, fais seulement ce que je te demande. Tu vas aller chez Johnson Tennessee. C’est un homme particulièrement riche… Mais je n’aime pas ce qu’il fait de son argent. D’où la raison de ta mission. Inutile d’être discret en cachant ton vol. Qu’il sache que quelqu’un connait ses manigances, ça le fera peut-être réfléchir. Mais fait attention à ne pas te faire prendre, il n’aime pas vraiment les mutants… Je n’ai rien d’autre à te dire, donc si tu veux y aller, je ne te retiens pas. Pour cette mission, prend ton temps. »
Lukaz prit les papiers et les rangea dans son sac avant de saluer Salvatore et de quitter le bureau. Il retraversa la maison en sens inverse, un peu préoccupé par toute cette histoire. C’était la première fois que le vieux mafieux lui donnait de tels conseils alors ça avait de quoi surprendre. Dans quoi s’était-il encore embarqué ?
*** *** ***
La nuit était tombée et Lukaz avait passé sa journée à étudier les lieux de son forfait. Il avait appris que le maître des lieux n’était pas là pendant quelques temps, ce qui l’arrangeait bien. Par contre, il était marié, ce qui voulait dire que sa femme devait être restée à la maison… Cela dit, si le Français se montrait suffisamment discret, il arriverait normalement à entrer et à sortir sans se faire repérer. D’autant plus qu’il n’y avait pas de chiens ni de gardes du corps. Au cours de ses multiples passages, il avait pu se rendre compte qu’une caméra balayait le portail d’entrée, il valait donc mieux éviter de passer par là. Cela dit, la maison était juste entourée d’un petit muret, alors pénétrer dans le jardin ne poserait pas vraiment de problème. Lukaz marcha donc un peu dans la ruelle qui bordait la maison, jusqu’à être assuré d’être entièrement seul, cela afin que personne ne puisse le voir franchir le pas. Il sauta ensuite par-dessus le muret et courut pour aller se cacher à l’ombre d’un grand rosier. De là, il put enfin observer la maison tout à sa guise.
La demeure était entièrement plongée dans le noir. Seule une pièce à l’arrière semblait produire des flashs lumineux par intermittence. Sans doute était-ce là le salon et la femme de ce Johnson devait vraisemblablement regarder un film. Il aurait donc toute liberté d’agir, tant qu’il restait silencieux. Par chance, il avait revêtu une tenue moulante entièrement noire. Le fait qu’elle colle à la peau simplifiait grandement les mouvements et évitait de rester accroché par accident. De plus, il avait enfilé un passe-montagne et des gants afin d’éviter de laisser des empreintes ou des cheveux et de passer outre les éventuelles caméras dissimulées… Donc s’il restait silencieux, il passerait comme une ombre. Lukaz attendit d’être sûr de ne rien entendre dans les environs et il s’élança à travers le jardin jusqu’à arriver contre le mur de la maison. Là, il resta caché dans les ombres, aux aguets afin de vérifier qu’aucun mouvement ne révélait qu’il ait été repéré. Quand il fut enfin sûr de lui, il se déplaça à pas de velours afin de jeter un œil à travers l’une des fenêtres… La salle à manger, de ce qu’il en voyait. Il s’avança un peu plus, prenant garde à chaque petit bruit et regarda à travers une autre fenêtre. C’était sombre, mais on aurait dit un bureau… C’était donc la pièce qu’il cherchait.
Lukaz sortit du matériel de sa poche et se mit à découper un petit disque de verre dans la fenêtre, afin d’y passer la main. Il fit cela avec la plus grande discrétion et prit soin de ne pas faire tomber le disque par terre. Il glissa ensuite la main à travers le trou et fit pivoter la poignée de la fenêtre pour en ouvrir le battant. Il passa alors son matériel à travers l’ouverture, entra dans la pièce et referma la fenêtre derrière lui, posant le disque découpé par terre, dans un angle de la pièce. Il tendit la main devant lui et y fit apparaître une toute petite boule lumineuse, juste capable d’éclairer à quelques dizaines de centimètres de lui, sans qu’on ne voie la lueur passer à travers la vitre. De cette manière, il devenait capable d’explorer la pièce, ouvrant les tiroirs pour à la recherche de documents particuliers. Il passa quelques minutes de cette manière, mais sans rien découvrir de ce qu’il était venu chercher… Et si ces papiers étaient ailleurs… Mais où ? Une entreprise à lui ? Ou peut-être un coffre-fort ? Scrutant les murs, il chercha un éventuel tableau qui cacherait le coffre, comme dans les films… Mais il n’y avait rien. Par contre, le coffre trônait fièrement derrière le bureau, entre deux bibliothèques… Ce type devait vraiment avoir confiance pour l’afficher comme ça. Ou alors sacrément con… S’approchant de sa cible, Lukaz posa la petite boule lumineuse dessus afin de garder un éclairage à portée. Il fouilla ensuite dans son sac et en tira quelques passe-partout et autres tiges de fer avant de prendre ledit sac pour le poser sur une table non loin. Quand tout à coup…
« Tuuuuutuuuutut Brrrrrr Zout Tuuuuuut ! »
Lukaz sursauta et se retourna vivement pour constater avec horreur qu’en posant son sac, il venait simplement d’allumer une imprimante… Quel idiot il faisait ! Vraiment ! Le Français resta figé un long moment, écoutant dans le noir pour entendre si quelqu’un s’approchait… Visiblement, il l’avait échappé belle. Il allait juste se remettre à travailler quand il entendit un léger grincement…
Quelqu’un appuyait sur la poignée de la porte.
Dernière édition par Lukaz Le Guen le Jeu 27 Jan - 22:37, édité 1 fois
◊ Cinderella Tennessee ◊
۞ Humaine - Neutre ۞
◊ Nombre de Messages : 106 ◊ Nombre de Messages RP : 30 ◊ Age : 34◊ Informations : Fiche de Cindrella Tennessee◊ Age du Personnage : 33 ◊ Pouvoirs / Armes : Ses sous-vêtements
Sujet: Re: Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+] Lun 3 Jan - 0:17
Cinderella était réveillée, allongée en travers du lit, entièrement nue. Elle regardait Kyung enfiler ses vêtements un à un. Il avait un corps magnifique. Les arts martiaux avait rendu ses muscles fins et fuselés, puis ses cours de volley lui avait donné la chance de ne pas se tasser et de gagner en hauteur. Il ne fut que plus impressionnant. Comme souvent, quand son mari ne quémandait pas sa présence ou qu’elle n’avait pas ramené de prétendant, elle dormait avec lui. Elle adorait sentir sa présence contre elle. Il avait cette même sensation de sécurité que pouvait apporté M. Tennessee. Ils n’avaient rien fait cette nuit à part dormir. Ces derniers jours, la jeune femme était quelques peu déprimée et souhaitait juste de la compagnie. Kyung referma la braguette de son pantalon, restant torse nu, son t-shirt noir non loin. Il se retourna et sourit à la jeune femme avant de la recouvrir avec tendresse. Il lui embrassa les cheveux et se leva.
_Vous êtes sûr ? Je m’en vais ? _Oui, c’est pas tout les jours que ta sœur passe te rendre visite en Amérique…Vas y ! C’est que l’affaire d’une semaine. Puis demain, je chercherai un remplaçant. _Ca va allé ? Toute seule ? _Je vais mieux, je t’assure…
Il reprit sa place près d’elle, s’asseyant non loin de son visage et lui prit la main.
_Venez avec moi ! Partons ! Vous savez que je vous aimes plus que tout et sans mauvaise attentions ! Osez dire que vous ne serez pas heureuse avec moi ! Vous ne m’aimer pas alors ? Quittez votre mari, cette vie dangereuse…
Cinderella laissa sa tête tomber sur la grande main de son garde du corps. Elle releva un visage tordue de douleur, les yeux humides. Si la vie pouvait être si simple, elle n’aurait pas hésité une seconde. Elle aurait même rien prit, pour être sûr de s’en aller assez vite, assez loin pour qu’on ne la retrouve pas. Mais non, ils ne pouvaient pas.
_On en a déjà parlé Kyung. Je t’aime, peut-être pas autant, mais je n’ai jamais douté de toi. Je sais que tu as toutes les qualités pour me donner le bonheur. Sauf que je te rappelle qu’il t’a pucé comme un mutant, … Il te retrouvera. Et si tu l’enlèves, tu es viré. Et une fois viré, tu ne m’approches plus. Il n’est pas idiot, il voit bien qu’il y a quelque chose… Arrête, et repose un peu les pieds sur terre !
Kyung se braqua légèrement et baissa la tête. Il se leva, fit une courbette à la jeune femme. Il n’oublia pas de la remercier pour les petites vacances qu’elle lui donnait et de faire attention à elle. Quand il partit, la jeune femme serra l’énorme oreiller contre elle et pleura encore quelques larmes.
Elle passa sa journée à ne rien faire presque. Elle prit soin d’elle. Soin de peau, lotion, coiffure, maquillage, un peu de sport dans le salon, puis elle se commanda un repas. Elle passa le temps comme elle le pouvait dans cette immense maison. Puis le soir, elle décida de se faire un film, quelques choses de simples, avec un humour bête, à la sauce américaine. Une bonne série B ensuite pour ajouter une soirée à ne penser à rien qu’à l’idiotie que l’on pouvait créer. Cinderella tendit soudainement l’oreille. Il avait toujours peur seule, et surtout dans une si grande maison. Le bruit ne venait pas du film. Il n’avait eu aucune chance. Il fallait que l’incident se passe pendant un silence dans le film. Elle mit le DVD en pause et se pencha comme si elle allait mieux entendre. Elle reconnaissait le bruit atroce de cette machine que son mari utilisait constamment. Elle était une imprimante, comme un scanner, une photocopieuse et un fax. Son vrombissement l’agaçait plus que tout, car il témoignait de ses affaires, sales toutes autant que les autres. Pourquoi marchait-elle ? Elle était sûr de l’avoir éteinte quand son mari était parti. Elle finit par refermer un peu plus le pan de sa robe de chambre en soie rose passé. Non, ça ne pouvait pas être ça, pas pendant un des rares jours de congé de Kyung. Aussi parano qu’elle était et sans son chien de garde venant tout droit de Corée, elle gardait une arme sous la main. Surtout ces derniers temps. Elle avait encore eu un incident avec un mutant, et il n’avait pas seulement menacé la femme de la tué, il avait essayé, sans prévenir ! Elle eut du mal à s’en remettre. Elle avait même passé toute les nuits qui suivirent auprès de son mari. C’était si rare depuis déjà un an. Elle n’avait plus eu gout à sortir, ni s’amuser. Elle restait cloitrée chez elle, collé à Kyung fermant tout derrière elle. Certes, elle était plus détendue ces derniers jours, mais comme elle avait dit à son garde du corps ce matin, elle n’avait simplement plus le goût à rien, elle s’ennuyait. Sauf que là, elle était seule. Elle n’aurait vraiment pas du insister pour donner sa journée au jeune homme.
Elle prit son courage à deux mains, comme elle prit son arme et marcha d’un pas lent vers le bureau. Elle espérait qu’aucun bruit n’arriverait, risquant de lui provoquer une crise cardiaque. Elle souhaitait surtout qu’elle avait oublié d’éteindre cette foutue machine ! Son cœur se serra à chaque pas qui la rapprochait de cette porte entrouverte. Elle la poussa du bout des doigts et à son grand désarroi, il y avait quelqu’un. Elle fit un pas en arrière, une main sur sa poitrine, légèrement découverte. La robe de chambre s’était ouverte et laissait entrevoir une simple nuisette de même couleur et matière avec un beau travail de dentelle faite main, en triangle pour conserver une certaine pudeur. L’arme pointé sur Lukaz, la main ferme, elle alluma la lumière.
_Je suis nerveuse, alors un faux pas et je tire !
D’un pas hésitant, elle rongea la distance qui les séparait. Elle plaça une main sous sa gorge et le fit lentement reculé jusqu’à ce que son corps frêle bute contre un meuble. Elle resserra un peu sa main et posa l’arme sous son menton. Elle ne tremblait pas, mais sa respiration trahissait son angoisse. Elle lui arracha ce qui cachait, à son grand étonnement, un visage jeune et charmant. Elle le fit rapidement pivoter face à une caméra.
_Comme ça, si l’idée de me tuer te tente, on saura qui est l’agresseur. Tu n’auras pas les enregistrement facilement, il y a un code…
Elle passa ensuite ses doigts dans ses cheveux blonds et le colla contre la bibliothèque avant d’enfoncer son canon entre ses vertèbres. Elle entama ensuite un état des lieux. Il avait presque forcé le coffre et tout les tiroirs étaient souillées. A terre, juste tout ce qui touchait à ses actions, factures, un cadre avec leur photo de mariage, etc. Puis sur le bureau, c’était l’Apocalypto. Elle connaissait les numéro de comptes, les messages, le sigle sur certaines feuilles, les destinataires. Elle se disait qu’elle aurait du le laisser partir et faire ce qu’il avait à faire finalement. Même qu’elle donnerait l’acte de naissance de sa fille, ainsi sa pauvre vie commencé dans la mort aurait peut-être pu être vengée ! Et si elle lui donnait ce qu’il voulait ? Elle effacerait les enregistrements et se blesserait pour feindre de la torture contre le code. Ou alors, elle se saignerait assez pour se faire passer pour morte et vive la liberté. Juste son sang en témoignage de leur mariage et de son existence. Elle soupira et secoua la tête puis une chose étrange attira son attention. Une boule lumineuse flottait près du cadenas à roulette. C’était comme si une étoile brulait dans sa propre maison. Elle approcha sa main, mais pas trop près. Elle jeta son dévolu sur l’étranger. Elle le tourna face à elle et le plaqua à nouveau contre les livres.
_T’es un mutant en plus ? T’es inconscient ?! Tu sais pas ce qu’il leur fait… T’es si jeune ! C’est déjà honteux d’être un petit fouineur, mais tu risques ta vie en plus ! Tu sais pas ce que c’est de te gâcher la vie en faisant les mauvais choix. C’est trop tard quand tu as goûté à l’amertume crois moi…
Puis, à la fin de son petit discours, elle jaugea le jeune homme. Il était apeuré, elle le sentait. Le regard qui ne la quittait pas, le pouls rapide qu’elle pouvait sentir sous ses doigts qu’elle avait reposé sur la gorge de Lukaz. Elle finit par se mordre la lèvre. Était-ce l’ennuie, l’alcool, ou toute une vie à avoir eu le rôle de la victime, la dominée ? Elle était totalement excitée par la situation. Elle dominait bien les hommes d’une certaine façon quand elle se faisait désirer, mais une fois dans le lit, elle était une simple femme. Là, c’était complètement différent. L’homme la craignait, elle avait sa vie entre ses mains, son avenir. L’adrénaline ne cessait de monter en elle plus elle y pensait. Elle resserra doucement sa main sur cette gorge qui tambourinait une danse endiablée. Elle jouissait de la peur qu’elle animait chez le jeune homme. Elle pencha la tête. Son imagination battait des records. Il était plus que mignon, un peu jeune, mais plein de charme et un regard à la fois innocent et désinvolte. Il était de plus, très bien battit à en voir cette tenue collante. Sans parler que c’était un mutant. Autant elle en avait peur, mais c’était son vice. Elle couchait avec pour son propre plaisir d’humilier son mari au plus au point, même si elle était la seule à le savoir. Elle se lécha le coin de la lèvre.
_T’es bien obligé de m’écouter finalement…. T’es… Comme mon pantin… Je vais t’apprendre à venir alerté une femme comme moi. Je vais te le faire regretter… Ou pas…
Elle lâcha doucement le cou du français et laissa lentement sa main descendre avec douceur sur son torse, puis sur ses cuisses, son ventre, avant d’effleurer du bout des doigts son entre-jambe.
_Si tu fais tout ce que je te dis… Je te donne les papiers que tu cherches et même une chose que tu ne soupçonne pas. J’ai très vite deviné ce que tu cherchais. Je ne suis pas une simple pute, il m’a informé. J’effacerai les enregistrements et je m’occuperais d’expliquer à mon mari leur disparition. Sinon, j’appelle la police, et vu ce que tu cherches, t’es pas seul, on remontra à la source. Puis sinon, si tu tentes de partir ou que tu me tues, je te l’ai dit. Il y a les caméras, on te retrouvera forcément. Mon mari à le bras long, il te retrouvera… Je pense que j’ai aucune réponse à attendre de toi, je la connais déjà…
Elle ajouta comme point final, par un baiser sur sa joue avant de venir doucement happer de ses lèvres pulpeuses le lobe du jeune blond. Elle connaissait très bien la place de la caméra dans le bureau, si bien qu’elle savait où se trouvait l’angle mort. Il n’y avait ainsi aucune preuves qui pouvaient jouer contre elle. Elle avait pour l’instant la situation bien en main.
Elle le prit par le bras et le poussa dans le champ de vision du mouchard. Elle lui demanda, plutôt lui ordonna de sortir du bureau et le suivit de très près. Une fois l’univers macabre de son mari quitté, elle lui prit la main et monta à l’étage. L’escalier était droit, en deux palier à cause d’un angle. Elle ouvrit une porte blanche avec quelques cadre en bois fait à la défonceuse. C’était la chambre d’amis. Elle était sobre, spacieuse et rangée. On voyait qu’elle servait souvent par les touches de vie amené par les affaires personnel de Cinderella. Des livres, des sous-vêtements sur le bord du lit, une chaise qui accueillait chaudement quelques vêtements parfaitement plié, une brosse, un téléphone portable.
_Déshabille toi ! Non ! Laisse moi faire… se reprit-elle.
Elle posa l’arme sur la commode et tourna lentement autour de lui. Sa main venait d’abord en éclaireuse sur cette tenue avantageuse. Ses épaules, ses bras, son torse. Puis alors, elle sentit une curiosité au niveau de son téton gauche. Elle baissa un sourcil, étonnée. Elle passa lentement un doigts, juste un sous l’encolure de son col. Le tissus épousait parfaitement chaque partie de son corps. Elle tira doucement. Très élastique, la tenue s’enfilait simplement. Il suffisait de tirer et elle glissait le long de ce corps blanc et frêle. Elle tira jusqu’à laisser voir le début de cette fossette physique qu’elle admirait énormément, l’aine. Elle sourit en admirant le piercing qui lui souriait. Elle le titilla des doigts, plus agréablement surprise qu’elle ne cherchait à le flatter.
_T’en à d’autre des surprises comme ça ?
Elle entreprit de descendre encore la combinaison. Il ne portait que ça à son grand bonheur. Or, une chose arrêta tout son plaisir de défeuiller le jeune homme. Une main ferme se posa sur la sienne pour l’empêcher de descendre plus bas. Elle était frustré. Il l’avait stoppé dans son élan. Il était vrai qu’il n’allait pas se laisser faire aussi facilement, mais ça l’excita que bien plus. Elle lui attrapa le visage avec violence, enfonçant de beaux ongles blanc nacré dans ses joues.
_Plus tu me laissera faire, plus vite ça ira mon cœur…
Elle le poussa vers le lit et le força à s’allonger, appuyant de son pieds sur son épaule. Elle arriva ensuite à cheval sur lui, posant ses yeux dans les siens. Elle aimerait vraiment qu’il se calme et qu’il obéisse. Elle caressait doucement son torse, pensive, elle avait tant d’envie subitement, tant d’idée, qu’elle ne savait par quoi commencer. Elle sursauta d’une idée. Elle allégea le corps de Lukaz de son poids et se pencha sous le lit. Ah, mais où étaient passées ces cordes ? Il les avait bien mit quelques part par là. Elle tendit le bras, poussant quelques choses sans intérêt puis extirpa une boîte. C’était le coffre de la luxure. Il y avait tant d’accessoires, mais bizarrement pas de menotte. Elle les avait cassé. Elle sortit un paquet de cordes assez fines, un centimètre de diamètre. Il y en avait de toutes tailles. C’était à Kyung. Le bondage était son vice. Elle vint poser sa cuisse sur le bras de Lukaz qui avait un air inquiet. Elle noua fermement une corde à son poignet et pour qu’il résiste moins, elle serra sa virilité entre des doigts acérés. C’était si sensible. Elle put le remonter et l’attacher facilement au dessus de lit. Elle renouvela l’action pour le deuxième bras. Ainsi, il ne l’arrêterait plus ainsi. Elle ne s’inquiéta pas non plus de la force de Lukaz, il ne pourrait casser le cadre du lit et elle savait de quoi elle parlait.
Elle laissa ses ongles griffer légèrement le torse du jeune homme. Elle descendit lentement jusqu’à la combinaison encore trop agrippé à ses hanches. Le tissus noir dévoila avec une grande patience le corps entier du jeune homme. Quel beauté ! C’était comme un présent qu’elle déballait avec joie ! Elle ne cessait de se mordiller la lèvre d’excitation. Elle était comme une jeune fille avec une nouvelle poupée. Il était si fin, mais son corps était malgré tout sculpté de muscles raffinés. A force d’acrobaties et d’escalade pour s’infiltrer dans certaines maisons, il s’était battit un corps peu commun et si ravissant. Il avait une cicatrice sur l’épaule, ce qui amena bien plus de charme au jeune adulte. Elle appréciait bien mieux ce genre de physique authentique. Elle en avait assez des corps gonflés et halés comme celui de son mari. Ils étaient tous pareil, comme des clones. Là, elle admirait cette peau blanche, comme si des fleurs de coton avaient tissé son enveloppe. Alors que le fripon était venu volé sa maison, là entre ses mains c’était juste un petit agneau cabochard. Elle aimait ce dépaysement. Elle alait lui faire connaitre une expérience nouvelle. Elle entreprit de lui bander les yeux, non sans mal. C’était plus de la fierté vu la position dans laquelle il était et elle le savait. Elle n’avait rien à craindre, sinon, elle lui ferait vite comprendre qui était la maîtresse.
Elle fouilla ensuite dans sa boîte. Elle avait des objets aussi variés que nombreux, pour tout les vices. Elle sortit un sexto en forme d’haricot. Il avait la taille d’une noix. Elle le laissa vite ne faire plus qu’un avec le jeune homme. Elle avait bien sûr prit soin qu’il entre sans trop de difficulté. Avec une extrême nonchalance qu’elle l’enfila, après lui avoir relevé une jambe. Il résistait au début, mais une fois à l’intérieur, le jouet glissa tout seul et prit sa place. Les muscles de Lukaz s’était bandé sous sa main. Elle faillit presque se prendre un coup de pied contre les réactions un peu anxieuse du jeune homme. Elle s’allongea près de lui et embrassa sa joue, puis son cou, ses clavicules qui dessinaient de jolies ombres sur sa peau. Puis son torse et elle s’attarda sur son téton percé. Au début des baisers, ensuite quelques suçons, et ses dents vinrent rapidement chatouiller ce petit bout de chaire. Sa langue pimentait el tout et elle attrapa le bijou sur lequel elle tira juste assez pour une délicieuse douleur. Elle tendit l’oreille à l’affût du moindre soupire ou d’une respiration plus vive. Une main caressait son ventre et contournait avec friponnerie son nombril, puis flattait son pubis. L’autre appuya sur le bouton d’une petite télécommande. L’intrus qu’elle avait introduit dans le corps de Lukaz se mit à vibrer. Elle sentit la personne se raidir brièvement. Elle continua malgré tout de maltraiter avec de langoureux et fougueux baisers son téton décoré. Elle quitta le lit peu après s’être ennuyé de son bijou et descendit dans la cuisine. Elle augmentait de temps en temps la force de vibration du haricot, même occupée à remplir un seau avec des glaçon. Elle y plongea une bouteille de champagne et retourna à l’étage.
Au chambranle de la porte, Cinderella s’amusait à regarder le français se tortiller. Elle arrêta le haricot et posa le champagne sur al table de chevet. Le bruit du bouchon qui s’enfuit éclata dans la pièce, puis le chant des bulles suivit. Elle en but une gorgée et en versa dans le nombril du jeune homme avant de venir siroter le tout. Elle lécha ce qui avait perlé sur ses hanches. Elle en profita pour mordre cette chair tendre. Le glaçon fut sa nouvelle arme. Le corps de Lukaz comme le sien commençait à devenir chaud. Les lèvres furent les première à sentir la caresse glacée, son menton, son torse, son ventre, puis le vent froid finit son périple auprès du haricot qu’elle n’oublia pas de remettre en marche. La bouteille se vida encore un peu, mais sur le membre de Lukaz. Elle y joignit bientôt sa bouche pour sucer goulument ce vit aromatisé et relativement gâté par la nature. Cinderella commença avec quelques coups de langue, des baiser, puis elle le prit à deux mains et savoura le bout de son sexe comme si elle avait une sucette au champagne. Une fois bien en forme et fier, elle l’effleura du bout des lèvres et le mit entièrement en bouche, avec de vif va et vient. Elle sentait le sang pulser à travers la peau de sa virilité, contre sa langue. N’ayant plus de place pour ses mains, elle les laissa descendre légèrement plus bas pour massez ses bourses. Elle s’y donnait à cœur joie et le faisait avec ferveur. Elle voulait lui montrer à quel point elle pouvait lui faire n’importe quoi, même le pousser à gémir de plaisir alors que la situation ne s’y prêtait guère.
Elle s’arrêta progressivement et lentement. Elle se glissa tel un félin sur le corps de Lukaz et chercha ses lèvres. Elle lui fit quelques baiser, tentant d’établir un contact entre leur langue. Elle dénoua délicatement ses mains, le souffle court, excitée. Elle le redressa en position assise en lui grignotant le cou de baisers passionnés. Elle griffa son dos à en laisser quelques marques rouges. Elle mordilla le creux sensuel de son épaule, puis attrapa ses mains dans les siennes. Elle se caressa le cou avec, les seins, les hanches et l’intérieur des cuisses. Elle laissa un soupir déchiré le silence suave de la chambre. Sa peau était brûlante et de sentir les grandes mains de Lukaz sur elle, attisa son désir. Elle retira le bandeau qu’elle avait posé sur ses yeux. Sa main fine et blanche caressa son visage, puis ses cheveux avant de les serrer entre ses doigts et tira la tête blonde en arrière. Elle se cambra pour coller son bassin contre le sien et sentir cette virilité vibrante entre ses jambes. Ses yeux de biches étaient comme ombré d’un voile, celui du plaisir. Elle colla ses lèvres pulpeuses contre l’oreille du protagoniste puis chuchota dans un souffle.
_Déshabille moi… Lentement, très lentement et montre moi que tu me désires. Occupe toi de moi…
Elle se recula un petit peu et attendit que le jeune homme s’exécute. Elle prit ses mains qu’elle posa sur la ceinture de sa robe de chambre courte et en soie. En dessous, elle portait cette nuisette assortit, avec de la dentelle sur la poitrine et en bordure. Il ne restait qu’un string en voile avec une petite jupette en tulles, le tout dans les tons roses pâle. Elle se lécha le coin des lèvres. Il devait lui montrer qu’elle était une reine.
◊ Lukaz Le Guen ◊
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Sujet: Re: Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+] Mer 12 Jan - 0:49
Lukaz était figé sur place. Il n’osait vraiment plus bouger, comme si ça avait le pouvoir de le rendre invisible. Mais c’était peine perdue avec le petit soleil qui brillait sur le coffre, devant lui… Si quelqu’un ouvrait la porte, la lueur allait forcément l’alarmer et il serait pris la main dans le sac… En plus, comme un parfait crétin, il avait refermé la fenêtre derrière lui en entrant. Donc impossible de s’échapper par là avant que la propriétaire des lieux – puisque ça devait forcément être elle – n’entre. Décidément, qu’est-ce qu’il lui arrivait ces derniers temps ? Il s’était déjà fait avoir par ce psychopathe sur le toit, maintenant ici… Il devrait vraiment se ressaisir à l’avenir ! Mais pour l’heure, il avait des problèmes plus… immédiats. En effet, la porte basculait sur ses gonds et révélait une silhouette dont il percevait légèrement les contours, dans la pénombre du couloir.
Visiblement, il s’agissait bien d’une femme et elle semblait vêtue très légèrement, comme si elle avait été sur le point d’aller dormir. S’il avait été dans son état normal, Lukaz aurait pu noter tout un tas de petits détails, comme la robe de chambre ouverte qui laissait voir la nuisette ou sa belle poitrine découverte. Mais en l’occurrence là, son attention était davantage focalisée sur un autre élément : l’arme à feu qu’elle tenait à la main. Depuis qu’il s’était pris une balle de la part d’un fou sur le toit d’un immeuble, il se sentait assez mal à l’aise en présence d’une telle arme. La dernière fois, il avait pris un risque en tentant de s’enfuir et il avait fini blessé. Alors depuis, il s’était juré de ne plus jouer au malin. La lumière s’alluma enfin et la maîtresse de maison le prévint qu’elle était plutôt nerveuse ce soir-là… Dans ces conditions, un coup était si vite parti qu’il allait encore moins jouer au héros. S’il voulait sauver sa vie, le mieux était peut-être encore simplement d’écouter ce qu’elle avait à dire.
Mais pour le moment, la femme semblait être plutôt sûre d’elle. En effet, elle avait commencé à se rapprocher doucement, comme si elle était sûre que Lukaz ne ferait rien. Si elle avait été face à un type louche et dangereux, elle aurait vraiment pu le regretter… D’un autre côté, le Français était loin d’être un sportif accompli et il était encore plus loin d’en avoir la carrure. Donc même s’il l’avait voulu, il n’était pas sûr d’avoir facilement le dessus contre elle… Et comme elle avait l’avantage de l’arme. Lorsqu’enfin ils furent face à face, Lukaz put détailler plus amplement la jeune femme. Du moins, jusqu’à ce qu’elle le rende plus que perplexe en levant la main pour l’attraper par la gorge… Elle allait bien ou quoi ? C’était quoi encore que cette histoire ? Soit elle avait un sérieux problème mental, soit elle était aussi tarée que son mari… Ou peut-être juste qu’elle avait bien picolé ?
Puis, alors qu’il pensait qu’elle avait fini son numéro bizarre, elle le poussa doucement en arrière, jusqu’à ce qu’il heurte la bibliothèque. Qu’est-ce qu’elle cherchait ? Maintenant, il était vraiment coincé, ne pouvant plus s’échapper avec en plus une arme pointée sur lui, plus précisément sous son menton. Au moindre dérapage, elle lui faisait sauter la tête… Rien de très rassurant, mais c’était très convaincant pour qu’il évite de faire le moindre mouvement. Puis, sans qu’il ne s’y attende, elle lui arracha son passe-montagne, révélant son visage à la lumière, l’empoignant au passage pour le faire tourner sur lui-même en lui signifiant que maintenant, il venait d’être filmé… Parce qu’en plus, il y avait des caméras… Décidément. Pis, comme s’il allait tenter un truc dans sa position… Il essayait de garder une expression impassible sur le visage, mais il se doutait bien que son regard devait quand même briller d’une lueur de peur… Avec de la chance, elle ne le verrait pas, mais c’était sans doute un espoir vain. Si, comme il le pensait, elle avait bu, ça expliquerait aisément son absence de peur à elle… Et alors là, personne ne pouvait prédire ce qu’il se passerait.
Comme pour le surprendre une nouvelle fois, la femme plaqua Lukaz face contre le meuble, glissant par la même occasion ses doigts dans sa chevelure blonde. Et, comme pour lui montrer que c’était elle qui avait les choses en main, elle enfonça le canon de son arme entre ses vertèbres. Lukaz lui aurait bien fait savoir qu’il avait amplement compris, mais il aurait eu peur de la défier… Alors il se taisait, simplement. Mais il sentait que son attention était quelque peu dissipée. Peut-être qu’elle était simplement en train d’évaluer les dégâts qu’il avait pu provoquer… Elle n’allait pas aimer, pour sûr. Sans oublier qu’elle allait forcément voir son petit soleil… Et là, il n’y avait plus qu’à espérer qu’elle était différente de son mari. Comme si elle revenait à la réalité, elle lui fit faire volte-face et le plaqua à nouveau dos contre la bibliothèque, lui faisant en quelque sorte la morale sur sa folie et son inconscience. Lukaz aurait voulu lui dire qu’il savait déjà tout cela mais qu’il n’avait pas pour habitude de se faire prendre… Du moins, jusqu’à ce qu’il se rappelle qu’il était justement pris. Il la laissa débiter ses propos sans trop l’écouter, tentant de se calmer un peu par la même occasion. Visiblement, elle ne devait pas avoir grand-chose contre les mutants, sinon il serait sans doute déjà mort… Il avait donc peut-être bien une chance de s’en sortir en vie et entier.
Un peu perplexe quant à la suite, Lukaz observa la femme effectuer son manège. Elle reposa ses doigts autour de sa gorge avant de se mordiller la lèvre, plongée dans d’insondables pensées… Elle semblait être un peu perdue, mais il n’aurait su dire pourquoi. Avait-elle peur ? Ou peut-être qu’elle se demandait juste ce qu’elle allait faire de lui… A moins que ce ne fut encore autre chose. Un instant, elle sembla resserrer davantage son étreinte avant de se remettre à parler. Et les mots qu’elle prononça faisaient froid dans le dos… Devenir son pantin ? Qu’est-ce qu’elle allait encore inventer là ? Qu’allait-elle lui faire pour qu’il regrette ses actes… Il n’eut pas le temps de s’en demander plus… En effet, d’un seul coup, l’étau des doigts se desserra et la main se mit à glisser, doucement, vers le bas. Elle caressa son torse, passa sur ses cuisses et remonta vers son ventre avant d’effleurer, légèrement, son entre-jambe.
C’est alors qu’elle lui expliqua ce qu’elle attendait de lui. Il aurait tout ce qu’il était venu chercher, peut-être même plus, à une seule condition : il devait faire tout ce qu’elle lui disait. Visiblement, elle n’attendait pas de réponse de sa part et prit donc les devants, scellant cet accord muet par un baiser sur la joue. Avait-il seulement le choix ? Vu ce qu’il avait constaté pour le moment, elle ne pouvait pas attendre grand-chose de lui… Un peu de sexe contre des documents vitaux… Est-ce que ça en valait la peine ? Devait-il jouer le gigolo pour les obtenir sans souci ? Ses pensées furent coupées brutalement alors qu’elle le poussait au centre de la pièce avant de lui ordonner de sortir, tout en le suivant. A peine avaient-ils franchi la porte qu’elle lui attrapa la main pour l’entrainer à l’étage, dans une chambre qui n’était visiblement pas le nid conjugal mais qui n’avait rien d’une pièce délaissée. Est-ce que cette femme avait pour habitude de tromper son mari ? Ou est-ce que ça avait une autre signification ? Peut-être que ce type tordu ne voyait en elle qu’un bibelot et qu’elle se vengeait de cette manière, allez savoir… D’un autre côté, tout cela ne le concernait en rien. Chacun ses problèmes, comme il le pensait fréquemment.
Lukaz observa la pièce un petit moment avant d’être rappelé à la réalité par les propos de la femme. Ainsi donc, il ne s’était pas trompé sur ses intentions… Elle lui avait effectivement ordonné de se déshabiller avant de se reprendre pour dire qu’elle allait finalement le faire elle-même. Si ça lui faisait plaisir… Il la suivit du regard pour voir qu’elle posait l’arme sur une belle commode avant de se mettre à tourner autour de lui, doucement, comme une lionne qui a acculé sa proie… Ce qu’il était visiblement devenu. Elle laissa sa main se promener sur lui, explorant sa combinaison comme elle en avait envie. Ce n’était pas la première fois qu’il servait à satisfaire les plaisirs, alors il n’était plus choqué par ce genre de pratiques… Encore que… Une légère imperfection sembla la rendre perplexe… Lukaz se rendit alors compte qu’elle venait de sentir son piercing à travers le tissu et que ce dernier semblait l’intriguer. Elle entreprit alors de lui retirer sa tenue, glissant la combinaison jusqu’à découvrir totalement le haut de son corps, ce qui comprenait le petit anneau avec lequel elle commença à jouer… D’autres surprises du genre ? C’était bien possible, mais il n’allait pas y répondre. Il ne savait pas encore ce qui l’attendait vraiment et tant qu’il ne se sentirait pas plus en sécurité, il ne dévoilerait rien. D’un autre côté, elle allait vite s’en rendre compte par elle-même.
La combinaison descendit ensuite encore un peu, mais s’arrêta brutalement. Lukaz n’allait quand même pas se laisser faire comme ça. Il était bien sûr prêt pour des rapports physiques mais il ne fallait quand même pas le prendre pour un vulgaire jouet… Il y avait des limites à sa tolérance. Et visiblement, il y en avait aussi à celle de la femme. Elle ne devait pas avoir apprécié d’être ainsi stoppée dans son élan parce qu’elle lui attrapa le visage d’une main, violement, enfonçant ses ongles dans la peau pour marquer sa désapprobation en lui expliquant que son acceptation allait grandement faciliter les choses.
Lukaz n’eut toutefois pas le temps de marquer sa désapprobation verbalement qu’il fut catapulté sur le lit. Maintenu allongé de force, il tenta bien de se débattre, mais en vain, d’autant que sa geôlière s’installa à cheval sur lui, dardant son regard dans le sien. Du bout des doigts, elle caressait son torse, comme pour le calmer un peu, l’air pensive. Puis, sans crier gare, elle se leva à nouveau, se penchant sous le lit comme pour chercher quelque chose. A ce moment, Lukaz aurait eu tout loisir pour se lever et reprendre le dessus. La femme était désarmée et son attention était fixée ailleurs. Il aurait pu se servir de son pouvoir pour la menacer et fuir… Mais il y avait un souci, les caméras. Il avait été filmé et ne pouvait pas récupérer ces cassettes… A moins qu’il ne choisisse de rester ici en vrai jouet soumis… C’était ce qu’attendait cette femme et pour sa propre sécurité, il n’avait pas vraiment le choix. Il devait obéir… C’est ce qui expliquait que lorsque la femme remonta vers le lit, il était resté dans la même position, sans même chercher à esquisser un geste. Il vit alors ce qu’elle tenait en main : des cordes. Il eut un instant de panique en se rendant compte que ses seules chances de fuite venaient peut-être juste de disparaitre en fumée… S’il se laissait attacher, il deviendrait vraiment prisonnier, à sa merci. Et si elle en profitait alors pour appeler la police ? Si tout cela n’était qu’un stratagème risqué pour le livrer aux autorités ? C’était tordu, mais pas impossible. Que devait-il faire alors ? Partir et être repéré par la police quoi qu’il arrive ou rester et avoir une petite chance d’en sortir entier ? Le choix était vite fait quand on le voyait sous cet angle…
Lukaz regarda alors la femme s’approcher de lui et nouer l’extrémité de la corde à son poignet, sans qu’il n’esquisse le moindre geste. Elle la passa ensuite au-dessus du lit, en un système élaboré avant d’entraver le deuxième bras, immobilisant totalement le jeune Français sur son lit. Maintenant, il était entièrement prisonnier, soumis à ses moindres désirs. Une étrange situation pour lui qui avait l’habitude de prendre le dessus… Mais il n’y pouvait plus rien.
Alors que la jeune femme semblait admirer son corps, Lukaz ne put s’empêcher de sentir les ongles qui griffaient sa peau, y laissant de légères traces rouges qui s’estompaient rapidement. Au fur et à mesure que sa combinaison descendait, le révélant toujours plus, il se sentait comme un jouet qu’on déballait le soir de Noël… C’était étrange comme sensation… Mais pas autant que celle qui allait suivre. Quand il la vit arriver avec un bandeau, il tenta de se débattre. Entraver passait encore, mais aveugler, c’en était trop. Il ne pouvait pas l’accepter parce qu’alors, elle aurait vraiment pu faire n’importe quoi sans qu’il en ait même conscience. Mais d’un autre côté, dans sa situation, il pouvait difficilement lutter… Et c’est pour cela qu’il se retrouva plongé dans le noir à tenter d’écouter pour mieux percevoir. Mais c’était bien trop dur quand, comme lui, on n’en avait pas l’habitude…
Lukaz sentit que la femme s’éloignait un peu de lui avant d’entendre un étrange bruit, comme si quelqu’un fouillait une grande malle ou un coffre. Est-ce qu’elle cherchait de nouvelles cordes ? Ou un autre genre de jeu ? Il ne pouvait le deviner mais se doutait qu’il ne tarderait pas à le découvrir. Sans même le prévenir, la femme revint rapidement près de lui et souleva l’une de se jambes afin de lui faire découvrir l’usage de ce nouvel objet mystère en faisant en sorte qu’il ne fasse plus qu’un avec le jeune voleur. Lukaz ne put retenir un cri de surprise alors que cette espèce de petit œuf s’insinuait en lui, brisant rapidement une forme de résistance physique pour glisser doucement jusqu’à la place qui était la sienne. Tendu, le jeune prisonnier se laissa retomber sur le lit, comprenant facilement ce qui venait de se produire. Il n’avait pas besoin d’être un devin pour savoir à quoi allait servir ce jouet… Après tout, n’en avait-il pas déjà expérimenté ?
Alors qu’il reprenait doucement contenance, Lukaz sentit un corps s’allonger contre le sien juste avant que des lèvres avides ne viennent le dévorer partant d’un baiser sur sa joue avant de l’explorer avec voracité. D’abord le cou, si fin et blanc… Ensuite, le torse, svelte et élancé, orné d’un magnifique piercing si tentateur. Les lèvres s’y attardèrent pour jouer avec, l’embrassant délicatement avant de le suçoter puis de tirer dessus. Quand elle tirailla le bijou avec les dents, Lukaz ne put se retenir et laissa filer de longs gémissements tandis que sa respiration prenait un rythme plus haletant. La légère douleur diffuse que procurait ce traitement ne faisait qu’exciter son corps encore davantage et il adorait ça. D’autant que tout cela était agrémenté de délicieuses caresses sur le bas de son corps. Puis soudain, sans prévenir, le petit intrus qu’il avait accueilli se mit à vibrer en lui, le tendant tel un arc pendant quelques instants avant qu’il ne se laisse retomber, la respiration accélérée. Perdu dans ces délices corporels, il sentit à peine la femme quitter la pièce, bien trop pris à gémir et à se tortiller sous les vibrations, d’autant que ces dernières variaient d’un moment à l’autre, tantôt se calmant pour lui offrir un peu de répit, tantôt reprenant de plus bel en lui arrachant un délicieux petit cri de pur plaisir. S’il avait encore eu ses esprits, Lukaz aurait sans nul doute loué les qualités de cette femme. Elle savait ce qu’offrir du plaisir voulait dire… Mais de là à réussir à lui faire regretter quelque chose… Si c’était là sa punition, Lukaz reviendrait sans aucun doute possible la voler.
Ce fut avec un petit grognement de regret qu’il accueillit l’arrêt du petit intrus qui partageait son corps. Mais son attention fut aussitôt attirée par un bruit familier, une sorte de pop qui reflétait généralement l’ouverture d’une bouteille de champagne. Lukaz tenta de tendre l’oreille pour entendre le son du liquide versé dans un verre, mais il ne perçut rien… Il comprit aussitôt pourquoi quand il sentit un liquide frais se déverser sur son corps, emplissant son nombril de bulles pétillantes. Son visage arbora un délicieux sourire lorsqu’il sentit une langue venir s’amuser à boire le précieux alcool. Une fois de plus, cela ne dura guère et la femme le délaissa pour une nouvelle activité. Il chercha à savoir de quoi il s’agissait mais ses pensées furent interrompues par un baiser glacé. Qu’est-ce que c’était ? Un glaçon ? Visiblement oui, puisque l’objet glacé laissait un sillage humide sur son passage. Il glissa délicatement de ses lèvres à son menton, puis passa sur son torse et son ventre avant de contourner son mat dressé. Il finit enfin par s’enfouir profondément en lui, rejoignant l’étrange petit objet vibrant. Lukaz ne put retenir un petit cri alors que son corps se tendait sous la surprise de sentir le glaçon entrer en lui, doucement mais sûrement. Puis ce fut un long râle de plaisir qui s’échappa de sa gorge alors que les vibrations reprirent, heurtant le cube gelé par la même occasion, déversant un flot de sensations terriblement plaisantes en lui. Son corps tremblait véritablement de plaisir et Lukaz en venait même à aimer d’être ainsi soumis, lui habituellement de nature si dominatrice.
Ce plaisir fut encore accentué par le pétillant liquide qui vint copieusement arroser son membre dressé, membre qui disparut ensuite bien vite entre les pulpeuses lèvres de la riche demoiselle. Lukaz ne pouvant bénéficier du plaisir de le voir, il dut se concentrer sur les sensations qui parcouraient son corps. Les coups de langues mêlés aux baisers ne firent que durcir encore plus l’arme qui lui servait à satisfaire tant de monde, ce que put sans douter remarquer sa geôlière alors qu’elle s’en emparait des deux mains. Il eut même l’impression d’être devenu une sucette lorsqu’elle se mit à goûter goulument à son gland. Avec un tel traitement, Lukaz ne pouvait faire autrement que de se tortiller comme il le pouvait en gémissant d’une manière qui aurait fait fondre le plus gelé des glaçons. D’ailleurs, celui qu’il avait en lui fondait toujours plus à l’intérieur de son corps brûlant tout en s’écoulant par l’orifice par lequel il était entré. A moins que ce ne fut aussi en raison du petit agitateur qui finit par cesser ses inlassables vibrations.
Le jeune Français ne savait plus où donner de la tête avec toutes les sensations qui parcouraient son corps mais il pouvait certifier sans trop d’hésitations que la plus forte de toutes était celle qu’offrait la bouche de sa geôlière à sa virilité tendue. Il sentait avec un délice non feint tout ce que sa langue lui faisait subir, gémissant à chaque nouvelle caresse de cette dernière. Il était même persuadé que si elle n’y avait pas mit fin, il aurait pu atteindre facilement l’explosion de son plaisir dans un déluge blanc. Mais voilà, elle avait décidé d’arrêter… Toutefois, comme c’était pour se lancer dans un nouveau jeu, cela en valait sans nul doute la peine. La femme remonta lentement vers son visage en effleurant délicatement son corps jusqu’à sceller leurs lèvres ensemble, s’amusant à reproduire un étrange et fantastique ballet tout en partant à la recherche d’une langue espiègle. Lukaz y répondit sans faillir, cherchant à danser avec cette intruse, ne doutant pas que la femme remarquerait forcément le piercing qui ornait sa propre langue. Elle ne fit toutefois rien pour montrer qu’elle l’avait senti, mais profita de leurs échanges pour défaire les liens qui entravaient ses mains.
Lorsqu’elle tenta de le redresser afin qu’il se retrouve assis sur le lit, Lukaz se laissa faire, maintenant prêt à subir tout le courroux que cette femme lui réservait encore. Quand elle vint le mordiller dans le cou, il passa ses bras autour de sa taille, sentant sa geôlière faire de même, avant de le griffer légèrement. Puis, elle s’empara de ses mains afin de se caresser le corps avec, les glissant ça et là en signifiant le plaisir ressenti par d’agréables gémissements. Le jeune Français adorait sentir la douce peau sous ses doigts, comme il adorait sentir les courbes de ce corps… C’était un contact qui lui donnait très envie de prendre possession de ce corps. Maintenant. Mais il allait vraisemblablement devoir encore attendre… Un changement survint lorsqu’elle décida qu’il était enfin temps de lui rendre la vue. Lukaz vit donc le bandeau disparaître et dut cligner plusieurs fois des paupières pour s’habituer à la vive lueur de la pièce. Puis il tenta de poser son regard sur la charmante créature qui jouait avec lui mais n’eut le droit d’observer que le plafond… En effet, elle venait d’agripper ses cheveux pour tirer sa tête en arrière tout en se frottant contre lui. Lukaz sentit son membre dressé caresser l’intérieur des cuisses de la belle femme, ce qui ne fit qu’accroitre encore plus son désir. Il répondit ensuite avec passion au baiser qu’elle lui offrit avant de se sentir presque défaillir devant sa demande pleine de luxure et la manière dont elle avait été formulée.
La déshabiller ? Ah ça, il en était effectivement plus que temps… Quant à la désirer, c’était déjà le cas, mais il allait devoir le lui faire savoir. Lukaz la regarda s’écarter avec envie et la détailla du regard, chose qu’il n’avait pas encore vraiment pu faire depuis leur improbable rencontre. Elle portait une jolie nuisette ornée de dentelles cachée par une robe de chambre en soie. Bien entendu, de ce qu’il avait cru discerner, elle devait aussi porter un string, mais ce dernier était assez particulier car il s’agissait plutôt d’une petite jupette. Quoi qu’il en soit, il allait maintenant falloir lui retirer tout ça… S’approchant d’elle avec une grâce féline, Lukaz prit les mains de la jeune femme pour les écarter de la ceinture qu’elle tenait afin de les remplacer par les siennes. Il défit le nœud comme on le ferait d’un paquet cadeau et remonta ses doigts le long du doux et soyeux tissu. Arrivé au niveau des épaules, d’un mouvement calculé, il dépouilla sa geôlière de son vêtement en le faisant glisser le long de ses bras. Il en profita pour lui mordiller la nuque tout en amenant sa main jusqu’à sa cuisse maintenant dénudée afin de la caresser avec une certaine tendresse.
Plongeant son regard dans celui de la femme, Lukaz vint ensuite saisir les bretelles de sa nuisette. D’un bref mouvement, il les fit tomber sur les bras, entrainant par la même occasion la glissade du vêtement le long de son corps. Affichant un sourire gourmand tout en se léchant les lèvres, le jeune Français poussa sa partenaire en arrière de manière à l’allonger sur le lit. Il en profita pour finir de retirer la nuisette et l’envoya valser sur le sol de la pièce avec la robe de chambre. Puis, remontant le long de son corps, il vint l’embrasser avec passion, glissant sa langue ornée entre ses lèvres. Ses baisers glissèrent alors doucement dans le cou avant de descendre encore un peu, passant entre ses seins. Ils remontèrent d’ailleurs le long des pentes de l’un de ces monts de plaisir jusqu’à y trouver le petit bout de chair qu’il recherchait avidement. S’en emparant, Lukaz se mit à le suçoter avec plaisir, le mordillant par moment en tirant dessus avant de s’amuser à le caresser de la langue, frottant son piercing métallique dessus. Alors qu’il s’affairait à jouer avec, il sentit le petit objet se remettre en marche en lui, lui tirant un gémissement de plaisir étouffé avant de lui procurer d’agréables vibrations. Lorsqu’il en eut un peu marre, il se redressa pour admirer la femme dans son ensemble alors que le petit vibreur cessait une fois de plus de fonctionner. Il restait toutefois un détail qui gâchait tout.
Portant ses mains à sa taille, Lukaz ne mit guère longtemps à lui retirer son dernier vêtement, ce fameux string à jupette, l’envoyant rejoindre le reste de sa tenue au sol. Il révéla ainsi une intimité parfaitement nue, sans la moindre marque de pilosité. Ce n’était d’ailleurs pas pour lui déplaire. Approchant son visage de ces nouveaux territoires vierges – façon de parler, bien évidemment – Lukaz entama sa découverte par de furtifs coups de langue. Il put ainsi se rendre compte que le plaisir ressentit par la femme humidifiait déjà largement son intimité. Cela n’allait que lui simplifier la tâche. Alors que sa langue fit une pause dans ses caresses, Lukaz approcha sa main. Du bout du doigt, il se mit à chatouiller cette zone si sensible, s’amusant par moment à la pénétrer légèrement, avant de le retirer pour continuer ses caresses. Puis, prenant attention à ne pas lui faire mal, il introduisit son doigt dans son intimité, tout en douceur, ce qui se faisait aisément tant elle était naturellement lubrifiée. Visiblement cela ne déplut pas à la femme puisqu’elle décida de remettre le petit vibreur en marche, arrachant un léger mouvement de réaction à Lukaz. Remuant doucement son doigt, le Français y ajouta la langue, recommençant ses caresses buccales tout en gémissant suite aux mouvements du petit intrus qui tremblait en lui. Laissant son doigt poursuivre sa tâche, entrant et sortant de manière régulière du corps de sa geôlière, il remontant lentement vers son visage, déposant de rapides baisers tout du long. Puis, lorsqu’il atteint enfin sa cible, il l’embrassa passionnément, accélérant petit à petit les mouvements de va-et-vient de son doigt en elle.
◊ Cinderella Tennessee ◊
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Sujet: Re: Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+] Jeu 20 Jan - 12:34
A son grand plaisir, Cinderella retira ses mains alors que le petit blond les retira. Il voulait donc la déshabiller de A à Z. Parfait. Elle aimait ça. Il tira doucement sur la ceinture et fit glisser sa robes de chambre le long de ses bras. Le tissus était si léger qu’on avait l’impression qu’une brise venait lécher son corps. Elle l’observait avec plaisir, sentir ses yeux sur elle, ces mains qui voulaient la toucher, ce corps chaud qui la désirait. Elle ne savait plus s’il jouait le jeu ou si c’était sincère, mais elle s’en moquait, il se débrouillait si bien. Il savait s’y faire. Il n’hésitait pas. Avait-il plus d’expérience qu’elle le pensait ? Quel grande surprise si c’était le cas. Elle n’avait pas le temps de vraiment réfléchir, les dents de Lukaz venait lui mordiller le cou, puis cette main, chaude et douce sur sa cuisse. Elle retint un soupire, dont on ne pouvait qu’entendre simplement un souffle suave. Il ne perdit pas de temps pour retirer le reste. Il posait un regard embué de plaisir sur elle, admiratif. Elle en profita pour lui voler un rapide baiser, du bout des lèvres juste avant qu’il ne l’allonge sur le lit. Elle se laissa faire. Bientôt, elle sentit la fraîcheur de la chambre la recouvrir. Il avait glisser tout le long de ses jambes fines et aux cuisses pulpeuses. Elle l’aida en repliant ces deux membres sensuels. Bientôt la nuisette n’était plus là, au sol, avec le reste des vêtements.
Elle avait passé ses bras autour de son cou quand il vint jouer avec son piercing contre ses lèvres garnies. Il revint dévorer son cou avidement, elle resserra un peu plus l’étreinte de ses bras autour de lui, puis un bras glissa pour lui laisser tout le plaisir de sa caresser sa chevelure blond, tout en gémissant légèrement dans le creux de son oreille. Mais il continua sa route, ne comptant pas prendre racine dans son cou, puis arriva sur sa poitrine. Elle bomba légèrement celle-ci à cause des sensations coquines qu’il lui procurait. Vraiment, le bijoux au téton n’était qu’un avant-goût. Elle remercia le ciel d’avoir un jeune homme dont la langue était un de ses meilleurs outils de caresse, lui aussi surmonté d’un bijou. Bizarrement, elle en avait connu des hommes, comme des femmes, mais elle n’avait jamais eu la chance d’avoir une expérience avec quelqu’un de percé à la langue. C’était un de ses fantasmes qu’elle venait de réaliser, sans parler de celui-ci qu’elle venait de découvrir. Voulant lui partager tout son plaisir alors qu’il s’occupait d’elle, elle n’oublia pas d’utilisé le petit haricot vibrant. Elle avait mit la puissance à fond et l’arrêta. Elle le relancerait sûrement plus tard.
Ce n’était pas finit. Ce n’en fut pas assez de la bercer dans un incommensurable désir. Il montait en puissance. Son string était fait par une créatrice de renom : une petite jupette transparente qui donnait du raffinement à un simple sous-vêtement. Il quitta bientôt ses hanches, la laissant complètement nue. Il ne lui permit pas d’avoir froid. Les préliminaires qu’il entreprit désormais ne fit que la rendre brûlante. Elle s’enflammait d’un plaisir non feint. Elle put découvrir les prouesse de sa langue pimenté de métal chirurgical. Elle allait et venait, mutine, sur son intimité. Sa respiration sifflait de joie. Alors, à son dessein, il amena ses doigts. Il savait marié les deux avec délice. Elle se cambrait et tortillait de plaisir. Elle retenait de moins en moins ses gémissements. La température commençait à monter dans la chambre. Elle se caressait le ventre, se griffait les cuisses et venait de temps en temps masser la tête blonde qui s’occupait d’elle avec dextérité. Elle apprécia grandement sa coopération, son obéissance. Bien sûr, elle était relativement attirante et avait su lui donné l’envie. Il était bien facile de faire ce qu’elle lui avait demandé. Elle souhaita quand même le remercier.
Avec une grande souplesse dû à son passé de danseuse, elle posa son pied sur l’épaule de Lukaz et le fit doucement reculer. Elle le redressa, l’obligeant à se mette en position assise. La pression de sa jambe et son regard avait suffit à faire comprendre ses attentions au jeune. Il était comme une petite marionnette. Elle se mit à genoux, l’embrassa et descendit son visage vers son membre dressé. Elle reprit des caresses sur ce vit qu’elle avait méchamment abandonné. Toujours coquine, elle jouait avec les sensations. On efleure, on chatouille, avec la main, la langue, les lèvres, sa poitrine. Puis, elle fut plus fougueuses quand sentit qu’il s’impatientait à connaitre la pure nature d’un bon coït. Son mouvement de tête se fit rapide, la bouche serrée. Ses deux mains ne chômaient pas. Une massait ses bourses et l’autre accompagnait des « baisers » plein de passion. Elle sentait au fur et à mesure, les pulsations du membres s’accélérer. Le sang parcourait son sexe avec tant d’ardeur. Il allait venir. Elle le savait. Elle avait assez d’expérience pour savoir quand un homme allait jouir et lâcher tout son foutre. Elle ne perdit pas une miette de ce petit lait, remerciant sa langue de tant d’effort. Elle se releva doucement, massant des cuisses encore contracté par l’explosion de désir qu’elle venait de lui offrir.
Des petits baisers tendres sur son ventre laissait à Lukaz le temps de reprendre des forces. Elle l’allongea avec délicatesse sur le ventre. Elle entreprit un massage du dos, dénouant tout ses muscles. Il était raide et bientôt son corps s’adoucit. Elle flatta ses fesses du bout des doigts, pour continuer de soulager le blondinet. Le jeune corps se soulevait avec force. Elle souriait. Il était si beau à cet instant, légèrement épuisé par ses caresse. Elle rafraîchit le jeune homme avec un glaçon qu’elle baladait sur les fines courbes de son dos, ses reins. Le petit sursauta l’amusa. Puis doucement, elle posa ses mains sur ses épaules et le fit rouler en mordillant le lobe de son oreille, le suçotant même. Elle se mit à cheval sur lui et jeta ses cheveux en arrière avec grâce. Ces boucles ébène finissait par la gêner.
Elle passa d’abord ses mains sur le torse du jeune homme, continuant à débander tout ses muscles tétaniser par le plaisir. Elle ne cessait de sourire. Un baiser sur ses lèvres, tout juste volé, un long suçon dans le cou, d’autre baisers qui menait jusqu’à son téton percé quel lécha encore. Elle aimait sentir ce bout de chair chaud avec ce bijou froid et dur. Puis ses ongles vinrent doucement excité la peau de son ventre. Elle sentait déjà le corps se tendre. Elle commença quelques mouvement de va et vient pour réveiller à nouveau un membre qui s’était assez reposé à son goût. Pour accélérer le processus, elle dut malgré tout s’arrêter. Elle tourna ici et là, sa tête à la recherche de son courroux. La télécommande noir était plus bas, vers le genoux de Lukaz. Elle se pencha, se cambrant assez pour faire une forte pression de son bassin sur l’entre jambe du blond. Elle lui fit un clin d’œil et secouant la télécommande et appuya sur le bouton. D’abord léger et elle tourna la roulette pour augmenter la puissance. Elle se mordit la lèvre et jeta le maitresse du haricot à l’autre bout de la chambre. Les vibrations ne s’arrêteront pas de si tôt. Elle continua les mouvements de frottement tout en se caressant elle-même son corps rayonnant de courbes sensuelles.
Enfin, oui, enfin elle sentit toute la virilité du jeune homme gonfler à nouveau entre ses cuisses brulantes. Elle se releva juste un peu pour pouvoir s’empaler comme une vilaine conquêtes de Vlad. Elle le laissa entrer en elle tout doucement, le laissant se frayer un chemin dans son con humide. Sa bouche laissa s’échapper un long soupir. Elle se cambra autant qu’elle le put, les mains prenant appui sur le torse finement musclé de Lukaz. Elle resta un moment sans bouger, juste apprécier cet étranger en elle. Doucement, elle dansa au dessus de Lukaz. D’abord lentement, des mouvement légèrement circulaire. Elle s’accrocha ensuite au dessus de lit quand ses mouvements furent plus rapides. Le plaisir et l’effort entrecoupait sa respiration et les gémissement ne l’aidait pas. Elle avait des frissons, des papillonnement dans le bas ventre, l’esprit qui se perdait avec Eros. Ca montait, toujours plus haut. Elle vit vite les signes, des mains qui se resserrèrent sur ses hanches, le sexe vibrant de Lukaz, son souffle. Elle releva le torse du jeune homme pour sentir son corps chaud et collant de plaisir. Elle contracta les muscles de son bassin, la tête dans son cou. Elle continua ses mouvement plus saccadé, brusques et intenses avec l’aide du français. Elle recommença à mordiller son épaule, et griffait son dos. Elle aurait aimé soupirer son nom si elle le connaissait. Elle renforça l’étreinte quand enfin elle se mit à jouir. Tout son corps s’était crispé de l’excellente sensation de deux corps remplis d’une joie charnelle.
Toute son excitation s’évanouit peu à peu. Les muscles de Cinderella se délièrent doucement le temps que Lukaz puisse lui aussi trouver cette magnifique sensation qui venait de la traverser. Quand enfin, leur deuxième round prit fin, la jeune femme se laissa glisser sur le lit, s’allongeant délicatement à côté de Lukaz. Elle se recouvrit légèrement avec le draps et ferma les yeux. Elle voulait profiter encore un peu des derniers songes qui l’enivrait. Elle revint vite dans le monde réelle et lui tapota le torse.
_60 ; 15 ; 40 ; 61. Le code du coffre. Et y’a un acte de naissance… Une fille, Jody, gêne mutant, morte née… Enfin ce qui est écrit sur le rapport. Il la tué. Vas prendre ce dont tu as besoin. Pour les caméra, je le ferai j’ai qu’une parole. Mais je le ferai une fois que tu seras partit… Tu ne peux que me faire confiance…
Elle s’allongea sur le dos et s’étira, le draps glissant presque par-dessus sa poitrine. Il s’arrêta juste à la limite de ses tétons. Elle le rattrapa avant qu’il parte en quête de ses affaires. Elle lui fit une petite moue.
_Je peux te demander une dernière faveur. Tu peux refaire la petite source de lumière de tout à l’heure et éteindre la lampe en passant… S’il te plait …
Elle avait trouver ce petit astre si apaisant, si joli qu’elle aimerait le revoir. Il souhaitait que cette petite étoile la suivent dans ses rêves, juste avant qu’elle ne s’endorme. Quelle soirée ! Elle ne risquait pas de l’oublier et beaucoup moins qu’elle ne le pensait. Si elle savait que, déjà, son ovule avait accueillit un pète en lui et le processus de l’évolution s’activait à créer un petit fœtus. Oui, elle allait être enceinte de ce charmant étranger blond qui avait tenté de voler des informations à propos de son mari. Ne bougeant pas du lit, elle attendait avec espoir que le jeune homme lui donnerait encore une fois ce qu’elle souhaitait. Elle aurait tout le temps de supprimer les vidéos après une bonne douche. Elle le regarda une dernière fois, avec un petit sourire. Ah les jeunes avait vraiment ce petit quelque chose qu'elle ne trouvait pas chez ses conquêtes habituelles.
◊ Lukaz Le Guen ◊
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Sujet: Re: Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+] Jeu 27 Jan - 22:29
Lukaz commençait à doucement oublier les raisons qui l’avaient conduit dans cette chambre à coucher, à savoir une hypothétique manière de le punir. En effet, en quoi aurait-il pu voir une punition dans le traitement qu’il subissait ? Ou plutôt, qu’il avait subi puisque maintenant, c’était lui qui tenait les rênes. Et dans cette optique, il poursuivait ses attouchements et ses caresses avec toujours plus d’assiduité, du moins jusqu’à ce que la maîtresse des lieux ne vienne lui faire comprendre qu’elle prévoyait autre chose pour la suite. Repliant sa jambe, elle vint poser son pied sur l’épaule du jeune homme dans le but de le faire reculer pour pouvoir se relever et ce n’est qu’à contrecœur que Lukaz s’écarta. Il s’assit sur le lit, juste à côté de sa geôlière, attendant qu’elle ne lui signifie ce dont elle avait maintenant envie. Ce qu’elle ne tarda pas à faire, le faisant s’asseoir dans une position qui lui semblait plus appropriée et dont le Français comprit rapidement le but.
L’idée de ce qui l’attendait ne pouvait que le stimuler davantage, même s’il se faisait toujours l’impression de n’être qu’un jouet entre ses mains, une jolie poupée ou une petite marionnette. Ces idées s’évaporèrent toutefois grâce au baiser dont il fut gratifié, tendre et fugitive caresse qui le ramena à la réalité. Il put ainsi se reconcentrer sur l’instant présent, posant ses yeux embués de plaisir sur le corps de cette tentatrice. Quant à elle, elle reporta sa propre attention sur le membre érigé de plaisir de son jeune prisonnier. Dans le but de le punir comme elle l’avait déclaré en s’emparant de sa liberté, elle se mit à le torturer en caressant l’objet de son plaisir avec un intérêt non dissimulé et une véritable expérience. Un sourire mutin sur les lèvres, elle commença par l’effleurer du bout des doigts, provoquant de délicieuses sensations en lui. Puis, sans qu’il ne s’y attende, Lukaz sentit que ces agréables caresses devenaient doucement des chatouillis joueurs, nouvelles sensations qui ne pouvaient que l’exciter encore un petit peu plus. Au fil du jeu, les mains laissèrent place aux baisers fiévreux de ses lèvres gourmandes et à la dextérité de sa langue agile et mutine. Mais, comme si cela ne suffisait pas, elle montra un talent encore plus grand dans ce que l’on appelle si familièrement la branlette espagnole. En effet, se servant de sa belle poitrine pour offrir un moment sans pareil à Lukaz, elle faillit le conduire jusqu’aux portes du Paradis Blanc.
Par chance, elle sut quand s’arrêter et attendit un bref instant avant de reprendre de plus belle son acte, avalant avec gourmandise le membre dressé du jeune Français. Les lèvres serrées, elle goûtait l’objet de son attention avec une rapidité qui reflétait grandement leur état émotionnel, mais ce n’était pas pour déplaire au jeune homme, bien au contraire. Il appréciait autant la fellation en elle-même que les massages qu’une des mains de la femme offrait à ses bourses. Lukaz sentait le sang battre en lui, simultanément aux pulsations de son cœur si rapide et il sut percevoir que le moment de la délivrance était proche. Glissant sa main dans les cheveux de sa geôlière, il dégagea délicatement son visage avant de lui caresser la tête, lui imprimant de légers mouvements pour intensifier les caresses buccales. Puis ce fut l’heure de la délivrance. Dans un râle de plaisir, Lukaz se laissa venir, libérant sa blanche et crémeuse semence entre les lèvres closes de la femme qui l’avalait à grande gorgée, semblant y prendre grand plaisir. D’un coup de langue, elle nettoya consciencieusement son beau prisonnier dans une dernière formalité avant de se relever doucement.
Lukaz se laissa aller sur le dos, s’allongeant délicatement pour récupérer de ce qu’il venait de donner. Certes, ce n’était pas grand-chose, mais physiquement ça se ressentait quand même. Toutefois, quelques minutes lui suffiraient amplement pour repartir de plus belle. A ce niveau là, le jeune homme était des plus performants et il pouvait enchaîner une nuit de sexe sans trop de difficultés. Pour l’heure, il lui fallait seulement une petite pause. Visiblement, la femme était accoutumée à ce genre de chose puisqu’elle ne chercha pas à le relancer directement. Au contraire, elle gratifia son ventre blanc de petits baisers délicats avant de le tourner face contre le lit. Enfouissant son visage dans les draps parfumés, Lukaz soupira de plaisir en sentant les mains glisser sur son dos pour dénouer ses muscles en d’agréables mouvements calculés. Doucement, le massage le détendit, apaisant son corps en déliant les tensions qui pouvaient encore l’habiter. Le Français se laissait aller et c’était un véritable régal pour lui. Délicatement, du bout des doigts, sa geôlière vint caresser ses belles fesses rondes et fermes, provoquant en lui de délicieux frissons. Ces derniers ne furent qu’accentués quand un glaçon vint se poser dans son dos, entre ses omoplates. Suivant les courbes douces de son corps, le cube gelé glissa sur lui, l’explorant sans hésitation, laissant un sillon humide qui dressait les poils de sa peau.
Les sensations disparurent d’elles-mêmes alors que la femme retirait le glaçon pour attraper Lukaz par les épaules afin de le faire basculer sur le dos. Tout en s’amusant à lui mordiller le lobe de l’oreille, elle vint s’installer à cheval sur lui, avant de rejeter ses cheveux en arrière d’un mouvement gracieux et ample. De là, elle put caresser son torse avant de venir l’embrasser, légèrement, comme si son baiser tentait d’imiter le vol du papillon. Quand elle s’engouffra dans son cou, le marquant comme étant sien d’un long suçon, Lukaz se laissa aller en fermant les yeux, glissant ses mains sur les cuisses de la jeune femme. Il la caressait doucement tandis qu’elle couvrait son corps de doux baisers qui la guidèrent finalement jusqu’à son téton percé qui semblait tant l’intriguer. Là, elle se mit à jouer avec le petit objet métallique, torturant par la même occasion de plaisir le jeune homme allongé sous elle. Sa punition se mua ensuite en une stimulation qui visait à l’exciter par de tendres griffures sur son ventre. Cela fonctionna particulièrement bien, ce que Lukaz manifesta en tendant son corps jusqu’à presser sa virilité entre les cuisses de sa geôlière. Celle-ci s’empara dudit membre, effectuant d’habiles mouvements dessus dans le but d’y ramener la vie.
Les yeux toujours clos, Lukaz savourait délicieusement toutes les sensations dont elle le gratifiait. C’est pourquoi il laissa échapper un râle de mécontentement quand il sentit les doigts de la belle femme lâcher son membre en si bonne voie. Pourquoi le laissait-elle tomber comme ça ? Il n’eut pas le temps de penser qu’un éventuel problème pouvait se pointer à l’horizon, l’esprit bien trop embrumé par la situation, mais il allait quand même ouvrir les yeux pour voir ce qu’il se passait. Là non plus, il n’en eut pas la possibilité, parce qu’alors que ses paupières allaient révéler ses magnifiques yeux bleus, le petit intrus qui squattait encore son corps se remit en marche en lui arrachant un petit cri de surprise, aiguë, mais parfaitement représentatif de ce qu’il pouvait ressentir en cet instant. Ouvrant ses yeux, une expression d’extase sur le visage, Lukaz eut juste le temps de percevoir le clin d’œil de la femme avant qu’elle ne fasse lentement tourner la molette de son jouet vibreur. Celui-ci se mit à osciller de plus en plus vite à l’intérieur du corps du jeune Français, lui arrachant de multiples gémissements alors que ses yeux s’agrandissaient de surprise en voyant la télécommande voler à travers la pièce, le forçant à subir cette si agréable torture encore un bon moment. Doucement, son membre se remit à durcir face à l’effort combiné du haricot sauteur et des frottements que sa geôlière appliquait sur cette partie de son corps.
Lorsque la vie revint totalement dans son corps, Lukaz se sentit plus en forme que jamais. Si sa geôlière ne s’était pas trouvée ainsi à cheval sur lui, nul doute que son membre dressé aurait été le parfait représentant de cette nouvelle vitalité. Mais étant donné la situation, ce dernier se trouvait dissimulé sous le corps brûlant de la femme, palpitant fortement entre ses cuisses. Elle finit toutefois par se redresser, permettant à cette oriflamme du plaisir de pointer vers les cieux, avant de s’empaler sur elle. Lukaz se sentit glisser en elle, la douce chaleur humide de son con lui tirant un soupir de contentement. Il la vit ensuite se cambrer, posant ses mains sur son torse pour y prendre appui et pourtant, elle ne bougea pas, gardant la pose comme pour apprécier sa présence en elle. De son côté, il était difficile pour le Français de rester immobile avec le petit intrus qui faisait tout pour qu’il remue son bassin, mouvements qui se transmettaient forcément au lien raidi qui les unissait. Puis, l’immobilité laissa place à une danse érotique, la jeune femme faisant remuer son corps dans de grands mouvements circulaires. Gémissant et se cambrant sous les effets du vibreur, Lukaz prenait son pied comme rarement auparavant, alors que ses mains caressaient les jambes de sa magnifique geôlière et qu’il sentait son membre tendu palpiter en elle. Levant ses bras, elle saisit les barres supérieures du lit pour accélérer encore davantage ses mouvements, chevauchant son jeune prisonnier comme s’il avait été un magnifique étalon des terres sauvages de l’Ouest. Sous ses doigts, Lukaz sentait que sa partenaire de jeu était aussi chaude et brûlante que lui, son corps parcouru de frissons au contact de l’air qui semblait frais, de par le contraste des températures. Son souffle s’accélérait alors qu’il se cambrait, soulevant le bassin en rythme pour explorer toujours plus profondément ce corps qui sautait sur lui dans une danse sauvage et si enivrante. Dans un mouvement, la femme le tira vers elle. Il était tout en sueur, frissonnant de plaisir. Passant ses bras autour de ce corps si désirable, il enfouit son visage entre ses seins, gémissant comme jamais personne ne l’avait fait gémir jusque là. C’en était presque au point que les sensations parcourant son corps lui faisaient oublier le haricot vibreur. Relevant le visage, il vint la mordiller dans le cou, posant ses mains sur ses hanches dans le but de la faire sauter davantage sur lui. Il lâcha un pur gémissement de plaisir au creux de son oreille quand il sentit les dents de la femme mordiller son épaule alors que ses ongles marquaient son dos de longues traces rouges. Puis, soudain, tout son corps se raidit alors qu’elle s’accrochait encore plus fermement à lui. Lukaz crut comprendre que c’était le moment le plus intense de son plaisir à elle, mais lui n’y était pas encore. Il ne tarda toutefois pas à la rejoindre dans la jouissance, libérant en elle un flot de semence avant de se laisser retomber sur le lit, le souffle rapide et le cœur palpitant.
Tentant de reprendre son souffle, Lukaz regarda sa partenaire d’une nuit quitter sa présence pour s’allonger sur le lit, juste à côté de lui. Elle se recouvra d’un drap pour lutter contre la fraicheur nocturne, maintenant que leurs corps revenaient doucement à un rythme normal. Il en aurait fait autant s’il n’avait pas été encore troublé par un petit intrus : le haricot vibreur. Il fallait dire que ce dernier n’allait pas s’arrêter tout seul et comme la télécommande avait été envoyée de l’autre côté de la pièce… De plus, il aurait été très difficile de le retirer sans le stopper avant. Il allait donc devoir se déplacer s’il voulait retrouver un semblant de normalité. Poussant un soupir presque agacé, Lukaz se leva du lit et se dirigea vers le bout de la pièce en direction duquel la télécommande était partie. Toutefois, à mi-chemin, un état de faiblesse le traversa et il s’effondra au sol. En raison de ce qu’il avait donné et de ce petit jouet qui lui avait fait tant de bien, il était en effet plutôt épuisé. A genoux au milieu de la pièce, le jeune Français tenta de se relever, mais il dut se rendre à l’évidence, ce n’était pas pour tout de suite. Le vibreur commençait à lui couper les jambes… S’il voulait pouvoir espérer se relever, il allait devoir le stopper. Mais pour ça, il devait d’abord continuer à se déplacer… Quelle vie quand même ! Se tournant vers le lit, Lukaz put constater que la femme avait un petit rire amusé et une expression… attendrie ? Visiblement, elle devait s’amuser de voir son jouet dans cet état… Et comme il n’était plus à ça prêt maintenant… Le jeune homme se mit donc à quatre pattes pour avancer doucement vers la télécommande. Les vibrations qui continuaient le faisaient parfois chanceler, mais il parvint quand même à retrouver le petit boitier. S’affalant de tout son long sur le parquet clair et froid, Lukaz mit fin à ces lancinants mouvements qui commençaient à l’énerver petit à petit. Il resta ainsi le temps de reprendre un peu contenance, du moins s’il pouvait encore après avoir offert un tel spectacle. Puis, se relevant, il revint lentement vers le lit avant de retirer le haricot et de s’allonger, enfin libre.
Après un temps impossible à déterminer pour Lukaz, il sentit la main de sa geôlière lui tapoter le torse. Tournant son visage vers elle, il eut droit à sa libération. Et avec elle, la combinaison du coffre et la certitude que les caméras seraient effacées. Lui faire confiance sur ce point… Ce n’était pas évident mais en même temps, après ce qu’il venait de se passer, il n’avait plus trop de raisons d’en douter. Il comprit aussi que cette phrase signifiait qu’il devait partir. Il était encore assez fatigué mais il n’avait guère le choix. Prenant encore quelques secondes pour lui, Lukaz finit par se redresser et se lever. Il regarda la femme avec un petit sourire et s’apprêta à partir, avant d’être stoppé net pour une toute petite demande… Elle voulait un soleil comme celui qu’elle avait vu dans le bureau. Ce n’était pas grand-chose après ce qu’elle lui avait donné. S’accroupissant devant le lit, le jeune homme lui tendit la main. Doucement, en y portant attention, on pouvait voir une petite boule de lumière blanche y naître, comme en lévitation. Puis, cette sphère se mit à grandir, lentement, jusqu’à devenir un peu plus grosse qu’une balle de ping-pong. Quant à sa couleur, elle oscillait entre le blanc pur et lumineux et le jaune solaire. Souriant encore autant, Lukaz vint la poser sur la table de chevet. S’il avait voulu, il aurait pu la faire exploser… Mais il n’avait aucun intérêt pour cela. En la laissant là, elle viendrait à se dissiper toute seule, d’ici quelques heures. Il n’y aurait alors plus qu’à passer un coup de balais. Par contre, il valait mieux évier de la toucher, sous peine de se brûler.
Se dirigeant vers l’entrée de la pièce, Lukaz renfila sa combinaison avant de ramasser toutes ses affaires. Il posa une dernière fois son regard sur la femme qui lui avait offert tant de plaisir avant de franchir le seuil et de refermer la porte derrière lui. Mystérieuse rencontre que voilà. Il ne lui avait pas parlé une seule fois… Elle ne connaissait de lui que son visage et son corps, certes, dans la plus profonde intimité. Rien de plus, rien de moins. Traversant le couloir, le jeune Français dévala l’escalier pour rejoindre le bureau par lequel il était rentré dans la maison. Préférant éviter d’attirer le courroux de sa compagne d’une nuit, il réfréna ses envies et ne partit pas explorer le reste de la maison comme il en avait d’abord eu le projet. S’approchant du coffre non dissimulé, Lukaz fit rouler les molettes pour y entrer le code qu’elle lui avait confié et c’est avec un sourire qu’il vit la porte s’ouvrir. Ne prenant guère le temps de tout étudier, il s’empara de tous les documents présents. De toute façon, Salvatore lui avait bien spécifié de ne pas cacher son forfait, alors inutile de s’embêter. Se relevant, le voleur jeta un dernier coup d’œil au bureau avant de s’emparer aussi d’un disque dur externe qui y était posé. Tant qu’à faire, ça pouvait toujours intéresser oncle Sal’. Et sinon, ça finirait chez un revendeur quelconque contre une petite somme d’argent. Ramassant le soleil qu’il avait créé à son arrivée, Lukaz le dissipa et s’apprêta à partir quand une pensée traversa son esprit un peu fatigué. Il réfléchit un moment et finit par faire volte-face. Faisant apparaître un nouveau soleil dans sa main, il le jeta sur le coffre dans le but de le faire en partie exploser. En effet, vu la manière dont il l’avait ouvert, le propriétaire de la maison aurait pu en venir à soupçonner sa femme et ça, Lukaz ne le voulait pas. Il ne pensa toutefois pas un seul instant aux caméras de sécurité… Après tout, si les films disparaissaient, elle finirait bien par être suspecte aussi…
Fier de sa nuit, le jeune voleur quitta la maison par la même fenêtre par laquelle il était entré. C’était une mission des plus réussies quand on y regardait de plus près. Il repartait avec les documents que son patron voulait, ce qui voulait dire qu’il serait une fois de plus bien payé, mais à cela il fallait ajouter une petite partie de sport en chambre des plus agréables. Bien entendu, le but avoué de tout cela avait été de le punir et il fallait dire que comme Lukaz était un très vilain garçon, il tenait rarement compte des remontrances qu’on lui infligeait. Ou alors, il fallait s’y prendre à de multiples et nombreuses reprises… Cela voulait donc dire qu’il devrait revenir ici au moins une fois de plus, histoire de se voir donner une nouvelle punition. Et pourquoi pas quelque chose de plus fort encore, en passant au stade supérieur pour que ça rentre bien ? Cette simple idée le fit sourire alors qu’il franchissait le muret qui délimitait le terrain de la maison. Mais ce sourire se serait bien vite dissipé s’il avait su quelles conséquences cette nuit aurait pour eux… Lui-même ne l’apprendrait peut-être jamais. Mais quant à cette femme dont il ne connaissait même pas le nom, elle finirait bien vite par le savoir. Et dans neuf mois…
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Cambriolage nocturne... et plus si affinité ! [18+]
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