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William White

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Anonymous

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William White Vide
MessageSujet: William White William White EmptyMer 9 Fév - 18:14

» Informations de Base
"Rien ne devrait recevoir un nom, de peur que ce nom même ne le transforme"

● Nom : White
● Prénoms : William Jayden, souvent écourté par Will
● Sexe : Est-ce que votre personnage est un homme ou une femme ?
● Âge : 21 ans
● Origine Génétique : Humaine.
● Origine Géographique : Australien
● Métier : Employé à l’hôtel Nevada : Chargé de l’accueil des locataires au niveau des clefs et de l’informatique (entrées, sorties, encaissements, appels des chambres …)
● Date de Naissance : 21 Juillet 2004
● Lieu de Naissance : Canberra
● Orientation : Bisexuel

» Informations des Groupes
"Il y a quelque chose de plus grand pourtant que d'appartenir au monde, c'est de s'appartenir à soi-même"
● Groupe : Humains
● Raisons : Que voulez-vous que je vous dise ? Will ne peut pas être un mutant dans la mesure où il n’a pas été doté de ces pouvoirs. Son père lui avait les pouvoirs qui incombaient à sa « nature » mais ce cher William a toutes les caractéristiques de sa mère. Puis, je dirais qu’il n’est pas tranché ni campé sur une vision claire des mutants. Sont-ils bons, sont-ils mauvais ? Telle est la grande question qui le turlupine. Il a une vision des mutants qui font le bien et une autre qui font le mal. Il trouve qu’ils n’ont pas à être dénigrés et stigmatisés mais dans le même temps, il faut aussi penser qu’il a vu bien des reportages à la télévision sur les violences entre hommes et mutants. Donc bon … Être humain s’impose à lui-même s’il a toujours rêvé d’être un mutant dans sa petite enfance. Oui avez un père mutant, des bandes dessinées et des dessins animés assez fantastiques, il rêvait de faire « comme papa ». Cependant, désormais il trouve que cet ancien rêve se tait au plus profond de lui, latent une occasion quelconque. Il est assez partagé donc entre les deux catégories qui le séparent. Rejoindre la cause des mutants ou au contraire se battre contre eux ?


» Informations Descriptives
"Le roman est l'art de créer un homme, la biographie l'art de le ressusciter"

● Description Mentale : Une description mentale de X personne n’est jamais aisée puisque suivant les points de vue, le caractère diffère. Mais je vais essayer de rester concis et le plus objectif possible pour vous parler de William. Tout d’abord, il faut noter que celui-ci est plutôt violent dans ses termes. S’il a quelque chose à le dire, il le dira. Il ne prendra pas de ton mielleux pour vous annoncer que vous lui faites chier, comme il ne passera pas par quatre chemins. Un bon « Tu me fais chier » suffira pour lui. Mais détrompez-vous, il n’en est pas honnête pour autant. Je dirais même que c’est quelqu’un de fourbe, de vil, un petit mécréant quoi. Il est tellement ambitieux, qu’il n’hésitera pas à mentir, à vous écraser de toute sa masse pour pouvoir avoir ce qu’il veut. Oui, on peut dire que c’est de la détermination dans un sens. C’est pour cela qu’il écrase un peu tout le monde et qu’il ne se fait pas tant que cela aimer. Si cela passe avec quelqu’un d’autre, c’est pour deux raisons : soit c’est une personne qui servira les fins de William, soit c’est un véritable ami. Mais attention en ce dernier sens. Ses amis se comptent sur les doigts de la main et sont, dans la majeure partie, avec un caractère lui ressemblant. Désolé si vous êtes une pauvre petite biche qui a perdu sa mère, vous ne serez pas recueilli par le jeune brun. D’ailleurs, il y a fort à parier que celui-ci vous prendra en pitié, dans toute sa grandeur négative. Eh oui, il n’aime pas forcément la douceur, les câlins, les gens pleurnichards : il en est même dur. Alors si vous avez des peines de cœur, ne les lui montrez surtout pas, vous risquez de vous en prendre une encore pour vous enfoncer dans votre dépression. Oui, si vous souhaitez vous suicider, demandez-le lui, allez le voir, il vous aidera, ça il n’y a aucun doute.

Vous l’aurez compris, ce n’est pas un enfant de cœur, mais bon, on a tous ses mauvais côtés, comme ses bons. Il faut juste les trouver – pour les bons surtout.
● Taille :
Peut-on dire que quelqu’un soit normal dans la normalité ? Il n’est ni petit, ni très grand. Oui parce qu’il se trouve que celui-ci est dans les normes : un mètre quatre vingt, tout simplement.
● Poids :
La même chose … Il est normal. Ni trop gros, ni trop maigre. Oui parce que ça c’est sûr, il n’est pas maigre et ne souhaite pas le devenir. Mais il est quand même d’une allure élancée sans gras ni muscles.
● Cheveux :
Ses cheveux sont un peu toute sa vie. Oui cela fait assez superficiel m’enfin. Tantôt il peut avoir les cheveux lisses à la coupe au bol comme cela a pu être la mode, tantôt il garde ses cheveux frisés au naturel. Et bien souvent ses cheveux sont naturels donc frisés.
● Yeux :
La couleur des yeux est changeante suivant le temps. En général, ses yeux sont très verts, très clairs. Puis lorsqu’il se met à pleuvoir, ses yeux prennent une teinte bleutée quoique toujours verte. C’est ainsi qu’il peut « prévoir » le temps, plus ou moins en tout cas.
● Style vestimentaire :
On peut dire de lui qu’il est habillé de façon classe et même classique. Souvent un costume pour simple habillement sans pour autant porter de cravate ou de mouchoir dans la poche. Il est certes jeune, il aime faire propre sur lui même et c’est la seule façon qu’il a trouvé.
● Particularités :
Il n’y a aucune particularité à noter chez lui si ce n’est ses airs quelque peu hautains par moment. Oui il ne faut pas se fier à ses apparences monstrueuses !
● Points Forts :
La principale caractéristique qu’il a c’est sa force notoire de caractère. Il a appris à ne pas se faire avoir par les autres c’est pour cela donc qu’il se méfie de tout le monde et qu’il peut être désagréable. Puis comme il se méfie, il est assez direct dans ses propos. S’il doit dire quelque chose, il le dira quitte à manquer de tact mais ça, ce n’est pas son problème dans la mesure où les gens, il s’en fout royalement. Ne vous attendez pas donc si vous êtes une petite nature à ce qu’il vienne vous consoler. Il fera ce qu’il peut et puis voilà, point. Cruel ? Peut-être … peut-être pas, cela dépend de ce que vous appelez ainsi !
● Points Faibles :
Son point faible est son manque réel de sympathie. Il ne sait pas se faire de bons amis, non pas qu’il soit associable. Il est tellement vil dans ses paroles qu’il se met plus des gens à dos. Bien que dans son travail, il soit bel et bien mielleux avec les gens qui viennent à l’hôtel ou ses supérieurs. De même que son manque notable de ruse parfois laisse à désirer : oui, il n’est pas vraiment rusé pour un sou et ira dans le tas sans forcément réfléchir : il agit puis voit les conséquences.
● Aime :
Le dire est évident bien entendu. Effectivement, c’est un drogué de sport. Dès qu’il n’est pas au travail, il est en train de faire du sport. Vélo, marche, course et autres. Tout ce qu’il peut le faire, il le fait . Garder la ligne ? Oui mais aussi faire sortir ses pulsions négatives.
● Déteste :
Que cela soit dit dès maintenant, il déteste les animaux quels qu’ils soient. Chiens, chats, poissons, pigeons, rats, hirondelles etc. Ce n’est pas qu’il en ait peur. Disons plutôt qu’il ne trouve pas d’intérêt dedans. Et ses quelques aventures avec les animaux n’ont pas fait bon ménage : comme la fois où un chien a laissé délibérément des restes sur la chaussée que William n’a pas manqué de se prendre. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
● Peurs :
Sa plus grande peur est de ne pas être reconnu par autrui. Il a besoin d’être quelqu’un et non quelque chose. Son besoin de reconnaissance est tellement qu’il en écrase les personnalités des autres pour se mettre en avant et être connu aux dépends des autres : d’où son métier dans lequel il souhaite bien évoluer, pardi !.
● Rêves :
Son rêve le plus profond serait de pouvoir avoir des pouvoirs même s’il ne se l’avoue pas forcément. Il sait qu’il le voulait en étant gosse mais maintenant il ne veut pas. Enfin c’est ce qu’il dit mais au plus profond de lui-même si on sait qu’il le veut : c’est certain !



» Informations Générales
"La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme"


● Histoire : Il existe des comptes pour enfants qui commencent par la célèbre formule « Il était une fois ». Ces contes finissent en général correctement avec un « Ils vécurent heureux pour la fin des temps et eurent beaucoup d’enfants ». La question que je vous pose est simple : Comment débuter et finir une histoire si les deux mentions ne peuvent être utilisées. Toutes les histoires ne peuvent débuter par ces mentions puisque toutes les histoires ne se ressemblent pas. Celle que je vais vous conter en sera la preuve la plus concrète. Le visage de la belle-mère haineuse n’apparait pas, le prince charmant n’est pas présent, la bonne fée non plus. Tout ce qu’il y a à savoir, c’est que toute histoire ne se base pas sur ces institutions puisque chaque personne est unique en son genre, possède un potentiel indescriptible à exploiter. Et la lumière n’est pas toujours signe de bonheur comme l’obscurité n’est pas la marque du malheur. En chacun de nous réside les deux, en chacun de nous se cache la belle-mère de blanche neige, le prince de Cendrillon et la bonne fée de Pinocchio. Bien. Voici venir l’histoire de William White, un homme comme les autres mais également différent.

L’histoire de ce jeune homme commence bien avant sa naissance, lorsque ses deux parents se sont rencontrés. C’était un beau jour d’automne où le soleil frappait l’océan à coup de rayons. Les températures étaient pesantes et l’air marin ne venait pas rafraichir la chaleur omniprésente sur la terre. Les Australiens n’ont pas pour habitude de se plaindre des températures. Né en Australie, les deux tourtereaux connaissaient bien les températures en cette saison. C’est pourquoi, tandis que l’une portait un magnifique chapeau fait de paille avec une jupe à fleurs, l’autre était en short court avec un Marcel faisant très largement ressortir sa virilité pectorale. C’était sur la plage, vous savez ces plages où se trouvent des fêtes foraines, eh bien c’était l’une d’elles. Ils étaient tous deux seuls, se promenant pour profiter des rayons du soleil qui envahissaient chaque parcelle d’air libre. Ils se virent au loin. D’abord ombre et forme indistincte pour ensuite devenir silhouette aux formes élancées et enfin arriver à quelques mètres, se voyant pour la toute première fois. Le jeune homme proposa à la belle femme de prendre un verre sur l’une des nombreuses tables d’où on pouvait admirer l’océan. Ils burent, parlèrent peu, s’observèrent, se charmèrent, mangèrent face à face dans un dîner plus que romantique. Tout les prédestinait à un avenir radieux, heureux, rempli d’une vie active. Ils passèrent le reste de la soirée ensembles, à se découvrir. Puis ils se donnèrent l’un à l’autre, dessinant le début de ce qui semblait être une belle relation. Tout était si magique, comme dans un conte. Malheureusement, le passage où le bonheur se rompt était arrivé. C’était le matin. Cette matinée commençait pourtant bien avec un beau ciel rouge, comme si le ciel était déjà au courant des faits qui allaient être faits et qu’il se mettait en colère contre ceux-ci. Les oiseaux pointaient le bout de leur bec. Et puis … cette odeur de la houle emplissait la chambre d’hôtel dans laquelle ils avaient passée la nuit. Elle se réveilla mais n’ouvrit pas les yeux, repensant à son voyage extraordinaire de l’après-midi précédente avec sa suite. Elle sourit de bonheur. Puis elle se retourna du côté de son partenaire, glissa sa main vers le corps absent sur les draps. La seule chose qu’elle y trouva, ce fut un petit mémo d’une écriture très fine avec un simple mot : « Désolé ». Son sourire disparut pour laisser place à l’inquiétude, puis celui-ci revint sous forme de rictus. Intérieurement elle se dit idiote d’avoir pu croire à une relation durable après un jour de « vie commune ». Et oui, on dit que les héroïnes de contes sont souvent naïfs et apprennent dans leurs épreuves pour se construire. Elle apprit que lors d’une relation d’un soir, il faut toujours se protéger.

Quelques temps passa et elle apprit la nouvelle. Elle était enceinte. A déplorer pour elle, le délai pour avorter était dépassé : elle devait garder l’enfant. Au départ elle ne le voulut pas. C’était l’enfant, la « chose » comme elle disait, de cette bête qui avait pris la belle un soir d’automne. Elle se réfugia chez sa mère qui la réconforta du mieux qu’elle pouvait, retrouvant son enfant en larmes et déplorant la future génération. Mais les conseils avisés d’une personne plutôt sage font toujours bon ménage avec le malheur d’un petit oiseau qui prend son envol. Elle la convainquit de garder cet enfant, qu’elle pourrait lui apporter tout le bonheur dont il aura besoin, qu’elle saurait s’en occuper avec elle, sa mère. Les mots firent leur effet puisque quelques mois plus tard, elle accoucha d’un jeune bambin nommé William. Comme quoi, même les mauvaises péripéties peuvent amener un dénouement heureux. Mais qui a dit que le conte se terminait ici ? Elle eut un enfant mais ne vécut pas heureuse. Sachez dès à présent qu’un enfant à charge, seule et sans réels apports lorsque votre revenu est bas, c’est lourd, lassant et très difficile. Bien entendu, Mère Grand était présente pour veiller sur le jeune bambino. Mais laisser l’enfant chez Mère Grand n’était pas suffisant, il fallait aussi s’occuper du petit. Le nourrir, l’amener par-ci, l’amener par-là. Et surtout, lui donner de l’amour. Vous connaissez ce conte nommé Cendrillon ? Son père et sa mère lui donnèrent tout l’amour imaginable alors que sa belle mère, elle, ne le fit pas, préférant la traiter telle une esclave. Je ne dis pas que c’est ce qu’il s’est déroulé pour William mais il ne reçut pas l’amour que Cendrillon reçut avec ses deux parents encore en vie. Il en eut bien entendu mais pas autant qu’un autre enfant de son âge. Mais quelle importance ? A deux ans, on ne se soucie pas de son bonheur : on se soucie surtout de notre petit bien être : manger, boire, dormir, popo, pipi. Cela se résume à cela, n’est-ce pas ? Mais quand on grandit, on apprend à reconnaitre le bien, le mal, le malheur et le bonheur. On le voit quand sa mère ne nous aime pas. Voici ce que William apprit dans sa petite enfance : « Maman ne m’aime pas ».

Que voulez-vous dire à un mioche de six ans lorsqu’il vous dit cela ? Qui plus est lorsque vous êtes la Grand-mère de l’enfant, la génitrice de la mère concernée. Que faites-vous ? Elle fit ce que toute personne censée aurait fait sur le moment : « Mais non mon chéri, mais non. Elle ne te le fait juste pas voir. N’y pense plus, va. Allez, va t’amuser ». Mais en général, lorsque l’enfant dit cela, on s’inquiète, on se demande où il est allé chercher cette idée folle. Alors on fait sa propre enquête, on se renseigne, on questionne, on fouine : on trouve. On trouve ce que l’on n’aurait jamais dû savoir sur le chemin. La montée vers la sagesse pour Mère Grand est aussi le synonyme du début de l’incompréhension du comportement des autres, même quand cela est votre propre enfant. Savoir, apprendre que celle-ci allait chercher son enfant tard les soirs d’école, qu’elle le laissait chez la nourrice, parce que son emploi le lui permettait désormais, pendant qu’elle cheminait dans les rues de Canberra, non ce n’était pas possible. Alors Mère Grand garda le petit pour le protéger de la femme qui l’avait mis au monde. Dans la province, elle le scolarisa dans une petite école de bourgade où il se fit des amis, où il grandit avec l’amour dont il avait besoin. Mais le désir de connaitre de plus en plus de détails sur sa génitrice vint, et avec lui, son lot de mauvaises nouvelles. Vous savez certainement que ce que l’on raconte dans les histoires est véritable : l’enfant est capable d’oublier pour mieux vivre par la suite. On oublie, on tente d’effacer mais on n’y arrive pas. Notre mémoire garde, enfouie sous des tas de dossiers et d’autres détails, les blessures passées. On n’y pense cependant pas, on essaie du reste. Face à la pression d’un adolescent, on lui répond, on lui dit ce qu’il veut savoir. Surtout quand il se fait pressant, envieux et déterminé. Ils apprirent tous deux que la vérité n’est pas forcément le meilleur moyen de progresser dans la vie.

L’adolescence, c’est aussi le moment où on est scolarisé dans une grande ville. La plus proche de la bourgade où il se trouvait était Canberra, la magnifique ville et capitale australienne. Il y apprit que tout le monde n’est pas tout beau n’est pas tout rose. Effectivement, ses résultats scolaires étaient moyens, ou du moins, il bataillait pour avoir des notes correctes. Oui, tout héros de conte quel qu’il soit n’est pas le plus beau, le plus intelligent : prenez la Petite Sirène. Lui, héros de notre conte, était mignon mais pas forcément le plus intelligent, loin de là. Certains disaient de lui qu’il était un être pas très « futfut », soit futé selon les dires de ses camarades. Il sentait que les gens le rejetaient mais il n’était pas non plus le vilain petit canard puisqu’il avait ses amis, son groupe, sa bande. Il grandit donc en étant acerbe avec les gens qu’il méprisait et qui le méprisaient comme il était sympathique avec les personnes qui le considéraient comme ce qu’il était. Il était ce garçon, déjà partagé entre le bien et le mal. Ce garçon qui avait grandi dans l’espoir de voir surgir un super héros au loin. Oui, cet enfant qui ne lisait pas de contes parce qu’il n’avait personne pour les lui raconter. Mais il grandit dans les célèbres bandes dessinées, ou même les Marvel avec ses héros préférés : Captain America et Hulk. Deux hommes dits « normaux » qui devenaient bien plus puissants. Il voulait être comme eux, il le voulait ardemment pour terrasser ceux qui se fichaient de lui durant ses journées de cours. Il rêvait d’être l’un d’eux, ces mutants qui n’existaient pas le moins du monde dans les contes. Il grandit avec l’espoir de devenir un mutant, un mutant qui possèderait de multiples pouvoirs et qui pourrait faire le bien comme le mal tel les X-Mens ou Zorro, même s’il n’avait pas de supers pouvoirs. Mais le moment ne vint pas et il vit petit à petit les exactions des mutants à l’égard des humains. Il ne savait plus quoi faire, il ne savait plus quoi penser. Tout comme Pinocchio, partagé entre aller à la fête foraine et ne pas y aller. Comment choisir entre ces deux possibilités, cela n’est pas évident. C’est là qu’il comprit, qu’il n’avait pas de réel avenir en Australie, qu’il devait se ré-axer vers un endroit plus peuplé, plus actif.

Il fit ses bagages, dit ses aux revoir aux quelques personnes qui comptaient pour lui et partit aux Etats-Unis, à Achaea. Là-bas, il trouva un petit appartement, une pièce de misère que l’on appellerait ça : la taille et la qualité de la « pièce de vie de Cendrillon ». C’était bien beau mais avec peu d’argent, on ne peut pas vivre dans un manoir ni ne pas travailler comme dans les contes. William ne put pas échanger de vache contre de haricots, il se présenta donc dans un établissement pour trouver du travail. Il faut savoir être souillon avant de pouvoir devenir roi. Il travailla un peu sans avoir de diplômes, dans des petits boulots ingrats. Jusqu’à ce qu’il en trouve un qui soit correct. L’hôtel Nevada l’accueillit sans le connaitre, sans se baser sur ce qu’il avait fait avant. Il y apprit à se comporter tel un homme ambitieux, voulant évoluer dans les sphères du travail. Il développa son caractère déjà bien avancé, en devint plus violent, plus mauvais. Il se fit des amis, comme il se fit des ennemis. Avec son salaire, il put louer plus grand. Mais Belle ne vint pas comme Beau ne se fit pas sentir. Il continua donc sa route seul, au dépit de sa volonté de fer. Se gardant l’envie de progresser dans son métier. Être un être entier au dépit de tous les problèmes dans le monde actuel. Mais ça c’est le présent, alors l’enseignement n’est pas encore là.

Cette histoire ne se finit pas, parce qu’elle n’est pas terminée. Ce n’est pas une histoire comme les autres, je l’ai dit déjà. Il faut savoir s’adapter, et découvrir petit à petit les choses de la vie. Choses bien éphémères parfois comme plus complexes à d’autres moments. Vivez, appréciez, lisez, écoutez ce que votre cœur dit : que cela soit bon ou mauvais : la lumière ne reflète pas forcément le bon comme l’obscurité n’est pas le signe du malheur.


● Avatar : Aaron Johnson
● Recyclage du Personnage : Non

» Informations de Base
"Jamais personne n'a trompé tout le monde, et jamais tout le monde n'a trompé personne"

● Comment avez-vous connu le forum ? /
● Parrainage : Non
● Un commentaire ou un message à faire passer aux administrateurs ? /
● Quelque chose à dire sur le forum ? /
● Quelles sont vos disponibilités ? 7/7
● Parlez-nous un peu de vous : Voir fiche de Nikita Zakharine

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Liam Winchester

Liam Winchester
۞ Fondateur - Equipe Spéciale Bastet ۞

◊ Nombre de Messages : 7431
◊ Nombre de Messages RP : 481
◊ Age : 35
◊ Informations :
◊ Age du Personnage : 32 Ans
◊ Pouvoirs / Armes : Un Colt M1911A1 9mm, l'équipement de base d'un Agent Spécial Apocalypto


Informations

» Métier
: Agent de l'équipe spéciale 'Bastet' - Policier (sous couverture)

» Statut RP
: Fermé

» Particularités
:

William White Vide
MessageSujet: Re: William White William White EmptyJeu 10 Fév - 13:34

Je ne vais pas te redire bienvenue sur le forum, mais bien le bonjour :p

Et bien, personnage intéressant je dois dire, j'aime beaucoup l'idée de parler des contes de fée dans ton histoire, ça fait des clins d'œils et c'est agréable à lire. Tu as toujours un style que j'adore, facile et agréable à lire, sans fautes, bref, c'est un plaisir de te lire ! En plus c'est sympathique de prendre un groupe qui offre moins "d'intérêt" que les autres au niveau des dons, je te remercie pour ça ! ^^

Je te valide donc avec plaisir ! Il te faudra simplement remplir ton profil et ton profil personnalisé, et créer les sujets pour gérer ton personnage par ici. Ensuite tu pourras chercher des partenaires de RP, moi je m'occupe de tout recenser correctement. Tu connais le topo !

Bon jeu sur Apocalypto !

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William White Vide
MessageSujet: Re: William White William White EmptyJeu 10 Fév - 18:55

Que dire Coeur Je suis conquise ! Quel perso adorable, j'ai hâte de le voir en action !

Rebienvenue donc <3

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William White Vide
MessageSujet: Re: William White William White Empty


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William White

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