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Marek I. Hopkins

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Marek I. Hopkins Vide
MessageSujet: Marek I. Hopkins Marek I. Hopkins EmptyDim 19 Sep - 11:20

» Informations de Base
"Rien ne devrait recevoir un nom, de peur que ce nom même ne le transforme"

Marek I. Hopkins 2f06q0k
● Nom : Hopkins
● Prénoms : Marek, Indiana
● Sexe : Masculin
● Âge : 35 Ans
● Origine Génétique : Mutant
● Origine Géographique : Américain
● Métier : Aucun
● Date de Naissance : 15 Décembre 1989
● Orientation : Marek l'ignore lui-même, il n'a jamais porté d'importance à ce détail, il a eut des "relations" intimes avec des femmes, mais n'a jamais réellement cherché de ce coté.
● Lieu de Naissance : Las Vegas, Nevada, États-Unis, Amérique

» Informations des Groupes
"Il y a quelque chose de plus grand pourtant que d'appartenir au monde, c'est de s'appartenir à soi-même"
● Groupe : Mutants Hostiles
● Raisons : Quoi de plus naturel de rejoindre le groupe des hostiles lorsqu’on est comme moi ? Les gens de ce groupe comprennent tous ce qui est positif dans la vie, ils ne sont pas comme les autres mutants ou humains qui ne comprennent pas la véritable essence de la vie, à savoir faire souffrir les autres. Je ne me considère néanmoins pas comme quelqu’un faisant partit du ‘groupe’, je ne suis que recenser parmi eux parce que je n’entre dans aucune catégorie, mais les autres hostiles me semblent de bien pâles figures à coté de moi. Certes je ne m’estime pas comme une personne parfaite, je suis simplement quelqu’un d’exceptionnel et les autres personnes ne comprennent pas exactement la véritable nature de l’hostilité. Il faut être méchant pour l’être, pour faire souffrir les autres, et non pour le faire croire. Tuer l’autre ne sert à rien, j’exècre les armes à feu, les armes blanches permettent de faire souffrir l’autre, alors que les balles tuent directement. Pour moi la souffrance est un véritable art dont il faut saisir les subtilité. Malheureusement de nos jours, la souffrance n’est plus que très peu utilisée, je regrette de constater que mes soi-disant, compagnons de groupe sont totalement incapables de faire honneur à cet art…. Mais je n’ai pas d’inquiétudes, je me fait fort de penser que je pourrais sans aucune peine me charger de remettre ces personnes à leur place en testant sur eux mes dernières découvertes en la matière. Le groupe des mutants hostiles n’est qu’une couverture, à mes yeux pouvoir souffrir et faire souffrir sont les seuls intérêts que cette maigre terre peut m’apporter.

● Pouvoir(s) : Absorption de l'énergie psychique
● Description : L’absorption de l’énergie psychique n’est pas spécialement difficile à comprendre. J’ai la capacité très simpliste – mais mortellement efficace - de pouvoir ôter tous les souvenirs et les sentiments positifs de l’esprit des autres personnes, mutantes ou humaines. Nul besoin de toucher ma cible pour pouvoir faire fonctionner mon don, me situer dans une zone de six mètres autour d’elle suffit amplement. Bien entendu, proportionnellement, le pouvoir sera moins efficace suivant la distance à laquelle je me trouve, ainsi donc, je privilégie généralement le toucher. Une simple caresse, une poignée de main, une tape sur l’épaule, n’importe quoi, un simple prétexte de ce genre me suffit à propager le poison dans l’esprit. Je suis aussi fort aise de constater que mon pouvoir me permet de faire souffrir silencieusement mes victimes, généralement j’aime ôter petit à petit souvenir après souvenir, lentement jusqu'à plonger l'autre personne dans une abîme de tristesse et de solitude. Bien évidemment, il arrive aussi que certaines personnes n’aient pas vraiment de souvenirs joyeux, tout comme moi, ou alors encore des personnes qui sont tout simplement trop égoïstes pour me donner le plaisir de les rendre encore plus malheureuses. Je suis donc contrains de me contenter de quelques bribes de souvenirs, mais personne ne peut nier avoir de bons souvenirs, il existe tout de même une joie. La joie d’avoir manger un bon plat, la joie de faire souffrir les autres, la joie du malheur des autres, chaque forme de plaisir est différente, mais il y en a pour chaque personne. Mon don est donc plus où moins efficace, mais personne ne saura s’y soustraire, même si cela me prendra un peu de temps pour deviner exactement comment agir sur chaque personne….

Je peux visionner certains souvenirs, uniquement lorsqu’ils sont liés à un sentiment de bonheur suprême, mais je ne prends pas cette peine généralement. En effet, il se trouve que les sentiments heureux m’agacent trop et me dégoûtent à un point que je ne peux même pas les imaginer. Par conséquent, je ne décide pas souvent de visionner certains souvenirs, et lorsque je le fait, ce n’est pas de gaieté de cœur. Néanmoins, les souvenirs ‘possible à visionner sont plutôt rares, et je ne m’en occupe donc pas plus que cela. De plus, ma capacité à stocker les souvenirs m’empêcher de pouvoir emmagasiner trop de souvenirs. Je peux prendre la décision de conserver les souvenirs de certaines cibles pendant quelques temps, et même lorsqu’elles sont en dehors de mon champ de vision, je peux avoir le plaisir de les priver de leur joie. Mais après 48 heures, les souvenirs quittent automatiquement mon esprit pour regagner celui de leur propriétaire légal, et je ne garde par conséquent aucune trace de ces moments, à moins d’en avoir posé une trace écrite lorsque j’étais encore en possession de ces informations.

Avec le temps, mon pouvoir a évolué. J'ai découvert que les souvenirs volés ou empruntés pouvaient rester plus longtemps en moi, près d'une semaine si je le désirais, et après ce délais, il me restait quelques bribes de souvenirs si je me concentrais assez pour les imprimer dans ma mémoire. J'ai aussi découvert extraordinaire capacité de supprimer définitivement des souvenirs de l'esprit d'une personne, transformant cette dernière en légume vivant. Mon don s'est aussi étendu sur un autre domaine que je n'explorais jamais avant, la capacité de pouvoir transmettre ou plus exactement faire visionner des souvenirs dérobés, à une autre personne, par un simple contact physique avec elle. En résumé, mon pouvoir a évolué en puissance et s'est étendu à d'autres domaines, m'offrant désormais la possibilité de fouiller tous les souvenirs d'une personne afin d'y trouver ce que je cherchais.
Marek I. Hopkins 2ptw9k3


» Informations Descriptives
"Le roman est l'art de créer un homme, la biographie l'art de le ressusciter"

Marek I. Hopkins 2f06q0k
● Description Mentale : Le mental, c’est la seule force que je puisse considérer comme étant quelque chose de positif. Je me sers de ce don que la nature a jugé utile de me donner pour pouvoir inculquer les valeurs que j’ai aux autres. Malheureusement, trop souvent ma vision des choses est perçue comme quelque chose de négatif, mes élèves ne comprennent pas que je procède de la sorte pour leur bien. Je pense notamment aux personnes à qui je fais passer le test et qui subissent mon don. Elles sont rarement redevables à la fin, en réalité j’ai tout simplement constaté qu’elles ne l’étaient jamais. Pourtant je mets tous mes talents à leur service, je fais tout mon possible pour pouvoir leur faire comprendre les véritables intérêts de la souffrance, je leur fais la démonstration sur eux, sur moi, sur d’autres personnes, et pourtant même à ce moment, ils ne comprennent rien. Je suis quelqu’un de très simple, je me nourris simplement de la souffrance et des sentiments négatifs que les gens peuvent ressentir, que demander de plus ? Les autres êtres vivants sont trop compliqués, les humains ou les mutants, cela revient du pareil au même ! Dans ce monde ils font tous tout un foin pour expliquer que le fameux gène qui donnerait les pouvoirs à son possesseur soit aussi en partie responsable du fait que les mutants ne soient pas égaux aux humains. Pour moi, toutes les races humaines sont pareilles. J’ai déjà formé des humains et des mutants à la souffrance, ils ont tous agis pareils, ils étaient tous terrorisés, et une fois privés de leurs bons souvenirs, ils ont tous malheureusement perdu l’esprit au moment phare de la formation. Le sang des humains est semblable à celui des mutants, à mes yeux par conséquent, les mutants ne changent strictement pas des humains, ils sont tous pareils et sont tous placés au stade de cibles potentielles dans mon esprit. Certains plus que d’autres simplement, mais je ne me base pas sur leurs origines pour les choisir.

Mon envie d’aider les autres est extrêmement forte, malheureusement, comme je le remarque trop souvent, les personnes que j’aide ne me comprennent pas. Je veux les aider à mieux comprendre la souffrance, pouvoir comprendre ce point revient à cerner tout le plaisir que l’on peut en tirer. Pour pouvoir faire souffrir convenablement l’autre, on doit comprendre pleinement le fonctionnement de la douleur, chaque fibre de notre corps doit y avoir goûter et frémir d’envie à l’idée de pouvoir ressentir à nouveau cette douleur. La souffrance est comparable à l’adrénaline, elle devient une drogue après quelques temps, elle devient un besoin, et moi je ne peux plus m’en passer, donner de la souffrance à quelqu’un revient à donner de la passion et une chose que l’on aime par-dessus tout aux autres, c’est un acte d’une infinie tendresse, un acte de dévotion, mais malheureusement, mes élèves ne comprennent pas cette vision. Rien ne m’horripile plus que de les entendre me supplier de les laisser partir, de mettre en avant leur famille, leurs enfants, leurs parents, ils me coupent toute l’envie que j’ai de les aider à découvrir ce sentiment et cette plénitude, ils éveillent en moi des sentiments bien pires, et je n’aime pas les tuer rapidement, ce n’est pas ce que j’ai appris. Pouvoir faire tirer la souffrance en longueur, leur ôter petit à petit chaque sentiment de bien-être, rien ne me rends plus heureux, et ils me gâchent ce plaisir en me suppliant. J’attends une chose… Oui, à la sortie de leur formation, j’attends qu’ils renaissent et me remercient de ce que j’ai fait pour eux, qu’ils comprennent la chance que je leur ai donné, le nouveau départ, mais c’est peine perdue, je n’ai pas encore trouvé celui ou celle qui saisira la subtilité de l’art de la souffrance, autant la ressentir que la donner.

Je ne peux faire confiance aux autres personnes, je ne me fais que confiance à moi, il est stupide d’imaginer que je puisse une fois dans ma vie espérer pouvoir me confier à quelqu’un. Et quand bien même cette possibilité stupide se présenterait devant moi, je n’en aurais aucune envie, souffrir mentalement décuple mes capacités, je ne peux pas confier à quelqu’un, quelque chose qui me fait du bien non ? Je redoute bien entendu la trahison des autres, alors quel meilleur moyen pour éviter la trahison que de ne faire confiance à personne ? Aucune, par conséquent, même si quelqu’un désire me porter son aide, j’accepterais le temps de découvrir suffisamment de choses sur lui pour pouvoir le faire souffrir au maximum, je ne tolère pas les amitiés ou les sentiments de cet acabit, je ne vis que pour la souffrance, autant la donner que la ressentir, il serait donc stupide de perdre vainement des heures à essayer de faire autre chose. Je suis un maître dans l’art de la souffrance, un Léonard de la douleur, un Raphaël de la torture physique et mentale, il serait donc triste et inutile de gâcher mes talents. Dans le temps les bourreaux étaient vus comme des personnes à éviter, pourtant dieu sait à quel point je les admire ! Ils représentent l’art de la souffrance et l’envie de posséder autant de connaissances me taraude depuis longtemps, je fais donc de mon mieux afin de me hisser à leur hauteur.

J’occupe donc mon temps à la recherche de mes futurs élèves, puis à la mise en place de leur formation. Je ne me contente pas de me servir de mon don pour les former, je fais de mon maximum pour me servir de mes outils de travail, à savoir des armes blanches, pour marquer leur corps afin qu’ils ne puissent jamais oublier ce qu’est réellement la souffrance, et ce qu’ils doivent ressentir en voyant leurs cicatrices. J’ai donc pris tout mon temps d’internement à l’asile pour pouvoir améliorer mes connaissances en médecine, savoir que veine devait être tranchée pour faire souffrir lentement, quel point était sensible, que le cuir chevelu cédait à telle pression, des choses tellement intéressantes que je peux rarement m’en passer ! Rien ne vaut une pause devant un décor macabre à lire un chapitre des traités des maladies rares et des points sensibles de l’organisme. Il m’arrive, lorsque j’en ai l’envie, de préparer la formation d’une cible très longtemps à l’avance, par conséquent je lui concocte un petit jeu auquel elle devra participer sous peine de mourir. Bien entendu, ce genre de petite surprise demande beaucoup de préparation et beaucoup de moyens, et je ne peux donc pas très souvent prendre le plaisir de réaliser mes fantasmes. Néanmoins je ne tue jamais de mes mains, je ne suis pas qualifiable de tueur. Je laisse le choix aux gens de choisir s’ils veulent mourir ou non, mais jamais je ne prendrais moi-même cette décision, je leur donnerais simplement les cartes de leur vie entre leurs mains. Ils peuvent me remercier, car s’ils survivent, ils ne voient jamais plus la vie sous le même angle, et ils profitent réellement des bonnes choses qu’ils ont, comme ça n’aurait pas été le cas s’ils avaient continué leur vie dénuée de sens. En résumé, je ne suis pas narcissique lorsque j’estime être quelqu’un dont l’humanité pourrait difficile se passer…
● Taille :
Au niveau de ma silhouette, nous dirons que je m’en sors plutôt bien ! Je ne prends pas particulièrement soin de ma personne pour avoir l’air d’un Don Juan, mais je sais que les victimes potentielles ont pour habitudes de porter plus de confiance aux personnes d’apparence soignée ou séduisante. Par conséquent, nous dirons que je me débrouille pour rester en forme, par là j’entends être capable de soutenir l’allure d’une course rapide si je devais poursuivre quelqu’un, ou pouvoir lutter sans problème contre des personnes dotées d’une force physique certaine. J’ai donc une silhouette qu’on peut qualifier de ‘sportive’, 1m80 environ bien que cela ne représente rien de réellement important à mes yeux. Encore une fois, j’agis de cette manière dans le simple but de pouvoir plus facilement aborder mes victimes, même si je dois avouer qu’à mon grand plaisir, je me sers rarement des atouts dont la nature m’a doté, préférant attaquer directement avec mon pouvoir.
● Poids :
Ni trop gros, ni trop maigre, je suis d'allure sportive et je me sens plutôt bien dans mon corps. Ne dépassant pas les 80 kilos, j'entretiens ma forme de manière à être toujours présentable, et à ne pas me faire distancer si jamais je devais venir à poursuivre une de mes cibles.
● Cheveux :
Des cheveux bruns savamment désordonnés agrémentés de quelques mèches rebelles qui donnent un petit plus selon la plupart des femmes, un bouc et une moustache qui dessinent plus la forme de ma mâchoire, et une application à rester présentable.
● Yeux :
Je possède des yeux d’ébènes qui reflètent généralement la folie qui m’habite en permanence. Il faut avouer que j’ai don certain pour transformer mon regard, pouvant sans peine lui donner un air affligé à souhait, mais je ne cache que très rarement mes pensées profondes, et mes pupilles reflètent donc en permanence une expression de folie qui vient des tréfonds de mon esprit.
● Style vestimentaire :
Du point de vu vestimentaire, j’affectionne particulièrement les tenues agréables à porter et d’une qualité certaine. Les costumes m’allant plutôt bien, j’ai souvent le plaisir d’en revêtir lorsqu’il m’arrive de sortir pour essayer de trouver des personnes plus intéressantes que les gens que j’ai l’habitude de croiser dans la rue, mais je n’ai aucune peine pour emprunter de temps en temps des tenues plus… ‘naturelles’. Par là j’entends l’attitude d’un homme de mon âge qui serait père de famille, et aurait toutes les caractéristiques d’une personne aussi déplaisante de cette âge ! Malheureusement pour mes victimes, cette comparaison s’arrête là, il est hors de question de mon montrer aimable pour autant. Je m’adapte donc extrêmement facilement à toutes les tenues, et je sais comment attirer l’attention sur moi lorsque je vise une personne en particulier, il est donc impossible de qualifier mon apparence plus précisément.
● Particularités :
Ma particularité ? Je crois que j’aurais du mal à m’en trouver une autre que mon don de savoir faire souffrir les autres. Après je pourrais aussi citer les ‘troubles psychotiques’ comme les médecins le prétextaient, mais je ne juge pas ça particulièrement intéressant ! Je pourrais aussi parler de ma facilité à pouvoir me camoufler, mais la principale particularité doit être le fait que je sois éventuellement couturé de cicatrices, et que je possède un plaisir certain pour en acquérir de nouvelles. Une touche d’originalité figure néanmoins sur mon visage, et je me plait à penser qu’elle attire autant la curiosité que l’effarement, voir même le dégoût de certaines personnes. Il arrive que cette cicatrice provoque la pitié de certains qui se voient obligés de se montrer aimables avec moi, les sots, ils comprennent rapidement leur erreur ! Cette particularité étant simplement un sourire de l’ange, vieux de plusieurs dizaines d’années, mais dont les cicatrices sont toujours aussi voyantes. Le sourire s’étend jusqu’à au-delà du centre de mes joues, et bien que recousues à temps, les plaies ont été très voyantes. Il faut avouer en effet, que malheureusement je ne disposais pas d’un matériel de bonne qualité, et que le rasoir dont je me suis servis pour cela, n’était pas très aiguisé. Il fallut donc que je m’y reprenne à plusieurs fois, mais le sourire reste potable, bien que légèrement plus étendu que je ne l’avais prévu au début !
● Points Forts :
Extrait du Rapport du Docteur Johanson, Psychiatre à l’Asile St Hélène :

« La capacité à communiquer avec certains patients que le patient 279 semble posséder est très impressionnante, même pour les autres médecins de l’hôpital et moi-même. Plusieurs fois, nous avons surprit le patient 279 en compagnie d’autres patients jugés comme inadaptés, et qu’il conversait avec eux de manière tout à fait normale, si l’on occultait les paroles qu’il utilisait bien entendu. Le patient 279 semble doté d’un charme qui peut toucher la plupart des personnes, personnel y comprit. Nous avons déjà frôlé la catastrophe lorsqu’il a réussi à convaincre une infirmière de l’hôpital de son état ‘tout à fait normal’ et à la pousser à l’aider à sortir d’ici. Nous savons donc de source sûre à présent que le patient 279 peut manipuler les autres à la perfection pour les amener à faire ce qu’il désire. Malheureusement, il possède aussi un don certain pour faire souffrir les autres, et à notre grand regret il semble prendre particulièrement de plaisir à exceller dans cet ‘art’ comme il a l’habitude de…. »
● Points Faibles :
Extrait du Rapport du Docteur Hayes, Psychiatre à l’Asile St Hélène :

« Le patient 279 présente des troubles psychotiques graves, principalement un comportement passif/agressif doublé d’une sociopathie en développement qui l’empêche de ressentir les sentiments des autres. De part ce manque, il ne peut clairement pas interrompre ses ‘apprentissages’ comme il les appelle, qui consistent à torturer d’autres personnes. Nous avons remarqué que cela n’agit pas sur les animaux. Le patient 279 souffre donc d’un grave manquement qui peut le rendre totalement inapte lorsqu’il est en présence d’une personne qui possède trop de ‘bons souvenirs’. Nous avons en effet remarqué que le patient 279 avait tendance à provoquer la déprime des gens qui l’entoure, et par conséquent, lorsqu’il arrive que certains autres patients possèdent trop de pensées positives, nous avons la surprise de constater qu’elles rendent le patient 279 totalement perdu et dans une position de grande faiblesse, que son coté trop sûr de lui a du mal à supporter. La capacité à…. »
● Aime :
Un de mes plaisirs personnels reste celui de pouvoir lire l’horreur sur le visage des personnes que je vais torturer lorsque je leur montre les cicatrices sur mon corps. Généralement, j’ai pour habitude de leur faire une démonstration de mes talents avant de les mettre à l’œuvre sur eux, par conséquent, mon corps est recouvert de plusieurs scarifications qui servaient à démontrer à mes victimes, ce qu’elles allaient avoir la chance de subir. Mes bras, mes poignets, ma gorge, tout mon corps est entièrement marqué, mais cela ne se voit pas toujours au premier regard, et généralement les gens imaginent que mes blessures sont dues à des attaques de malfrats sur ma personne, et les autres ignorent totalement que je suis le seul responsable de tout cela. Le plus grand plaisir reste malgré tout de lire l’horreur sur leur visage au moment où ils comprennent qui je suis réellement, et non qui je veux leur faire croire…
● Déteste :
Les gens en général, tout en les aimant pour les tortures que je leur fais. Je déteste plus que tout les gens incapables de comprendre la souffrance, incapables de pouvoir en profiter, incapables de savoir ce qu'ils ratent. Dans l'ensemble, je déteste toutes les choses 'normales', les animaux, les enfants, l'amour,...
● Peurs :
La peur ? C'est une chose que je ne connais pas spécialement, plutôt 'inquiétude'. Je serais bien embêté de ne pas pouvoir apprendre à plus de personnes ce que je dispense si bien, mais dans l'ensemble, je n'ai pas de peurs mi à part le fait de ne plus éprouver de souffrance, et d'être heureux....
● Rêves :
Des rêves... Mon rêve se trouve simplement être de pouvoir montrer au monde entier de quoi le mutants et plus précisément la souffrance est capable.


» Informations Générales
"La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme"
● Histoire : Un plafond blanc, les bips réguliers et familiers des machines qui me retiennent en vie, un sentiment familier en enivrant de douleur lancinante, la gorge en feu…. Je m’éveille comme d’un rêve, il y a quelques secondes j’étais dans ma chambre dans l’asile, et désormais je me trouve ailleurs, allongé sans pouvoir bouger, les yeux fixés au plafond. Un hôpital, encore…. ? J’aime les hôpitaux, il y a des pensées négatives partout autour, les gens souffrent, les gens meurent après de longues années de douleurs, c’est le paradis sur terre, mais malheureusement je n’ai pas trop l’occasion d’en profiter pour le moment. Un bruit de porte, une voix aiguë et désagréable, une vague de parfum à la framboise, je déteste cette odeur, elle est trop sucrée, trop enfantine…. Une silhouette se dessine à mes cotés, je n’ai pas envie de la regarder mais une touffe de cheveux blonds apparaît dans mon champ de vision, et des paroles se font entendre, violentes et fortes comme si j’étais encore endormi, c’est désagréable, je n’aime pas.

« Monsieur Carmichael ? Vous êtes réveillé ? Je vais pouvoir contrôler comment vous allez, on peut dire que vous avez eu de la chance ! »

Non je ne suis pas éveillé, je m’amuse à regarder le plafond les yeux ouverts parce que je dors, je déteste ce genre de femme, on dirait un pot de peinture, elle n’a aucune beauté extérieure et pourtant je suis sûr que tous les hommes lui courent après. Avec un sourire de l’ange et les paupières cousues, elle le serait d’avantage à mes yeux. La jeune femme s’affaire, prenant mon pouls, regardant si je suis ‘en bonne forme’, puis après quelques minutes elle ressort, me laissant seul, allongé sur ce lit à ne pas savoir quoi faire. J’essaye d’ouvrir la bouche mais une vive douleur se fait ressentir dans ma gorge, quelque chose de familier mais d’étrangement agréable, une bonne surprise après cet éveil dans l’hôpital ! La nature m’a gâté visiblement. Les secondes passèrent, j’essaye de bouger mais je remarque que mes bras son sanglés au lit, quel dommage, certainement une précaution que l’hôpital a du prendre suite aux conseils d’un des charmants médecins de l’asile, et après ils disent qu’ils font ça pour notre bien ! Je suis donc contraint de rester allongé à attendre, une heure, deux heures, puis quelqu’un arrive enfin, un homme, en blouse blanche comme toujours. Son nom est inscrit sur sa blouse, le docteur Laurent Hoffmann, une chose insignifiante pour le moment, mais qui pourrait se révéler plus intéressante dans quelques temps, lorsque je serais dehors. Le médecin me regarde quelques temps, échange des mots avec son assistant, je vois la poupée blonde qui était là avant juste derrière lui. Elle me regarde avec un sourire et m’adresse un signe de la main en formant des mots avec ses lèvres ‘ne vous inquiétez pas’, je crois. De quoi est-ce qu’elle se mêle ? Je peux m’inquiéter si je le veux, mais pourtant je ne fais ni ne dis rien, elle verra bien par la suite. Le docteur finit par s’avancer vers le lit pour me regarder dans les yeux avec sa froideur professionnelle, et de prendre la parole d’un ton professionnel.

« Monsieur Carmichael, vous êtes dans le service des urgences de l’hôpital principal d’Achaea, vous avez été victime d’une agression par un autre pensionnaire à l’hôpital psychiatrique. Ce pensionnaire vous a entaillé la jugulaire, nous avons du opérer d’urgence pour éviter que vous ne vous vidiez de votre sang. Vous ne pouvez pas parler pour le moment, il faut que vous attendiez quelques semaines avant d’y arriver, vous allez rester ici en observation quelques jours avant d’être rapatrié dans votre chambre à l’hôpital Sainte Hélène. En attendant je vous demanderais de ne pas trop bouger pour permettre la cicatrisation rapide. »

Le médecin me salua d’un air professionnel avant de se détourner pour s’en aller. Une blessure à la gorge, un autre pensionnaire ? Aussitôt les souvenirs me virent à l’esprit, bien entendu, je m’en souvenais à présent, un autre ‘malade’ de l’asile avait jugé utile de montrer de quoi il était capable avec un scalpel qu’il avait trouvé quelque part. Bien évidemment je n’avais pas pus m’empêcher de vouloir tester sa confiance en lui, et je lui avais proposé un jeu. Qu’il essaye de me trancher la gorge, et je reviendrais ensuite pour lui faire pareillement, on verrait qui est-ce qui pourrait survivre, tout était une question de mental à mes yeux. Je devais donc faire mon possible pour m’occuper de ma part du jeu, il ne restait plus qu’à retourner à l’hôpital pour m’occuper de l’autre partie ! Mais ce ne fut pas pour tout de suite, la douleur que je ressentais en bougeant était bien trop agréable pour pouvoir m’en passer à présent, je restai donc allongé quelques temps, l’infirmière qui s’occupait de moi et me parlait comme si j’étais son ami. Elle me faisait comprendre qu’elle me trouvait charmant et que je n’étais pas comme on disait, que je n’avais rien à voir avec les racontars des médecins qui me traitaient de fou, et que les informations avaient tords de me peindre comme un skyzophrène dangereux. Elle me plaisait bien, je voyais en elle le billet de sortie qui me permettrait de m’en aller enfin de cet endroit pour aller remplir ma part du contrat, et pourquoi pas en profiter pour faire plaisir à quelques autres personnes de l’extérieur en leur inculquant mes idées ?

L’idée avait germé, et quelques jours après, alors que la demoiselle passait pour son contrôle habituel, elle m’annonça que c’était bientôt le moment de rentrer à l’asile, dans moins de trois jours je devais y retourner. Son visage affichait un air désespéré et elle me demanda si je désirais quelque chose. Ressentant alors le moment que j’attendais depuis longtemps, je hochai la tête avant de répondre d’un ton enroué et encore très difficilement compréhensible en raison de la blessure toujours présente. Je lui dis simplement qu’elle pouvait m’aider à sortir quelques jours le temps de profiter un peu de la liberté, et de me laisser retourner ensuite à l’hôpital psychiatrique pour continuer mes soins. La demoiselle sembla touchée par le fait que je veuille me faire soigner, et après une hésitation illustrée par sa manière de se mordre la lèvre inférieure, elle accepta finalement, et se détourna pour disparaître sans rien ajouter. Le soir arriva, et la jeune femme revint d’un air naturel, puis après ses contrôles habituels, elle m’expliqua qu’elle allait me faire sortir le lendemain soir. Elle s’occupait de droguer les gardes qui surveillaient ma chambre comme j’étais considéré comme dangereux, et qu’elle me permettrait de sortir du bâtiment, puis qu’elle m’amènerait chez elle pour me mettre à l’abri pendant quelques jours. J’acquiesça et attendit donc simplement le lendemain sans rien dire, sans rien faire, espérant simplement que tout fonctionnerait comme prévu.

Le lendemain, à 23h23, l’infirmière entra dans ma chambre, puis détacha mes poignets avant de m’aider à me redresser, et me tendit des affaires qu’elle avait empruntées chez son frère visiblement. Après que je me sois habillé, elle me conduisit dans les couloirs, je vis les gardes endormis sur leurs chaises, puis nous traversâmes sans problème le bâtiment jusqu’à la porte de secours ou elle avait garé sa voiture. A partir de là, nous nous installâmes dedans, puis elle démarra pour se diriger vers chez elle. Après une dizaine de minutes de route je lui demandai de s’arrêter sur le coté quelques instants, prétextant de ne pas me sentir bien, et je sortis de la voiture en mimant un malaise. Immédiatement la demoiselle accourut pour m’aider, et à partir de là, tout fut simple. Je touchai son bras pour lui ôter tous ses bons souvenirs, et ses yeux bleus pétillants se vidèrent de leur espoir. J’enchaînai rapidement, traînant la demoiselle derrière moi pour la mener sous les arbres en bordure de route, et l’allongeai là avant de revenir vers la voiture ou je farfouilla avant de trouver ce que je cherchais, une trousse de secours. J’attrapa le scalpel qui se trouvait dedans, avant de revenir vers la jeune femme pour lui parler doucement sur un ton aimable et presque tendre. Je lui expliquai que j’allais lui faire comprendre que la souffrance était une bonne chose, et à partir de là, tout s’enchaîna. Je me souviens de chaque moment, chaque bribe de mon corps qui frissonnait de plaisir lorsque ses yeux s’agrandir lorsqu’elle comprit qu’elle s’était trompée sur mon sujet et qu’elle venait de me libérer. Le chemin de retour se fit dans la voiture de la demoiselle, je me dirigeais simplement vers l’asile Sainte Hélène afin de remplir ma part du marché. Bien entendu, je n’étais pas stupide, il était donc hors de question d’entrer et de tuer l’autre pensionnaire comme ça, je m’arrêtai donc quelques dizaines de kilomètres avant, attendant simplement le moment qui serait parfait pour me permettre de réussir mon jeu. Cela prit trois mois, je m’étais installé dans une sorte de squat pour les clochards soudainement et étrangement déserté avec mon arrivé, puis je sentis mon heure arriver lorsque j’appris par des sources que j’avais, que le responsable de ma cicatrice était libéré après avoir été ‘soigné’.

Une semaine après dans la page des faits divers, tout comme pour la jolie infirmière, un article parut en narrant un crime odieux, cela d’un homme fraîchement libéré d’un asile qui avait été torturé, mais pas à mort. Non, à la grande surprise des enquêteurs il s’était suicidé en s’ouvrant la gorge à un tel point qu’il avait manqué d’entamer les os de son cou, du jamais vu ! Ce fut raconté par quelques journaux durant une semaine puis l’histoire tomba dans l’oubli, tout comme ma fuite de l’asile. Durant les mois qui suivirent, le corps d’un médecin du service des urgences de l’hôpital, un dénommé Laurent Hoffmann, fut retrouvé, ainsi que celui de son assistant et de deux policiers tous suicidés après de lourdes tortures. Mais aucun lien ne fut fait entre tous les morts, et la recherche de l’évadé de l’asile fut toujours aussi inefficace, puis finit par tomber dans l’oubli.

C’était il y a exactement 10 ans, ma véritable naissance, ce fut lorsque je m’éveillai dans cet hôpital après avoir comprit que la véritable vie commençait après avoir frôlé la mort comme je l’avais fait. Toute ma famille fut oubliée après cela, j’oubliai mon nom de famille pour emprunter celui d’un autre et me refaire une identité, faisant de mon mieux pour mettre mes désirs en action, faisant comprendre aux autres ce que c’était réellement, la renaissance après la mort. Mon mode opératoire est très simple, je laisse le choix de la vie ou de la mort, la mort est lente mais moins douloureuse, pour survivre il faut de battre et souffrir, souvent les lâches préfèrent la mort à la vie s’il faut souffrir. Je n’ai jamais tué directement, je me sers de mon don pour mettre leur vie entre leurs mains, rien de plus. Je suis seul, je vis avec mes armes rien de plus, j’ai gardé sur moi depuis 10 ans les mêmes instruments, ceux de ma vision du monde, et personne ne saura m’empêcher de réaliser ce que je veux. Je ne désespère pas de trouver un jour quelqu’un qui saura me remercier de lui avoir sauvé la vie. Un des mensonges : on souffre plus en maltraitant, en torturant et en tuant quelqu'un qu'en étant maltraité, torturé et tué.

Après avoir passé quelques années à vivre dans la ville d'Achaea, j'ai fini par comprendre qu'elle n'évoluerait pas tant que je ne serais pas plus actif. La seule solution à cette vie passive, était de me lancer plus vivement dans ma lutte pour la souffrance. Je devais prôner la beauté de la souffrance, la facilité à éprouver ce sentiment pleinement jouissif. Ma décision avait donc été prise après quelques attaques qui auraient eu lieu entre les mutants et les humains. Tout cela était ridicule, moi je me fichais complètement de savoir si les gens avaient un gène supplémentaire ou non, à mes yeux, ils n'avaient simplement que des intestins, des organes vitaux, du sang, et de la souffrance à revendre. Rien de plus, le plus important restant l'intérieur de la personne et non ce qu'ils étaient censés avoir de plus ou de moins. Mon travail fut donc d'écumer la ville afin de dispenser toutes mes connaissances, de leur montrer comment ressentir clairement la souffrance. Visiblement, les autorités de cette ville n'aimaient pas mon idée, car ils se lancèrent à mes trousses peu de temps après que je ne sois réellement lancé dans ma quête de savoir. Bien qu'ils ne savaient pas qui était le véritable coupable, ils semblèrent chercher dans la bonne direction, un mutant hostile. Pourquoi ? C'était tellement plus simple d'accuser quelqu'un que tout le monde détestait à la base qu'un humain trop fou. J'étais fou, mais certainement plus que les autres petits humains que j'avais connu dans cet hôpital où ils voulaient me 'soigner'. Seulement, j'étais bien trop débrouillard pour eux, je réussi facilement à les esquiver, tout en continuant mon œuvre, et heureusement pour les civils de la ville, je restais près d'eux afin de leur dispenser mes talents. Les quelques personnes que j'avais rencontré avant de me lancer dans ma véritable quête restaient dans mon esprit, notamment l'hostile au rôle important dont je ne connaissais pas le nom. L'avenir me dirait bien ce que la vie réservait... Ou la mort.

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Marek I. Hopkins Vide
MessageSujet: Re: Marek I. Hopkins Marek I. Hopkins EmptyDim 19 Sep - 13:04

Marek I. Hopkins 2utgkrp
Maître de la souffrance, soyez à nouveau le bienvenue en ces terres désertiques d'Achaea !
Je dois vraiment le dire ? Ton style d'écriture, autant à la première personne qu'à la troisième, est toujours un plaisir à lire. Quant au contenu, même si tu as repris l'ancienne fiche pour rajouter des petits morceaux par-ci par-là afin de compléter ces 3 ans passés, je le trouve toujours aussi enivrant. J'aime ce côté tordu, et pourtant irrémédiablement persuadé de faire le bien, c'est juste un plaisir de te voir dans la peau d'un psychopathe :P

Autant dire que tu es, bien évidemment, validé !

Comme tu le sais déjà, tu ne dois pas oublier d'aller faire ta fiche de relation et de liens dans la gestion de personnages, compléter ton profil et éventuellement de venir flooder un peu avec tout le monde, hein. Ensuite, tu pourras évidemment te relancer dans le RP, ce que j'ai hâte de (re)voir personnellement ♥️ Ah, et aussi me faire un câlin, ceci n'est pas une option ! En dehors de ça, je ne vais pas dire que je te recense puisque tu l'es déjà, et je ne vais pas te retenir plus longtemps non plus parce que... Quand même, tu es le fondateur. Donc là, je me fais juste mousser :P

Amuses-toi bien ! ♥️

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Marek I. Hopkins

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