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Leeloo S. Littleton

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AuteurMessage
۞ Equipe Spéciale Bastet ۞

Leeloo S. Littleton

Leeloo S. Littleton
۞ Equipe Spéciale Bastet ۞

◊ Nombre de Messages : 19
◊ Nombre de Messages RP : 6
◊ Age : 31
◊ Informations :
◊ Age du Personnage : 25 ans
◊ Pouvoirs / Armes : Blocage des pouvoirs et Intangibilité


Informations

» Métier
: Aucun

» Statut RP
: Ouvert

» Particularités
:

Leeloo S. Littleton Vide
MessageSujet: Leeloo S. Littleton Leeloo S. Littleton EmptyMar 2 Aoû - 16:24







Littleton, Leeloo, (Sasha)

« Nom : Littleton
« Prénom(s) : Leeloo Sasha
« Sexe :
« Âge : 25 ans
« Origine Génétique : Mutante
« Origine Géographique : Amérique du Nord
« Métier : Agent Apocalypto - Equipe spéciale 'Bastet'
« Date de Naissance : 05 Août 1999
« Lieu de Naissance : Achaea
« Orientation : Hétérosexuelle
Description Physique

      Vingt-cinq ans, pourtant à la voir on lui donnerait beaucoup moins. Plutôt petite et svelte, un petit mètre soixante-cinq pour un poids avoisinant les cinquante kilos. Souvent, Leeloo teint ses cheveux de différentes couleurs, une part d’excentricité qui ne lui ressemble pas mais qui l’aide à affirmer l’autonomie et l’indépendance qu’on ne lui laisse jamais. Les raisons qui la poussent à ne pas garder sa couleur ébène d’origine ne sont pas claires. Se colorer les cheveux c’est un peu montrer qu’elle peut faire ce qu’elle veut dans un monde qui la bride sans arrêt. Qu’elle les teigne ou non, pour elle ses cheveux ont une immense importance sentimentale, allez savoir pourquoi. Son visage plutôt rond renforce l’étrange impression de se tenir devant une femme plus jeune que son âge réel, ses traits sont fins, très féminins bien que pouvant passer de l’expression la plus intense à la plus figer en un instant. Si on lui demandait ce qu’elle préfère chez elle, elle répondrait sûrement ses yeux, ses yeux bleus qu’elle maquille pour mettre en valeur, ce sont sans doute eux qui parlent le plus aux autres. En revanche, elle trouve son nez disgracieux, sévère avec elle-même elle n’hésite d’ailleurs pas à le qualifier de ‘gros’ lorsqu’elle se regarde dans le miroir.
      Concernant ses tenues vestimentaires, elles sont très variées. C’est aussi une forme de liberté dont elle abuse, elle aime être bien habillée, plaire, tout simplement. C’est difficile de plaire, ou plutôt de se rendre compte que l’on plaît lorsqu’on a son caractère. Il est clair que Leeloo mise tout sur son physique, elle a lu un jour une phrase d’Aristote : « La beauté est un appui préférable à toutes les lettres de recommandation », soit, elle s’est mise à y croire, mais elle n’oublie pas non plus que toute beauté est subjective. Coincée dans ce raisonnement sans fin, elle préfère d’abord être belle selon elle en espérant qu’un jour un homme, un fou, s’arrête. En attendant, son physique avantageux et son visage avenant lui servent davantage à piéger les siens qu’à nouer de nouvelles relations.
Description Mentale

      Dire qu’elle n’a connu que les laboratoires et la cellule depuis sa plus tendre enfance serait une image trop cruelle en comparaison à ce qu’elle ressent. Certains ont sûrement cette impression, ce jugement hâtif. Pour sa part elle ne se sent pas prisonnière. Non, elle est loin de se dire que sa vie est une immense prison. Manipulée ? Oui, depuis toujours et comme elle l’est depuis tout ce temps il lui est impossible de le comprendre par elle-même, elle ne s’en rend pas compte, c’est aussi simple que ça. Dites à votre enfant que le ciel est vert sans personne autour de lui pour lui dire qu’il est bleu, inévitablement il continuera de croire, sans se poser de questions, que le ciel est vert. Pour Leeloo c’est exactement le même système, à un détail près : elle a confiance en l’Opération et de part ce fait leur avis passe avant ceux des autres.
      La réelle question est : pourquoi ? La vérité est que la jeune femme a dû grandir extrêmement vite, se forger une carapace comme la plupart des gens lui fût donc impossible, aussi, à grandir à cette vitesse on en oublie parfois les mécaniques et Leeloo semble être restée au stade psychologique d’une jeune adolescente. Mature, elle l’est, pour certains points, elle peut d’ailleurs paraître très froide face à une personne en détresse voire mourante mais ce n’est qu’une habitude. Néanmoins elle ne connaît pas certaines choses simples, par exemple elle ne sait pas faire de vélo et n’a jamais été confrontée à l’amour, autant sur la façon de le ressentir que de le faire. Sa naïveté couplée avec les gens qu’elle côtoie la mure dans une obéissance à l’aveugle, aussi n’hésitera-t-elle pas à tirer sur un individu si on lui disait de le faire tandis qu’elle perdra tous ses moyens si elle devait jouer avec un enfant – et ce bien qu’il soit fort à parier que tout deux auraient de nombreux points communs. En tout cas, même si l’Organisation ne paraît pas toujours vouloir son bien, si les ‘tests’ qu’elle subit ne sont pas toujours agréables, elle se plaît à rêver d’un monde meilleur pour tout le monde. La jeune Littleton n’en reste pas moins extrêmement malléable et fragile, pour la briser il suffit d’appuyer un peu et tout le reste cède. Elle manque cruellement de confiance en elle et d’initiative. Habituée de n’être considérée que comme un objet par la plupart des personnes l’entourant, elle se réjouit presque qu’on lui adresse la parole en premier. Sans parler de jovialité, on peut dire que Leeloo tente de prendre un maximum d’évènement dans le sens positif et ne s’énerve que peu souvent.

      Pour les petits tracas, elle est plus du genre à laisser ses larmes couler qu’à crier à tout va et préfère trouver des excuses à ses agresseurs plutôt que de les accuser. Sans éducation parentale réelle et en manque cruel de limite sociale – et donc non contraintes par Apocalypto – Leeloo peut s’avérer très maladroite en société et vite se mettre à paniquer si la situation lui échappe. Habituée que tout soit calculer la semaine à l’avance par un emploi du temps sans faille, le moindre écartement au plan initial devient pour elle insurmontable sans assistance. Si ces crises d’angoisses la mettent souvent dans un état second d’hystérie où elle se met à faire souvent la première chose qui lui passe par la tête, ces dernières s’en vont tout aussi tôt si l’on sait lui parler. Obéir, ne pas faire de vague, ne pas trop parler, c’est de cette façon qu’on l’a – pour ainsi dire – éduquée.
      Malgré tout, Leeloo a une peur panique de devenir inutile. Elle sait que les tests qu’elle subit régulièrement servent à la confection d’armes qui, à terme, pourraient la remplacer entièrement. Aussi se pose-t-elle beaucoup de questions sur son avenir au sein de sa ‘famille’, la simple idée de finir en cellule comme les autres la fait tressaillir. Ses privilèges sont limités mais la jeune femme sait pertinemment que lorsqu’ils n’auront plus besoin d’elle ils s’en débarrasseront du jour au lendemain. Hélas ne pouvant lutter contre cette fatalité, et croyant ne compter pour personne d’autre, elle fait son travail du mieux qu’elle peut tout en espérant que ses années de service l’aideront à éviter le pire.

      Depuis peu, on lui accorde quelques libertés supplémentaires, dont la possibilité de sortir de la base de l’Organisation sans pour autant qu’elle soit affectée à une mission. Sous bonne escorte, elle oublie cependant tout aussi vite qu’on la suit à la trace pour apprécier chaque instant qui s’offre à elle. Dans la vie de tous les jours Leeloo pourrait passer pour une fille très simple, souriant lorsqu’une fleur lui plaît, s’asseyant quelque part et regardant tout le monde avec curiosité. Elle a l’air gentille, oui c’est vrai, mais dans l’esprit de la plupart des personnes ce ‘gentille’ en deviendrait presque péjoratif, gentille ou l’autre mot usuel pour dire de quelqu’un que l’on ne connaît pas qu’il est naïf et un peu simplet. La mutante n’est pas idiote, elle n’a juste jamais eu accès à la même éducation que les autres et n’a pas eu l’occasion de découvrir les mêmes choses qu’eux. Il arrive même qu’elle ne sache pas comment réagir face à une situation complètement banale, il ne faut pas oublier que si l’on dit merci quand on nous donne quelque chose c’est avant tout grâce à notre éducation, il n’y a donc rien d’étonnant au fait qu’elle ait ce genre de problèmes.
      Les rapports qu’elle entretient avec les gens sont par ailleurs plutôt mitigés. Elle n’a absolument rien contre les humains, ni contre les chercheurs, ni contre les agents, en vérité les seules personnes avec qui elle a du mal à se lier sont les autres gens comme elle et comme la majorité se cache on peut dire qu’elle peut s’entendre avec tout le monde. La jeune femme se méfie continuellement des mutants – d’ailleurs elle hait ses congénères car pour elle ce sont des tueurs en puissance. Leeloo se considère comme l’un des rares mutants sans pouvoir offensif et donc comme l’une des rares personnes qui ne devraient pas être enfermées, à noter qu’elle est moins prédisposée à la capture d’un mutant si celui-ci ne présente aucune menace. Bien que le contact lui soit plus ou moins facile, elle est se sent irrémédiablement seule et ses centres d’intérêts le démontrent presque par A+B car ils sont essentiellement littéraires et musicaux. La jeune Littleton adore lire et c’est d’ailleurs ce qu’elle fait la plupart de son temps libre puisque c’est le seul réel divertissement qu’elle puisse s’offrir. Lire lui permet de voyager, elle sait qu’elle ne pourra jamais être vraiment seule dans la rue, les livres sont pour elle un moyen sûr de s’évader sans en payer les conséquences et sans rien devoir à personne. Elle aime aussi plein de détails auxquels une personne normale ne ferait pas attention comme le bruit que fond ses pas dans la neige, la teinte arc-en-ciel d’une tâche d’essence, humer le parfum des personnes qu’elle croise, prendre le bus…
Particularités

– Malgré ses vingt-cinq ans, Leeloo a à peine le niveau scolaire d’une collégienne. Elle ne sait faire que des calculs très simples et lit très mal à voix haute.

– En général beaucoup de choses l’étonnent même si elle feint parfois de les savoir après coup.

– Leeloo ne sait pas nager, ni faire de vélo, ni conduire.

– Elle n’a jamais fumé, jamais bu et ne s’est jamais droguée.

– Collectionne les boîtes à musique, qu’elles soient à manivelle, à clef ou à piles.

– Elle est sensible au niveau des avant-bras à cause des nombreuses prises de sang et a, de temps à autres, quelques bleus sur le dessus des mains et/ou des pieds pour les mêmes raisons.

– Blessée pendant une mission vers l’âge de quinze ans, elle garde une légère trace de brûlure au niveau de l’intérieur de l’avant bras droit.

– Elle ne fait confiance à aucun hôpital/médecin en dehors de ceux de l’Opération.

– Une tolérance à la douleur plutôt élevée par rapport à la moyenne.

– Tatouée au niveau de l’épaule gauche (le chiffre est 9 est chez elle remplacé par un 4)
Spoiler:
Groupe et Pouvoir

« Groupe : Opération Apocalypto
« Raisons : Lui faut-il vraiment une raison de rester ? Ce qui lui faudrait avant tout ce serait une raison de partir. Certes, elle n’est considérée que pour son pouvoir inhibiteur et que peu pour sa propre personne, mais les gens autour d’elle sont-ils si différents ? Ils ne sont pas jugés pour leurs qualités en tant qu’individu, ils sont jugés sur leur logement, leurs revenus, leur position sociale et hiérarchique. Au final, chaque chose est à sa place et personne ne s’en plaint réellement ou alors le fait et ne réagit jamais en conséquence. Alors voilà, que faut-il dire de plus ? Apocalypto c’est sa maison, sa famille, ses repères et même si on lui en donnait d’autres à l’apparence plus clémente et en plus grande quantité, il n’est pas dit qu’elle ose partir. La question ne se pose donc pas, elle est dans l’Organisation, elle leur appartient et c’est sûrement une des formes de liberté qui lui convient le mieux puisque c’est la seule qu’elle connaisse réellement.

« Pouvoir(s) : Inhibiteur et Intangibilité.
« Description : L’inhibition des pouvoirs mutants. Autrement dit le blocage pur et simple de ce qui rend les individus dotés de pouvoirs dangereux. Une aubaine pour certains, une malédiction pour d’autres… Par simple contact physique direct (peau contre peau) elle peut annuler le pouvoir d’une personne pendant une durée de deux heures. Plus le nombre de personnes affectées est grand et plus le temps est réduit, à chaque personne supplémentaire la durée de l’effet est divisée : 2h = 1prs ; 1h = 2prs ; 30m = 3prs (…). Si Leeloo perd conscience (malaise, sommeil…) l’effet cesse immédiatement et les mutants recouvrent leurs pouvoirs sans délais. Son pouvoir est passif, dès qu’elle touche une personne celle-ci est privée de ses pouvoirs, elle ne contrôle ni la durée ni le moment d’utilisation.

L’intangibilité ou « Passe-Muraille » est la faculté de pouvoir passer au travers la matière du moment qu’il ne s’agit pas d’un être vivant (homme ou animal). Hormis ces deux éléments, elle peut passer à travers toutes les matières et ce peu importe l’épaisseur de ces dernières. Concernant ce pouvoir elle doit plus ou moins se concentrer pour l’utiliser, en cas de stress trop intense ou d’une distraction trop importante, il se peut qu’elle ne puisse pas l’utiliser mais ça n’arrive que rarement. Grâce à l’Organisation, elle entraîne ce pouvoir depuis ses 11 ans. Aujourd’hui elle est capable de se rendre entièrement intangible pendant une quinzaine de secondes au maximum, pendant ce laps de temps absolument tout lui passe à travers. Le mieux qu’elle puisse faire, la dernière chose en date, est la capacité de rendre quelqu’un aussi intangible qu’elle en la touchant. Encore à un stade que l’on pourrait appeler expérimental, Leeloo a besoin de se concentrer uniquement sur cette tâche, même mâcher un simple chewing-gum en même temps la bloquerait complètement, faire de quelqu’un le prolongement de son propre corps n’est pas aisé.
Histoire

12 Août 1999LSL-C53-001
Leeloo Sasha Littleton, cobaye n°53, examen n°001


  • La progéniture de l’individu au matricule ASO-LR1422-S est possesseur du gène responsable de la mutation chez l’être humain.
  • Le tatouage aura lieu dans quelques mois, aucune complication ni rejet d’aucune sorte ne devrait être à signaler.
  • Le cobaye #53 a été placé en couveuse.



      On m’a appelé Leeloo, puis – ironie du sort – on a décidé que ça ne suffirait pas à ma simple existence, on y ajouta Sasha et puisqu’il me fallait bien un nom on me donna celui d’un des chercheurs du centre : Littleton. Voilà, j’aimerais vous dire que ce fût tout mais au-delà d’un nom il me fallait une maison et une famille. J’ai vécu dans la couveuse jusqu’à mes neuf ans : « En couveuse », disons plutôt que je suis passée par plusieurs sorte de… ces pièces. Appelez ça comme vous voulez moi j’ai appris que ça ressemblait d’avantage à un aquarium qu’à une couveuse ou même une prison. Pas de mère, pas de père, pourtant je ne me considérais pas orpheline pour autant, ma famille c’était le centre, tous ces gens qui s’occupaient de moi. A ce qu’on m’a dit à l’époque, je suis le résultat d’une manipulation génétique, autrement dit : née dans une éprouvette. Néanmoins, je n’étais pas la plus à plaindre, ni même la plus épargnée. Je vivais dans l’aquarium comme dans une chambre, du moins comme dans ma chambre. C’était une pièce entièrement transparente, ou presque – j’avais vite compris que j’étais la seule à voir mon reflet. J’y avais quelques meubles, quelques jouets, quelques années après une télévision qui repassait les mêmes programmes aux mêmes heures. On m’avait expliqué que ma chambre était stérile, j’apprendrai plus tard qu’on utilisait sensiblement le même système pour les personnes souffrantes d’un cancer en cours de traitement. Pour être franche, je me croyais complètement normale, enfin aussi normale qu’un mutant pouvait l’être.
      A l’évidence j’étais différente des autres de mon espèce, profondément différente. Apocalypto m’avait sauvé, je savais grâce à eux ce qui m’attendait et où j’allais. En attendant que mes pouvoirs se déclarent, je devais patienter. De temps à autre j’avais des examens à passer, souvent même. J’étais habituée, j’avais mon quotidien, certes dissemblable de la plupart des autres mais un rythme de vie s’était installé et il ne me dérangeait plus. J’avais neuf ans lorsqu’ils sont apparus et c’est peut-être idiot de le préciser mais ils ont radicalement changé ma vie.


5 Septembre 2007LSL-C53-138

  • Le scanner #16 a mis en évidence une nouvelle zone d’activité dans le cerveau du cobaye #53. Ce dernier ne semble pas être sciemment responsable de cette activité.
  • Le bilan sanguin révèle la présence de phéromones inactives. Elles sont transportées par le sang mais ne réagissent à aucun des stimuli effectués.
  • D’après les données actuelles la présence de ces phéromones serait de 5 transportées pour 1 milliard de globules rouges.
  • Nous estimons à 80% les chances pour que le gène ait des répercussions sur son organisme d’ici 1 an.



15 Décembre 2007LSL-C53-142A

  • Arrêt brutal de la production des phéromones détectées en Septembre dernier.



16 Décembre 2007LSL-C53-142B

  • Le scanner #17 confirme l’arrêt de l’activité cérébrale dans la zone auparavant observée, les raisons demeurent inconnues.
  • La présence des phéromones est dégressive.



30 Mars 2008LSL-C53-153A

  • Le taux de phéromone est en moyenne de 1,02 par globule rouge, la mutation est considérée comme achevée.
  • Apparition d’un pouvoir agissant comme un neutralisateur temporaire, la première réaction du cobaye #53 a été une restriction auto-immune de la mutation, d’où l’arrêt de l’activité cérébrale du 16 Décembre 2007.
  • Début de la période de test ayant pour but de déterminer le type exact de la mutation.



4 Mai 2008LSL-C53-153B

  • L’inhibition des pouvoirs est due aux phéromones sécrétées par le cobaye #53 qui s’immiscent dans le sang via les pores de la peau lorsqu’il y a contact physique entre le sujet et l’objet.
  • Ce pouvoir est donc reconnu comme étant de type 5.



      Dès son arrivée mon pouvoir a causé pas mal d’ennui, autant pour les chercheurs que pour moi. Ils découvriront que dans les premiers mois de son apparition il s’est endigué lui-même avant de se répandre. Trois mois plus tard, je ressentais de légers picotements sur tout mon corps, même les vêtements m’étaient devenus insupportables. J’étais tenue de tout leur dire, depuis ma sensation lorsque je me lève le matin si celle-ci me paraissait anormale jusqu’à l’envie de me moucher plus souvent que d’ordinaire, alors je leur ais dit. C’est à ce moment que commença toute une batterie de tests qui me semblèrent beaucoup plus divertissant et moins douloureux que les autres. Je n’ai jamais eu l’impression qu’ils m’aient fait volontairement du mal, en tout cas les prises de sang devenaient de plus en plus pénibles. J’avais de « belles veines » pour reprendre leurs termes mais plus les années passaient et plus il leur était difficile d’en trouver une, tant et si bien qu’environ une fois sur deux mes veines ne le supportaient pas et éclataient. Peu à peu mes veines se sont sclérosées, incapables de s’adapter aux piqûres répétitives elles ont durci allant jusqu’à se vriller lorsque l’aiguille les pénétrait. Mes avant-bras devenus inutilisables au bout de quelques mois, ils ont commencé à piquer au niveau de mes mains et comme au fur et à mesure il se passait exactement la même chose ils sont passés à mes pieds. Si eux n’appréciaient pas de me les faire dans ces derniers, j’étais la dernière personne au monde qui pouvait le vouloir, l’habitude ne changera jamais la douleur de telles piqûres. Alors oui même avec ce constat, j’espère que vous comprendrez aisément que ce qui va suivre n’avait, pour moi, aucune raison de m’indigner. J’étais la pour ça.
      Ils me mettaient face à un autre mutant, un criminel, le genre de personne dont la société ne voulait plus. Ici nous étions en quelque sorte une station de recyclage, ce qui ne servait plus aux uns nous servait à nous. C’était plutôt un bon marché. La plupart du temps ils essayaient de me parler en entrant mais ils voyaient tout aussi vite que c’était peine perdue, nous n’étions pas du même monde, pas du tout. La consigne était simple, je prenais ses mains dans les miennes et on attendait quelques minutes, après quoi on lui demandait d’user de ses pouvoirs et il en était incapable. Simple me direz-vous, pour moi ça l’était. Tout le temps que je passais assise sur une chaise à voir défiler des mutants c’était du temps en moins avec une seringue dans le corps. J’étais plutôt gagnante sur ce coup là.


27 Juin 2009LSL-C53-186

  • Apparition d’un pouvoir de type 7 sur le cobaye #53.
  • Aucun lien entre les deux mutations.
  • Le cobaye #53 est reconnu comme étant de type X.
  • Toutes les limites de son premier pouvoir ne sont cependant pas encore découvertes.



Printemps 2010LSL-C53-201

  • Le cobaye #53 représente une avancée majeure pour nos recherches. Son ADN possède une séquence universelle capable d’endiguer tous les types de mutation sans aucune distinction particulière.
  • L’isolement de cette séquence dans sa totalité est un échec. La demande de prélèvement à la source a été acceptée, pour le moment aucune synthèse de cet ADN n’est réalisable.



      Je n’avais même pas dix ans, comment vouliez-vous que je comprenne ce que pouvait être une culture d’ADN… A partir de ce moment il y a eu comme un déclique, sans dire que ça courrait dans tous les sens, mais presque. D’ailleurs c’est à partir de là que j’ai eu droit au premier cours de ma vie. J’ai commencé l’école à dix ans, un peu après. Enfin « l’école » par là c’était plus un des chercheurs qui daignait me faire la leçon pendant plusieurs heures pour revenir le lendemain mais c’était déjà ça et puis ils étaient gentils. J’avais dix ans et je savais à peine écrire mon prénom sur une feuille sans qu’on me dise les lettres une par une. J’avais un retard énorme et je ne le savais même pas, j’avais été très peu sociabilisée, le seul et unique monde que je connaissais c’était l’aquarium, les salles d’examens et les personnes qui composaient les équipes et encore je ne connaissais pas tous les noms.
      Peu à peu je reprenais une vie que beaucoup qualifieraient de « normale », or pour moi la normalité était bien différente. On chamboulait littéralement mon espace vital, au début ce fût difficile, l’emploi du temps n’était plus le même, je voyais plus de monde et j’étais effrayée que les évènements s’enchaînent aussi vite. Renfermée sur moi-même, je ne trouvais refuge que dans des livres et la télévision où je regardais les images, peu à peu j’appris à lire. A quatorze ans j’avais le niveau d’une élève d’école élémentaire, je lisais extrêmement mal mais ma bête noire restait les mathématiques. Un comble pour une personne entourée de scientifiques. Ce ne fût qu’une raison de plus pour me plonger dans la lecture, doucement ma technique s’affina, je ne misais plus que sur les valeurs que j’apprenais dans les livres. Je décidai d’avoir des lectures au-dessus de mon âge… sans toujours vraiment comprendre. Je lisais pour qu’on m’admire. Je ne m’en rendais pas compte mais ma culture générale était proche du néant – les livres pour enfants avaient ma préférence, comment des animaux surnourris habillés comme des princes mais sans pantalons qui tenaient des discours sophistiqués pouvaient être aussi génial ?
      Je pense qu’il n’y a rien de pire que de se sentir idiote et étrangère dans une discussion, heureusement pour moi, la discussion était souvent en option chez Apocalyto.

      J’ai mis plusieurs mois avant de contrôler mon second pouvoir et encore contrôler est un bien grand mot. Ils appelaient ça l’intangibilité ou le « Passe-muraille », sous l’aspect pratique de ces noms se cachait un véritable enfer. Il arrivait des moments où je ne parvenais même pas à me saisir de ma brosse à dent, ma main passait à travers des dizaines fois de suite, quand je voulais m’asseoir ou même m’allonger sur mon lit je me retrouvais violemment projetée contre le sol, le nez à quelques centimètre du sommier. Ils étaient obligés de m’aider, en tout cas ils ont été obligés de le faire lorsque je suis restée prostrée au milieu de la pièce sans oser bouger de peur de traverser le sol et de me retrouver deux étages plus bas.

      Je crois que c’est à partir de là qu’ils ont décrété que j’étais trop faible.


6 Juin 2014LSL-C53-316

  • Le cobaye #53 est affecté dans l’équipe spéciale ‘Bastet’



      Je voulais être parfaite, ce ne fût pas de tout repos, au final je ne m’attendais même pas à être mutée. Depuis les incidents avec mon pouvoir d’intangibilité, leur comportement avait radicalement changé. Je n’avais plus autant d’analyses qu’avant en revanche j’avais beaucoup plus de travail à faire au niveau de mes pouvoirs, beaucoup plus d’épreuves, si je puis dire… La première fois ce fût la plus difficile. Ils m’ont mis dans une pièce avec, en face de moi, une machine qui lançait des balles à différents intervalles et à différentes vitesses. J’ai compris le but du test au bout de la seconde volée. Que j’évite ou qu’elles me passent à travers, l’un dans l’autre je m’en prenais plus de la moitié. Presque quatre ans après la première balle qui m’avait touchée, j’étais désormais capable de rester dans cette boîte plusieurs dizaines de minutes sans m’être fait avoir une seule fois. J’avais énormément progressé, c’est sûrement ça qu’ils attendaient. J’étais fière de moi, fier de leur convenir finalement on m’admirait. Un peu.
      Je me suis vue éjectée en dehors de l’établissement. Un matin je m’étais levée, on m’avait donner des vêtements complètement nouveaux, j’ai envie de dire des meilleurs mais ce n’était sûrement qu’une impression due à l’excitation qu’on m’achète des habits – ou tout du moins qu’on me les offre de cette façon. Qu’importait vraiment, on m’avait pris par la main puis traînée comme la petite fille que j’étais devant des personnes qui me jugèrent du regard. J’avais quatorze ans. Je retiendrai toujours ce haussement de sourcil de la part de Dorian. Au début il m’avait fait extrêmement peur, quelque part j’ai l’impression qu’à l’époque il avait plus peur de moi que moi de lui. Je ne me rendais pas compte de mon importance, enfin… Oui et non. Au fil du temps, j’ai commencé à voir Dorian comme la figure paternelle que je n’avais jamais eu. Il était gentil, me parlait plutôt souvent, me donnait des cadeaux, il n’en avait pas fallut plus que pour je l’apprécie. J’ai donc commencé les missions pour Apocalypto à quatorze ans. En général je me contentais d’aller seule vers une personne qu’on me montrait presque du doigt après plusieurs heures de voiture, je devais simplement la toucher, disparaître puis attendre que les autres fassent leur travail. Je ne comprenais pas un traître mot de ce qu’ils pouvaient se dire entre eux sur le chemin, trop d’abréviations, un vocabulaire trop ciblé, j’étais mise à l’écart mais ça aussi j’avais l’habitude et c’était sûrement nécessaire… Avec le temps l’Opération Bastet prit de l’ampleur, il y eut alors plusieurs recrutement dont Liam. Ce dernier n’a d’ailleurs toujours pas l’air de comprendre que je suis de son côté, tout ce que je veux c’est arrêter les mutants alors nous avons, j’imagine, plus ou moins le même objectif… Malgré ça et le fait que nous soyons souvent ensemble il ne m’accorde pas plus d’intérêt qu’au premier jour, le métier sans doute.

      J’appris moi aussi le métier, d’une manière un peu plus directe je dois dire. Il s’agissait d’une mission tout ce qu’il y avait de plus normale, sauf que cette fois le mutant avant eu vent de notre arrivée, comment ? J’en n’ai strictement aucune idée, mais il nous piégea. Du moins il me piégea puisque j’étais toujours la première à établir le contact. Tout c’était passé si vite – cette phrase est d’un ridicule, pourtant elle est si vraie qu’il m’est difficile d’en écrire une autre. Je ne sais pas, il a dû voir quelqu’un et il a paniqué. D’un seul coup je me suis retrouvée avec la manche de mon sweat-shirt en feu et c’était à mon tour de paniquer. Le temps que je réalise ce qui se passait et que j’enlève mon haut j’étais déjà brûlée sur l’intérieur de l’avant bras. J’avais mal mais on m’annonça que c’était une bonne nouvelle. « Ca me fait une belle jambe », c’est ce que j’ai pensé sur le coup. En réalité la douleur prouvait que la brûlure n’était pas profonde, une chance. Profonde ou pas, j’en garde encore aujourd’hui une marque légèrement plus blanche/rosée que le reste de mon corps, dans un sens ce n’est pas tout le monde qui peut regarder l’intérieur de mon bras, c’est discret, visible mais discret. Suite à cet incident, ma haine envers les miens n’en fût que plus zélée.


Eté 2015LSL-C53-459

  • La structure de l’ADN du cobaye #53 a été isolée. Sa culture est désormais possible.




10 janvier 2022LSL-C53-432

  • Le cobaye #53 a été pucé, conformément aux nouvelles lois en vigueurs.



Fin juin 2024LSL-C53-487


  • Le cobaye #53 est considéré comme apte à sortir dans le monde extérieur sans avoir été au préalable affecté à une mission dans le cadre de l’équipe spéciale ‘Bastet’.
  • La surveillance d’un mutant en liberté étant indispensable, une unité annexe est chargée de suivre les déplacements du cobaye #53 et d’agir en conséquence.
  • Mise en place pour la première fois d’un dispositif de sanction sous forme de bracelet électronique implanté sous la peau et relié aux nerfs. Ce dernier permet, en cas de nécessité, de neutraliser physiquement l’individu par une décharge électrique prévue pour le paralyser pendant une dizaine de minutes. L’intensité de la décharge est fixe et non variable.



      Aujourd’hui ça fait un peu plus d’un an. Je ne saurais dire si je considère cela comme longtemps ou non, ça m’est si abstrait. Au final je ne suis sortis que très peu, peur de l’inconnu sûrement. Dorian m’avait conseillé de sortir plus tôt, de m’en aller vivre. « Vivre » dans sa bouche ce verbe se contorsionnait pour prendre la forme de la liberté la plus incomplète qui m’était donnée de voir. Pourquoi faire ? Au final j’étais bien dans les locaux d’Apocalypto, j’étais bien avec lui, avec les autres, pourquoi partir ? Alors la plupart du temps il se contentait de sourire et de me répéter strictement la même phrase. Je l’avais écouté, j’étais sortie.
      J’ai alors réalisé l’importance de tout ce que j’avais raté à rester près de neuf mois sur douze dans la même pièce tandis que j’avais l’autorisation de vaquer à mes propres intérêts. J’avais été stupide d’attendre. Lors de ma première escale je n’avais rien prévu. Je n’avais donc pas d’argent. Autant dire que je n’avais rien car sans argent il est difficile de faire quoique ce soit. Je n’avais rien et pourtant je voulais tout et prenais tout ce qui était gratuit. Je n’avais jamais manqué de rien chez moi, jamais. Pourtant maintenant dès que je rentrais à la maison j’avais cette irrépressible envie de ressortir pour suivre les indications de Dorian : vivre. J’étais devant cette échéance : il me restait trois mois pour faire le tour du monde. J’étais devenue terrifiée à l’idée de rester enfermée, ces nouvelles dispositions me convenaient à ravir et plus je sortais plus j’avais peur que cela ne s’arrête du jour au lendemain. Un an, c’était plutôt « rond » du coup je pensais que s’ils devaient arrêter quelque chose ils le feraient en juin prochain. Non, rien ne se passa comme ça. Rien ne s’arrêta et je ne fus que plus heureuse de cette ‘non-décision’. Maintenant que je sais que j’ai beaucoup plus de temps, j’espère bien pouvoir aider l’Opération de mon nouveau point de vue : une nouvelle agent double.

Informations sur le Personnage

« Système de Puçage : Oui

« Avatar : Neon Lynxie
« Recyclage du Personnage : Leeloo S. Littleton est un Post Vacant
Informations Personnelles

« Comment avez-vous connu le forum ? Dans les partenaires d'un forum déserté depuis longtemps sur lequel je suis tombé par hasard… C’pas trop classe comme pub ça ?
« Parrainage ? Non
« Un commentaire à faire passer aux administrateurs ? Ni marqué, ni choqué, juste quelques fautes d'inattentions sans intérêts. Hum… Sinon j’ai envie de dire 4 =)
« Quelque chose à dire sur le forum ? J’aime beaucoup vos codages :3
« Quelles sont vos disponibilités ? Tout dépend de mon emploi du temps mais je passe au minimum plusieurs fois par jour si j'ai accès au net.
« Parlez-nous un peu de vous : Kiwi (>^-^)> ♪







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Dernière édition par Leeloo S. Littleton le Mar 2 Aoû - 16:37, édité 1 fois
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Leeloo S. Littleton

Leeloo S. Littleton
۞ Equipe Spéciale Bastet ۞

◊ Nombre de Messages : 19
◊ Nombre de Messages RP : 6
◊ Age : 31
◊ Informations :
◊ Age du Personnage : 25 ans
◊ Pouvoirs / Armes : Blocage des pouvoirs et Intangibilité


Informations

» Métier
: Aucun

» Statut RP
: Ouvert

» Particularités
:

Leeloo S. Littleton Vide
MessageSujet: Re: Leeloo S. Littleton Leeloo S. Littleton EmptyMar 2 Aoû - 16:30

Chose promise, chose due ! Fiche terminée =D

En espérant que la lecture vous sera facile. Le changement de personne est là juste car j'ai voulu mêler dossier et histoire personnelle. Je ne sais pas encore quelle personne j'utiliserai dans mes rps mais je ne changerai pas en plein milieu d'un rp pour autant. Bref.

A bientôt !

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Liam Winchester

Liam Winchester
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◊ Nombre de Messages : 7431
◊ Nombre de Messages RP : 481
◊ Age : 35
◊ Informations :
◊ Age du Personnage : 32 Ans
◊ Pouvoirs / Armes : Un Colt M1911A1 9mm, l'équipement de base d'un Agent Spécial Apocalypto


Informations

» Métier
: Agent de l'équipe spéciale 'Bastet' - Policier (sous couverture)

» Statut RP
: Fermé

» Particularités
:

Leeloo S. Littleton Vide
MessageSujet: Re: Leeloo S. Littleton Leeloo S. Littleton EmptyMar 2 Aoû - 17:52

Bienvenue de manière officielle ! Sourire

Alors, que dire sur ta fiche, elle est parfaite, sincèrement ! Brille
Ça a été un véritable plaisir de la lire, tu as un style très fluide, léger, qui met bien dans l'histoire, bref, une fiche longue et détaillée, mais qui se boit comme du petit lait ! ♥️ J'aime beaucoup ce que tu as fait de Leeloo, j'ai beaucoup apprécié la rédaction de l'histoire, c'est le genre de présentation qui contient le nécessaire avec des ajouts qui rendent le tout plus agréable à lire. Tu as beaucoup utilisé le site Intranet visiblement, ça fait plaisir à voir ! Bref, tu as compris que j'adhère totalement à ce que tu as fait, ça valait la peine d'attendre ! =D

Je te valide donc avec un réel plaisir ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite je m'occupe de tout te recenser, toi tu peux te chercher des partenaires de RP, il y a des recherches de sujets donc si ça t'intéresse, tu peux y jeter un œil ;)

Tu gagnes 20 points pour avoir pris un personnage prédéfini !

Concernant les fautes d'inattention, c'est fort possible je suis spécialiste en la matière, c'est prévu que je relise tout ça pour remanier le tout, mais le temps manque un peu actuellement, enfin merci de l'avoir signalé !

Histoire de ne pas être paumée avec les doubles comptes, je t'invite à lire ce sujet. Sinon tu as la liste des liens importants qui peut être utile.

Bon jeu sur Apocalypto !

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: Aucun

» Statut RP
: Ouvert

» Particularités
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MessageSujet: Re: Leeloo S. Littleton Leeloo S. Littleton EmptyMar 2 Aoû - 18:23

Ah merci, j'avais peur que ça fasse un peu bordélique
*moi et ma façon de ranger ma chambre mais sur papier faut pas avoir peur ><*

Concernant le site, pour ainsi dire je n'ai fait que des allé et retour pendant peut-être deux/trois heures juste pour être certain de tout avoir et ne pas le refaire plus tard. J'avais trop peur du "Oui mais ça c'est faux" car ça aurait été possible =/

Concernant les fautes, je vais refaire une relecture à froid demain et je corrigerai celles que je verrai.

En tout cas ça me fait très plaisir, j'avais dans l'espoir une réponse positive assez rapidement mais à ce point... C'est rare. A l'avenir s'il y a quoique ce soit qui ne te plaît pas chez Leeloo (que j'aurais fait par exemple) n'hésites pas à me mpotter pour me le dire et on verra ça ensemble ^^

Bref, encore merci ! =D

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